Titre : La Renaissance littéraire et artistique
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : on s'abonne chez Lachaud, éditeur (Paris)
Éditeur : à l'Agence généraleà l'Agence générale (Paris)
Éditeur : [Librairie de l'eau-forte][Librairie de l'eau-forte] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1872-11-30
Contributeur : Aicard, Jean (1848-1921). Directeur de publication
Contributeur : Blémont, Émile (1839-1927). Directeur de publication
Contributeur : Lesclide, Richard (1825-1892). Directeur de publication
Contributeur : Rouquette, Jules (1828-1888). Directeur de publication
Contributeur : Hardy-Polday (1850-1921). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430961x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 698 Nombre total de vues : 698
Description : 30 novembre 1872 30 novembre 1872
Description : 1872/11/30 (A1,N32). 1872/11/30 (A1,N32).
Description : Collection numérique : France-Japon Collection numérique : France-Japon
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6268826t
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-2277-2278
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 21/08/2012
LA RENAISSANCE. 255
A Il
MA SUPREME ESPÉRANCE
Ma suprême espérance est un bateau, enrubanné et fleuri,
qui se tiendra tout paré à mon chevet à l'heure même où le
char des pompes funèbres stationnera à ma porte, et qui,
tandis que celui-là s'acheminera vers le champ des morts
voiturant ma dépouille, emportera mon autre moi. où? je ne
sais! Probablement dans une contrée où la vie sera mieux
ordonnée que dans ce monde-ci ; où peut-être les infirmités,
les misères mutiles nous seront épargnées. A quoi bon les
rhumatismes et le pain noir? Les imprimeurs n'y feront
plus de fautes; les revues payeront cinq cents francs la feuille;
les cuisiniers sauront leur métier, et les concierges tireront
le cordon au commandement.
Ce bateau, je l'ai tant de fois considéré, en l'appelant de
tous mes vœux, tant et tant de fois invoqué comme un mes-
sager de délivrance, si souvent caressé d'un regard attendri,
en rêve ou tout éveillé, que je le dessinerais comme si je
l'avais devant les yeux.
Il est certainement des êtres marqués pour la mort, comme
d'autres sont marqués pour les triomphes et les jouissances
de cette vie. Je reconnaîtrais entre mille ces êtres d'une sen-
sibilité frémissante, mal détachés de l'autre monde, auxquels
le souvenir trop frais d'une vie meilleure donne la nostalgie
de l'invisible.
N'attendez d'eux ni ambition suivie, ni efforts persévérants
vers un but humain et positif. Un visage mystérieux qui leur
apparaît, une voix qui leur parle, entendue d'eux seuls, leur
font oublier qu'ils sont sur la terre; et ils s'arrêtent au milieu
de leur course, comme s'arrête, dit-on, dans les rangs le sol-
dat suisse qui a entendu au loin le son de la cornemuse
ralliant les troupeaux.
Ces soldats-là ne passent jamais officiers. Le feu de la bataille
ou le peloton de discipline en ont promptement raison; à
moins que le vertige du suicide ne les prenne et les délivre.
Le Rêve, ce rappel à une vie supérieure, est le Ranz-des-
vaches pour les âmes tendres dont je parle. Donnez-leur tous
les boftheurs et tous les honneurs de ce monde. Donnez-leur
la santé, la force, la puissance; donnez-leur la richesse repré-
sentée par de grands et magnifiques domaines, par de sévères
châteaux montrant de loin leur attique au-dessus des massifs
de verdure, par de vastes prairies aux ombrages séculaires,
aux clairières silencieuses et pleines de rêveries, par de somp-
tueux équipages piaffant au pied des perrons superbes. Don-
nez-leur la gloire , le murmure adulateur des foules, les têtes
blanches et vénérées s'inclinant devant eux, leur nom répété
par de belles 'bouches. Enfin, donnez-leur l'amour, aussi
complet, aussi parfait que nos sens peuvent le percevoir et
que notre esprit peut l'imaginer; toujours, toujours ces na-
tures exquises, troublées par de vagues réminiscences, rap-
procheront de la réalité défectueuse l'idéal brillant qui hante
leur pensée. Toujours, à quelque moment que vous les pre-
niez, dans les forêts, à la promenade, à la chasse; partout
dans leur salon ou dans leurs galeries, vous les trouverez
immobiles et songeurs, arrêtés au coin d'un bois ou devant
leurs bibliothèques, l'œil vague ou l'oreille tendue, écoutant
et comme en extase. Ce qu'ils écoutent, ce qu'ils quêtent de
l'œil intérieur, c'est la rumeur, c'est la vision d'une vie har-
monieuse dont la nôtre ne leur offre que la copie grossière
et que la difforme caricature.
