Titre : L'Oranie populaire : hebdomadaire fédéral du Parti populaire français / président Jacques Doriot
Auteur : Parti populaire français. Fédération (Oran). Auteur du texte
Auteur : Parti populaire français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Oran)
Date d'édition : 1939-03-04
Contributeur : Doriot, Jacques (1898-1945). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32829454n
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 416 Nombre total de vues : 416
Description : 04 mars 1939 04 mars 1939
Description : 1939/03/04 (A3,N95). 1939/03/04 (A3,N95).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6229979h
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, GR FOL-JO-1767
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/01/2013
5 C) 0
UOranie
Populaire
REDACTION - ADMINISTRATION
- PUBLICITE -
15, Boulevard Hippolyte Giraud
ORAN
Tél. : 210-45
Désigne pour les Annonces légales
SAMEDI
4
MARS 19'39
3" Année. - NI 95
Prix du Numéro :
0.50
ABONNEMENT:
UN AN. 25 Fr.
HEBDOMADAIRE de la FEDERATION d'ORAN du PARTI POPULAIRE FRANÇAIS - Président : Jacques DORIOT
Le patronat français
doit comprendre
les néfastes conséquences
du conservatisme social
par Gaston VIDAL
Délégué financier
Secrétaire Fédéral du P.P.F.
A maintes reprises, le Parti Populaire Français a défini sa
position à l'occasion de la grève politique du 30 novembre. Il a
indiqué notamment les raisons pour lesquelles il ne convenait pas
de se livrer à une répression abusive et a proposé que dans toutes
les entreprises, les meneurs soient sévèrement frappés, tout en
demandant qu'il ne soit pris aucune sanction à l'encontre de ceux
qui pouvaient être considérés comme ayant été des instruments
aux mains de leurs dirigeants.
Nous espérions avoir sur une pareille formule l'audience de
la totalité des employeurs, nous nous apercevons aujourd'hui que
si la grande majorité d'entre eux a partagé notre manière de voir,
il en est cependant qui ont crû pouvoir au prétexte de la grève,
procéder à des réductions de traitements ou à des suppressions
d'emplois. Un pareil état d'esprit dénote le désir de certains de
revenir un jour sur des situations acquises.
Il faut qu'on sache d'une manière définitive que le P.P.F.
s'étant toujours prononcé pour les congés-payés et les contrats
collectifs, ne modifiera pas sa doctrine. Non seulement il n'accep-
tera pas la moindre discussion à ce sujet, mais encore il entre-
prendra une bataille sans merci contre les patrons revanchards.
Au surplus, le P.P.F. n'admet pas que la grève du 30 novem-
bre soit utilisée par certains employeurs pour apporter une modi-
fication quelconque dans le régime de leur entreprise. Lorsque
dans une exploitation les meneurs ont été frappés, on doit redon-
ner à ceux qui ne peuvent être considérés comme tels, la situation
qu'ils occupaient antérieurement à la grève, surtout lorsqu'on se
trouve en présence de cas particuliers intéressant des ouvriers,
qui, pour des raisons diverses se sont trouvés dans l'impossibilité
matérielle de répondre à l'ordre de réquisition.
Le patronat français doit comprendre les néfastes conséquen-
ces du conservatisme social. Si vraiment à ce jour certains ne
veulent pas reconnaître que leur méthode a favorisé le dévelop-
pement du communisme en France, il est à désespérer de leur
faire entendre raison. Dès lors, la seule solution est de les clouer
au pilori comme mauvais patrons et de les combattre à ce titre
jusqu'au moment où ils voudront bien convenir de leur erreur.
LES FOURRIERS DU COMMUNISME
Economies criminelles sur
le personnel, économies
sordides sur le matériel
tel est le programme de
la Compagnie des T. O.
Dans le dispositif qui permet
à la Compagnie des T.O. de réa-
liser d'importantes économies,
il faut mettre en bonne place
LE NON PAIEMENT DES
JOURNEES DE MALADIE à
un grand nombre d'agents con-
sidérés, à tort ou à raison, le
plus souvent, à tort, comme
grévistes.
Certes, avant la grève du 30
novembre, le laisser aller des
dirigeants et la bienveillance
coupable des délégués à la cais-
se de secours favorisaient un
peu trop les tireurs au flanc. Il
était facile à la direction dps
T.O., avec la collaboration des
médecins, de limiter au strict
minimum les abus, voire de les
supprimer complètement.
Les responsables de ces abus
ne sont pas seulement ceux qui
en bénéficient mais aussi — et
surtout — CEUX QUI LES FA-
VORISENT OU LES TOLE-
RENT.
