Titre : Journal officiel de Madagascar et dépendances
Auteur : Madagascar. Auteur du texte
Éditeur : Imprimerie nationale (Tananarive)
Date d'édition : 1899-01-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34425284n
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Langue : malgache
Format : Nombre total de vues : 94347 Nombre total de vues : 94347
Description : 24 janvier 1899 24 janvier 1899
Description : 1899/01/24 (A16,N357). 1899/01/24 (A16,N357).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Description : Collection numérique : Zone géographique :... Collection numérique : Zone géographique : Afrique centrale et océan indien
Description : Collection numérique : Thème : L'histoire partagée Collection numérique : Thème : L'histoire partagée
Description : Collection numérique : BIPFPIG976 Collection numérique : BIPFPIG976
Description : Collection numérique : Histoire et géographie Collection numérique : Histoire et géographie
Description : Collection numérique : Océan indien Collection numérique : Océan indien
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6431755p
Source : Bibliothèque Interuniversitaire Cujas, 2012-252722
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 10/12/2012
f 5" Année. — N. S. — N° 357. K' > Mardi, 24 Janvier 19..
JOURNAL OFFICIEL
DE
ITDJB
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à Tananarive.
r-
[ SOMMAIRE
Partie Officielle
Actions — « MM. les iMtmimstrateufs, tiom-
mandants de territoires et de cercles, au
7- sujet des principes de colonisation L
1 appliquer à Madagascar.
N'ITIONS.
GRAMME DE PARIS.
EVTIONS. Partie non OfflcieUe
LLES ET INFORMATIONS. TERRITOIRES MILI-
TAIRES. — TERRITOIRES CIVILS. — MONTA-
GNE DE LA TABLE. — ESSAIS DE CULTURE
DU BLÉ DANS LE CERCLE DE TSIAFAHY. —
RENSEIGNEMENTS ÉCONOMIQUES ET COMMER-
CIAUX.
IPARTIË OFFICIELLE
j. INSTRUCTIONS
les administrateurs, com-
octants de territoires et de eer-
au «ujet des principes de eo-
satlon à appliquer à Hadu-
B I. - Considérations générales.
..mes circulaires des 21 avril et 20 juillet
te traçais aux chefs de provinces, civils et
rs, le. programme des études et des tra-
BBUl devaient être entrenrrs au' fur et à
es progrès - de la pacification pour f;,-
Iissenmnt des colons en permettant
-Ici d'asseoir leurs projets sur des don-
e" plus en plus exactes et pratiques.
rg,a.l:tÏsation essentielle d'une vaste portion
rltoire étant assurée, il importait d'abor-
s retard la partie de notre tâche répon-
et,ement au but que la France a pour-
,n faisant la conquête de Madagascar.-
ignilais donc la nécessité qui s'impose
esement à toute administration colo-
tre en mesure de nrocurer aux futurs
les - indications d'après lesquelles ils
orienter leur activité suivant leurs
® et leurs ressources.
? je l'ai xplrqué-dans mes instructions
M* l 1897, relatives au programme de pact-
à adopter dans la Grande Ile, l'action
t > après avoir réussi à ramener la sécu-
~- a. tranquillité dans chacune des parties
> ^ouvelle colonie, devait être Immb-
t suivie d'une organisation politique,
administrative et financière répondant aux
conditions locales et permettant su l'tout de facili-
ter aux entreprises de colonisation leur établisse-
ment dans ces régions au fur et à mesure qu'elles
leur étaient ouvertes. J'insistais sur ce point :
la pacification du pays ne pouvait être consi-
dérée comme définitive qu'après l'arrivée de
nos colons. venant eux-mêmes prendre pos-
session des terrains d-e culture et les mettant
en exploitation, avec l'aide des indigènes, pris
ainsi comme les collaborateurs de notre œuvre
de colonisation à Madagascar.
