Titre : Journal officiel de Madagascar et dépendances
Auteur : Madagascar. Auteur du texte
Éditeur : Imprimerie nationale (Tananarive)
Date d'édition : 1901-02-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34425284n
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Langue : malgache
Format : Nombre total de vues : 94347 Nombre total de vues : 94347
Description : 09 février 1901 09 février 1901
Description : 1901/02/09 (A18,N576). 1901/02/09 (A18,N576).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Description : Collection numérique : Zone géographique :... Collection numérique : Zone géographique : Afrique centrale et océan indien
Description : Collection numérique : Thème : L'histoire partagée Collection numérique : Thème : L'histoire partagée
Description : Collection numérique : BIPFPIG976 Collection numérique : BIPFPIG976
Description : Collection numérique : Histoire et géographie Collection numérique : Histoire et géographie
Description : Collection numérique : Océan indien Collection numérique : Océan indien
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64683344
Source : Bibliothèque Interuniversitaire Cujas, 2012-252722
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
188 Année. — N. S. — N8 576. Samedi 9 Février 1901.
JOURNAL OFFICIEL
DE
--- MADAGASCAR ET DÉPENDANCES
ABONNEMENTS:
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Six. ¡¡¡oia. 12 fI.
Ds "ee et Etraftcer.
Un an - -- * * * * 25 rr.
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LE JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCAR
Paraît les Mercredi et Samedi.
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SOMMAIRE
Partie Officielle
I Actions au sujet des mesures à prendre
contre les invasions des sauterelles.
k autorisant la société de batelage de la côte
ouest à construire un débarcadère et des
®a§?s,ns à Majunga.
'l't niodifiant l'areiele 1" de l'arrêté du 28
octobre 1899, sur le cautionnement des
agents du service de la conservation fon-
cière à Madagascar et dans les îles qui en
dépendenf
t'fÉ lhomologuant et déclarant d'utilité publique
pian d'alinement de la principale rue de
AI\Il! ahanoro.
RfcÊîé rI apportant l'arrêté du 25 juillet 1900, fixant
» a taxe de traftsport des colis postaux entre
Majunga, l'Imerma et le Betsileo.
4 relatif aux médecins indigènes non munis
Anl\Ê d'ur¡ diplôme français.
'fÉ etachant du cercle des Bara et rattachant
a la province de Farafangana les régions
H^CUPees par les tribus des Andremareo et
h. les Antemananara.
ION rapPortant l'arrêté du 31 mai 1896 dans
toutes les localités où est installé un phar-
b êlClen de nationalitp- française, pourvu du
me universitaire de pharmacien.
P ^aitc 'c fNominations, MUTATIONS.
RAlI)(E DE PARIS.
Partie non «rflcielie
tCI\Or. aGIE. - NOUVELLES ET Informations. -
VISITE DU Gouverneur GÉNÉRAL A L'HÔPI-
t a r DES VÉNÉRIENS A ITAOSY. — LA MAGNA-
NERIE D'AMBOHIDRATRIMO. — TERRITOIRES
)(ILlTAIRES. — BULLETIN COMMERCIAL DE
TANANARIVE. - AVIS D'ADJUDICATIONS PUBLl-
QUES.
OFFICIELLE
à lttl.{ 1 INSTRUCTIONS
de cr er administrateurs et commandants
hf cerclft chefs de province, au sujet des
8ion. dS à prendre contre les inva-
aiotka es sauterelles.
Dans ces d
lQ Se s ermers temps, des vols de saute-
Q COlonie Oot abattus sur plusieurs points de
Il Culturp« A cansé des dégâts assez graves
? colons et des indigènes.
il y a un an a. pareille époque, diverses ré-
gions de l'île fVaiei?t eu époque, diverses ré-
'es ^9i Hi,rCr e 3 avril 1900, publiée
PI" [}}oYen lU JOw'nal Officiel, avait indiqué
les moyens es plus efficaces, sinon de sen
el' les eœornpletement, du moins d'en atté-
h ets. La réapparition des insectes
nuisibles qui m'est signalée par les rapports
de plusieurs chefs de province m'amène à
vous rappeler, en entrant dans quelques dé-
tails, les indications de la circulaire précitée
relativement aux diverses phases de l'invasion
et aux principaux moyens défensifs à employer.
L'apparition des sauterelles ne se présente
pas d'ordinaire à l'état de cas isolé ; elle se<
reproduit souvent pendant plusieurs années
consécutives, ou périodiquement, après des
intervalles de temps plus ou moins longs.