Ce paysage qu'ils ont devant les yeux, ils le transvoient
plus parfait et mieux ordonné. Ce palais qu'ils habitent, sous
la menace perpétuelle de la ruine et du feu du ciel, ils l'ima-
ginent plus beau, plus sûr et plus durable. Ce jardin, ces
bois, ils se demandent pourquoi l'hiver viendra les dépouiller
de leur feuillage et ensevelir leur gazon sous la neige et sous
la glace. Ceux qu'ils aiment, parents, amis, femmes, enfants,
ils doivent les perdre, quelquefois prématurément et au re-
bours de l'ordre naturel. Et la santé même qui les fait jouir
de tout cela, la force, la vitalité, peuvent leur être enlevées
inopinément et sans cause connue, même sans faute ni im-
prudence de leur part. Quant à la richesse et aux autres
biens, ils sont à la merci du premier notaire ou du premier
industriel à qui il plaît de s'en emparer, et dont l'inhabileté
ou la scélératesse peut la leur ravir d'un moment à l'autre.
De telle sorte que la vie la plus heureuse et la plus sage est
encore pleine de tribulations et d'accidents.
Et voilà pourquoi les vrais Sages, ceux que les accidents
importunent et qui par un vague sentiment de justice ne veu-
lent être punis que quand ils sont coupables, se tiennent
l'esprit tendu vers un pays idéal, attendant le bateau de par-
tance, plus beau et plus galant à leurs yeux que la galère
chimérique de Watteau !
CHARLES ASSELINEAU.
MUSIQUE
Il me souvient encore des cris de joie qui saluèrent jadis l'apparition
de la salle de l'Athénée. — On allait donc avoir enfin une vraie salle
de concert, ornée d'un grand orgue; on y donnerait toutes les semaines
des festivals; la grande musique allait prendre un nouvel essor. — Hélas
la salle était une cave, d'une sonorité plate, mate, détestable, meurtrière
de toute musique; quand la Seine montait, l'orgue faisait eau comme un
navire en détresse; d'énormes rats prenaient leurs ébats dans les jambes
des auditeurs. La musique s'enfuit bientôt et laissa la place à M. Mar-
tinet, dont la direction fantaisiste1 a laissé d'impérissables souvenirs.
Grands opéras 'tragiques, drames lyriques, opéras féeriques, danses
pyrrhiques, farces épiques, il a tout essayé. Une seule chose restait à
faire: prendre un compositeur français, de talent, lui confier une pièce
amusante et lui donner de bons interprètes. C'était l'œuf de Colomb.
M. Ruelle l'a cassé et Madame Turlupin en est sortie. Je l'en félicite de
tout mon cœur, et je lui souhaite de transporter le plus tôt possible le
Théâtre lyrique dans son ancienne salle. Puisse-t-il nous y donner de
grands opéras, puisque l'Académie nationale de musique est "décidément
condamnée à l'infécondité. Un ouvrage nouveau par an, c'est le nec-plus-
ultrà de ce qu'elle peut nous offrir, et encore faut-il pour cela des prodiges
d'activité.
Il y a, du reste, des gens qui trouvent que c'est beaucoup, que c'est
trop. Le système du statu quo musical, du répertoire invariable, a des
partisans. Ecoutez ce que dit à ce sujet M. Albert de Lassalle, dans le
dernier numéro du Monde illustré :
« Nous ne sommes point de ceux qui crions au rabâchage, parce quo
l'Opéra s'en tient depuis quarante ans à un répertoire composé de cinq
ou six pièces. Ces œuvres considérables nous apparaissent d'ailleurs
sous des jours nouveaux à chaque fois que nous les entendons. Ainsi,
ce n'est pas sans chagrin que l'autre soir nous nous sommes rendu
compte de l'inanité de l'ouverture de la Juive. Ce qui nous a paru
bizarre, c'est que nous n'ayons pas été frappé plus tôt de ce défaut dans
une partition que depuis longtemps nous écoutons curieusement. »
Je m'étais toujours douté que ces champions furieux de l'école ita-
lienne, ces contempteurs acharnés de l'école moderne française, n'étaient
pas très-forts; mais si M. de Lassalle ne l'avait dit lui-même, je n'aurais
jamais cru qu'il lui fallùt quarante ans d'efforts pour comprendre un
opéra. Il a déposé le sceptre du critique pour celui du roi Midas; grand
bien lui fasse,.et qu'il y joigne la couronne, si cela peut lui faire plaisir.