Actuellement, après la mesu-
re qui supprime le paiement
des journées de maladie, la Di-
rection de la Compagnie se fé-
licite de la très petite propor-
tion de malades. Cela lui per-
met de maintenir un personnel
réduit, et de réaliser de ce fait,
d'importantes économies.
Mais cette mesure est INJUS-
TE ET DANGEREUSE.
Injuste, car elle frappe très
souvent les vrais malades qui
se trouvent ainsi dans le dénue-
ment complet. Dangereuse, car
des receveurs et wattmen ma-
lades s'efforce quand même
d'aller dU uâ vàiî; ou cokiçoil le
danger que peut faire courrir
cette situation.
Une légère défaillance d'un
chauffeur ou d'un wattman peut
provoquer LA PIRE DES CA-
TASTROPHES.
Mais, comme nous le disions
la semaine dernière, la Com-
pagnie des T.O. se fiche pas
mal des usagers.
FAIRE DES ECONOMIES A
TOUT PRIX. voilà sa devise.
C'est pour économiser une
économie de main-d'œuvre et
peut-être de sable — que s'est
produit la catastrophe de la
route du port ou le wattman
Martinez et un voyageur ont
trouvé la mort.
C'est par économie que l'on
risque de faire conduire dc)
tramways achi bondés par des
wattmen malades.
Mais les économies de la Cie
des T.O. ne s'arrêtent pas là.
Il y a aussi les économies de
balais, de plumeaux, de chiffons
et de crésyl.
Les voitures ne sont-elles pas
dans un état très voisin de la
malpropreté? Vitres sales, par-
quets non balayés, ferrures
rouillées, banquettes poussiéreu-
ses.
Il est bien évident que la
main-d'œuvre manque au dépôt
pour le nettoyage des voitures.
Les cars de Choupot, en parti-
culier sont sales et mal entrete-
nus. DANS CES VOITURES DE
34 PLACES OU S'ENTASSENT
SOUVENT PLUS DE 80 VOYA-
GEURS, le manque d'hygiène
s'ajoute au manque de sécurité.
Il faudra bien cependant que
cet état de chose disparaisse.
II faut à Oran une compagnie
de transports en commun digne
d'une grande ville.
Ce n'est pas des économies
sordides sur l'entretien du ma-
tériel et des économies crimi-
nelles sur le personnel qu'on
peut espérer y arriver.
Marcel GARAU.
(Lire la suite page 2).
LA FRANCE
et les Français
sont plus que jamais menacés
Barrons la route aux hommes et au parti
de Moscou qui veulent prendre chez nous
une revanche de toutes leurs défaites et de
toutes leurs faillites
par Henri BARBÉ
La désastreuse et peu glorieu-
se défaite du marxisme et du
communisme en Catalogne.
marque non seulement une éta-
pe de la terrible guerre civile
espagnole, mais elle sonne aussi
le glas de l'avant-dernier bas-
tion russe et bolchevique en
Europe Occidentale : le parti
communiste espagnol.
II ne reste plus, en effet, en
Europe et même dans le monde
entier, hormis la Russie sovié-
tique, qu'un seul parti commu-
niste ayant encore un rayonne-
ment important, des cadres et
des troupes, une influence et
des possibilités d'action, c'est en
France.
L'Internationale communiste,
qui a collectionné dans tous les
pays, depuis sa fondation, la
plus belle série de défaites qui
se puisse imaginer, n'a plus que
deux sections existantes et jou-
ant un rôle important : c'est,
d'une part, le parti communiste
de l'U.R.S.S. et, d'autre part, le
parti communiste dit français.
En Amérique du Nord et du
Sud, la force en influence et en
organisation du communisme
bolchevique est quasi inexistan-
te.
Dans les pays scandinaves,
elle est plus que réduite.
En Europe, dans les Balkans,
les partis communistes, après
avoir accumulé aventures sur
aventures, se sont détruits petit
à petit.
Dans les grands Etats eu-
ropéens, les régimes totalitaires
d'Allemagne et d'Italie, les régi-
mes semi-dictatoriaux de Polo-
gne, de Hongrie ont, pour ainsi
dire, rayé les partis communis-
tes de la scène politique.
En Tchécoslovaquie, le parti
communiste a été dissous il y
a quelques - semaines. -------
En Angleterre et dans ses do-
minions, il n'y a jamais eu de
développement important de la
force et de l'organisation poli-
tique du communisme bolche-
vique.
Après la défaite espagnole, il
ne reste plus au Gouvernement
soviétique et à sa succursale
l'Internationale communiste que
le parti communiste dit fran-
cais comme force sérieuse en
Europe.
Tel est le problème impor-
tant, décisif, que chaque Fran-
çais doit voir clairement.
