Titre : L'Athlétisme : organe officiel de la Fédération française d'athlétisme
Auteur : Fédération française d'athlétisme. Auteur du texte
Éditeur : Fédération française d'athlétisme (Paris)
Date d'édition : 1948-08-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344216180
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 21454 Nombre total de vues : 21454
Description : 01 août 1948 01 août 1948
Description : 1948/08/01 (N58)-1948/08/31. 1948/08/01 (N58)-1948/08/31.
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6423442c
Source : Fédération Française d'Athlétisme, 2012-247438
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 11/12/2012
AOUT 1948
NUMÉRO 58
BULLETIN OFFICIEL DE LA FÉDÉRATION FRANÇAISE D'ATHLÉTISME
ADMINISTRATION ET RÉDACTION :
32, Boulevard Haussmann, 32
PARIS (9e)
Reconnue d'utilité publiqua (le 7 Avril 1925
ABONNEMENTS
Lu abonnements partant du 1er de chaque meii
Individuels. *, 300 Frs.par an
Société* (cotisation tnckjia et annuaire). 480 Frs -
La numéro 13 Frs
Changement d'adresse : 20 fr. et ta denrière banda
Téléphone : PROvence 79-64 et 79-65
Adresse Télégraphique EDATHLETl ■'
Chèques Postaux: PARIS ,281-13
f
Le mal des Français ?
M. Jacques Goddet, sur Il « Equipe », n'a pas été. sans traiter la
question qui se présente devant tous les esprits. Comment se fait-fl
que, dans les sports individuel la plupart des champions français
prévus comme vainqueurs olympiques, presque certains, aient déçu
l'espoir général ? ï
Divers arguments ont êté, donnésy qui perdent, à mon sens, toute
valeur devant le fait que d'autres athlètes, moins réputés, ont obtenu
uù classement satisfaisant et assez Inattendu.
Ceci m'amène à apporter sur cette grave question un élément nou-
veau d'appréciation :
Depuis deux ans et plus, les athlètes français de tous sports qui,
d'après le chronomètre ou par les succès obtenus, ont tenu la vedette
ntnMe se sont vus sacrés par une partie Importante de la presse,
champions olympiques par anticipation. -,
Avant la période cruciale, c'est là une position avantageuse qui
vaut à chacun des lauréats, par persuasion, la considération générale,
trais le quart d'heure de Rabelais venu, leur situation est toute diffé-
rente. ,', <
Points, de mire de cette opinion publique que nous connaissons si
mobile, si émotive, toujours prête à admirer mais aussi à précipiter
leIJ Idoles du haut de leur piédestal, nos cracks portent alors, sur
leurs épaules d'hommes, le poids de tous les éloges qui leur ont oté
décernés, de toutes les assurances mathématiques et morales données
aux lecteurs, la responsabilité de déceptions possibles.
Us sont dépassés par l'Evénement auquel Us se sont préparés avec
tant de soin et ils sentent qu'ils ont tout à perdre et rien à gagner.
7 Car s'ils sont battus, la voix du peuplé les rejettera ; s'ils triom-
phent, chacun trouvera cela tout naturel. ,,
C'est ainsi que ces athlètes connaissent l'angoisse du doute, pas-
sent tour à tour des plus belles espérances aux craintes les plus vives.
Et cet état d'âme sape infiniment mieux que le régime de la vie
Commune, les volontés les mieux trempées : il s'appelle le trac, ce
trac que connaissent durant toute leur carrière des artistes et des
orateurs en renom, mais qui s'évanouit pour eux dès l'entrée dans
[l'action, alors que son influence sur le sommeil de l'athlète; son ap-
pétit, sa digestion, sur tout son système nerveux, pèse lourdement
■sur la performance à accomplir.. , ]
: C'est ici et non ailleurs qu'il faut chercher les, causes des défait.
lances provisoires constatées.
- Libéré, par la défaite, de l'emprise de l'Idée fixe qu'on lui a Em-
bosée, le vaincu d'un jour redeviendra champion.
- S'il est donc des gens qui doivent faire leur mea culpa de certains
échecs retentissants, ce sont ceux cfui, ayant engendré chez eux une
belle psychose, ont créé un climat moral regrettable.
i Rappellerai-je un exemple typique ? la campagne qui aboutit, il
r a g mois, à la décision de B. Pujazon de ne point courir le Cross
international. >, ;
l Les augures ne lui avaient-ils pas mis dans la tête que sa partiel-
pation à cette épreuve sonnerait le Rfias de ses espoirs olympiques ?
