Titre : Journal des mines : organe spécial de l'industrie minière et métallurgique en France et à l'étranger... / directeur : Henri Cozic
Éditeur : Imprimerie de Paul Dupont (Paris)
Date d'édition : 1891-11-19
Contributeur : Cozic, Henri. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328000737
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 11057 Nombre total de vues : 11057
Description : 19 novembre 1891 19 novembre 1891
Description : 1891/11/19 (A38,N47). 1891/11/19 (A38,N47).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6154438w
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, FOL-V-1230
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/12/2010
- Aller à la page de la table des matières553
- SOMMAIRE TRENTE-HUITIEME ANNEE. N° 47. JEUDI 19 NOVEMBRE 1891.
- .......... Page(s) .......... 553
- .......... Page(s) .......... 553
- .......... Page(s) .......... 555
- .......... Page(s) .......... 555
- .......... Page(s) .......... 566
- .......... Page(s) .......... 556
- .......... Page(s) .......... 556
- .......... Page(s) .......... 556
- .......... Page(s) .......... 557
- .......... Page(s) .......... 558
- .......... Page(s) .......... 558
- .......... Page(s) .......... 558
- .......... Page(s) .......... 558
- .......... Page(s) .......... 559
- .......... Page(s) .......... 561
- .......... Page(s) .......... 563-564
TRENTE-HUITIEME ANNEE.
N» 47.
JEUDI 19 NOVEMBRE 1891.
JOURNAL DES MINES
AVIS
A partir de la .semaine prochaine t
le JOURNAL DES MINES sera, im-
primé en caractère» neufs.
SOMMAIRE
Pages
'LA. NOUVELLE ÉCOLE GÉOLOGIQUE 553
CHEMINS DE FEU SECONDAIRES EN ES-
PAGNE 853
NOUVELLES DIVERSES 550
FEU — CUIVRE — ÉTAIN 5u5
l'RODUCTION DES MINES D'Oïl DUTRANS-
VAVL , 566
LE PÉTROLE KN CALIFORNIE 5o6
UN PROJET OlUGlNAL 556
.LORD BAXDOLl'lI. CHUKCHJLL 556
GOLD MlNINvi 557
AGRICULTURE 55S
PETITE CORRESPONDANCE 5o8
OFFRES ET DEMANDES 558
•RENSEIGNEMENTS 558
«EVUE MINIERE 559
BULLETIN FINANCIER 561
ANNONCES 562
COURS DE LA BOURSE 563-564
LA
NOUVELLE ÉCOLE GÉOLOGIQUE
La géologie, comme les autres sciences,
ou du moins comme celles qui ne sont pas
•d'ordre mathématique, subit chaque jour
ies influences et les modifications qu'ap-
portent nécessairement avec elles les ob-
servations des faits particuliers. De temps
•en temps quelques grands esprits décou-
vrent et énoncent des lois naturelles simples
résumant dans une synthèse satisfaisante
'la manière dont se produisent ou dont ont
dû se produire les phénomènes constatés
par nos sens. Le besoin inné de la généra-
lisation, de la classification, delà méthode,
qui, seules permettent de se retrouver au
'.milieu de là masse infinie de matériaux
accumulés sans cesse par la masse in-
finie des idées et des faits, ce besoin, di-
rsoas-nous, trouve là. une satisfaction telle
■que pendant longtemps on rapporte tout à
la théorie ainsi émise, et qui constitue le
phare sur lequel on se guide avec une con-
fiance absolue. Mais au bout d'un certain
temps, la lueur pâlit : on constate qu'elle
a bien indiqué la route, mais qu'elle ne
marquait sur cette route qui doit conduire
à la connaissance des choses, qu'une étape
plus ou moins importante. Ce qui semblait
acquis devient insuffisant : on repart à
nouveau et Ton continue la marche inces-
sante.
Ces réflexions nous venaient à l'esprit
en lisant une note de M. Petau de Mau- 1
lette, ingénieur des mines, relative à di- I
verses observations géogéniques faites I
dans le bassin de la mer Noire, le Caucase
et l'Arménie.
M. Petau de Maulette est un apôtre du
Réseau pentagonal et ne manque pas, en
voyage, d'en chercher les applications. Il
est, en outre, un adepte convaincu de l'é-
cole qui rejette l'origine ignée directe d'un
certain nombre de roches jusqu'ici nette-
ment classées dans cette catégorie et qui
donne aux phénomènes métamorphiques
un rôle considérable et nouveau.