La société des concerts prépare un véritable événement, l'exécution
du Manfred de Schumann, c'est-à-dire de la musique composée par
Schumann pour le poëme de Byron. J'aurais mieux aimé voir mettre à
l'étude une grande œuvre de Berlioz. En attendant, prenons toujours
Manfred, qui est une des meilleures œuvres de Schumann. Je suis seu-
lement inquiet de la traduction de M, Wilder. Pour l'honneur de Byron,
j'espère qu'on n'infligera pas au public délicat du Conservatoire des frag-
ments de dialogue tels que celui-ci: 0
A Il
MA SUPREME ESPÉRANCE
Ma suprême espérance est un bateau, enrubanné et fleuri,
qui se tiendra tout paré à mon chevet à l'heure même où le
char des pompes funèbres stationnera à ma porte, et qui,
tandis que celui-là s'acheminera vers le champ des morts
voiturant ma dépouille, emportera mon autre moi. où? je ne
sais! Probablement dans une contrée où la vie sera mieux
ordonnée que dans ce monde-ci ; où peut-être les infirmités,
les misères mutiles nous seront épargnées. A quoi bon les
rhumatismes et le pain noir? Les imprimeurs n'y feront
plus de fautes; les revues payeront cinq cents francs la feuille;
les cuisiniers sauront leur métier, et les concierges tireront
le cordon au commandement.
Ce bateau, je l'ai tant de fois considéré, en l'appelant de
tous mes vœux, tant et tant de fois invoqué comme un mes-
sager de délivrance, si souvent caressé d'un regard attendri,
en rêve ou tout éveillé, que je le dessinerais comme si je
l'avais devant les yeux.
Il est certainement des êtres marqués pour la mort, comme
d'autres sont marqués pour les triomphes et les jouissances
de cette vie. Je reconnaîtrais entre mille ces êtres d'une sen-
sibilité frémissante, mal détachés de l'autre monde, auxquels
le souvenir trop frais d'une vie meilleure donne la nostalgie
de l'invisible.
N'attendez d'eux ni ambition suivie, ni efforts persévérants
vers un but humain et positif. Un visage mystérieux qui leur
apparaît, une voix qui leur parle, entendue d'eux seuls, leur
font oublier qu'ils sont sur la terre; et ils s'arrêtent au milieu
de leur course, comme s'arrête, dit-on, dans les rangs le sol-
dat suisse qui a entendu au loin le son de la cornemuse
ralliant les troupeaux.
Ces soldats-là ne passent jamais officiers. Le feu de la bataille
ou le peloton de discipline en ont promptement raison; à
moins que le vertige du suicide ne les prenne et les délivre.
Le Rêve, ce rappel à une vie supérieure, est le Ranz-des-
vaches pour les âmes tendres dont je parle. Donnez-leur tous
les boftheurs et tous les honneurs de ce monde. Donnez-leur
la santé, la force, la puissance; donnez-leur la richesse repré-
sentée par de grands et magnifiques domaines, par de sévères
châteaux montrant de loin leur attique au-dessus des massifs
de verdure, par de vastes prairies aux ombrages séculaires,
aux clairières silencieuses et pleines de rêveries, par de somp-
tueux équipages piaffant au pied des perrons superbes. Don-
nez-leur la gloire , le murmure adulateur des foules, les têtes
blanches et vénérées s'inclinant devant eux, leur nom répété
par de belles 'bouches. Enfin, donnez-leur l'amour, aussi
complet, aussi parfait que nos sens peuvent le percevoir et
que notre esprit peut l'imaginer; toujours, toujours ces na-
tures exquises, troublées par de vagues réminiscences, rap-
procheront de la réalité défectueuse l'idéal brillant qui hante
leur pensée. Toujours, à quelque moment que vous les pre-
niez, dans les forêts, à la promenade, à la chasse; partout
dans leur salon ou dans leurs galeries, vous les trouverez
immobiles et songeurs, arrêtés au coin d'un bois ou devant
leurs bibliothèques, l'œil vague ou l'oreille tendue, écoutant
et comme en extase. Ce qu'ils écoutent, ce qu'ils quêtent de
l'œil intérieur, c'est la rumeur, c'est la vision d'une vie har-
monieuse dont la nôtre ne leur offre que la copie grossière
et que la difforme caricature.