La France, le parti commu-
niste, dit français vont devenir
maintenant, plus que jamais,
l'ultime champ d'expériences, la
dernière carte que va jouer le
bolchevisme marxiste dans le
monde.
Les miliciens communistes
espagnols, qui viennent après la
défaite de se réfugier chez nous,
résument très bien cet état
d'esprit et cette perspective
quand ils déclarent : « Nous
avons été battus chez nous,
mais nous prendrons notre re-
vanche en France ». Les diri-
geants russes du dernier parti
communiste, celui qui agit chez
nous, se préparent déjà active-
ment à cette revanche et à ces
(Lire la suite Page 4).
LA FRANCE
reprend enfin
sa place dans
le monde
La désignation comme ambassa-
deur auprès du généralissime Fran-
co du maréchal Pétain est un geste
qui rachète d'un seul coup toutes
les erreurs que les judéo- russes qui
ont colonisé la France ont commi-
ses vis-à-vis de l'Espagne.
La nomination de ce glorieux
Français aura à travers le monde
un retentissement considérable et
prouvera que le Gouvernement ac-
tuel est fermement décidé à tourner
le dos aux extravagances politi-
ciennes qui ont conduit notre pays
à la ruine.
L'Espagne de Franco est grande
et noble, le geste de la France ré-
pond à cette grandeur et cette no-
blesse.
Nous avions préparé un article
sur la reconnaissance du gouverne-
ment de Burgos où nous disions
qu'avec ses attermoiements le gou-
vernement avait perdu tout le bé-
néfice de cet acte de bons sens et
de justice. L'honneur que MM. Da-
ladier et Bonnet viennent de faire
au gouvernement franquiste nous
montre que nous nous étions trom-
pés sur les véritables sentiments
des chefs de notre gouvernement.
Il .Be nous reste plus qu'à les
féliciter sincèrement et à nous ré-
jouir.
Les seules personnalités que la
France pouvait envoyer à Burgos
pour rétablir une situation compro-
mise étaient le maréchal Pétain.
les généraux Weygand ou Giraud.
La plus glorieuse de toutes a été
choisie. Les immenses résultats de
ce choix ne tarderont pas à se faire
sentir.
Il y a longtemps que nous ré-
clamions cette politique extérieure
de prestige, d'où serait bannie toute
idéologie. Comme dans bien d'au-
tres domaines ce sont les idées P.
P.F. qui ont été appliquées. Ce qui
prouve que les doctrines de notre
parti sont en conformité avec l'in-
térêt du pays, aussi bien sur le plan
intérieur, qu'extérieur.
La nomination à Burgos du glo-
rieux maréchal de France fait par-
tie de cette politique de prestige,
de cette politique française que
nous préconisons.
C'est avec joie et fierté que les
Français sentent aujourd'hui que la
France reprend dans le monde la
place qui lui était due et qu'elle
avait J,;.'rdue par la faute des fous
sanglants du Front Populaire.
NIALA.
Un Télégramme
de la
Fédération d'Oran
à M. DALADIER
Fédération Oran Parti Popu-
laire Français salue avec joie
décision Conseil Ministres rela-
tive à reconnaissance gouverne-
ment franquiste et désignation
ambassadeur Stop. Fédération
fait confiance à Président Con-
seil et Ministres affaires étran-
gères pour assurer en toutes
circonstances défense intérêts-
pays et prendre toutes mesures
utiles pour renforcer situation
extérieure de la France et de
son Empire.
Pour Fédération Vidal Délé-
gué Financier.
La vie de
rOranie Populaire
est entre les mains
des militants du Parti
Par Gaston VIDAL
Délégué financier
Secrétaire Fédérrl du P.P.F.
Il n'est pas un seul d'entre nous qui n'ait lu avec peine l'appel
désespéré que lançait notre vaillant journal la semaine dernière.
Il n'était hélas que trop justifié et il y a de nombreuses semai-
nes qu'il aurait dû paraître. Nous avons voulu retarder jusqu'au
dernier moment ce cri de détresse et c'est pourquoi nous n'avons
donné qu'un délai de quinze jours aux militants du parti pour
sauver « L'Oranie Populaire ».
Je ne pense pas qu'il soit venu à l'idée de quiconque de con-
tester l'utilité de notre hebdomadaire. Avec «L'Oranie Populaire»
le P.P.F. d'Oranie a sa plus belle arme de combat.
Et c'est au moment où nous allons intensifier la lutte, où
nous portons la bataille sur tous les terrains; où, pour le bien de
tous, nous n'hésitons pas à heurter de front, en pleine lumière,
des grandes oligarchies financières telles que les T.O. ou la Cie
Lebon que notre organe va disparaître.
