Titre : La Vigie d'Arcachon : journal des intérêts du littoral ["puis" organe des intérêts d'Arcachon et du littoral]
Éditeur : [s.n.] (Arcachon)
Date d'édition : 1890-11-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328896653
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 253 Nombre total de vues : 253
Description : 13 novembre 1890 13 novembre 1890
Description : 1890/11/13 (A4,N177)-1890/11/19. 1890/11/13 (A4,N177)-1890/11/19.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Description : Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6117347b
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-7893
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2011
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11^ fi
EUKEAU5 : DU JGIIPJS AL : 208, BOULEVARD DE LA PLAGE
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Les -abonnements, et les annonces sont reçus aux Bureaux du journal ci auo
'.;/■' .... agences G&rchxs, PeyrotLarrauze, Dupuy et Penet.
PEIX DES AB'OHNEHSntS '
Département de la Gironde. ....
Autres départements. ..,.',.„..
Etranger , ,
. Un »B,_ _ f fr.
. Six mole, 4 fr„
. . Un a* » ft,
Dans ce vaste , établissement, . qui
attife^ fascine et retient l'élite . d-t nos
visiteurs, et touriste s, uous ayons ad-.
miré,ces jours dernier^-;,dcs.-am.é»;a- '
gemeûts nouveau:^.; .'...,
. trâ]#nev.ié/^
i;?ifijn||f^An^'i^fâud^ îjica "éelsiwi,<;u.t6i\ :
1;lé niors, avec encore-plus rie' iuxov
s'il est possible. Feuilles quotidiennes,
journaux illustrés, piano.
Tous ces sillons ouvrent sur la. belle
terrasse que, l'on sait.
Le Grand-Hôtel maintient sa réputa-
tion de tenue parisienne,.
L'esthétique des saisons areaehon-
naiscs est incomparable, au point d*
vue géodésiqne, géographique, clima-
tologiuue : et supérieure à toutes les
régions de la zone du Sud-Ouest.
Au Pi intemps, coivuiic partout, .dans,
ces iours de re.il ores.e.ene.f>_, les . oiso:ifont leurs nids et. la . terre se couvre
de verdure et de Meurs ; mais plus que-
partout ailleurs, on songe déjà aux
îetos ■riantes et magnifiques que l'on
organisera pour la colonie balnéaire.
En. mars, le .soleil entre dans le Bélier,
le premier signe séptentrionnal du zo-
diaque qui, de ses cornes d'or, va se-
couer la nature du long engourdisse-
ment, où elle est restée plong'ée pen-
dant les frimas. Avril,, consacré à
Vénus,.vient féconder la terre et ouvre
déjà le .sol an:-: douces espérances des
germes et des boutons Et voici qu'A-
pollon, poursuivant sa cours-à, est entré
dans les Gémeaux, emblème des fian-
çailles de la Terre et du Soleil. Le
mois de Maïa, mère de Mercure, cm-
bannie l'air de ses parfums : éveille le
bruissement des grands bois,; rythme
les hymnes de. bonheur ; et fait écloic.
sous, le firmament tous-les cantiques
de l'espérance, de la jeunesse et de
l'amour. Quel baume plus subtil et
plus suave, (pie l'odeur aromatique des
sève;?, ■'s'exhalant comme un encens
vaporeux 'de, la cime ' verte des pins
chenus, qui rem bleui; ''les candélabres
de ce temple majestueux.
L'Eté. : les: nuits restent naturelle-
ment très-fraîches, La pluie discrète,
p'aiaît attendre; l'heure des ténèbres,
pour,abreuver les. pelouses, abattre la
poussière.des jours..La .forêt, les hua- \
t.c.s iùn.es, .résista,nt:auxvents du .large.. -
ontfait.iï\oiiter .ic;s:-nuages, qui vont
porter plus.li.:-iIÏ la colère dedeura oura^.. '•'
■g;uis;:..J.iTLn/îdàns',''.sou e-triomphy; iuipo- :;b
sali t e t ! •;« up orb e;; - e Oufuré- - c'èl ni : dé la '
so'uveraiiie-de'l'plvmpe doïit il':povte'ié .b
nom, traversa l'Orient ^aiYs; uhè "tnar- 1
■■dtà'àsceiïsitfiiHelfô èî^Htô#M£,p&:! f
■ vouées es ■«içi^-'d^n.i.'b •laiuiéc.e . éblouis- i:
■'KâUte dout1àucuiio''traee d:ombfe n'iu- ",
tervompt la spiondeur.. , Ces; mêmes
ikiis lascilV, et'bleuissants vont., eu
.liiidet, le mois dièiioii et de César, en-
velopper de leurs pins douces caresses,
l'adolescence et la beauté. De infime,
en Août, tout aux plaisirs de l'onde
amèro, laissons-nous les moissons au
laboureur et les pampres au vigneron.