Comme application pratique du Réseau
pentagonal, M. Petau de Maulette en in-
dique une très ingénieuse, relative à la
région du Caucase. L'axe central de cette
chaîne serait comme l'intersection de deux
sortes de conoïdes allongés dont l'un
aurait son sommet loin au Nord, l'autre
loin au Sud, tons deux en des points (H)
d'intersection rectangulaire de deux cer-
cles primitifs, cet axe central ayant pour
direction précisément celle de la perpen-
diculaire au cercle octaédrique ill b) joi-
gnant les sommets des deux conoïdes. Il
remarque qu'un relief accentué par le
ïaurus et le Liban suit la direction de cet
octaédrique, et que les falaises, d'une part,
les cassures, d'autre part, sont régulière-
ment disposées comme directions, parallè-
lement aux cotés de l'angle constitué par
l'axe du Caucase et par l'octaédrique qui
lui est perpendiculaire. L'exposé qu'il fait
de sa théorie et la description qui lamolive
sont certainement des plus intéressants.
Quant aux roches auxquelles M. Petau
de Maulette assigne, contrairement aux
indications de Dumont, une origine pure-
ment métamorphique, ce sont, d'une part
les gneiss de la Dobrutscha puis ceux entre
le Dnieper et le Dniester, qu'il déclare
avoir pour origine des argiles jurassiques;
d'antre part, les serpentines d'Arménie et
Imérétie, qu'il déclare être également des
argiles jurassiques originellement strati-
fiées et métamorphisées sur place sous
l'effet de réactions chimiques et d'une in-
fluence calorifique résultant de l'épuise-
ment du travail mécanique immense qui
< s'est produit tandis que les couches
terrestres de ces contrées ont pris les
reliefs accentués qui les caractérisent
stratigraphiquement. Les raisons invo-
quées sont des plus judicieuses.
Les observations de M. Petau de Mau-
lette, si elles étaient justifiées, contredi-
raient, ainsi qu'il le dit lui-môme, l'hypo-
thèse de l'école de Lyell, de l'identité des
causes géologiques et des causes actuelles,
en ce qui touche le métamorphisme, car il
n'y a aucune caust actuelle de cet ordre.
Elles montreraient qui; les phénomènes
métamorphiques analogues ont été con-
comitants de la formation des reliefs cor-
respondants. Elles fonderaient solidement
une conception nouvelle de certaines mas-
ses rocheuses, telles que granités, trapps
porphyres, lesquelles ne seraient que des
terrains sédimentaires métamorphisés.
Nous voyons aussi que l'hypothèse du
retrait du noyau central igné primordial
serait par là détruite, et qu'il faudrait re-
noncer au point de départ tout au moins,
sinon aux résultats de la belle concep-
tion du Réseau pentagonal d'Elie de Beau-
mont : ce dernier n'est-il pas parti de cette
hypothèse, en effet, pour imaginer ses fu-
seaux d'écrasement de la croûte solide ? Il
y aurait là une singularité piquante à gar-
der le Réseau tout en écartant ce qui fut
son origine.
Mais ce dernier point n'est pas à exami-
ner ici. Ce qu'il convient de retenir c'est
que les observations de M. Petau de Mau-
lette sur le bassin de la mer Noire et le
Caucase méritent, d'être lues avec atten-
tion, mieux que dans le résumé trop suc-
cinct qui précède, et qu'elles sont de na-
ture à offrir aux géologues un sujet de
très intéressantes réflexions.
CHEMINS DE FER SECONDAIRES
EN ESPAGNE
Les difficultés budgétaires d'abord, puis
la très forte dépréciation du change de
l'Espagne sur l'étranger, ont fait successi-
vement ajourner le vote par les Certes
d'une loi dont l'importance serait cepen-
dant primordiale pour l'Espagne.
Ce pays, si bien doté au point de vue
des richesses naturelles et dont l'étendue
est de 504.300 kilomètres carrés, ne pos-
sède encore que 10.000 kilomètres de che-
mins de fer. Les mailles du réseau princi-
pal, le seul qui ait été établi à bien peu
d'exceptions près, sont donc extrêmement
lâches, et la moyenne partie du territoire
manque des moyens de transport qui se-
raient nécessaires pour mettre en valeur
les produits de l'agriculture et surtout les
mines dont la plupart, situées à trop grande
distance dés lignes existantes ou des ri-
vages de la mer, sont inexploitées.
Cette fâcheuse situation, due à la fois
aux difficultés d'un sol très accidenté et
au choix malencontreux d'un type de voie
d'une largeur exagérée et coûteuse, avait
depuis longtemps été l'objet des préoccu-
pations du gouvernement. Tout le monde
était d'accord qu'il y avait à chercher le
moyen de relier entre elles les principales
lignes déjà construites, de desservir les
localités importantes laissées en dehors
du réseau de3 grandes artères. La.dépense
seule constituait un obstacle.