C'est au moment où nous allons intensifier notre propagande
en envoyant partout nos militants, formés par trois années de
P.P.F., porter notre doctrine, où nous allons toucher toutes les
corporations et organiser à travers Oran et le département une
série de conférences corporatives publiques et contradictoires,
que notre journal va disparaître.
C'est à la veille de la campagne électorale pour les élections
législatives, c'est au moment où tous les Français commencent à
appliquer les mots d'ordres du Parti : Refaire la France, cons-
truire l'Empire, dissoudre le parti communiste. lutter contre le
conservatisme social, réaliser la collaboration des classes, créer
le syndicalisme à cadres nationaux, que nous allons disparaître.
A cela je réponds, non. Il ne peut pas être question d'une
pareille démission — c'est le terme qui convient — du P.P.F. en
Oranie.
La semaine dernière « L'Oranie Populaire » vous le disait :
« Un journal coûte cher et nous n'avons à notre disposition ni l'or
de Moscou, ni l'argent du grand capital, ni le soutien de la grande
banque ou de la meunerie juive ».
Nous ne pouvons compter que sur nos militants et c'est à
eux que je m'adresse, c'est vers eux que je me tourne en leur
disant : la vie de « L'Oranie Populaire » est entre vos mains, faites
un petit effort, ne la laissez pas mourir.
Qu'a demandé le journal pour vivre? Qu'en quinze jours le
nombre des abonnés soit doublé. Cette première semaine nous a
apporté de bons résultats. Et, à la suite de l'appel, nous avons
enregistré une centaine de nouveaux abonnés, ce qui reporte
d'une semaine, une seule semaine, la disparition du journal. Dans
la huitaine qui vient, c'est un bon millier de nouveaux abonnés
qu'il nous faut.
Je signale le geste de la section de Bou-Hanifia, qui a recueilli
pour le journal 252 francs en effectuant une collecte, celui de la
section de Relizane, qui, outre les nouveaux abonnés qu'elle nous
i. procurés va organiser un grand bal en faveur de « L'Oranie
Populaire ».
Sidi-Bel-Abbès a promis de nous aider financièrement en
dehors de la campagne d'abonnements qui est lancée.
Le plus gros de l'effort reste cependant à fournir, c'est pour-
quoi je demande aux militants de s'atteler à la' besogne tout de
suite. Qu'ils se disent bien que si notre journal disparaît, ils ne
devront s'en prendre qu'à eux et que dans une pareille circons-
tance nous avons besoin des efforts de tous et que personne ne
doit compter sur son voisin.
Le slogan, l'obsession des hommes et des femmes. de notre
Parti doit être pendant quelques jours :
« IL FAUT FAIRE DES ABONNEMENTS POUR « L'ORA-
NIE POPULAIRE» »,
« IL FAUT TROUVER DE L'ARGENT POUR « L'ORANIE
POPULAIRE » ».
Il m'est impossible de croire que nos appels ne seront pas
entendus, il m'est impossible d'imaginer que « L'Oranie Popu-
laire » va disparaître.
Je crois que tout le monde, dans le Parti, est de cet avis.
Alors avec un peu de bonne volonté nous sommes sauvés et nos
adversaires perdront l'occasion de se réjouir.
Militants P.P.F. de FOranie, une fois de plus. je vous le répè-
te, la vie de notre journal est entre vos mains. Sauvez-le.
Notes de l'Administration
Trop de sections nous doi-
vent encore de l'argent prove-
nant des ventes. Nous prions
les secrétaires qui n'auraient
pas encore réglé à ce jour leurs
comptes arrirl's de le faire
sans DELAI.
m
* m
En dehors de la campagne
d'abonnements, des collectes ou
des fêtes peuvent être faites
avec succès au profil de «L'Ora-
nie Populaire ».
Faire
l'Empire
Notre marine marchande
est devenue la plus vieille
d'Europe, la plus chère, la
moins rapide; et du troisiè-
me rang qu'elle occupait
avant la guerre, elle est pas-
sée au huitième.
Or, une flotte de commer-
ce nombreuse et moderne
est un des éléments indispen-
sables de la prospérité de
l'Empire.
De nombreuses sections et
sections d'entreprises ont en
caisse de l'argent provenant de
la ristourne sur les cartes et les
timbres.
Elles ont aujourd'hui une bel-
le occasion d'utiliser ces som-
mes en les versant à notre jour-
nal ou en prenant, comme l'a
fait la S.E. de la Stelline. des
abonnements.
m
m m
Adresser les mandats au nom
de « L'Oranie Populaire » sans
autre indication.
Les abonnements, si vous
n'avez pas de carnets spéciaux,
peuvent être pris sur papier li-
bre.