Elle est considérée partout comme une véri-
table calamité, surtout dans nos possessions de
l'Afrique du nord, où la lutte entreprise contre
ces invasions entraîne chaque année à des
travaux et à des dépenses considérables.
A Madagascar, où les exploitations des co-
lons et les cultures des indigènes sont beau-
coup moins étendues qu'en Algérie et où les
régions inhabitées sont beaucoup plus vastes,
on ne peut songer à prendre des mesures dé-
fensives aussi générales et aussi complètes.
La dépense qu'elles occasionneraient serait
hors de proportion avec les ressources du
budget de la Colonie et, il faut le reconnaître,
avec l'importance des intérêts à sauvegarder.
Mais il est telle de ces mesures, qui, prise ou
conseillée par les administrateurs et judicieu-
sement appliquée, pourra, le plus souvent,
n'exiger qu'une dépense minime, tout en
étant d'une grande efficacité, et répondre
ainsi, au moins partiellement, au but qu'on se
propose d'atteindre.
La sauterelle de Madagascar a été peu étu-
diée jusqu'à ce jour et n'est encore qu'impar-
faitement connue. Elle est, selon toute vrai-
semblance, originaire d'Afrique et paraît, avec
une taille moindre, se rapprocher de l'espèce
connue en Algérie sous le nom de criquet
pèlerin [acridiumperegrinum d'Olivier).
Dans leur excellent ouvrage : Manuel de
l'agriculteur algérien, MM. Rivière, directeur
du jardin d'essais d'Alger, et Lecq, inspecteur
de l'agriculture en Algérie, décrivent ainsi
cette espèce :
« C'est un orthoptère de grande taille, me-
« surant de 7 à 8 centimètres, les ailes repliées
« et ayant 11 à 12 centimètres d'envergure les
« ailes étendues.
« La femelle ne diffère guère du mâle que
« par sa taille plus ou moins grande, et en ce
« que, détail caractéristique, parvenue à l'âge
« adulte, elle a la faculté d'allonger son abdo-
« men de 3 centimètres et de le transformer
« en un instrument rigide, qui peut pénétrer
« dans le sol à la façon d'un plantoir.
« A l'aide de cet instrument, la femelle fore
« un trou dans la terre, en agglutine les parois
« par une matière qu'elle secrète, et pond en
« même temps qu'elle rétracte son abdomen ;
« finalement, elle dépose au fond du trou de
« pontft une grappe d'œufs disposés en épi
« irrégulier de 3 à 3 centimètres J /2 de lon-
« gueur et elle achève de remplir avec la
« matière agglutinante, qui forme alors un
« bouchon blanc spumeux, d'ivc extrême
« légèreté; certaines variétés y ajoutent même
« un couvercle merveilleusement adapté, con-
« stitué comme la paroi ; le tout ayant l'aspect
« d'une coque.
a Les œufs, d'abord d'un beau jaune d'or,
« deviennent biontôt gris foncé ; chaque épi
« en compte de 50 à 80 et même 85 (1) ».
L'époque de la ponte paraît commencer à
Madagascar en décembre et janvier, et peut se
prolonger jusqu'en février.
Les pontes ne se font pas en une seule fois,
mais sont échelonnées par périodes d'une
quinzaine de jours environ, chaque sauterelle
pouvant normalement donner au total jusqu'à
sept, huit cents œufs et même davantage.
L'incubation a une durée variable comprise,
suivant la saison et la température, entre 2 et
6 semaines. Entre l'éclosion et la métamor-
phose en insectes ailés, les jeunes criquets
subissent plusieurs mues successives accom-
pagnées de changements de couleur.
La sauterelle ailée, préoccupée surtout de
La sauterelle, ailée, îir e, ne eonstitiie, pas le
s'accoupler et de pondre, ne constitue pas le
danger principal. Bien que susceptible de
causer certains dommages aux récoltes, elle
est, en réalité, beaucoup moins vorace et des-
tructive que le criquet, qui doit absorber de
grandes quantités de matière végétale pour
arriver à son complet développement. Les
procédés, d'ailleurs médiocrement efficaees
employés pour combattre les sauterelles ailées,
ont été décrits dans la circulaire précitée du 3
avril 1900.
Ils consistent principalement à frapper sur
des objets sonores, par exemple, des boîtes en
fer-blanc, des bidons à pétrole, des cloches,
des marmites en fonte, ou bien à agiter des
linges et banderoles de couleur éclatante. De
même, des feux allumés de telle façon que la
fumée passe au-dessus des plantations que l'on
veut protéger, suffisent quelquefois à faire
changer les vols de direction.