I n a pu constater, depuis, le régime dé compétitions auquel se BOU-
aet un Zatopek, constater et comparer.
Puisse la leçon profiter à ceux qui, placés devant lies responsabil-
ités morales et non techniques, voudraient bien les rejeter sur d'au-
ïes ! ■ ■
Je voudrais -biei,u savoir, qül
Je voudrais bien savoir qui ne se serait déclaré, par avancé, très
t talt, si l'on avait connu avant les jetix, le décompte des résul-
ts de nos. athlètes î ,
2 premières places. ,
3 (secondes places (dont une par équipe).
ntrièmes. • -
Ioisièmes.. v
M quièmes.
ièmes»
FLÉCHETTES !
— Ce journaliste qui affirme :
« Ce que l'on doit absolument bannir pour une femme même exception-
c nelle, c'est l'effort de durée, l'effort cardiaque qui peut être dangereux.
« Par exemple le M'mètres "',
Est-il bien certain que le cœur n'est pas mis à une épreuve plus rude "sur
100 mètres que sur 800 mètres ?
Et dans ces conditions que pense-t-U à la réflexion des lignes qu'il a
écrites précédemment : --
« Combien de fois avons-nous constaté qu'une femme-se permettait de
« courir 2, 3, 4 fois même dans un après-midi sans en paraître le moins
« éprouvée, alors qu'un homme dans les mêmes circonstances atteint re-
« lativement vite sa limite de résistance nerveuse ? » ,
Le Président ir une- grande Fédération d'Athlétisme étrangère, docteur en
médecine, dont les études sur le sport féminin ont été approfondies; affir-
lmait l'autre jour; avec force, à Londres, que les efforts répétés sur des
épreuves de détenue étaient, infiniment plus pénibles pour l'organisme, fé-
minin que le 800 mètres.
- Cet autre journaliste qui parle des beuveries et banquets des dirij
géants de fédérations françaises .à Londres, alors quils ne reçurent au-
cune invitation de quiconque et qui attribué aux dirigeants 48 la F.F.A. un
rôle bien différent de la réalité dans la visite à Uxbridge des Compagnons
de là Chanson, n'est-il pas le-même qui, épuisé d'aooir prêté un jour le
serment de l'athlète sous le régime de Pétain, renonça pour toujours à
l'athlétisme où il donnait quelques belles promesses ?
- Cette Ligue de la Fédération qui se plaint de recevoir de la F.F A. une
subvention de fonctionnement insuffisante se souvient-elle avoir encaissé
(800.000 francs à ses récents championnats, sans autres charges que les
frais normaux d'organisation ? Et ne - devrait-elle pas plutôt renoncer
d'elle-mMe à une indemnité qui lui a été consentie à une époque où les
recettes étaient nulles ?
Elle mettrait ainsi ses actes en conformité avec ses affirmations et vien-
drait en aide aux Ligues moins favorisées par leur situation géographique
Autres pays, autresmmurs. -. "",.
A l'issue des Jeux de Londres, les athlètes américains se sont produits à
Paris et à Prague. -
La grande presse parisienne annonça sans chaleur les deux manifes-
tations organisées à cette occasion par la F.F.A.
A Prague; l'événement, mis en vedette par les journaux tchèques, per-
mit de C jouer » devant un stade comble dont toutes les places étaient
louées à, l'avancé.
- , (Suite page 2) -
Sans compter 4 records de France battus.
Dans le passé, rien de comparable, en effet. Et que l'on ne viehne
pas objecter l'appoint apporté par les dames h un tel tableau, M
notre réussite Inespérée dans 2 épreuves.