Il va sans dire que, dans ces nouvelles ins-
tructions, relatives à la colonisation, mon but
est simplement d'indiquer quelles sont les
idées qui m'ont guidé depuis mon arrivée à
Madagascar. Nous venons à peine de nous ins-
taller dans l'île et, par suite, notre expérience
est encore trop récente pour que nous puis-
sions formuler des principes définitifs et précis
sur ces importantes questions. Puis, à ce point
de vue, il ne faut pas oublier que l'initiative
de nos colons et celle de nos capitaux forment
le facteur principal de toute œuvre de colonisa-
tion dans une possession nouvelle. Je me bor-
nerai donc, dans les présentes instructions, à
dire ce que l'administration actuelle de la co-
lonie a fait et ce qu'elle compte faire encore,
en ce qui concerne surtout les concessions a
accorder, heureuse si l'expérience vient dé-
montrer qu'elle a suivi la vraie doctrine par
ses mesures et ses actes, et toute prête à modi-
fier sa ligne de conduite si cette expérience
prouve qu'elle a fait fausse route.
Des investigations nombreuses qui ont été
faites sur les productions et les milieux divers
que présente Madagascar, des résultats obtenus
par quelques hommes énergiques et entrepre-
nants venus dans le pays avant la dernière
guerre et au début de l'occupation, il paraît
possible de dégager une idée d'ensemble sur
les conditions dans lesquelles peuvent s exer-
cer avec fruit, pour le développement écono-
mique de la colonie, l'intervention de l'admi-
nistration et l'initiative privée, et d'apprécier
ce qui nous reste à faire-en vue de bâter l'essor
de la colonisation.
Mesures déjà-prises pour faciliter l'ins-
tauatioildes colons. -Antérieureinent à l'oc-
cupation française, la situation de nos com-/
patriotes à Madagascar était des plus précaires,
malgré les traites de protectorat dont le Gou-
vernement malgache était loin de se montrer
seruDiileux observateur.
Celui-GIL mis en contact avec les nations ei-
vilisées et désireux de s'élever à leur niveau, se
voyait dans l'obligation, pour atteindre ce but,
de recourir aux Européens; il redoutait, en
même temps, l'extension de leur influence.
Sous l'empire de ces deux sentiments, il re-
cherchait le concours des étrangers, mais il
leur imposait, comme contre-partie des con-t
cessions consenties, des obligations qui les pla-
i.
çaient dans sa dépendance complète et subor-
donnaient au bon vouloir d'une autorité sou-
vent fantaisiste la réussite d'entreprises basées
sur des avantages séduisants seulement en
apparence.
Il importait donc de mettre fin à ce régime
arbitraire, bien fait pour énerver les volontés
les meilleures, et de donner surtout aux colons -
les garanties de propriété sans lesquelles toute
initiative se trouve paralysée.
L'arrêté du 2 novembre 1896, sur les conces-
sions de terres, et le règlement relatif à l'im-
matriculation des immeubles fixaient, dès la
fin de 1896, les conditions libérales et simples
dans lesquelles les colons pouvaient doréna-
vant occuper le sol et consolider leurs droits
de propriété. Ces garanties établies, il convenait
d'attirer dans les régions pacifiées de nouveaux
éléments de colonisation, en vulgarisant dans
le public français la connaissance des ressour-
ces de Madagascar et, aussi, des difficultés qui
s'y rencontrent.
Afin d'éviter aux nouveaux venus des recher-
ches longues et infructueuses, des périmètres
de colonisation ont été déjà choisis et délimités,
avec un soin tout particulier. Ces travaux,
dont les dossiers sont déposés au bureau du
service tôpographique de chaque province et
qui ont été en outre centralisés à Tananarive,
ont eu pour résultat de provoquer dans la Mé-
tropole et parmi nos compatriotes fixés à
l'étranger un mouvement d'intérêt à l'égard
de notre colonie; depuis une année, le nombre
des colons s'est même augmenté dans de no-
tables proportions.
Comment et dans quelle mesure encourager
ce courant d'émigration qui se manifeste ainsi?
