Titre : Journal des mines : organe spécial de l'industrie minière et métallurgique en France et à l'étranger... / directeur : Henri Cozic
Éditeur : Imprimerie de Paul Dupont (Paris)
Date d'édition : 1891-07-30
Contributeur : Cozic, Henri. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328000737
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 11057 Nombre total de vues : 11057
Description : 30 juillet 1891 30 juillet 1891
Description : 1891/07/30 (A38,N31). 1891/07/30 (A38,N31).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k61544221
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, FOL-V-1230
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/12/2010
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- SOMMAIRE TRENTE-HUITIEME ANNEE. N° 31. JEUDI 30 JUILLET 1891.
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TRENTE-HUITIEME ANNEE.
N° 31.
JEUDI 30 JUILLET 1891.
JOURNAL DES MIN
SOMMAIRE
Page»
LA. COMPAGNIE DE BEE1TS (DIAMANTS). 361
NOUVELLES DIVERSES 361
L'A. RICHESSE PUBLIQUE EN EUROPE. .. 362
PRODUCTION DES MINES U'OR DU TRANS-
VAAL 362
MARCHÉ DES MÉTAUX 362
UNE NOUVELLE TOUR EIFFEL 362
MISSIONS CRAMPI5L ET FOURNEAU 362
LE BASSIN MOUILLER DE DOUVRES 363
LA SITUATION FINANCIÈRE A LONDRES. 363
,LE TRANSSIBÉRIEN . . 364
L'ORFÈVRERIS AU PUNJAB 364
VOÏ AGE DE LORD HANDOLPH CHURCHILL
AU MASH0NALAN3 364
AGRICULTURE 365
•PETITE CORRESPONDANCE 36O
REVUE MINIERE 366
LA COMPAGNIE DE BEER'S
DIAMANTS
Nous n'avons jamais contesté que la
Compagnie DeBeers soit devenue, grâce à
des fusions etàdes absorptions successives,
une entreprise des plus puissantes, ayant
le monopole en Afrique du commerce des
diamants, et influant sur la production à
peu près comme il lui plaît.
Il est vrai que la mine de Jagersfontein
est tout à fait indépendante du groupe de
Kimberley ; mais les pierres de .Tagersfon-
•tein sont très supérieures à cellas trouvées
■ordinairement dans les mines De Beer's, et
•les intérêts des deux entreprises ne se nui-
-sent en rien.
M. Rhodes et ses collègues oui par suite
•été les maîtres pendant quelque temps de
diriger la production comme ils le vou-
laient ; mais la production n'est plus main-
tenant le facteur le plus important dans la
Compagnie De Beer's.
La difficulté réelle est de se débarrasser
•du produit à des prix suffisamment rému-
nérateurs.
Il n'y a pas à douter delà fascination
que lès diamants exercent sur le beau
«exe. Mais aux époques de crises finan-
cières et d'une dépression commerciale
presqu'universelle telle que celle que nous
traversons, la demande des objets de luxe
est inévitablement en baisse; et. il n'y a
dès lors rien de surprenant que les mines
de De Beer's travaillent dans une me-
sure moitié moindre qu'elles le pourraient
l'aire.
La Plata et quelques Etats de l'Amérique
du sud qui étaient autrefois acheteurs ar-
dents de diamants, sontdevenus vendeurs,
et quoique la vente auxEtats-Unis et en
Europe n'ait, pas diminue d'une manière
sensible, il n'est cependant pas douteux
que les besoins d'argent de certains dé-
tenteurs n'aient inilué sur la Compagnie
De Beer's et sur les autres producteurs.
Pour stimuler l'achat les prix ont été
considérablement réduits et parfois de 50
pour cent. Nous regretterions de penser
que la dépression actuelle doit toujours
durer ; au contraire il y a motif de sup-
poser que les demandes du luxe repren-
dront. Mais en même temps il ne faut pas
oublier que le capital de la Compagnie De
Beer's est très élevé ; de manière ou d'au-
tre ce capital à sa valeur nominale repré-
sente près de £ 10 millions (250,000,000
francs). •"••
C'est assurément une très grosse somme
même peur une entreprise de l'importance
delà De Beers.
Avant que rien n'arrive aux actions or-
dinaires il y a près de 12,500.000 francs à
gagner pour payer les intérêts des obliga-
tions. Dans ces circonstances, mettant à
part la baisse de toutes les valeurs du rnar-
ché, il n'est pas surprenant que les ac-
tions De Beers soient tombées considéra-
blement. L'an dernier elles étaient à près
de 600 francs, récemment elles faisaient
encore 400 fr., on prétendait alors que l'on
avait touché au plus bas. Le dividende de
12 fr. 50 a été un désappointement, et la
semaine dernière on est tombé à près de
300 francs.
Revenant au rapport de fin mars 1890
nous trouvons que le bénéfice total mon-
tait à 36,666.500 fr., résultat dû en partie
au prix exceptionnellement élevé des dia-
mants, en partie aussi à ce que l'on avait
pu acquérir à peu près gratis des quantités
de terre bleue des Compagnies fusionnées,
et aussi dans une certaine mesure à l'a-
journement de l'amortissement des obli-
gations. Il est donc clair que le bilan qui
va être dressé sera sujet à. des modifica-
tions, quand même ie prix des diamants
resterait aussi élevé que l'an dernier. Du
bénéfice de Tannée précédente il y aura à
retrancher 4,632,000 francs, valeur de la
terre bleue que l'on avait obtenue ; une
somme que l'on peut estimera 2,500,000
francs pour intérêts sur les obligations ;
une autre somme de 7,500,000 francs pour
les tirages annuels, et enfin 3,900,000 fr.
pour l'amortissement des travaux de Du-
toitspon et de Baltfontein qui sont main-
tenant définitivement fermés. Ces déduc-
tions faites il resterait un bénéfice net de
17,500,000 fr. comme la moyenne des bé-
néfices futurs, en supposant que l'on
puisse vendre les diamants à 40 fr. le carat
environ.
Sur une production de 1,450,600 carats
une baisse d'un shilling (1 fr. 25) par carat
entra ne une perte de 1,812,500 francs. Le
coût de l'exploitation et les charges an-
nuelles sont couverts par la vente de cette
production au prix de 32 francs le carat.
On peut restreindre l'extraction delà terre
bleue si c'est essentiel et par là diminuer
la dépense, mais dans aucun cas on ne
pourrait payer de dividendes si. le prix
tombait au dessous de 28 fr. le carat; il a
été autrefois souvent au dessous, et encore
en 1886, et rien ne garantit qu'il ne puisse
être plus bas dans l'avenir.
Les dernières informations qui nous par-
viennent de Kimberley ne sont pas ras-
surantes ; l'administration de la De Beer's
est vigoureusement attaquée.
La Compagnie a une option pour l'achat
de la mine Welkelton à un prix modéré;
si cette option était exercée et que les
opérations commencent sur une bonne
échelle, les résultats pourraient être satis-
faisants, mais on n'exploite les claims que
partiellement, tant la demande de dia-
mants est restreinte, et la prise de ia Wes-
selton ne ferait qu'ajouter aux embarras
de la position. Acheter la mine et refuser
de l'exploiter ne ferait qu'augmenter l'irri-
tation populaire contre la De Beer's, car le
grief est qu'un ou deux villages populaires
ont été radicalement ruinés par la limita-
tion de l'extraction.
Les administrateurs préparent en ce mo-
ment leur rapport. L'ou y attache grand
intérêt, particulièrement au sujet de la
valeur que l'on y attribuerai la terre bleue
sur le. carreau. Cet article est toujours porté
dans le bilau pour un chiffre très élevé,
quoique tant que la terre bleue n'est pas
lavée il soit impossible de l'évaluer exac-
tement.
On apporte aussi beaucoup de curio-
sité à connaître les mesures que le con-
seil croira nécessaire de prendre s'il en
prend, pour réduire les appointements
de quelques-uns des plus hauts employés,
qui ne sont plus en rapport avec les béné-
fices de la Compagnie. Le directeur géné-
ral par exemple touche 125.000 fr. et dans
ces dernières années on lui a voté une gra-
tification de 50.000 fr. an. Des traitements
de cette nature n'étaient peut-être, pas ex-
cessifs quand la Compagnie était à son
zénith, mais dans les circonstances ac-
tuelles bien des actionnaires trouvent qu'il
taudrait faire des amputations; mais comme
les administrateurs ont tous de grandi in-
térêts dans l'affaire, on peut attendre d'eux
qu'ils feront tout ce qui sera nécessaire
pour que les actionnaires aient un bon re-
venu de leur argent.
Notre seul but a été d'avertir que l'on ne
devait pas compter que les bénéfices se-
raient suffisants pour justifier les prix que
les actions avaient sur le marché il y a
un certain temps.