En 1888, M. le comte de Xiquena, mi-
nistre des travaux publics , résuma les
travaux de ses prédécesseurs et leur donna
la sanction d'un projet de loi relatif aux
chemins secondaires. Ce projet comnien-
OEEJFfcES ET DEMANDES (Voir à la 6^ page)
N» 47.
JEUDI 19 NOVEMBRE 1891.
JOURNAL DES MINES
AVIS
A partir de la .semaine prochaine t
le JOURNAL DES MINES sera, im-
primé en caractère» neufs.
SOMMAIRE
Pages
'LA. NOUVELLE ÉCOLE GÉOLOGIQUE 553
CHEMINS DE FEU SECONDAIRES EN ES-
PAGNE 853
NOUVELLES DIVERSES 550
FEU — CUIVRE — ÉTAIN 5u5
l'RODUCTION DES MINES D'Oïl DUTRANS-
VAVL , 566
LE PÉTROLE KN CALIFORNIE 5o6
UN PROJET OlUGlNAL 556
.LORD BAXDOLl'lI. CHUKCHJLL 556
GOLD MlNINvi 557
AGRICULTURE 55S
PETITE CORRESPONDANCE 5o8
OFFRES ET DEMANDES 558
•RENSEIGNEMENTS 558
«EVUE MINIERE 559
BULLETIN FINANCIER 561
ANNONCES 562
COURS DE LA BOURSE 563-564
LA
NOUVELLE ÉCOLE GÉOLOGIQUE
La géologie, comme les autres sciences,
ou du moins comme celles qui ne sont pas
•d'ordre mathématique, subit chaque jour
ies influences et les modifications qu'ap-
portent nécessairement avec elles les ob-
servations des faits particuliers. De temps
•en temps quelques grands esprits décou-
vrent et énoncent des lois naturelles simples
résumant dans une synthèse satisfaisante
'la manière dont se produisent ou dont ont
dû se produire les phénomènes constatés
par nos sens. Le besoin inné de la généra-
lisation, de la classification, delà méthode,
qui, seules permettent de se retrouver au
'.milieu de là masse infinie de matériaux
accumulés sans cesse par la masse in-
finie des idées et des faits, ce besoin, di-
rsoas-nous, trouve là. une satisfaction telle
■que pendant longtemps on rapporte tout à
la théorie ainsi émise, et qui constitue le
phare sur lequel on se guide avec une con-
fiance absolue. Mais au bout d'un certain
temps, la lueur pâlit : on constate qu'elle
a bien indiqué la route, mais qu'elle ne
marquait sur cette route qui doit conduire
à la connaissance des choses, qu'une étape
plus ou moins importante. Ce qui semblait
acquis devient insuffisant : on repart à
nouveau et Ton continue la marche inces-
sante.
Ces réflexions nous venaient à l'esprit
en lisant une note de M. Petau de Mau- 1
lette, ingénieur des mines, relative à di- I
verses observations géogéniques faites I
dans le bassin de la mer Noire, le Caucase
et l'Arménie.
M. Petau de Maulette est un apôtre du
Réseau pentagonal et ne manque pas, en
voyage, d'en chercher les applications. Il
est, en outre, un adepte convaincu de l'é-
cole qui rejette l'origine ignée directe d'un
certain nombre de roches jusqu'ici nette-
ment classées dans cette catégorie et qui
donne aux phénomènes métamorphiques
un rôle considérable et nouveau.
Comme application pratique du Réseau
pentagonal, M. Petau de Maulette en in-
dique une très ingénieuse, relative à la
région du Caucase. L'axe central de cette
chaîne serait comme l'intersection de deux
sortes de conoïdes allongés dont l'un
aurait son sommet loin au Nord, l'autre
loin au Sud, tons deux en des points (H)
d'intersection rectangulaire de deux cer-
cles primitifs, cet axe central ayant pour
direction précisément celle de la perpen-
diculaire au cercle octaédrique ill b) joi-
gnant les sommets des deux conoïdes. Il
remarque qu'un relief accentué par le
ïaurus et le Liban suit la direction de cet
octaédrique, et que les falaises, d'une part,
les cassures, d'autre part, sont régulière-
ment disposées comme directions, parallè-
lement aux cotés de l'angle constitué par
l'axe du Caucase et par l'octaédrique qui
lui est perpendiculaire. L'exposé qu'il fait
de sa théorie et la description qui lamolive
sont certainement des plus intéressants.