Quels sont les éléments qui semblent devoir
concourir le plus efficacement au progrès de
la colonisation et qu'il convient par consé-
quent d'attirer de préférence à Madagascar ?
Telles sont les questions dont la solution
me paraît s'imposer à l'heure actuelle pour qu'i
n'y ait point déperdition d'efforts et que l'acti-
vité de chacun soit adaptée au milieu- qui lui
convient. »
Nous connaissons aujourd'hui les caractères
très divers qu'offre, dans sa vaste étendue, no-
tre nouvelle colonie. A chacun de ces caractè-
res doivent correspondre des moyens d'action
différents qu'il est possible de déterminer
d'après certains principes généraux qui servi-
ront de directives à votre intervenlion.
Il serait superflu de rappeler qu'à l'époque,
actuelle la colonisation est, pour la France, le
complément indispensable de la. puissance
nationale. Les rivalités d'intérêtqui, jadis, ont
armé les nations européennes et amené les
guerres continentales se traduisent, mainte-
nant, par une lutte économique dans laquelle
le succès appartiendra à celle qui aura su s'as-
surer les débouchés les meilleurs. Ace point de
vue, il n'en est pas de plus sûr qu'une colonie.
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7- sujet des principes de colonisation L
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LLES ET INFORMATIONS. TERRITOIRES MILI-
TAIRES. — TERRITOIRES CIVILS. — MONTA-
GNE DE LA TABLE. — ESSAIS DE CULTURE
DU BLÉ DANS LE CERCLE DE TSIAFAHY. —
RENSEIGNEMENTS ÉCONOMIQUES ET COMMER-
CIAUX.
IPARTIË OFFICIELLE
j. INSTRUCTIONS
les administrateurs, com-
octants de territoires et de eer-
au «ujet des principes de eo-
satlon à appliquer à Hadu-
B I. - Considérations générales.
..mes circulaires des 21 avril et 20 juillet
te traçais aux chefs de provinces, civils et
rs, le. programme des études et des tra-
BBUl devaient être entrenrrs au' fur et à
es progrès - de la pacification pour f;,-
Iissenmnt des colons en permettant
-Ici d'asseoir leurs projets sur des don-
e" plus en plus exactes et pratiques.
rg,a.l:tÏsation essentielle d'une vaste portion
rltoire étant assurée, il importait d'abor-
s retard la partie de notre tâche répon-
et,ement au but que la France a pour-
,n faisant la conquête de Madagascar.-
ignilais donc la nécessité qui s'impose
esement à toute administration colo-
tre en mesure de nrocurer aux futurs
les - indications d'après lesquelles ils
orienter leur activité suivant leurs
® et leurs ressources.
? je l'ai xplrqué-dans mes instructions
M* l 1897, relatives au programme de pact-
à adopter dans la Grande Ile, l'action
t > après avoir réussi à ramener la sécu-
~- a. tranquillité dans chacune des parties
> ^ouvelle colonie, devait être Immb-
t suivie d'une organisation politique,
administrative et financière répondant aux
conditions locales et permettant su l'tout de facili-
ter aux entreprises de colonisation leur établisse-
ment dans ces régions au fur et à mesure qu'elles
leur étaient ouvertes. J'insistais sur ce point :
la pacification du pays ne pouvait être consi-
dérée comme définitive qu'après l'arrivée de
nos colons. venant eux-mêmes prendre pos-
session des terrains d-e culture et les mettant
en exploitation, avec l'aide des indigènes, pris
ainsi comme les collaborateurs de notre œuvre
de colonisation à Madagascar.