NOUVELLES DIVERSES
On exploite en ce moment des mines de
calamine dans la province de Terne!, en
Espagne. La production cette année s'élè-
veia a environ 1.000 tonnes. Malgré les
aléas nombreux et la difficulté des moyens
de transports, les bénéfices de l'exploita-
tion représentent envirou 50 piécettes par
tonne. Les propriétaires des mines sont en
OFFRES ET X> E JVJ A IN: I> E JB (Voir à la 5^' page)
N° 31.
JEUDI 30 JUILLET 1891.
JOURNAL DES MIN
SOMMAIRE
Page»
LA. COMPAGNIE DE BEE1TS (DIAMANTS). 361
NOUVELLES DIVERSES 361
L'A. RICHESSE PUBLIQUE EN EUROPE. .. 362
PRODUCTION DES MINES U'OR DU TRANS-
VAAL 362
MARCHÉ DES MÉTAUX 362
UNE NOUVELLE TOUR EIFFEL 362
MISSIONS CRAMPI5L ET FOURNEAU 362
LE BASSIN MOUILLER DE DOUVRES 363
LA SITUATION FINANCIÈRE A LONDRES. 363
,LE TRANSSIBÉRIEN . . 364
L'ORFÈVRERIS AU PUNJAB 364
VOÏ AGE DE LORD HANDOLPH CHURCHILL
AU MASH0NALAN3 364
AGRICULTURE 365
•PETITE CORRESPONDANCE 36O
REVUE MINIERE 366
LA COMPAGNIE DE BEER'S
DIAMANTS
Nous n'avons jamais contesté que la
Compagnie DeBeers soit devenue, grâce à
des fusions etàdes absorptions successives,
une entreprise des plus puissantes, ayant
le monopole en Afrique du commerce des
diamants, et influant sur la production à
peu près comme il lui plaît.
Il est vrai que la mine de Jagersfontein
est tout à fait indépendante du groupe de
Kimberley ; mais les pierres de .Tagersfon-
•tein sont très supérieures à cellas trouvées
■ordinairement dans les mines De Beer's, et
•les intérêts des deux entreprises ne se nui-
-sent en rien.
M. Rhodes et ses collègues oui par suite
•été les maîtres pendant quelque temps de
diriger la production comme ils le vou-
laient ; mais la production n'est plus main-
tenant le facteur le plus important dans la
Compagnie De Beer's.
La difficulté réelle est de se débarrasser
•du produit à des prix suffisamment rému-
nérateurs.
Il n'y a pas à douter delà fascination
que lès diamants exercent sur le beau
«exe. Mais aux époques de crises finan-
cières et d'une dépression commerciale
presqu'universelle telle que celle que nous
traversons, la demande des objets de luxe
est inévitablement en baisse; et. il n'y a
dès lors rien de surprenant que les mines
de De Beer's travaillent dans une me-
sure moitié moindre qu'elles le pourraient
l'aire.
La Plata et quelques Etats de l'Amérique
du sud qui étaient autrefois acheteurs ar-
dents de diamants, sontdevenus vendeurs,
et quoique la vente auxEtats-Unis et en
Europe n'ait, pas diminue d'une manière
sensible, il n'est cependant pas douteux
que les besoins d'argent de certains dé-
tenteurs n'aient inilué sur la Compagnie
De Beer's et sur les autres producteurs.
Pour stimuler l'achat les prix ont été
considérablement réduits et parfois de 50
pour cent. Nous regretterions de penser
que la dépression actuelle doit toujours
durer ; au contraire il y a motif de sup-
poser que les demandes du luxe repren-
dront. Mais en même temps il ne faut pas
oublier que le capital de la Compagnie De
Beer's est très élevé ; de manière ou d'au-
tre ce capital à sa valeur nominale repré-
sente près de £ 10 millions (250,000,000
francs). •"••
C'est assurément une très grosse somme
même peur une entreprise de l'importance
delà De Beers.
Avant que rien n'arrive aux actions or-
dinaires il y a près de 12,500.000 francs à
gagner pour payer les intérêts des obliga-
tions. Dans ces circonstances, mettant à
part la baisse de toutes les valeurs du rnar-
ché, il n'est pas surprenant que les ac-
tions De Beers soient tombées considéra-
blement. L'an dernier elles étaient à près
de 600 francs, récemment elles faisaient
encore 400 fr., on prétendait alors que l'on
avait touché au plus bas. Le dividende de
12 fr. 50 a été un désappointement, et la
semaine dernière on est tombé à près de
300 francs.