L'athlétisme féminin a conquis le droit de cité, la malchance nous
a éprouvés en plusieurs occasions. •*
L'opinion générale des étrangers qui se pressaient à Londres est
d'ailleurs, que nous sommes forts présentement. ',.,'
Et s'il nous a manqué une de ces victoires masculines qui aurait
donné à notre représentation ce panaché dont se nourrissent tant de
Français, il est permis de dire qu'elle n'aurait pas plus solidement
établi le standing de notre sélection que ne l'ont fait les résultats
obtenus par Mlle OSTERMEYER, MM. HEINRlCH, MIMOUN,
l'équipe du 400X4, Mme MAZEAS, HANSENNE, mais oui, Han-
senne, 3e du 800 mètres, et tous ceux des nôtres dont les noms ont été,
inscrits sur le tableau d'affichage du stade de Wembléy pour leur
classement dans les 6 premiers. - -
Paul MËRICAM*; c :
NUMÉRO 58
BULLETIN OFFICIEL DE LA FÉDÉRATION FRANÇAISE D'ATHLÉTISME
ADMINISTRATION ET RÉDACTION :
32, Boulevard Haussmann, 32
PARIS (9e)
Reconnue d'utilité publiqua (le 7 Avril 1925
ABONNEMENTS
Lu abonnements partant du 1er de chaque meii
Individuels. *, 300 Frs.par an
Société* (cotisation tnckjia et annuaire). 480 Frs -
La numéro 13 Frs
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Téléphone : PROvence 79-64 et 79-65
Adresse Télégraphique EDATHLETl ■'
Chèques Postaux: PARIS ,281-13
f
Le mal des Français ?
M. Jacques Goddet, sur Il « Equipe », n'a pas été. sans traiter la
question qui se présente devant tous les esprits. Comment se fait-fl
que, dans les sports individuel la plupart des champions français
prévus comme vainqueurs olympiques, presque certains, aient déçu
l'espoir général ? ï
Divers arguments ont êté, donnésy qui perdent, à mon sens, toute
valeur devant le fait que d'autres athlètes, moins réputés, ont obtenu
uù classement satisfaisant et assez Inattendu.
Ceci m'amène à apporter sur cette grave question un élément nou-
veau d'appréciation :
Depuis deux ans et plus, les athlètes français de tous sports qui,
d'après le chronomètre ou par les succès obtenus, ont tenu la vedette
ntnMe se sont vus sacrés par une partie Importante de la presse,
champions olympiques par anticipation. -,
Avant la période cruciale, c'est là une position avantageuse qui
vaut à chacun des lauréats, par persuasion, la considération générale,
trais le quart d'heure de Rabelais venu, leur situation est toute diffé-
rente. ,', <
Points, de mire de cette opinion publique que nous connaissons si
mobile, si émotive, toujours prête à admirer mais aussi à précipiter
leIJ Idoles du haut de leur piédestal, nos cracks portent alors, sur
leurs épaules d'hommes, le poids de tous les éloges qui leur ont oté
décernés, de toutes les assurances mathématiques et morales données
aux lecteurs, la responsabilité de déceptions possibles.
Us sont dépassés par l'Evénement auquel Us se sont préparés avec
tant de soin et ils sentent qu'ils ont tout à perdre et rien à gagner.
7 Car s'ils sont battus, la voix du peuplé les rejettera ; s'ils triom-
phent, chacun trouvera cela tout naturel. ,,
C'est ainsi que ces athlètes connaissent l'angoisse du doute, pas-
sent tour à tour des plus belles espérances aux craintes les plus vives.
Et cet état d'âme sape infiniment mieux que le régime de la vie
Commune, les volontés les mieux trempées : il s'appelle le trac, ce
trac que connaissent durant toute leur carrière des artistes et des
orateurs en renom, mais qui s'évanouit pour eux dès l'entrée dans
[l'action, alors que son influence sur le sommeil de l'athlète; son ap-
pétit, sa digestion, sur tout son système nerveux, pèse lourdement
■sur la performance à accomplir.. , ]
: C'est ici et non ailleurs qu'il faut chercher les, causes des défait.
lances provisoires constatées.
- Libéré, par la défaite, de l'emprise de l'Idée fixe qu'on lui a Em-
bosée, le vaincu d'un jour redeviendra champion.
- S'il est donc des gens qui doivent faire leur mea culpa de certains
échecs retentissants, ce sont ceux cfui, ayant engendré chez eux une
belle psychose, ont créé un climat moral regrettable.
i Rappellerai-je un exemple typique ? la campagne qui aboutit, il
r a g mois, à la décision de B. Pujazon de ne point courir le Cross
international. >, ;
l Les augures ne lui avaient-ils pas mis dans la tête que sa partiel-
pation à cette épreuve sonnerait le Rfias de ses espoirs olympiques ?