Quant aux roches auxquelles M. Petau
de Maulette assigne, contrairement aux
indications de Dumont, une origine pure-
ment métamorphique, ce sont, d'une part
les gneiss de la Dobrutscha puis ceux entre
le Dnieper et le Dniester, qu'il déclare
avoir pour origine des argiles jurassiques;
d'antre part, les serpentines d'Arménie et
Imérétie, qu'il déclare être également des
argiles jurassiques originellement strati-
fiées et métamorphisées sur place sous
l'effet de réactions chimiques et d'une in-
fluence calorifique résultant de l'épuise-
ment du travail mécanique immense qui
< s'est produit tandis que les couches
terrestres de ces contrées ont pris les
reliefs accentués qui les caractérisent
stratigraphiquement. Les raisons invo-
quées sont des plus judicieuses.
Les observations de M. Petau de Mau-
lette, si elles étaient justifiées, contredi-
raient, ainsi qu'il le dit lui-môme, l'hypo-
thèse de l'école de Lyell, de l'identité des
causes géologiques et des causes actuelles,
en ce qui touche le métamorphisme, car il
n'y a aucune caust actuelle de cet ordre.
Elles montreraient qui; les phénomènes
métamorphiques analogues ont été con-
comitants de la formation des reliefs cor-
respondants. Elles fonderaient solidement
une conception nouvelle de certaines mas-
ses rocheuses, telles que granités, trapps
porphyres, lesquelles ne seraient que des
terrains sédimentaires métamorphisés.
Nous voyons aussi que l'hypothèse du
retrait du noyau central igné primordial
serait par là détruite, et qu'il faudrait re-
noncer au point de départ tout au moins,
sinon aux résultats de la belle concep-
tion du Réseau pentagonal d'Elie de Beau-
mont : ce dernier n'est-il pas parti de cette
hypothèse, en effet, pour imaginer ses fu-
seaux d'écrasement de la croûte solide ? Il
y aurait là une singularité piquante à gar-
der le Réseau tout en écartant ce qui fut
son origine.
Mais ce dernier point n'est pas à exami-
ner ici. Ce qu'il convient de retenir c'est
que les observations de M. Petau de Mau-
lette sur le bassin de la mer Noire et le
Caucase méritent, d'être lues avec atten-
tion, mieux que dans le résumé trop suc-
cinct qui précède, et qu'elles sont de na-
ture à offrir aux géologues un sujet de
très intéressantes réflexions.
CHEMINS DE FER SECONDAIRES
EN ESPAGNE
Les difficultés budgétaires d'abord, puis
la très forte dépréciation du change de
l'Espagne sur l'étranger, ont fait successi-
vement ajourner le vote par les Certes
d'une loi dont l'importance serait cepen-
dant primordiale pour l'Espagne.
Ce pays, si bien doté au point de vue
des richesses naturelles et dont l'étendue
est de 504.300 kilomètres carrés, ne pos-
sède encore que 10.000 kilomètres de che-
mins de fer. Les mailles du réseau princi-
pal, le seul qui ait été établi à bien peu
d'exceptions près, sont donc extrêmement
lâches, et la moyenne partie du territoire
manque des moyens de transport qui se-
raient nécessaires pour mettre en valeur
les produits de l'agriculture et surtout les
mines dont la plupart, situées à trop grande
distance dés lignes existantes ou des ri-
vages de la mer, sont inexploitées.
Cette fâcheuse situation, due à la fois
aux difficultés d'un sol très accidenté et
au choix malencontreux d'un type de voie
d'une largeur exagérée et coûteuse, avait
depuis longtemps été l'objet des préoccu-
pations du gouvernement. Tout le monde
était d'accord qu'il y avait à chercher le
moyen de relier entre elles les principales
lignes déjà construites, de desservir les
localités importantes laissées en dehors
du réseau de3 grandes artères. La.dépense
seule constituait un obstacle.
En 1888, M. le comte de Xiquena, mi-
nistre des travaux publics , résuma les
travaux de ses prédécesseurs et leur donna
la sanction d'un projet de loi relatif aux
chemins secondaires. Ce projet comnien-
OEEJFfcES ET DEMANDES (Voir à la 6^ page)
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 92.63%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 92.63%.
- Auteurs similaires France Assemblée nationale constituante Constitution civile du clergé France Assemblée nationale constituante Constitution civile du clergé /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=dc.subject adj "France Assemblée nationale constituante Constitution civile du clergé"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/12
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6154438w/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6154438w/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6154438w/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6154438w/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6154438w
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6154438w
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6154438w/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest