Titre : Journal officiel de Madagascar et dépendances
Auteur : Madagascar. Auteur du texte
Éditeur : Imprimerie nationale (Tananarive)
Date d'édition : 1899-04-19
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34425284n
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Langue : malgache
Format : Nombre total de vues : 94347 Nombre total de vues : 94347
Description : 19 avril 1899 19 avril 1899
Description : 1899/04/19 (A16,N391). 1899/04/19 (A16,N391).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Description : Collection numérique : Zone géographique :... Collection numérique : Zone géographique : Afrique centrale et océan indien
Description : Collection numérique : Thème : L'histoire partagée Collection numérique : Thème : L'histoire partagée
Description : Collection numérique : BIPFPIG976 Collection numérique : BIPFPIG976
Description : Collection numérique : Histoire et géographie Collection numérique : Histoire et géographie
Description : Collection numérique : Océan indien Collection numérique : Océan indien
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6431789g
Source : Bibliothèque Interuniversitaire Cujas, 2012-252722
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/12/2012
16* Année. — N* S, — IX® 39i.
Mercredi, 19 Avril 189Q.
JOURNAL OFFICIEL
DE
MADAGASCAR it DEPENDANCES
ABONNEMENTS
Madagascar •
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Six mois 12 fi.
France et Etranger.
Un an 25 fr.
Six moi» 15 fr.
LE JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCAR
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à Tananarive.
SOMMAIRE
Partie Officielle
OIDR. GÉNÉRAL.
CIRCULAIRE - à MM. les administrateurs, comman-
dants de cercle ou de province, relative
à l'organisation de l'enseignement à Ma-
dagascar.
ARRÊTÉ — sur l'organisation de l'enseignement à
Madagascar.
NOMINATIONS.
CABLOGRAMMES DE PARIS.
Partie non Officielle
NiCBOLOGlE, — NOUVELLZS ET INFORMATIONS. — CON-
COURS AGRICOLE. — LA FÊTE DES ENFANTS
EN EMYRNE. — CHARGES ABANDONNÉES. —
Avis.
PARTIE OFFICIELLE
ORDRE GÉNÉRAL
Ofdciers, sous-officiers et soldats du Corps
d'occupation.
M. le Ministre des Colonies vient de m'auto-
riser à rentrer en France et à remettre le com-
mandement du Corps d'occupation à M. le
Général Pennequin.
Avant de quitter Madagascar, je tiens à vous
dire quels sont les sentiments de reconnais-
sance que je vous ai voués à tous, pour le con-
cours si énergique et si complet que vous
m'avez fourni depuis mon arrivée dans la Colo-
nie.
Lorsqu'au mois de juillet 1896, je fus appelé
à Paris, afin de recevoir l'ordre de partir pour
notre nouvelle possession, je n'éprouvais pas
un seul moment d'inquiétude, malgré la gra-
vité de la situation qui m'était signalée dans la
Grande lie. Je savais que je retrouverais ici les
mêmes officiers et les mêmes troupes: fantas-
sins et artilleurs de marine, légionnaires, sa-
peurs du génie, tirailleurs sénégalais, que
J'avais déjà vus à l'œuvre au Soudan et au
Tonkin. Je savais quelles étaient vos qualités
de courage, d'abnégation et de ténacité et je
ne doutais pas un seul instant qu'avec vous, je
Parviendrais rapidement à remettre les choses
en place à Madagascar. J'avais confiance en
vous et vous-mêmes, pour qui je n'étais pas
un inconnu, vous aviez confiance en moi. Là
esbt tout le secret des succès que vous avez
obtenus ici depuis trois ans.