I n a pu constater, depuis, le régime dé compétitions auquel se BOU-
aet un Zatopek, constater et comparer.
Puisse la leçon profiter à ceux qui, placés devant lies responsabil-
ités morales et non techniques, voudraient bien les rejeter sur d'au-
ïes ! ■ ■
Je voudrais -biei,u savoir, qül
Je voudrais bien savoir qui ne se serait déclaré, par avancé, très
t talt, si l'on avait connu avant les jetix, le décompte des résul-
ts de nos. athlètes î ,
2 premières places. ,
3 (secondes places (dont une par équipe).
ntrièmes. • -
Ioisièmes.. v
M quièmes.
ièmes»
FLÉCHETTES !
— Ce journaliste qui affirme :
« Ce que l'on doit absolument bannir pour une femme même exception-
c nelle, c'est l'effort de durée, l'effort cardiaque qui peut être dangereux.
« Par exemple le M'mètres "',
Est-il bien certain que le cœur n'est pas mis à une épreuve plus rude "sur
100 mètres que sur 800 mètres ?
Et dans ces conditions que pense-t-U à la réflexion des lignes qu'il a
écrites précédemment : --
« Combien de fois avons-nous constaté qu'une femme-se permettait de
« courir 2, 3, 4 fois même dans un après-midi sans en paraître le moins
« éprouvée, alors qu'un homme dans les mêmes circonstances atteint re-
« lativement vite sa limite de résistance nerveuse ? » ,
Le Président ir une- grande Fédération d'Athlétisme étrangère, docteur en
médecine, dont les études sur le sport féminin ont été approfondies; affir-
lmait l'autre jour; avec force, à Londres, que les efforts répétés sur des
épreuves de détenue étaient, infiniment plus pénibles pour l'organisme, fé-
minin que le 800 mètres.
- Cet autre journaliste qui parle des beuveries et banquets des dirij
géants de fédérations françaises .à Londres, alors quils ne reçurent au-
cune invitation de quiconque et qui attribué aux dirigeants 48 la F.F.A. un
rôle bien différent de la réalité dans la visite à Uxbridge des Compagnons
de là Chanson, n'est-il pas le-même qui, épuisé d'aooir prêté un jour le
serment de l'athlète sous le régime de Pétain, renonça pour toujours à
l'athlétisme où il donnait quelques belles promesses ?
- Cette Ligue de la Fédération qui se plaint de recevoir de la F.F A. une
subvention de fonctionnement insuffisante se souvient-elle avoir encaissé
(800.000 francs à ses récents championnats, sans autres charges que les
frais normaux d'organisation ? Et ne - devrait-elle pas plutôt renoncer
d'elle-mMe à une indemnité qui lui a été consentie à une époque où les
recettes étaient nulles ?
Elle mettrait ainsi ses actes en conformité avec ses affirmations et vien-
drait en aide aux Ligues moins favorisées par leur situation géographique
Autres pays, autresmmurs. -. "",.
A l'issue des Jeux de Londres, les athlètes américains se sont produits à
Paris et à Prague. -
La grande presse parisienne annonça sans chaleur les deux manifes-
tations organisées à cette occasion par la F.F.A.
A Prague; l'événement, mis en vedette par les journaux tchèques, per-
mit de C jouer » devant un stade comble dont toutes les places étaient
louées à, l'avancé.
- , (Suite page 2) -
Sans compter 4 records de France battus.
Dans le passé, rien de comparable, en effet. Et que l'on ne viehne
pas objecter l'appoint apporté par les dames h un tel tableau, M
notre réussite Inespérée dans 2 épreuves.
L'athlétisme féminin a conquis le droit de cité, la malchance nous
a éprouvés en plusieurs occasions. •*
L'opinion générale des étrangers qui se pressaient à Londres est
d'ailleurs, que nous sommes forts présentement. ',.,'
Et s'il nous a manqué une de ces victoires masculines qui aurait
donné à notre représentation ce panaché dont se nourrissent tant de
Français, il est permis de dire qu'elle n'aurait pas plus solidement
établi le standing de notre sélection que ne l'ont fait les résultats
obtenus par Mlle OSTERMEYER, MM. HEINRlCH, MIMOUN,
l'équipe du 400X4, Mme MAZEAS, HANSENNE, mais oui, Han-
senne, 3e du 800 mètres, et tous ceux des nôtres dont les noms ont été,
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