Il va sans dire que, dans ces nouvelles ins-
tructions, relatives à la colonisation, mon but
est simplement d'indiquer quelles sont les
idées qui m'ont guidé depuis mon arrivée à
Madagascar. Nous venons à peine de nous ins-
taller dans l'île et, par suite, notre expérience
est encore trop récente pour que nous puis-
sions formuler des principes définitifs et précis
sur ces importantes questions. Puis, à ce point
de vue, il ne faut pas oublier que l'initiative
de nos colons et celle de nos capitaux forment
le facteur principal de toute œuvre de colonisa-
tion dans une possession nouvelle. Je me bor-
nerai donc, dans les présentes instructions, à
dire ce que l'administration actuelle de la co-
lonie a fait et ce qu'elle compte faire encore,
en ce qui concerne surtout les concessions a
accorder, heureuse si l'expérience vient dé-
montrer qu'elle a suivi la vraie doctrine par
ses mesures et ses actes, et toute prête à modi-
fier sa ligne de conduite si cette expérience
prouve qu'elle a fait fausse route.
Des investigations nombreuses qui ont été
faites sur les productions et les milieux divers
que présente Madagascar, des résultats obtenus
par quelques hommes énergiques et entrepre-
nants venus dans le pays avant la dernière
guerre et au début de l'occupation, il paraît
possible de dégager une idée d'ensemble sur
les conditions dans lesquelles peuvent s exer-
cer avec fruit, pour le développement écono-
mique de la colonie, l'intervention de l'admi-
nistration et l'initiative privée, et d'apprécier
ce qui nous reste à faire-en vue de bâter l'essor
de la colonisation.
Mesures déjà-prises pour faciliter l'ins-
tauatioildes colons. -Antérieureinent à l'oc-
cupation française, la situation de nos com-/
patriotes à Madagascar était des plus précaires,
malgré les traites de protectorat dont le Gou-
vernement malgache était loin de se montrer
seruDiileux observateur.
Celui-GIL mis en contact avec les nations ei-
vilisées et désireux de s'élever à leur niveau, se
voyait dans l'obligation, pour atteindre ce but,
de recourir aux Européens; il redoutait, en
même temps, l'extension de leur influence.
Sous l'empire de ces deux sentiments, il re-
cherchait le concours des étrangers, mais il
leur imposait, comme contre-partie des con-t
cessions consenties, des obligations qui les pla-
i.
çaient dans sa dépendance complète et subor-
donnaient au bon vouloir d'une autorité sou-
vent fantaisiste la réussite d'entreprises basées
sur des avantages séduisants seulement en
apparence.
Il importait donc de mettre fin à ce régime
arbitraire, bien fait pour énerver les volontés
les meilleures, et de donner surtout aux colons -
les garanties de propriété sans lesquelles toute
initiative se trouve paralysée.
L'arrêté du 2 novembre 1896, sur les conces-
sions de terres, et le règlement relatif à l'im-
matriculation des immeubles fixaient, dès la
fin de 1896, les conditions libérales et simples
dans lesquelles les colons pouvaient doréna-
vant occuper le sol et consolider leurs droits
de propriété. Ces garanties établies, il convenait
d'attirer dans les régions pacifiées de nouveaux
éléments de colonisation, en vulgarisant dans
le public français la connaissance des ressour-
ces de Madagascar et, aussi, des difficultés qui
s'y rencontrent.
Afin d'éviter aux nouveaux venus des recher-
ches longues et infructueuses, des périmètres
de colonisation ont été déjà choisis et délimités,
avec un soin tout particulier. Ces travaux,
dont les dossiers sont déposés au bureau du
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qui ont été en outre centralisés à Tananarive,
ont eu pour résultat de provoquer dans la Mé-
tropole et parmi nos compatriotes fixés à
l'étranger un mouvement d'intérêt à l'égard
de notre colonie; depuis une année, le nombre
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Comment et dans quelle mesure encourager
ce courant d'émigration qui se manifeste ainsi?
Quels sont les éléments qui semblent devoir
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Telles sont les questions dont la solution
me paraît s'imposer à l'heure actuelle pour qu'i
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convient. »
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tre nouvelle colonie. A chacun de ces caractè-
res doivent correspondre des moyens d'action
différents qu'il est possible de déterminer
d'après certains principes généraux qui servi-
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Il serait superflu de rappeler qu'à l'époque,
actuelle la colonisation est, pour la France, le
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nationale. Les rivalités d'intérêtqui, jadis, ont
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