Titre : Journal des mines : organe spécial de l'industrie minière et métallurgique en France et à l'étranger... / directeur : Henri Cozic
Éditeur : Imprimerie de Paul Dupont (Paris)
Date d'édition : 1891-07-23
Contributeur : Cozic, Henri. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328000737
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 11057 Nombre total de vues : 11057
Description : 23 juillet 1891 23 juillet 1891
Description : 1891/07/23 (A38,N30). 1891/07/23 (A38,N30).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6154421m
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, FOL-V-1230
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/12/2010
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- SOMMAIRE TRENTE-HUITIEME ANNEE. N° 30. JEUDI 23 JUILLET 1891.
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TRENTE-HUITIEME ANNEE.
N°'30.
JEUDI 23 JUILLET 1891.
JOURNAL DES MIN
SOMMAIRE I
Page»
LE MARCHÉ DE LONDRES 349
NOUVELLES DIVERSES 350
LES CHEMINS DE FER DE L'EUROPE... 350
LA- HOUILLE A COKE 351
FiCR — CUIVRE — ÉÏAIN 351
L'ACCAPARENT DU PÉTROLE 351
VOÏAGE DE LORD RANDOLPH CHURCHILL
AU MASHONALAND 351
AGRICULTURE 353
CHRONIOUE INDUSTRIELLE 352
OFFRES ET DEMANDES 353
PETITE CORRESPONDANCE 353
RENSEIGNEMENTS 353
REVUE MINIERE 353
-BULLETIN FINANCIER 357
•ANNONCES 358
COURS DE LA BOURSE 359-360
LE MARCHE DE LONDRES
Dans le courant de la semaine dernière,
la suspension de la banque dont il est
question plus loin a beaucoup pesé sur les
-cours du Stock-Exchauge. Là, on s'ac-
corde généralement à reconnaître que le
■système de se venir en aide mutuellement
•a fait son temps, après essai, et que la
:mise en liquidation d'une mauvaise affaire
peut préparer le terrain pour une hausse
•des valeurs. En ce moment, les acheteurs
•sont complètement arrêtés par la crainte
qu'une nouvelle crise ne vienne faire tom-
ber une masse de titres sur un marché
absolument incapable de les absorber.
Sans l'existence de cette crainte, il y a
longtemps qu'une base d'amélioration au-
rait pu s'établir, l'abondance des capitaux
disponibles témoignant de la facilité avec
laquelle le marché pourrait être soulagé,
une fois la confiance revenue.
Les taux d'escompte ont haussé d'une
façon continue pendant la semaine ; une
mouvelle augmentation est même surve-
nue aujourd'hui. Les effets à 90 jours ont
été acceptés jusqu'à 2 1/4 0/0. Les retraits
d'or de la Banque ont été considérables, le
total pour la semaine écantde£ 1.100.000;
sur ce chiffre, la Russie a absorbé
£ 805 000. L'encaisse est importante pour
cette période de l'année ; mais la probabi-
lité de retraits plus ou moins importants
plus tard dans le courant de l'année expli-
que le peu d'empressemeDt qu'il y a à
accepter du papier à longue échéance aux
bas cours cotés récemment. L'on trouve
aine autre raison dans la recrudescence des
nouvelles défavorables se rattachant aux
-finances argentines et culminant dans
la suspension de la banque, annoncée au-
I jourd'hui. Néanmoius, l'accumulation des s
j capitaux disponibles n'en reste pas moins 1
I aussi considérable que jamais; pour le pa- <
I pier court, on est descendu jusqu'à 1/4 à 1
1/2 0/0 par an. ;
Depuis quelques jours, il courait des i
I rumeurs persistantes au sujet de la silua- <
j tion embarrassée de la Banque anglaise du <
I Rio de la Plata; la difficulté présente,
I disait-on, provenant de la non acceptation <
de remises d'effets tirés sur un autre éta-
blissement financier pour compte du gou-
vernement argentin. Les détails précis sur.