Tout autre est le caractère de la lutte contre
l'insecte encore incomplètement formé, qu'on
peut atteindre par des procédés de destruction
méthodiques et d'un effet beaucoup plus radi-
cal. On peut s'attaquer, soit aux jeunes criquets,
soit aux œufs non encore éclos. Les procédés
suivants, indiqués par MM. Rivière et Lecq,
sont depuis longtemps mis en pratique en
Algérie, où ils ont donné d'excellents résultats.
I. - Ramassage et destruction des œufs
« a. — Le ramassage des œufs peut s'opérer
« à la main en déterrant avec une pioche ou
l11 Manuel de l'agriculteur algérien de Rivière et
Lecq, page 850.
JOURNAL OFFICIEL
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SOMMAIRE
Partie Officielle
I Actions au sujet des mesures à prendre
contre les invasions des sauterelles.
k autorisant la société de batelage de la côte
ouest à construire un débarcadère et des
®a§?s,ns à Majunga.
'l't niodifiant l'areiele 1" de l'arrêté du 28
octobre 1899, sur le cautionnement des
agents du service de la conservation fon-
cière à Madagascar et dans les îles qui en
dépendenf
t'fÉ lhomologuant et déclarant d'utilité publique
pian d'alinement de la principale rue de
AI\Il! ahanoro.
RfcÊîé rI apportant l'arrêté du 25 juillet 1900, fixant
» a taxe de traftsport des colis postaux entre
Majunga, l'Imerma et le Betsileo.
4 relatif aux médecins indigènes non munis
Anl\Ê d'ur¡ diplôme français.
'fÉ etachant du cercle des Bara et rattachant
a la province de Farafangana les régions
H^CUPees par les tribus des Andremareo et
h. les Antemananara.
ION rapPortant l'arrêté du 31 mai 1896 dans
toutes les localités où est installé un phar-
b êlClen de nationalitp- française, pourvu du
me universitaire de pharmacien.
P ^aitc 'c fNominations, MUTATIONS.
RAlI)(E DE PARIS.
Partie non «rflcielie
tCI\Or. aGIE. - NOUVELLES ET Informations. -
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t a r DES VÉNÉRIENS A ITAOSY. — LA MAGNA-
NERIE D'AMBOHIDRATRIMO. — TERRITOIRES
)(ILlTAIRES. — BULLETIN COMMERCIAL DE
TANANARIVE. - AVIS D'ADJUDICATIONS PUBLl-
QUES.
OFFICIELLE
à lttl.{ 1 INSTRUCTIONS
de cr er administrateurs et commandants
hf cerclft chefs de province, au sujet des
8ion. dS à prendre contre les inva-
aiotka es sauterelles.
Dans ces d
lQ Se s ermers temps, des vols de saute-
Q COlonie Oot abattus sur plusieurs points de
Il Culturp« A cansé des dégâts assez graves
? colons et des indigènes.
il y a un an a. pareille époque, diverses ré-
gions de l'île fVaiei?t eu époque, diverses ré-
'es ^9i Hi,rCr e 3 avril 1900, publiée
PI" [}}oYen lU JOw'nal Officiel, avait indiqué
les moyens es plus efficaces, sinon de sen
el' les eœornpletement, du moins d'en atté-
h ets. La réapparition des insectes
nuisibles qui m'est signalée par les rapports
de plusieurs chefs de province m'amène à
vous rappeler, en entrant dans quelques dé-
tails, les indications de la circulaire précitée
relativement aux diverses phases de l'invasion
et aux principaux moyens défensifs à employer.
L'apparition des sauterelles ne se présente
pas d'ordinaire à l'état de cas isolé ; elle se<
reproduit souvent pendant plusieurs années
consécutives, ou périodiquement, après des
intervalles de temps plus ou moins longs.
Elle est considérée partout comme une véri-
table calamité, surtout dans nos possessions de
l'Afrique du nord, où la lutte entreprise contre
ces invasions entraîne chaque année à des
travaux et à des dépenses considérables.
A Madagascar, où les exploitations des co-
lons et les cultures des indigènes sont beau-
coup moins étendues qu'en Algérie et où les
régions inhabitées sont beaucoup plus vastes,
on ne peut songer à prendre des mesures dé-
fensives aussi générales et aussi complètes.
La dépense qu'elles occasionneraient serait
hors de proportion avec les ressources du
budget de la Colonie et, il faut le reconnaître,
avec l'importance des intérêts à sauvegarder.