Au mois de septembre 1896, le plateau cen-
tral était en complète insurrection, la ligne
d'étapes était interceptée, tout le Nord, l'Ouest
et le Sud de l'île restaient en dehors de notre
autorité. Le succès de vos valeureux cc.:l
gnons d'armes de 1895 menaçait d'être com-
promis. Aujourd'hui, grâce à vos efforts mé-
thodiques et persistants, grâce à votre ténacité,
qui vous a permis de reconquérir pied à pied
tout le pays occupé par les insurgés, le plateau
central et nos grandes lignes d'etapes ont re-
trouvé une tranquillité et une sécurité qu'ils
n'avaient jamais connues auparavant. Puis,
vous avez commencé ce vaste mouvement de
pénétration qui vous a conduits progressive-
ment au cœur des vastes régions inconnues
de l'Ouest et du Sud. Les mêmes troupes, que
j'avais trouvées, à mon arrivée, sur la côte Est
ou sur la route de Tamatave, sont parvenues
maintenant sur la côte occidentale, après avoir
effectué, à travers l'île et dans toutes les direc-
tions, des marches que n'ont pu arrêter, ni
l'hostilité des peuplades soulevées, ni les obs-
tacles de toute sorte, forêts, rivières, marais,
rencontrés sur leur passage. Les noms que j'ai
donnés aux nombreux postes et blockhaus que
vous avez créés partout rappellent les braves
qui sont morts pour la grandeur de la patrie.
Ils sont le témoignage irrécusable de la vivacité
des luttes et combats que vous avez dû soute-
nir pour implanter l'autorité de la France dans
ces régions jusqu'alors révoltées contre elle.
Mais vous ne vous êtes pas bornés à votre
rôle de soldats et vous avez compris que votre
tâche n'était pas finie, après avoir réprimé
l'insurrection et ramené la paix dans les pays
récemment troublés. Vous avez déplové en-
suite ces qualités d'humanité, de générosité,
de bienveillance pour les indigènes, qui sont
le propre de notre race ; vous êtes venus en
aide à tous ces malheureux, que la révolte avait
ruinés, leur distribuant des secours, les aidant
à reconstruire leurs maisons incendiées et à
refaire leurs cultures dévastées. Cela fait, vous
vous êtes mis vous-mêmes, sous la direction
intelligente de vos officiers, à l'œuvre de la colo-
nisation et, tour à tour, cultivateurs, construc-
teurs de routes, maîtres d'école, vous avez vou-
lu, par tous les moyens possibles, faire aimer
le nom de la France à nos nouveaux sujets et
faciliter à nos compatriotes leur premier établis-
sement dans notre nouvelle colonie. Un certain
nombre d'entre vous, accomplissant leur der-
nière année de service et encouragés par moi, se
sont faits colons eux-mêmes. Ayant acquis, au
contact de la population indigène, la connais-
sance de la langue, des mœurs et des coutumes
locales, ils ont-déjà été appelés, en de nom-
breuses circonstances, à exercer leur initiative,
dans les postes où ils servaient, pour la créa-
tion de pépinières, d'ateliers professionnels,
pour des essais de cultures et pour la cons-
truction de routes. Ils peuvent donc devenir
rapidement des colons expérimentés et énergi-
ques qui, plus tard, serviront de guides et
d'exemple à nos compatriotes nouveaux venus
qui seront tentés, eux aussi, de venir faire
œuvre de colonisation à Madagascar.
Vous avez donc rempli, ét au delà, toutes
les espérances que j'avais mises en vous. Par
votre courage et votre abnégation, vous avex
su conserver à la France ce nouveau domaine
que des fauteurs de troubles, obéissant à de
pernicieux conseils, voulaient nous arracher.
Il vous reste maintenant à continuer votre
tâche glorieuse et patriotique. Vous connaissez
mon successeur, le général Pennequin, que
beaucoup d'entre vous ont déjà vu à l'œuvre
au Tonkm, sur nos frontières de Chine et qui.
ici même, à Madagascar, a laissé d'impérissables
souvenirs. Vous aurez en lui le même chef
ferme et bienveillant que vous avez trouvé en
moi. Il aura en vous les mêmes soldats fidèles,
tenaces et dévoués. Et si, quelquefois, le dé-
couragement vous prend, dans ces postes
lointains, isolés et insalubres, où le cœur le
mieux trempé peut être momentanément abat-
tu, portez vos yeux vers le drapeau qui flotte
au-dessus des palissades et rappelez-vous les
paroles : « Honneur et Patrie», qui sont inscri-
tes sur nos couleurs. Vous avez là une bous-
sole qui ne vous trompera jamais. Regardez-la,
elle saura toujours vous indiquer le droit
chemin.