* *
N'oubliez pas que notre exis-
tence n'est prolongée que de
huit jours.
Si votre abonnement est arri-
vé à expiration, HEXOCYELEZ-
LE SANS TARDER et sans at-
tendre que nous le fassions en-
caisser. Nous ne pouvons pas
nous payer d'encaisseurs.
*
* *
Voulez-vous faire plaisir à
nos ennemis? Laissez mourir
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UN AN. 25 Fr.
HEBDOMADAIRE de la FEDERATION d'ORAN du PARTI POPULAIRE FRANÇAIS - Président : Jacques DORIOT
Le patronat français
doit comprendre
les néfastes conséquences
du conservatisme social
par Gaston VIDAL
Délégué financier
Secrétaire Fédéral du P.P.F.
A maintes reprises, le Parti Populaire Français a défini sa
position à l'occasion de la grève politique du 30 novembre. Il a
indiqué notamment les raisons pour lesquelles il ne convenait pas
de se livrer à une répression abusive et a proposé que dans toutes
les entreprises, les meneurs soient sévèrement frappés, tout en
demandant qu'il ne soit pris aucune sanction à l'encontre de ceux
qui pouvaient être considérés comme ayant été des instruments
aux mains de leurs dirigeants.
Nous espérions avoir sur une pareille formule l'audience de
la totalité des employeurs, nous nous apercevons aujourd'hui que
si la grande majorité d'entre eux a partagé notre manière de voir,
il en est cependant qui ont crû pouvoir au prétexte de la grève,
procéder à des réductions de traitements ou à des suppressions
d'emplois. Un pareil état d'esprit dénote le désir de certains de
revenir un jour sur des situations acquises.
Il faut qu'on sache d'une manière définitive que le P.P.F.
s'étant toujours prononcé pour les congés-payés et les contrats
collectifs, ne modifiera pas sa doctrine. Non seulement il n'accep-
tera pas la moindre discussion à ce sujet, mais encore il entre-
prendra une bataille sans merci contre les patrons revanchards.
Au surplus, le P.P.F. n'admet pas que la grève du 30 novem-
bre soit utilisée par certains employeurs pour apporter une modi-
fication quelconque dans le régime de leur entreprise. Lorsque
dans une exploitation les meneurs ont été frappés, on doit redon-
ner à ceux qui ne peuvent être considérés comme tels, la situation
qu'ils occupaient antérieurement à la grève, surtout lorsqu'on se
trouve en présence de cas particuliers intéressant des ouvriers,
qui, pour des raisons diverses se sont trouvés dans l'impossibilité
matérielle de répondre à l'ordre de réquisition.
Le patronat français doit comprendre les néfastes conséquen-
ces du conservatisme social. Si vraiment à ce jour certains ne
veulent pas reconnaître que leur méthode a favorisé le dévelop-
pement du communisme en France, il est à désespérer de leur
faire entendre raison. Dès lors, la seule solution est de les clouer
au pilori comme mauvais patrons et de les combattre à ce titre
jusqu'au moment où ils voudront bien convenir de leur erreur.
LES FOURRIERS DU COMMUNISME
Economies criminelles sur
le personnel, économies
sordides sur le matériel
tel est le programme de
la Compagnie des T. O.
Dans le dispositif qui permet
à la Compagnie des T.O. de réa-
liser d'importantes économies,
il faut mettre en bonne place
LE NON PAIEMENT DES
JOURNEES DE MALADIE à
un grand nombre d'agents con-
sidérés, à tort ou à raison, le
plus souvent, à tort, comme
grévistes.
Certes, avant la grève du 30
novembre, le laisser aller des
dirigeants et la bienveillance
coupable des délégués à la cais-
se de secours favorisaient un
peu trop les tireurs au flanc. Il
était facile à la direction dps
T.O., avec la collaboration des
médecins, de limiter au strict
minimum les abus, voire de les
supprimer complètement.
Les responsables de ces abus
ne sont pas seulement ceux qui
en bénéficient mais aussi — et
surtout — CEUX QUI LES FA-
VORISENT OU LES TOLE-
RENT.
Actuellement, après la mesu-
re qui supprime le paiement
des journées de maladie, la Di-
rection de la Compagnie se fé-
licite de la très petite propor-
tion de malades. Cela lui per-
met de maintenir un personnel
réduit, et de réaliser de ce fait,
d'importantes économies.
Mais cette mesure est INJUS-
TE ET DANGEREUSE.
Injuste, car elle frappe très
souvent les vrais malades qui
se trouvent ainsi dans le dénue-
ment complet. Dangereuse, car
des receveurs et wattmen ma-
lades s'efforce quand même
d'aller dU uâ vàiî; ou cokiçoil le
danger que peut faire courrir
cette situation.