Revenant au rapport de fin mars 1890
nous trouvons que le bénéfice total mon-
tait à 36,666.500 fr., résultat dû en partie
au prix exceptionnellement élevé des dia-
mants, en partie aussi à ce que l'on avait
pu acquérir à peu près gratis des quantités
de terre bleue des Compagnies fusionnées,
et aussi dans une certaine mesure à l'a-
journement de l'amortissement des obli-
gations. Il est donc clair que le bilan qui
va être dressé sera sujet à. des modifica-
tions, quand même ie prix des diamants
resterait aussi élevé que l'an dernier. Du
bénéfice de Tannée précédente il y aura à
retrancher 4,632,000 francs, valeur de la
terre bleue que l'on avait obtenue ; une
somme que l'on peut estimera 2,500,000
francs pour intérêts sur les obligations ;
une autre somme de 7,500,000 francs pour
les tirages annuels, et enfin 3,900,000 fr.
pour l'amortissement des travaux de Du-
toitspon et de Baltfontein qui sont main-
tenant définitivement fermés. Ces déduc-
tions faites il resterait un bénéfice net de
17,500,000 fr. comme la moyenne des bé-
néfices futurs, en supposant que l'on
puisse vendre les diamants à 40 fr. le carat
environ.
Sur une production de 1,450,600 carats
une baisse d'un shilling (1 fr. 25) par carat
entra ne une perte de 1,812,500 francs. Le
coût de l'exploitation et les charges an-
nuelles sont couverts par la vente de cette
production au prix de 32 francs le carat.
On peut restreindre l'extraction delà terre
bleue si c'est essentiel et par là diminuer
la dépense, mais dans aucun cas on ne
pourrait payer de dividendes si. le prix
tombait au dessous de 28 fr. le carat; il a
été autrefois souvent au dessous, et encore
en 1886, et rien ne garantit qu'il ne puisse
être plus bas dans l'avenir.
Les dernières informations qui nous par-
viennent de Kimberley ne sont pas ras-
surantes ; l'administration de la De Beer's
est vigoureusement attaquée.
La Compagnie a une option pour l'achat
de la mine Welkelton à un prix modéré;
si cette option était exercée et que les
opérations commencent sur une bonne
échelle, les résultats pourraient être satis-
faisants, mais on n'exploite les claims que
partiellement, tant la demande de dia-
mants est restreinte, et la prise de ia Wes-
selton ne ferait qu'ajouter aux embarras
de la position. Acheter la mine et refuser
de l'exploiter ne ferait qu'augmenter l'irri-
tation populaire contre la De Beer's, car le
grief est qu'un ou deux villages populaires
ont été radicalement ruinés par la limita-
tion de l'extraction.
Les administrateurs préparent en ce mo-
ment leur rapport. L'ou y attache grand
intérêt, particulièrement au sujet de la
valeur que l'on y attribuerai la terre bleue
sur le. carreau. Cet article est toujours porté
dans le bilau pour un chiffre très élevé,
quoique tant que la terre bleue n'est pas
lavée il soit impossible de l'évaluer exac-
tement.
On apporte aussi beaucoup de curio-
sité à connaître les mesures que le con-
seil croira nécessaire de prendre s'il en
prend, pour réduire les appointements
de quelques-uns des plus hauts employés,
qui ne sont plus en rapport avec les béné-
fices de la Compagnie. Le directeur géné-
ral par exemple touche 125.000 fr. et dans
ces dernières années on lui a voté une gra-
tification de 50.000 fr. an. Des traitements
de cette nature n'étaient peut-être, pas ex-
cessifs quand la Compagnie était à son
zénith, mais dans les circonstances ac-
tuelles bien des actionnaires trouvent qu'il
taudrait faire des amputations; mais comme
les administrateurs ont tous de grandi in-
térêts dans l'affaire, on peut attendre d'eux
qu'ils feront tout ce qui sera nécessaire
pour que les actionnaires aient un bon re-
venu de leur argent.
Notre seul but a été d'avertir que l'on ne
devait pas compter que les bénéfices se-
raient suffisants pour justifier les prix que
les actions avaient sur le marché il y a
un certain temps.
NOUVELLES DIVERSES
On exploite en ce moment des mines de
calamine dans la province de Terne!, en
Espagne. La production cette année s'élè-
veia a environ 1.000 tonnes. Malgré les
aléas nombreux et la difficulté des moyens
de transports, les bénéfices de l'exploita-
tion représentent envirou 50 piécettes par
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