Presse et revues
11 pages
Titre : La Lumière : journal non politique... : beaux-arts, héliographie, sciences
Auteur : Société héliographique (France). Auteur du texte
Éditeur : Société d'héliographie (Paris)
Éditeur : A. GaudinA. Gaudin (Paris)
Éditeur : M.-A. GaudinM.-A. Gaudin (Paris)
Date d'édition : 1866-12-30
Contributeur : Monfort, Benito R. de (18..-18..). Directeur de publication
Contributeur : Gaudin, Alexis (1816-1894). Directeur de publication
Contributeur : Lacan, Ernest (1829-1879). Rédacteur
Contributeur : Gaudin, Marc-Antoine (1804-1880). Rédacteur. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32809606x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3408 Nombre total de vues : 3408
Description : 30 décembre 1866 30 décembre 1866
Description : 1866/12/30 (A16,N24). 1866/12/30 (A16,N24).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6111218d
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3100
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/12/2010
|6e Année.— j\\M 2î?^-l-'T—f Bnreaax tfabonuemeiit : lue dé la Perte, 9, à Paris.
30 Décembre 1866.
LUMIÈRE
REVUE DE LA PHOTOGRAPHIE
§, — HÉM©
JE. — 8
PAE4ISSAHT LE 15 ET LE 30 DE CHIQUE MOIS,
I.IC-À. GAUDIN,
RÉDACTEUR EN CHEF
Pour ce qui concerne la
Rédaction, écrire franco, 6, rue
Oudinot, à-il. Me-ÂïGAUPIÎï.
Pour les Abonnements ou les
réclamations relatives au ser-
vice, s'adresser à M. GAUDIN,
rue de là Perte, 9, à Parii.
l/éçEuSançe «In 31 décembre étmil la
lus Importante, noni prions .les per-
i>nnes dont l'aoonnement oxplrc A cette
poque,1 elles ne vealent E»». éprouver n'In-
rroplion dans l'envoi du 4onrnnl.
;;; SOMMAIRE; :/-.' V':'
ouveau programme dû Journal, par?M;.:M*-Â. Gaudiri; ;
ouveaux renseignements sur l'emploi dii papier leptogra-
phique. ':';.:•; ;: '.:. ■',..■'-. ' '■■:■:. •..
rocédés divers pour le tirage au charbon.
c l'action de la lumière solaire sur le verre, par M. Gaf^-
field (suite et fin).; s
ariétés : les fabriques de primeurs.
nnonces..
HOuïEMJMirçBAHBB W M0m
Je profite de l'expiration de cette aimée pour
nnoncer à nos lecteurs un changement dans
a forme du journal, qui m'a semblé désirable
epuis assez longtemps.: Il consistera à remr
lacer les articles de théorie,; qui paraissent
oujpurs trop longs, par renoncé des faits nou-
eaux qui se présenteront concernant la phb-
ographie, la lumière, l'optique, le dessin, les
uleurs, le verre, le papier; l'impression, etc.,
n y-ajoutant* pour représenter les sciences, la
elation de toutes les découvertes de grand
ntèrôt qui se produiront; même dans l'indus-
rie.pour procurer un peu de variété.
L'époque actuelle est très-favorable à la
cience vulgarisée .et à la science illustrée; il
aut donc être de son temps, si l'on veut se
aire lire. Ainsi, au lieu dé traduire pénible-
ent, mot pour mot, un article des publiça-
ions anglaises, je donnerai un résumé de
outes les nouvelles photographiques qu'elles
ontiendront, et transcrirai toutes les recettes
ni me paraîtront offrir de l'avantage.
Le programme que je suivrai désormais se
fouve réalisé, pour le passé, dans le Réper-
oire encyclopédique de M. H. de la Blanchère,
ui réunit par ordre alphabétique tous les faits
éjà. acquis à la photographie : seulement les
aits nouveaux qui y feront suite se trouveront
aturellement classés par ordre de date, à me-
ure de leur apparition.
Les objets principaux à l'ordre du jour sont
8 papier leptographique et le tirage au char-
°û. Pour le papier leptographique, je repro-
duis. Un nouvel article qui montre ses avan-
tages, sous un nouveau jour. A. défaut de la
notice de M. Despaquis sur le tirage des
épreuves au charbon, j'extrais du Répertoire
ëncyôldpédiqué dé M. de la: Blanchère diverses
variantes du.procédé au charbon.