Une légère défaillance d'un
chauffeur ou d'un wattman peut
provoquer LA PIRE DES CA-
TASTROPHES.
Mais, comme nous le disions
la semaine dernière, la Com-
pagnie des T.O. se fiche pas
mal des usagers.
FAIRE DES ECONOMIES A
TOUT PRIX. voilà sa devise.
C'est pour économiser une
économie de main-d'œuvre et
peut-être de sable — que s'est
produit la catastrophe de la
route du port ou le wattman
Martinez et un voyageur ont
trouvé la mort.
C'est par économie que l'on
risque de faire conduire dc)
tramways achi bondés par des
wattmen malades.
Mais les économies de la Cie
des T.O. ne s'arrêtent pas là.
Il y a aussi les économies de
balais, de plumeaux, de chiffons
et de crésyl.
Les voitures ne sont-elles pas
dans un état très voisin de la
malpropreté? Vitres sales, par-
quets non balayés, ferrures
rouillées, banquettes poussiéreu-
ses.
Il est bien évident que la
main-d'œuvre manque au dépôt
pour le nettoyage des voitures.
Les cars de Choupot, en parti-
culier sont sales et mal entrete-
nus. DANS CES VOITURES DE
34 PLACES OU S'ENTASSENT
SOUVENT PLUS DE 80 VOYA-
GEURS, le manque d'hygiène
s'ajoute au manque de sécurité.
Il faudra bien cependant que
cet état de chose disparaisse.
II faut à Oran une compagnie
de transports en commun digne
d'une grande ville.
Ce n'est pas des économies
sordides sur l'entretien du ma-
tériel et des économies crimi-
nelles sur le personnel qu'on
peut espérer y arriver.
Marcel GARAU.
(Lire la suite page 2).
LA FRANCE
et les Français
sont plus que jamais menacés
Barrons la route aux hommes et au parti
de Moscou qui veulent prendre chez nous
une revanche de toutes leurs défaites et de
toutes leurs faillites
par Henri BARBÉ
La désastreuse et peu glorieu-
se défaite du marxisme et du
communisme en Catalogne.
marque non seulement une éta-
pe de la terrible guerre civile
espagnole, mais elle sonne aussi
le glas de l'avant-dernier bas-
tion russe et bolchevique en
Europe Occidentale : le parti
communiste espagnol.
II ne reste plus, en effet, en
Europe et même dans le monde
entier, hormis la Russie sovié-
tique, qu'un seul parti commu-
niste ayant encore un rayonne-
ment important, des cadres et
des troupes, une influence et
des possibilités d'action, c'est en
France.
L'Internationale communiste,
qui a collectionné dans tous les
pays, depuis sa fondation, la
plus belle série de défaites qui
se puisse imaginer, n'a plus que
deux sections existantes et jou-
ant un rôle important : c'est,
d'une part, le parti communiste
de l'U.R.S.S. et, d'autre part, le
parti communiste dit français.
En Amérique du Nord et du
Sud, la force en influence et en
organisation du communisme
bolchevique est quasi inexistan-
te.
Dans les pays scandinaves,
elle est plus que réduite.
En Europe, dans les Balkans,
les partis communistes, après
avoir accumulé aventures sur
aventures, se sont détruits petit
à petit.
Dans les grands Etats eu-
ropéens, les régimes totalitaires
d'Allemagne et d'Italie, les régi-
mes semi-dictatoriaux de Polo-
gne, de Hongrie ont, pour ainsi
dire, rayé les partis communis-
tes de la scène politique.
En Tchécoslovaquie, le parti
communiste a été dissous il y
a quelques - semaines. -------
En Angleterre et dans ses do-
minions, il n'y a jamais eu de
développement important de la
force et de l'organisation poli-
tique du communisme bolche-
vique.
Après la défaite espagnole, il
ne reste plus au Gouvernement
soviétique et à sa succursale
l'Internationale communiste que
le parti communiste dit fran-
cais comme force sérieuse en
Europe.
Tel est le problème impor-
tant, décisif, que chaque Fran-
çais doit voir clairement.
La France, le parti commu-
niste, dit français vont devenir
maintenant, plus que jamais,
l'ultime champ d'expériences, la
dernière carte que va jouer le
bolchevisme marxiste dans le
monde.
Les miliciens communistes
espagnols, qui viennent après la
défaite de se réfugier chez nous,
résument très bien cet état
d'esprit et cette perspective
quand ils déclarent : « Nous
avons été battus chez nous,
mais nous prendrons notre re-
vanche en France ». Les diri-
geants russes du dernier parti
communiste, celui qui agit chez
nous, se préparent déjà active-
ment à cette revanche et à ces
(Lire la suite Page 4).