Je ne saurais, dans les éloges que je vous
adresse et dans les regrets que j'éprouve à
adresse et dans les re 9,e vous les forces de
vous quitter, séparer de vous les forces de
gendarmerie et de milice qui, chaque fois
qu'elles ont combattu à vos côtés, ont fait
preuve des mêmes qualités de courage et de
dévouement, non plus que les officiers et
agents des corps auxiliaires, service de santé et
service administratif, qui ont mis àvoussecon
der dans votre tâche, à vous soigner, à vous
nourrir, un zèle et une intelligence qu'il est
de mon devoir de reconnaître et de proclamer
aux yeux de tous.
Fait à Tananarive, le 19 Avril 1899.
Le Général commandant en chef du Corps
d'occupation et Gouverneur Général de Ma-
dagascar et Dépendances,
GALLIENI.
CIRCULAIRE
GOUVERNEMENT
GÉNÉRAL
à MM. les administrateurs,
commandants de cercle ou de
province, relative a l'organisation de
l'enseignement à Madagascar.
La question de l'enseignement public est
l'une de celles qui m'ont le plus préoccupé
depuis mon arrivée dans la Colonie. Cette
Mercredi, 19 Avril 189Q.
JOURNAL OFFICIEL
DE
MADAGASCAR it DEPENDANCES
ABONNEMENTS
Madagascar •
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à l'organisation de l'enseignement à Ma-
dagascar.
ARRÊTÉ — sur l'organisation de l'enseignement à
Madagascar.
NOMINATIONS.
CABLOGRAMMES DE PARIS.
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COURS AGRICOLE. — LA FÊTE DES ENFANTS
EN EMYRNE. — CHARGES ABANDONNÉES. —
Avis.
PARTIE OFFICIELLE
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Ofdciers, sous-officiers et soldats du Corps
d'occupation.
M. le Ministre des Colonies vient de m'auto-
riser à rentrer en France et à remettre le com-
mandement du Corps d'occupation à M. le
Général Pennequin.
Avant de quitter Madagascar, je tiens à vous
dire quels sont les sentiments de reconnais-
sance que je vous ai voués à tous, pour le con-
cours si énergique et si complet que vous
m'avez fourni depuis mon arrivée dans la Colo-
nie.
Lorsqu'au mois de juillet 1896, je fus appelé
à Paris, afin de recevoir l'ordre de partir pour
notre nouvelle possession, je n'éprouvais pas
un seul moment d'inquiétude, malgré la gra-
vité de la situation qui m'était signalée dans la
Grande lie. Je savais que je retrouverais ici les
mêmes officiers et les mêmes troupes: fantas-
sins et artilleurs de marine, légionnaires, sa-
peurs du génie, tirailleurs sénégalais, que
J'avais déjà vus à l'œuvre au Soudan et au
Tonkin. Je savais quelles étaient vos qualités
de courage, d'abnégation et de ténacité et je
ne doutais pas un seul instant qu'avec vous, je
Parviendrais rapidement à remettre les choses
en place à Madagascar. J'avais confiance en
vous et vous-mêmes, pour qui je n'étais pas
un inconnu, vous aviez confiance en moi. Là
esbt tout le secret des succès que vous avez
obtenus ici depuis trois ans.
Au mois de septembre 1896, le plateau cen-
tral était en complète insurrection, la ligne
d'étapes était interceptée, tout le Nord, l'Ouest
et le Sud de l'île restaient en dehors de notre
autorité. Le succès de vos valeureux cc.:l
gnons d'armes de 1895 menaçait d'être com-
promis. Aujourd'hui, grâce à vos efforts mé-
thodiques et persistants, grâce à votre ténacité,
qui vous a permis de reconquérir pied à pied
tout le pays occupé par les insurgés, le plateau
central et nos grandes lignes d'etapes ont re-
trouvé une tranquillité et une sécurité qu'ils
n'avaient jamais connues auparavant. Puis,
vous avez commencé ce vaste mouvement de
pénétration qui vous a conduits progressive-
ment au cœur des vastes régions inconnues
de l'Ouest et du Sud. Les mêmes troupes, que
j'avais trouvées, à mon arrivée, sur la côte Est
ou sur la route de Tamatave, sont parvenues
maintenant sur la côte occidentale, après avoir
effectué, à travers l'île et dans toutes les direc-
tions, des marches que n'ont pu arrêter, ni
l'hostilité des peuplades soulevées, ni les obs-
tacles de toute sorte, forêts, rivières, marais,
rencontrés sur leur passage. Les noms que j'ai
donnés aux nombreux postes et blockhaus que
vous avez créés partout rappellent les braves
qui sont morts pour la grandeur de la patrie.