la transaction en question sont inconnus
pour le moment; cependant, il..ne peut
y avoir de doute que la situation^4e celle
banque s'est trouvée ébranlée par le mora-
torium à Buenos-Ayres qui a empêché les
rentrées d'actif nécessaires pour faire face
aux échéances ici. Gomme résultat, la
cessation de paiements de la banque a
été annoncée après une assemblée des
principaux propriétaires. La circulaire pu-
bliée à cette occasion déclare que : « Par
suite de l'impossibité d'effectuer les ren-
trées pour avances et sommes dues à la
banque dans le? circonstances actuelles
qui régnent à la Plata, l'administration
s'est trouvée dans l'impossibilité de conti-
nuer ses opérations sans aide; dans la
, situation présente, cet appui lui a fait
défaut. Elle annonce donc à regret qu'elle
j s'est vue forcée, dans l'intérêt même de
tous les intéressés, de mettre la banque en
; liquidation. MM. Freshfield et Williams
t ont reçu les instructions nécessaires pour
i présenter une pétition à cet effet au tri-
Î bunal compétent. »
Î On avait espéré un moment trouver
3 l'aide pour surmonter la difficulté; mais
3 l'on a tant fait dans cette direction depuis
quelque temps et avec si peu de résultat
& pour les affaires en général, que les admi-
nistrateurs ont probablement choisi le
a. moyen le plus sage en décidant la liquida-
tion.
s- Nous apprenons que les engagements
c envers les déposants ici, représentent
!i £ 1.350.000, et le passif des succursales,
environ £ 800.000. Ce sont là des chiffres
e approximatifs, car tant que les comptes
© de l'étranger ne: seront pas parvenus à
'•- l'administration, on no pourra donner des
it chiffres exacts. Il y a en outre dehors
ts pour £ 1.250.000 d'acceptations. ISn ce qui
^e touche l'actif, on ne sait rien, si ce n'est
1; qu'à part le capital de £ 750.000 restant à
>é appeler, cet actif se trouve presque entiè-
ir rement dans les républi mes Argentine et
i- I d'Uruguay.Lecapitalsocialestde£l.500.000
ts dont la moitié, noit £ 10 par action de £ 20
i- I reste encore à appeler. Cette somme, ajou-
à tée au fonds de réserve de £ 426.000, sera,
ix: croit-on, plus que suffisante pour couvrir
^e tout le déficit ; il existe même, une proba-
es bilité qu'il revienda quelque chose aux
ix actionnaires ; néanmoins, il est encore
us trop tôt pour prévoir les résultats de la
u- liquidation. Les actions libérées de £ 10
sont montées à £ 17 1/2 l'année dernière ;.
la plus haute cote atteinte cette année n'a
cependant été que de £ 14 1/4. En décem-
bre 1888, une émission nouvelle de 23.000
actions a été répartie, au prnvata, avec
une prime de £ 4 par action. Hier, il y a
eu des échanges de l'action a 2 ; mais en
clôture on n'obtenait plus de cote.
Cette suspension a produit une nouvelle
commotion parmi les gens qui n'avaient
pas encore sondé la profondeur de l'abîme
financier où la Plata s'est engouffrée.
En attendant, les Bourses de Paris et de
Berlin manquent absolument d'animation,
tandis que New-York retombe de nouveau
dans une léthargie complète. Dans tous ces
centres, aussi bien qu'ici, le public s'abs-
tient ; élaat donnée ia situation présente,
il n'est guère probable qu'il change sa li-
gne de conduite d'ici longtemps. On cher-
che partout quelque encouragement aux
affaires, mais en vain. Nous nous trou-
vons dans une période aigûe de liquidation
et portons la peine d'une longue série
d'années de témérités financières insen-
sées. Nous avons à combattre, non seule-
ment une réaction commerciale naturelle,
mais encore une infinités de fraudes éhon-
tées, presque sans exemple dans les an-
nales de la finance.. Notre seule consola-
tion, pour le moment, c'est que le scalpel
soit vigoureusement appliqué, et qu'avant
peu nous nous trouvions dans une situa-
tion à pouvoir sincèrement croire que le
mal est enrayé. Ce serait trop présumer
que de nous bercer de l'espoir que la suspen-
sion de paiements de la Banque anglaise
du, Rio de la Plata n'entraînera aucune
autre difficulté dans la Cité. Les maisons
I sud-américaines doivent se ressentir vive-
ment de la crise ; il serait singulier que
quelques unes d'elles ne se vissent point
forcées de quitter les rangs. Sur tout cela
vient se greffer la probabilité d'une ban-
queroute delà République de l'Uruguay.
La mission du Dr Ellauri, en Europe, est
un fiasco complet ;. son gouvernement est
en faillite irrémédiable. Comme sa voisine,
l'Argentine, elle vit depuis des années sur
des emprunts ; la fin ne peut être bien
loin maintenant. La perspective n'est pas
agréable ; cependant nos tribulations pré-
sentes et à venir constituent la seule voie
menant à la convalescence.