LA FRANCE
reprend enfin
sa place dans
le monde
La désignation comme ambassa-
deur auprès du généralissime Fran-
co du maréchal Pétain est un geste
qui rachète d'un seul coup toutes
les erreurs que les judéo- russes qui
ont colonisé la France ont commi-
ses vis-à-vis de l'Espagne.
La nomination de ce glorieux
Français aura à travers le monde
un retentissement considérable et
prouvera que le Gouvernement ac-
tuel est fermement décidé à tourner
le dos aux extravagances politi-
ciennes qui ont conduit notre pays
à la ruine.
L'Espagne de Franco est grande
et noble, le geste de la France ré-
pond à cette grandeur et cette no-
blesse.
Nous avions préparé un article
sur la reconnaissance du gouverne-
ment de Burgos où nous disions
qu'avec ses attermoiements le gou-
vernement avait perdu tout le bé-
néfice de cet acte de bons sens et
de justice. L'honneur que MM. Da-
ladier et Bonnet viennent de faire
au gouvernement franquiste nous
montre que nous nous étions trom-
pés sur les véritables sentiments
des chefs de notre gouvernement.
Il .Be nous reste plus qu'à les
féliciter sincèrement et à nous ré-
jouir.
Les seules personnalités que la
France pouvait envoyer à Burgos
pour rétablir une situation compro-
mise étaient le maréchal Pétain.
les généraux Weygand ou Giraud.
La plus glorieuse de toutes a été
choisie. Les immenses résultats de
ce choix ne tarderont pas à se faire
sentir.
Il y a longtemps que nous ré-
clamions cette politique extérieure
de prestige, d'où serait bannie toute
idéologie. Comme dans bien d'au-
tres domaines ce sont les idées P.
P.F. qui ont été appliquées. Ce qui
prouve que les doctrines de notre
parti sont en conformité avec l'in-
térêt du pays, aussi bien sur le plan
intérieur, qu'extérieur.
La nomination à Burgos du glo-
rieux maréchal de France fait par-
tie de cette politique de prestige,
de cette politique française que
nous préconisons.
C'est avec joie et fierté que les
Français sentent aujourd'hui que la
France reprend dans le monde la
place qui lui était due et qu'elle
avait J,;.'rdue par la faute des fous
sanglants du Front Populaire.
NIALA.
Un Télégramme
de la
Fédération d'Oran
à M. DALADIER
Fédération Oran Parti Popu-
laire Français salue avec joie
décision Conseil Ministres rela-
tive à reconnaissance gouverne-
ment franquiste et désignation
ambassadeur Stop. Fédération
fait confiance à Président Con-
seil et Ministres affaires étran-
gères pour assurer en toutes
circonstances défense intérêts-
pays et prendre toutes mesures
utiles pour renforcer situation
extérieure de la France et de
son Empire.
Pour Fédération Vidal Délé-
gué Financier.
La vie de
rOranie Populaire
est entre les mains
des militants du Parti
Par Gaston VIDAL
Délégué financier
Secrétaire Fédérrl du P.P.F.
Il n'est pas un seul d'entre nous qui n'ait lu avec peine l'appel
désespéré que lançait notre vaillant journal la semaine dernière.
Il n'était hélas que trop justifié et il y a de nombreuses semai-
nes qu'il aurait dû paraître. Nous avons voulu retarder jusqu'au
dernier moment ce cri de détresse et c'est pourquoi nous n'avons
donné qu'un délai de quinze jours aux militants du parti pour
sauver « L'Oranie Populaire ».
Je ne pense pas qu'il soit venu à l'idée de quiconque de con-
tester l'utilité de notre hebdomadaire. Avec «L'Oranie Populaire»
le P.P.F. d'Oranie a sa plus belle arme de combat.
Et c'est au moment où nous allons intensifier la lutte, où
nous portons la bataille sur tous les terrains; où, pour le bien de
tous, nous n'hésitons pas à heurter de front, en pleine lumière,
des grandes oligarchies financières telles que les T.O. ou la Cie
Lebon que notre organe va disparaître.
C'est au moment où nous allons intensifier notre propagande
en envoyant partout nos militants, formés par trois années de
P.P.F., porter notre doctrine, où nous allons toucher toutes les
corporations et organiser à travers Oran et le département une
série de conférences corporatives publiques et contradictoires,
que notre journal va disparaître.