Ils sont le témoignage irrécusable de la vivacité
des luttes et combats que vous avez dû soute-
nir pour implanter l'autorité de la France dans
ces régions jusqu'alors révoltées contre elle.
Mais vous ne vous êtes pas bornés à votre
rôle de soldats et vous avez compris que votre
tâche n'était pas finie, après avoir réprimé
l'insurrection et ramené la paix dans les pays
récemment troublés. Vous avez déplové en-
suite ces qualités d'humanité, de générosité,
de bienveillance pour les indigènes, qui sont
le propre de notre race ; vous êtes venus en
aide à tous ces malheureux, que la révolte avait
ruinés, leur distribuant des secours, les aidant
à reconstruire leurs maisons incendiées et à
refaire leurs cultures dévastées. Cela fait, vous
vous êtes mis vous-mêmes, sous la direction
intelligente de vos officiers, à l'œuvre de la colo-
nisation et, tour à tour, cultivateurs, construc-
teurs de routes, maîtres d'école, vous avez vou-
lu, par tous les moyens possibles, faire aimer
le nom de la France à nos nouveaux sujets et
faciliter à nos compatriotes leur premier établis-
sement dans notre nouvelle colonie. Un certain
nombre d'entre vous, accomplissant leur der-
nière année de service et encouragés par moi, se
sont faits colons eux-mêmes. Ayant acquis, au
contact de la population indigène, la connais-
sance de la langue, des mœurs et des coutumes
locales, ils ont-déjà été appelés, en de nom-
breuses circonstances, à exercer leur initiative,
dans les postes où ils servaient, pour la créa-
tion de pépinières, d'ateliers professionnels,
pour des essais de cultures et pour la cons-
truction de routes. Ils peuvent donc devenir
rapidement des colons expérimentés et énergi-
ques qui, plus tard, serviront de guides et
d'exemple à nos compatriotes nouveaux venus
qui seront tentés, eux aussi, de venir faire
œuvre de colonisation à Madagascar.
Vous avez donc rempli, ét au delà, toutes
les espérances que j'avais mises en vous. Par
votre courage et votre abnégation, vous avex
su conserver à la France ce nouveau domaine
que des fauteurs de troubles, obéissant à de
pernicieux conseils, voulaient nous arracher.
Il vous reste maintenant à continuer votre
tâche glorieuse et patriotique. Vous connaissez
mon successeur, le général Pennequin, que
beaucoup d'entre vous ont déjà vu à l'œuvre
au Tonkm, sur nos frontières de Chine et qui.
ici même, à Madagascar, a laissé d'impérissables
souvenirs. Vous aurez en lui le même chef
ferme et bienveillant que vous avez trouvé en
moi. Il aura en vous les mêmes soldats fidèles,
tenaces et dévoués. Et si, quelquefois, le dé-
couragement vous prend, dans ces postes
lointains, isolés et insalubres, où le cœur le
mieux trempé peut être momentanément abat-
tu, portez vos yeux vers le drapeau qui flotte
au-dessus des palissades et rappelez-vous les
paroles : « Honneur et Patrie», qui sont inscri-
tes sur nos couleurs. Vous avez là une bous-
sole qui ne vous trompera jamais. Regardez-la,
elle saura toujours vous indiquer le droit
chemin.
Je ne saurais, dans les éloges que je vous
adresse et dans les regrets que j'éprouve à
adresse et dans les re 9,e vous les forces de
vous quitter, séparer de vous les forces de
gendarmerie et de milice qui, chaque fois
qu'elles ont combattu à vos côtés, ont fait
preuve des mêmes qualités de courage et de
dévouement, non plus que les officiers et
agents des corps auxiliaires, service de santé et
service administratif, qui ont mis àvoussecon
der dans votre tâche, à vous soigner, à vous
nourrir, un zèle et une intelligence qu'il est
de mon devoir de reconnaître et de proclamer
aux yeux de tous.
Fait à Tananarive, le 19 Avril 1899.
Le Général commandant en chef du Corps
d'occupation et Gouverneur Général de Ma-
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GALLIENI.
CIRCULAIRE
GOUVERNEMENT
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