Mais il est telle de ces mesures, qui, prise ou
conseillée par les administrateurs et judicieu-
sement appliquée, pourra, le plus souvent,
n'exiger qu'une dépense minime, tout en
étant d'une grande efficacité, et répondre
ainsi, au moins partiellement, au but qu'on se
propose d'atteindre.
La sauterelle de Madagascar a été peu étu-
diée jusqu'à ce jour et n'est encore qu'impar-
faitement connue. Elle est, selon toute vrai-
semblance, originaire d'Afrique et paraît, avec
une taille moindre, se rapprocher de l'espèce
connue en Algérie sous le nom de criquet
pèlerin [acridiumperegrinum d'Olivier).
Dans leur excellent ouvrage : Manuel de
l'agriculteur algérien, MM. Rivière, directeur
du jardin d'essais d'Alger, et Lecq, inspecteur
de l'agriculture en Algérie, décrivent ainsi
cette espèce :
« C'est un orthoptère de grande taille, me-
« surant de 7 à 8 centimètres, les ailes repliées
« et ayant 11 à 12 centimètres d'envergure les
« ailes étendues.
« La femelle ne diffère guère du mâle que
« par sa taille plus ou moins grande, et en ce
« que, détail caractéristique, parvenue à l'âge
« adulte, elle a la faculté d'allonger son abdo-
« men de 3 centimètres et de le transformer
« en un instrument rigide, qui peut pénétrer
« dans le sol à la façon d'un plantoir.
« A l'aide de cet instrument, la femelle fore
« un trou dans la terre, en agglutine les parois
« par une matière qu'elle secrète, et pond en
« même temps qu'elle rétracte son abdomen ;
« finalement, elle dépose au fond du trou de
« pontft une grappe d'œufs disposés en épi
« irrégulier de 3 à 3 centimètres J /2 de lon-
« gueur et elle achève de remplir avec la
« matière agglutinante, qui forme alors un
« bouchon blanc spumeux, d'ivc extrême
« légèreté; certaines variétés y ajoutent même
« un couvercle merveilleusement adapté, con-
« stitué comme la paroi ; le tout ayant l'aspect
« d'une coque.
a Les œufs, d'abord d'un beau jaune d'or,
« deviennent biontôt gris foncé ; chaque épi
« en compte de 50 à 80 et même 85 (1) ».
L'époque de la ponte paraît commencer à
Madagascar en décembre et janvier, et peut se
prolonger jusqu'en février.
Les pontes ne se font pas en une seule fois,
mais sont échelonnées par périodes d'une
quinzaine de jours environ, chaque sauterelle
pouvant normalement donner au total jusqu'à
sept, huit cents œufs et même davantage.
L'incubation a une durée variable comprise,
suivant la saison et la température, entre 2 et
6 semaines. Entre l'éclosion et la métamor-
phose en insectes ailés, les jeunes criquets
subissent plusieurs mues successives accom-
pagnées de changements de couleur.
La sauterelle ailée, préoccupée surtout de
La sauterelle, ailée, îir e, ne eonstitiie, pas le
s'accoupler et de pondre, ne constitue pas le
danger principal. Bien que susceptible de
causer certains dommages aux récoltes, elle
est, en réalité, beaucoup moins vorace et des-
tructive que le criquet, qui doit absorber de
grandes quantités de matière végétale pour
arriver à son complet développement. Les
procédés, d'ailleurs médiocrement efficaees
employés pour combattre les sauterelles ailées,
ont été décrits dans la circulaire précitée du 3
avril 1900.
Ils consistent principalement à frapper sur
des objets sonores, par exemple, des boîtes en
fer-blanc, des bidons à pétrole, des cloches,
des marmites en fonte, ou bien à agiter des
linges et banderoles de couleur éclatante. De
même, des feux allumés de telle façon que la
fumée passe au-dessus des plantations que l'on
veut protéger, suffisent quelquefois à faire
changer les vols de direction.
Tout autre est le caractère de la lutte contre
l'insecte encore incomplètement formé, qu'on
peut atteindre par des procédés de destruction
méthodiques et d'un effet beaucoup plus radi-
cal. On peut s'attaquer, soit aux jeunes criquets,
soit aux œufs non encore éclos. Les procédés
suivants, indiqués par MM. Rivière et Lecq,
sont depuis longtemps mis en pratique en
Algérie, où ils ont donné d'excellents résultats.
I. - Ramassage et destruction des œufs
« a. — Le ramassage des œufs peut s'opérer
« à la main en déterrant avec une pioche ou
l11 Manuel de l'agriculteur algérien de Rivière et
Lecq, page 850.
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