Ce paysage qu'ils ont devant les yeux, ils le transvoient
plus parfait et mieux ordonné. Ce palais qu'ils habitent, sous
la menace perpétuelle de la ruine et du feu du ciel, ils l'ima-
ginent plus beau, plus sûr et plus durable. Ce jardin, ces
bois, ils se demandent pourquoi l'hiver viendra les dépouiller
de leur feuillage et ensevelir leur gazon sous la neige et sous
la glace. Ceux qu'ils aiment, parents, amis, femmes, enfants,
ils doivent les perdre, quelquefois prématurément et au re-
bours de l'ordre naturel. Et la santé même qui les fait jouir
de tout cela, la force, la vitalité, peuvent leur être enlevées
inopinément et sans cause connue, même sans faute ni im-
prudence de leur part. Quant à la richesse et aux autres
biens, ils sont à la merci du premier notaire ou du premier
industriel à qui il plaît de s'en emparer, et dont l'inhabileté
ou la scélératesse peut la leur ravir d'un moment à l'autre.
De telle sorte que la vie la plus heureuse et la plus sage est
encore pleine de tribulations et d'accidents.
Et voilà pourquoi les vrais Sages, ceux que les accidents
importunent et qui par un vague sentiment de justice ne veu-
lent être punis que quand ils sont coupables, se tiennent
l'esprit tendu vers un pays idéal, attendant le bateau de par-
tance, plus beau et plus galant à leurs yeux que la galère
chimérique de Watteau !
CHARLES ASSELINEAU.
MUSIQUE
Il me souvient encore des cris de joie qui saluèrent jadis l'apparition
de la salle de l'Athénée. — On allait donc avoir enfin une vraie salle
de concert, ornée d'un grand orgue; on y donnerait toutes les semaines
des festivals; la grande musique allait prendre un nouvel essor. — Hélas
la salle était une cave, d'une sonorité plate, mate, détestable, meurtrière
de toute musique; quand la Seine montait, l'orgue faisait eau comme un
navire en détresse; d'énormes rats prenaient leurs ébats dans les jambes
des auditeurs. La musique s'enfuit bientôt et laissa la place à M. Mar-
tinet, dont la direction fantaisiste1 a laissé d'impérissables souvenirs.
Grands opéras 'tragiques, drames lyriques, opéras féeriques, danses
pyrrhiques, farces épiques, il a tout essayé. Une seule chose restait à
faire: prendre un compositeur français, de talent, lui confier une pièce
amusante et lui donner de bons interprètes. C'était l'œuf de Colomb.
M. Ruelle l'a cassé et Madame Turlupin en est sortie. Je l'en félicite de
tout mon cœur, et je lui souhaite de transporter le plus tôt possible le
Théâtre lyrique dans son ancienne salle. Puisse-t-il nous y donner de
grands opéras, puisque l'Académie nationale de musique est "décidément
condamnée à l'infécondité. Un ouvrage nouveau par an, c'est le nec-plus-
ultrà de ce qu'elle peut nous offrir, et encore faut-il pour cela des prodiges
d'activité.
Il y a, du reste, des gens qui trouvent que c'est beaucoup, que c'est
trop. Le système du statu quo musical, du répertoire invariable, a des
partisans. Ecoutez ce que dit à ce sujet M. Albert de Lassalle, dans le
dernier numéro du Monde illustré :
« Nous ne sommes point de ceux qui crions au rabâchage, parce quo
l'Opéra s'en tient depuis quarante ans à un répertoire composé de cinq
ou six pièces. Ces œuvres considérables nous apparaissent d'ailleurs
sous des jours nouveaux à chaque fois que nous les entendons. Ainsi,
ce n'est pas sans chagrin que l'autre soir nous nous sommes rendu
compte de l'inanité de l'ouverture de la Juive. Ce qui nous a paru
bizarre, c'est que nous n'ayons pas été frappé plus tôt de ce défaut dans
une partition que depuis longtemps nous écoutons curieusement. »
Je m'étais toujours douté que ces champions furieux de l'école ita-
lienne, ces contempteurs acharnés de l'école moderne française, n'étaient
pas très-forts; mais si M. de Lassalle ne l'avait dit lui-même, je n'aurais
jamais cru qu'il lui fallùt quarante ans d'efforts pour comprendre un
opéra. Il a déposé le sceptre du critique pour celui du roi Midas; grand
bien lui fasse,.et qu'il y joigne la couronne, si cela peut lui faire plaisir.
La société des concerts prépare un véritable événement, l'exécution
du Manfred de Schumann, c'est-à-dire de la musique composée par
Schumann pour le poëme de Byron. J'aurais mieux aimé voir mettre à
l'étude une grande œuvre de Berlioz. En attendant, prenons toujours
Manfred, qui est une des meilleures œuvres de Schumann. Je suis seu-
lement inquiet de la traduction de M, Wilder. Pour l'honneur de Byron,
j'espère qu'on n'infligera pas au public délicat du Conservatoire des frag-
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