En Automne, partout ailleurs, les
feuilles tombent;: l'Autnnsév ère chasse
les brises molles et les veufs alésés..
Ici î'émoraude des hailiors ne craint ni'
la bise in la froidure. Aquilon !ui-;né-
me ne découro'nnera pas" nos'ia-trait''s
sylvaines. En Septembre, la seconde
sève, celio qui doit accumuler dans les
racines les principes de leur accroisse-
ment, finit de se développer. Car la
sève est ascendante eu,descendante.
La première pari, des rachr-r" et s'eu- *e
par les libres .ligneuses, jusqu'à soa
extrémité, en même temps' qu'elle se/
dévie dans Toutes le-; Lra.och.os de l'ar-
bre. La sève descendante prend sa
source jusqu'aux racines entre l'eeorce
et l'aubier. La sève se manifeste plus
particulièrement a deux épnqnes, d'où
l'on die : sève de printemps' et sève
d'automne. Oeil'è du printemps opère
principalement 'le èeveioppem'ent'des
: feuilles, des Meurs et des fruits: celle
: de i'autuume accroît la.longueur et la
grosseur des racines. En Octobre, on
suppute déjà les richesses ostréicoles
de l'année, qui "vont, faire le-;: délices
des gourmets.
L'Hiver vient enfin:"hiver modéré,
qui offre à l'organisme les ressorts d'u-
ne Vitalité robuste ei puissante et
l'inappréciable avantage de faire éprou-
ver ce générai bien-être qui résulte de-
là soustraction d'une excitation éner-
giqne. La, neige ne viens' visite ' pas.
Deseenurait-elle sur nos sables, que
: leur perméabilité h; boirait. L'astre du
ionv est encore h-L'-ùfaisaut:'-et pondant
la nuit, la iode brille duo. vif ôvlat, lés
rayons de Vénus sont aus-u purs, la
voie lactée répand d'aussi scintillantes
clartés. Décembre nous effraye-si peu,
que l'aristocratie la plus délicate,
fuyant des climats moins hospitaliers,
vient dans nos bois sacrés, chercher
l.t terre d'asile, D'ailleurs nos jardins
fleurissent en ri ci si vent la "véronique
agreste, le lanric-r-thym, le tussilage
odorant et môme quelques violettes ;
taudis que dans nos pares., et...sans lo
secours des serres-chaudes, les mimo-
sas,les aloés, les eucalyptus, lesiçamér.
lias, rivalisent avec- les chêaes-iièges:
et les orangers, .ta ,vier, dédié à .Tamis
porte ses.deux visages sur'''l'avenir et
le passé. Février, dont le nom : febma
veut dire pnvilïcation,-parcourt rapide-
ment le cycle de ses vingt-huit jour-
nées. Et ces deux mois, nous offreut
les distractions'cynégétiques : de pour-
suivre la sauvagine sur la mer: ou
d'exei'cer la. v:ncrie. .-'ur les brisées des,
piqueurs, au sein des bruyères et des.
genêts ; des ajoncs, des arbousiers, des.
fougères, des cépées, des broussailles
et des taillis.
0 terre infertile et peurfant féconde :
sol aride mais salutaire "i. viviueateur ;
grèves d'argent, arènes dorées ; lames
et.frondaisons, collines et vallées ; di-
tes-nous le secret de vos charmes, de
vos irrésistibles attraits V Est-ce la
grande voix de l'Océan, qui monte des
profondeurs de i'abioie ; est-ce l'har-
monie inéiaiicolique que pleurent- les
vents dans le mystère àes. cieux "? Est-
ce la.-croupe éeum.:infe des-vag-ucs dont
i'aïur se cuis fond avec ies lignes kr-
pvécises de.l'horizon ; ou les ombelles
m.m.v.autos'des feuilles des arbres, dee
buissons, des massifs et des bosquets?