C'est à la veille de la campagne électorale pour les élections
législatives, c'est au moment où tous les Français commencent à
appliquer les mots d'ordres du Parti : Refaire la France, cons-
truire l'Empire, dissoudre le parti communiste. lutter contre le
conservatisme social, réaliser la collaboration des classes, créer
le syndicalisme à cadres nationaux, que nous allons disparaître.
A cela je réponds, non. Il ne peut pas être question d'une
pareille démission — c'est le terme qui convient — du P.P.F. en
Oranie.
La semaine dernière « L'Oranie Populaire » vous le disait :
« Un journal coûte cher et nous n'avons à notre disposition ni l'or
de Moscou, ni l'argent du grand capital, ni le soutien de la grande
banque ou de la meunerie juive ».
Nous ne pouvons compter que sur nos militants et c'est à
eux que je m'adresse, c'est vers eux que je me tourne en leur
disant : la vie de « L'Oranie Populaire » est entre vos mains, faites
un petit effort, ne la laissez pas mourir.
Qu'a demandé le journal pour vivre? Qu'en quinze jours le
nombre des abonnés soit doublé. Cette première semaine nous a
apporté de bons résultats. Et, à la suite de l'appel, nous avons
enregistré une centaine de nouveaux abonnés, ce qui reporte
d'une semaine, une seule semaine, la disparition du journal. Dans
la huitaine qui vient, c'est un bon millier de nouveaux abonnés
qu'il nous faut.
Je signale le geste de la section de Bou-Hanifia, qui a recueilli
pour le journal 252 francs en effectuant une collecte, celui de la
section de Relizane, qui, outre les nouveaux abonnés qu'elle nous
i. procurés va organiser un grand bal en faveur de « L'Oranie
Populaire ».
Sidi-Bel-Abbès a promis de nous aider financièrement en
dehors de la campagne d'abonnements qui est lancée.
Le plus gros de l'effort reste cependant à fournir, c'est pour-
quoi je demande aux militants de s'atteler à la' besogne tout de
suite. Qu'ils se disent bien que si notre journal disparaît, ils ne
devront s'en prendre qu'à eux et que dans une pareille circons-
tance nous avons besoin des efforts de tous et que personne ne
doit compter sur son voisin.
Le slogan, l'obsession des hommes et des femmes. de notre
Parti doit être pendant quelques jours :
« IL FAUT FAIRE DES ABONNEMENTS POUR « L'ORA-
NIE POPULAIRE» »,
« IL FAUT TROUVER DE L'ARGENT POUR « L'ORANIE
POPULAIRE » ».
Il m'est impossible de croire que nos appels ne seront pas
entendus, il m'est impossible d'imaginer que « L'Oranie Popu-
laire » va disparaître.
Je crois que tout le monde, dans le Parti, est de cet avis.
Alors avec un peu de bonne volonté nous sommes sauvés et nos
adversaires perdront l'occasion de se réjouir.
Militants P.P.F. de FOranie, une fois de plus. je vous le répè-
te, la vie de notre journal est entre vos mains. Sauvez-le.
Notes de l'Administration
Trop de sections nous doi-
vent encore de l'argent prove-
nant des ventes. Nous prions
les secrétaires qui n'auraient
pas encore réglé à ce jour leurs
comptes arrirl's de le faire
sans DELAI.
m
* m
En dehors de la campagne
d'abonnements, des collectes ou
des fêtes peuvent être faites
avec succès au profil de «L'Ora-
nie Populaire ».
Faire
l'Empire
Notre marine marchande
est devenue la plus vieille
d'Europe, la plus chère, la
moins rapide; et du troisiè-
me rang qu'elle occupait
avant la guerre, elle est pas-
sée au huitième.
Or, une flotte de commer-
ce nombreuse et moderne
est un des éléments indispen-
sables de la prospérité de
l'Empire.
De nombreuses sections et
sections d'entreprises ont en
caisse de l'argent provenant de
la ristourne sur les cartes et les
timbres.
Elles ont aujourd'hui une bel-
le occasion d'utiliser ces som-
mes en les versant à notre jour-
nal ou en prenant, comme l'a
fait la S.E. de la Stelline. des
abonnements.
m
m m
Adresser les mandats au nom
de « L'Oranie Populaire » sans
autre indication.
Les abonnements, si vous
n'avez pas de carnets spéciaux,
peuvent être pris sur papier li-
bre.
* *
N'oubliez pas que notre exis-
tence n'est prolongée que de
huit jours.
Si votre abonnement est arri-
vé à expiration, HEXOCYELEZ-
LE SANS TARDER et sans at-
tendre que nous le fassions en-
caisser. Nous ne pouvons pas
nous payer d'encaisseurs.
*
* *
Voulez-vous faire plaisir à
nos ennemis? Laissez mourir
« L'Oranie Populaire ».
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