Avant d'avoir vu opérer M.. Despaquis, la
pratique'du; propédé. au.charbon me paraissait
hérissée de difficultés; je croyais que cette
pellicule de' collodion si délicate se déchirerait
à' tout propos; il n'en est rien cependant": à la
faveur de la couche d'eau dans laquelle elle
baigne^ on- conserve intactes les feuilles de très-
grandes dimensions, et l'épanouissement gra-
duel et définitif de ces épreuves magnifiques
autant qu'impérissables procuré ,un spectacle
saisissant.
Comme on .a pu le pressentir par l'étendue
de ;la liste des exposants, publiée dans notre
dernier numéro, qui ne concerne que l'apport
delà France,, notre prochaine exposition pro-
met d'être bien brillante, quand tous les pays
étrangers auront fourni leur contingent; et
sans doute elle sera la cause de nombreux
progrès et d'applications nouvelles concernant
les appareils, les produits et les manipulations,
qui sont maintenant sous le secret et se mon-
treront alors au grand jour.
Mc-A. GADBIH.
EMPLOI DES PAPIERS LEPTOGRAPHIQUES (1).
La Société de leptographie fabrique, dans ses ate-
liers, deux sortes de papiers sensibilisés par elle, l'un
brillant, l'autre mat, remplaçant las papiers albumi-
■ (1) Le gérant de la Société de leptographie nous
adresse la lettre 1 suivante, à propos des observations
auxquelles le nouveau papier avait donné lieu :
Monsieur, .
Tenant compte' des observations. et des désirs ex-
primés à la Société de leptographie, cette dernière
s'est empressée d'apporter tous les perfectionnements
possibles à ses produits.
Elle a donc la satisfaction dé vous dire :
•I» Que les éraillures et soulèvements qui se pro-
duisaient quelquefois sur le papier-porcelaine lors des
manipulations, ont désormais disparu; — 2° les pa-
piers minces offrent deux types au choix : le mal
déjà connu, et le type brillant nouvellement fabri-
qué ; ce dernier est comparable comme brillant au
plus bel albuminé, qu'il surpasse du reste toujours
comme finesse des détails; — 3° les cartes-porcelaine
qui évitent le collage de l'image sont également éta-
blies dans lès, conditions nouvelles de solidité ; son
application aux portraits-cartes ne peut manquer de
devenir générale;—4e les tons noirs-bleu et les tons
sépia, ainsi que toutes les nuances intermédiaires,
peuvent être obtenus non-seulement par les virages
indiqués dans l'instruction, mais encore par la pin-
nés et salés. Ces deux sortes, semblables de prépa^
ration, sauf la question de brillant, ont des avantages
marqués. En effet, dans l'ancien système, et tout
photographe de profession le sait parfaitement, le
papier préparé au chlorure d'argent ne peut servir
à F obtention dé l'épreuve que pendant la journée ou
le lendemain au plustard en hiver seulement, du
jour où il a été nitrate, sous peine de le voir se dé-
composer et jaunir rapidement sous l'impression des
molécules de chlorure d'argent emprisonnées dans le
corps du papier. Tous les moyens proposés pour le
conserver indéfiniment ont échoué. Ainsi donc le
photographe, se trouve dans la double alternative de
perdrespn papier s'il ne l'emploie le même jour, ou
de ne pas profiter dès quelques rayons de lumière
des temps d'hiver, si, contre son attente, il n'en a
point assez préparé. De cela résulte une perte d'ar-
gent et de temps.
Avec le nouveau procédé, rien de tout cela n'est
plus à craindre; le papier, préparé d'avance et mis à
l'abri de la lumière, est toujours prêt à servir; on
peut le laisser, eh cas de mauvais temps, dans les
châssis positifs tout chargés, et le soumettre quelques
jours après.à une nouvelle exposition, pour achever
de!'tirer lès"épreuves.;; Puis;' si ;le -temps- manque, ne
le tirer que deux où trois jours après, sans aucun
inconvénient, sans perte de blancheur, ce qui est
bien' agréable, et' ne peut se rencontrer qu'avec ce
papier. L'expérience est là pour le démontrer, il est
aussi sensible au bout de six mois que le premier
jour.