Non, non, ce n'est point, le décor
grandiose du paysage ; la poésie de tes
solitudes enchantées: les séductions
de tes néréides et de tes uapées ; de-
dryades, de tes iiamadryades ; de tes
nymphes et de tes naïades ; de tes syl-
phes et de tes sylphides : de tes faunes
et tes sylvains !
Ton secret, les malheureux le savent:
ton secret et ta' gloire aussi. C'est, la
santé que. tu nous remis à tous, climat
sauveur, ferre bénie ! !
Tir aux Piajeons-
- - Ailo !
' - A,'e ! '
--- 'Meu-z-moi en oommnuicRfion avec
le U'-h'jéione eue le (."onseil municipal
vient de faire mso'.'îcr ;'; Ai'cachon.
■'— VVI'.Î'': •'■[•:.■: < 0 ecuniiomiealion.
— AUO :
— AUO :
— M. Mouuisseus. boulevard Plage ?
— Qu'est-ce que von^ me voulez ?
— ..re suis an Casino de Paris.*'
— Allons, tant mieux, qu'èst-oe que çta
me fait ?
— Je suis au tir du Casino de Patte;
c'est ravissant !
— Racontez-moi ya ?• -;
— Le fond représente une foret ; RU
premier plan . courant et gambadent dm
lièvres et des lapins. Quand ou tu* un
lapin il tombe et la machine roul&nl*
l-'a.uipoi.te : ou.marque.un.
De môme, pour le. deuxième plan où-
passeut. des sanglier».
An troisième plan sont des faisans qui
vo'ent. en-demi-cercle.
--Tiens! On pourrait peut-être iastai-
lerceln. à-Aroaclion i-' ■•.-■, : ■■
-r Pourquoi- pas"? Qu'y a-t-H'ile nou-
veau là-bas? ' -,- ■■ ■
-—Tir aux pigeons, aujourd'hui lundi
.1.0 novembre. o : . ■ . :
— Téiéphouez.-moi le résultat ?
Jolis pigeons d'esshi h 27 mètre.-:, par
MM. liaifon et Hillel: Poule en 3 pigeons,
■2 manques, Lors boula, gagnée par '$.'.
Thurneysseu.
— Bravo ! Adieu '
. — Bonsoir '
— A 110!
— AIIÔ:
— A propos, quand a- lieu le prochain
tir : - . • ~
— Vendredi prochain, I-i novembre, à
J heure, de Paprès-midi, rei.i.dex>voti8" â\ir
ie stand de FAiguillon. - . ' "
CORRESPQMBJINCE - -
!.e 1-! Novembre. 4860.
AroiifîjoH.
Monsieur le Rédacteur,
L'été dernier, an de vos énjiR^ntivij^c
teurs m'envoya une petite broe'hur*»aV 1»
climat extraordinaire d'Arcachon: tempé-
rature exceptionnelle ; jamais de j?ro}d#
jamais ^.e pluie... une ville d'biter com-
plète pour Les gens atteints de consÀ'Wp»
tion et de maladies rhumatisniiiles.
Etant assez heureux et privilégia d* -
posséder comme amis une- ohanmmiaef»-
uiii'.e établie dans ce paradis ocei.d*ii4*I,
'je. pvoiitai de leur aimable iuviUiiicç,
étant déjà éieetrisé par la brooUurô dis
célèbre docteur X...
.l'arrivai le mois dernier au grand ehp.«
Iet du comte *v. Qu'il gèle dans xnott p»rg
depuis seq tembre jusqu'en mai, «ut i-»ê
hrouillards jaunes s'étendent aur notre
grande métropole, oda est naturel,. M
conime dans toutes nos descriptions géo-
grajdiiques. nous sommes du resta. u*àï
Il ers de notre latitude, car eela'nûï>«
fait, un peuple 'v-nurunè et exception-
nel : mais, vene.outrer an qasi-^:He-8ij..i^
me degré un froid inteui»s en tvr;.v>br*, mu
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Les -abonnements, et les annonces sont reçus aux Bureaux du journal ci auo
'.;/■' .... agences G&rchxs, PeyrotLarrauze, Dupuy et Penet.
PEIX DES AB'OHNEHSntS '
Département de la Gironde. ....
Autres départements. ..,.',.„..
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Dans ce vaste , établissement, . qui
attife^ fascine et retient l'élite . d-t nos
visiteurs, et touriste s, uous ayons ad-.
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gemeûts nouveau:^.; .'...,
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1;lé niors, avec encore-plus rie' iuxov
s'il est possible. Feuilles quotidiennes,
journaux illustrés, piano.