La déclaration faite par le président de
la South American and Mexican Trust
Company à la dernière assemblée trimes-
trielle de cette Société, explique facile-
ment la discussion fréquente des affaires
de la maison Murrieta et Ge. Une somme
de £ 450.000 du capital de la Société est
placée en valeurs du Centre-Américain,
des Etats-Unis, du Mexique et de la Ré-
publique argentine. Mais, avant de faire
le placement eu Argentins, un arrange-
: ment avait été conclu avec les acheteurs,
; suivant lequel la Société se réservait le
i droit de rendre les valeurs dans un délai
) spécifié, ou de rentrer dans toute différence
OFFRES ET ID El ]V£ ^ 3X~ X> E S (Voir à la 5me page)
N°'30.
JEUDI 23 JUILLET 1891.
JOURNAL DES MIN
SOMMAIRE I
Page»
LE MARCHÉ DE LONDRES 349
NOUVELLES DIVERSES 350
LES CHEMINS DE FER DE L'EUROPE... 350
LA- HOUILLE A COKE 351
FiCR — CUIVRE — ÉÏAIN 351
L'ACCAPARENT DU PÉTROLE 351
VOÏAGE DE LORD RANDOLPH CHURCHILL
AU MASHONALAND 351
AGRICULTURE 353
CHRONIOUE INDUSTRIELLE 352
OFFRES ET DEMANDES 353
PETITE CORRESPONDANCE 353
RENSEIGNEMENTS 353
REVUE MINIERE 353
-BULLETIN FINANCIER 357
•ANNONCES 358
COURS DE LA BOURSE 359-360
LE MARCHE DE LONDRES
Dans le courant de la semaine dernière,
la suspension de la banque dont il est
question plus loin a beaucoup pesé sur les
-cours du Stock-Exchauge. Là, on s'ac-
corde généralement à reconnaître que le
■système de se venir en aide mutuellement
•a fait son temps, après essai, et que la
:mise en liquidation d'une mauvaise affaire
peut préparer le terrain pour une hausse
•des valeurs. En ce moment, les acheteurs
•sont complètement arrêtés par la crainte
qu'une nouvelle crise ne vienne faire tom-
ber une masse de titres sur un marché
absolument incapable de les absorber.
Sans l'existence de cette crainte, il y a
longtemps qu'une base d'amélioration au-
rait pu s'établir, l'abondance des capitaux
disponibles témoignant de la facilité avec
laquelle le marché pourrait être soulagé,
une fois la confiance revenue.
Les taux d'escompte ont haussé d'une
façon continue pendant la semaine ; une
mouvelle augmentation est même surve-
nue aujourd'hui. Les effets à 90 jours ont
été acceptés jusqu'à 2 1/4 0/0. Les retraits
d'or de la Banque ont été considérables, le
total pour la semaine écantde£ 1.100.000;
sur ce chiffre, la Russie a absorbé
£ 805 000. L'encaisse est importante pour
cette période de l'année ; mais la probabi-
lité de retraits plus ou moins importants
plus tard dans le courant de l'année expli-
que le peu d'empressemeDt qu'il y a à
accepter du papier à longue échéance aux
bas cours cotés récemment. L'on trouve
aine autre raison dans la recrudescence des
nouvelles défavorables se rattachant aux
-finances argentines et culminant dans
la suspension de la banque, annoncée au-
I jourd'hui. Néanmoius, l'accumulation des s
j capitaux disponibles n'en reste pas moins 1
I aussi considérable que jamais; pour le pa- <
I pier court, on est descendu jusqu'à 1/4 à 1
1/2 0/0 par an. ;
Depuis quelques jours, il courait des i
I rumeurs persistantes au sujet de la silua- <
j tion embarrassée de la Banque anglaise du <
I Rio de la Plata; la difficulté présente,
I disait-on, provenant de la non acceptation <
de remises d'effets tirés sur un autre éta-
blissement financier pour compte du gou-
vernement argentin. Les détails précis sur.
la transaction en question sont inconnus
pour le moment; cependant, il..ne peut
y avoir de doute que la situation^4e celle
banque s'est trouvée ébranlée par le mora-
torium à Buenos-Ayres qui a empêché les
rentrées d'actif nécessaires pour faire face
aux échéances ici. Gomme résultat, la
cessation de paiements de la banque a
été annoncée après une assemblée des
principaux propriétaires. La circulaire pu-
bliée à cette occasion déclare que : « Par
suite de l'impossibité d'effectuer les ren-
trées pour avances et sommes dues à la
banque dans le? circonstances actuelles
qui régnent à la Plata, l'administration
s'est trouvée dans l'impossibilité de conti-
nuer ses opérations sans aide; dans la
, situation présente, cet appui lui a fait
défaut. Elle annonce donc à regret qu'elle
j s'est vue forcée, dans l'intérêt même de
tous les intéressés, de mettre la banque en
; liquidation. MM. Freshfield et Williams
t ont reçu les instructions nécessaires pour
i présenter une pétition à cet effet au tri-
Î bunal compétent. »
Î On avait espéré un moment trouver
3 l'aide pour surmonter la difficulté; mais
3 l'on a tant fait dans cette direction depuis
quelque temps et avec si peu de résultat
& pour les affaires en général, que les admi-
nistrateurs ont probablement choisi le
a. moyen le plus sage en décidant la liquida-
tion.