Tous ces sillons ouvrent sur la. belle
terrasse que, l'on sait.
Le Grand-Hôtel maintient sa réputa-
tion de tenue parisienne,.
L'esthétique des saisons areaehon-
naiscs est incomparable, au point d*
vue géodésiqne, géographique, clima-
tologiuue : et supérieure à toutes les
régions de la zone du Sud-Ouest.
Au Pi intemps, coivuiic partout, .dans,
ces iours de re.il ores.e.ene.f>_, les . oiso:i
de verdure et de Meurs ; mais plus que-
partout ailleurs, on songe déjà aux
îetos ■riantes et magnifiques que l'on
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En. mars, le .soleil entre dans le Bélier,
le premier signe séptentrionnal du zo-
diaque qui, de ses cornes d'or, va se-
couer la nature du long engourdisse-
ment, où elle est restée plong'ée pen-
dant les frimas. Avril,, consacré à
Vénus,.vient féconder la terre et ouvre
déjà le .sol an:-: douces espérances des
germes et des boutons Et voici qu'A-
pollon, poursuivant sa cours-à, est entré
dans les Gémeaux, emblème des fian-
çailles de la Terre et du Soleil. Le
mois de Maïa, mère de Mercure, cm-
bannie l'air de ses parfums : éveille le
bruissement des grands bois,; rythme
les hymnes de. bonheur ; et fait écloic.
sous, le firmament tous-les cantiques
de l'espérance, de la jeunesse et de
l'amour. Quel baume plus subtil et
plus suave, (pie l'odeur aromatique des
sève;?, ■'s'exhalant comme un encens
vaporeux 'de, la cime ' verte des pins
chenus, qui rem bleui; ''les candélabres
de ce temple majestueux.
L'Eté. : les: nuits restent naturelle-
ment très-fraîches, La pluie discrète,
p'aiaît attendre; l'heure des ténèbres,
pour,abreuver les. pelouses, abattre la
poussière.des jours..La .forêt, les hua- \
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En Automne, partout ailleurs, les
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racines les principes de leur accroisse-
ment, finit de se développer. Car la
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source jusqu'aux racines entre l'eeorce
et l'aubier. La sève se manifeste plus
particulièrement a deux épnqnes, d'où
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L'Hiver vient enfin:"hiver modéré,
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l'inappréciable avantage de faire éprou-
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là soustraction d'une excitation éner-
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: leur perméabilité h; boirait. L'astre du
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la nuit, la iode brille duo. vif ôvlat, lés
rayons de Vénus sont aus-u purs, la
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clartés. Décembre nous effraye-si peu,
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fuyant des climats moins hospitaliers,
vient dans nos bois sacrés, chercher
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odorant et môme quelques violettes ;
taudis que dans nos pares., et...sans lo
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piqueurs, au sein des bruyères et des.
genêts ; des ajoncs, des arbousiers, des.
fougères, des cépées, des broussailles
et des taillis.
0 terre infertile et peurfant féconde :
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grèves d'argent, arènes dorées ; lames
et.frondaisons, collines et vallées ; di-
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vos irrésistibles attraits V Est-ce la
grande voix de l'Océan, qui monte des
profondeurs de i'abioie ; est-ce l'har-
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buissons, des massifs et des bosquets?
Non, non, ce n'est point, le décor
grandiose du paysage ; la poésie de tes
solitudes enchantées: les séductions
de tes néréides et de tes uapées ; de-
dryades, de tes iiamadryades ; de tes
nymphes et de tes naïades ; de tes syl-
phes et de tes sylphides : de tes faunes
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Ton secret, les malheureux le savent:
ton secret et ta' gloire aussi. C'est, la
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sauveur, ferre bénie ! !
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— Qu'est-ce que von^ me voulez ?
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lièvres et des lapins. Quand ou tu* un
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J heure, de Paprès-midi, rei.i.dex>voti8" â\ir
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Monsieur le Rédacteur,
L'été dernier, an de vos énjiR^ntivij^c
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climat extraordinaire d'Arcachon: tempé-
rature exceptionnelle ; jamais de j?ro}d#
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tion et de maladies rhumatisniiiles.
Etant assez heureux et privilégia d* -
posséder comme amis une- ohanmmiaef»-
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célèbre docteur X...
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hrouillards jaunes s'étendent aur notre
grande métropole, oda est naturel,. M
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