s- Nous apprenons que les engagements
c envers les déposants ici, représentent
!i £ 1.350.000, et le passif des succursales,
environ £ 800.000. Ce sont là des chiffres
e approximatifs, car tant que les comptes
© de l'étranger ne: seront pas parvenus à
'•- l'administration, on no pourra donner des
it chiffres exacts. Il y a en outre dehors
ts pour £ 1.250.000 d'acceptations. ISn ce qui
^e touche l'actif, on ne sait rien, si ce n'est
1; qu'à part le capital de £ 750.000 restant à
>é appeler, cet actif se trouve presque entiè-
ir rement dans les républi mes Argentine et
i- I d'Uruguay.Lecapitalsocialestde£l.500.000
ts dont la moitié, noit £ 10 par action de £ 20
i- I reste encore à appeler. Cette somme, ajou-
à tée au fonds de réserve de £ 426.000, sera,
ix: croit-on, plus que suffisante pour couvrir
^e tout le déficit ; il existe même, une proba-
es bilité qu'il revienda quelque chose aux
ix actionnaires ; néanmoins, il est encore
us trop tôt pour prévoir les résultats de la
u- liquidation. Les actions libérées de £ 10
sont montées à £ 17 1/2 l'année dernière ;.
la plus haute cote atteinte cette année n'a
cependant été que de £ 14 1/4. En décem-
bre 1888, une émission nouvelle de 23.000
actions a été répartie, au prnvata, avec
une prime de £ 4 par action. Hier, il y a
eu des échanges de l'action a 2 ; mais en
clôture on n'obtenait plus de cote.
Cette suspension a produit une nouvelle
commotion parmi les gens qui n'avaient
pas encore sondé la profondeur de l'abîme
financier où la Plata s'est engouffrée.
En attendant, les Bourses de Paris et de
Berlin manquent absolument d'animation,
tandis que New-York retombe de nouveau
dans une léthargie complète. Dans tous ces
centres, aussi bien qu'ici, le public s'abs-
tient ; élaat donnée ia situation présente,
il n'est guère probable qu'il change sa li-
gne de conduite d'ici longtemps. On cher-
che partout quelque encouragement aux
affaires, mais en vain. Nous nous trou-
vons dans une période aigûe de liquidation
et portons la peine d'une longue série
d'années de témérités financières insen-
sées. Nous avons à combattre, non seule-
ment une réaction commerciale naturelle,
mais encore une infinités de fraudes éhon-
tées, presque sans exemple dans les an-
nales de la finance.. Notre seule consola-
tion, pour le moment, c'est que le scalpel
soit vigoureusement appliqué, et qu'avant
peu nous nous trouvions dans une situa-
tion à pouvoir sincèrement croire que le
mal est enrayé. Ce serait trop présumer
que de nous bercer de l'espoir que la suspen-
sion de paiements de la Banque anglaise
du, Rio de la Plata n'entraînera aucune
autre difficulté dans la Cité. Les maisons
I sud-américaines doivent se ressentir vive-
ment de la crise ; il serait singulier que
quelques unes d'elles ne se vissent point
forcées de quitter les rangs. Sur tout cela
vient se greffer la probabilité d'une ban-
queroute delà République de l'Uruguay.
La mission du Dr Ellauri, en Europe, est
un fiasco complet ;. son gouvernement est
en faillite irrémédiable. Comme sa voisine,
l'Argentine, elle vit depuis des années sur
des emprunts ; la fin ne peut être bien
loin maintenant. La perspective n'est pas
agréable ; cependant nos tribulations pré-
sentes et à venir constituent la seule voie
menant à la convalescence.
La déclaration faite par le président de
la South American and Mexican Trust
Company à la dernière assemblée trimes-
trielle de cette Société, explique facile-
ment la discussion fréquente des affaires
de la maison Murrieta et Ge. Une somme
de £ 450.000 du capital de la Société est
placée en valeurs du Centre-Américain,
des Etats-Unis, du Mexique et de la Ré-
publique argentine. Mais, avant de faire
le placement eu Argentins, un arrange-
: ment avait été conclu avec les acheteurs,
; suivant lequel la Société se réservait le
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