L'altération du papier albuminé n'est due en grande
partie qu'à l'incorporation du soufre que contiennent,
les oeufs. Ce soufre mis en contact avec le nitrate
d'argent et l'hyposulfite de soude, vient causer les
perturbations que chacun déplore, en se convertissant
en sulfure d'argent. Le chlorure d'or, dont on a su
si heureusement profiter pour donner des teintes har-
monieuses et variées à l'épreuve, vienl bien ajouter
à la durabilité de l'image qu'il colore, mais il ne la
protège qu'imparfaitement; il n'agit que comme un
retardataire du travail intérieur qui mine l'épreuve
d'abord lentement, puis la jaunit et vient enfin effacer
pour toujours des reproductions artistiques faites dans
les conditions les plus consciencieuses.
Le papier leptographique, nous a-l-on assuré, ne
contient que des matières neutres et inertes, point
de nitrate d'argent; il est collodionné et non albu-
miné; les agents qui composent sa préparation, qui
est alcoolique, sont d'une neutralité absolue. Ainsi
donc, plus de soufre et partant plus d'altération pos-
sible. Ce procédé a par cela même fait un p:is im-
mense, et doit, à notre avis, préoccuper le" monde
part des virages communément en usage chez MM. les
photographes ; — S0 enfin, les prix des papiers ont
subi une réduction.
Les efforts que fait la Société pour réunir sur ses
produits toutes les conditions désirables de commo-
dité, sécurité, rapidité, finesse et économie lui per-
mettent d'espérer que l'accueil si favorable qu'ils ont
reçu jusqu'à ce jour lui sera continué par vous, afin
de l'encourager dans la voie de progrès incessant''
qu'elle s'est proposée.
Agréez, etc.
30 Décembre 1866.
LUMIÈRE
REVUE DE LA PHOTOGRAPHIE
§, — HÉM©
JE. — 8
PAE4ISSAHT LE 15 ET LE 30 DE CHIQUE MOIS,
I.IC-À. GAUDIN,
RÉDACTEUR EN CHEF
Pour ce qui concerne la
Rédaction, écrire franco, 6, rue
Oudinot, à-il. Me-ÂïGAUPIÎï.
Pour les Abonnements ou les
réclamations relatives au ser-
vice, s'adresser à M. GAUDIN,
rue de là Perte, 9, à Parii.
l/éçEuSançe «In 31 décembre étmil la
lus Importante, noni prions .les per-
i>nnes dont l'aoonnement oxplrc A cette
poque,
rroplion dans l'envoi du 4onrnnl.
;;; SOMMAIRE; :/-.' V':'
ouveau programme dû Journal, par?M;.:M*-Â. Gaudiri; ;
ouveaux renseignements sur l'emploi dii papier leptogra-
phique. ':';.:•; ;: '.:. ■',..■'-. ' '■■:■:. •..
rocédés divers pour le tirage au charbon.
c l'action de la lumière solaire sur le verre, par M. Gaf^-
field (suite et fin).; s
ariétés : les fabriques de primeurs.
nnonces..
HOuïEMJMirçBAHBB W M0m
Je profite de l'expiration de cette aimée pour
nnoncer à nos lecteurs un changement dans
a forme du journal, qui m'a semblé désirable
epuis assez longtemps.: Il consistera à remr
lacer les articles de théorie,; qui paraissent
oujpurs trop longs, par renoncé des faits nou-
eaux qui se présenteront concernant la phb-
ographie, la lumière, l'optique, le dessin, les
uleurs, le verre, le papier; l'impression, etc.,
n y-ajoutant* pour représenter les sciences, la
elation de toutes les découvertes de grand
ntèrôt qui se produiront; même dans l'indus-
rie.pour procurer un peu de variété.
L'époque actuelle est très-favorable à la
cience vulgarisée .et à la science illustrée; il
aut donc être de son temps, si l'on veut se
aire lire. Ainsi, au lieu dé traduire pénible-
ent, mot pour mot, un article des publiça-
ions anglaises, je donnerai un résumé de
outes les nouvelles photographiques qu'elles
ontiendront, et transcrirai toutes les recettes
ni me paraîtront offrir de l'avantage.
Le programme que je suivrai désormais se
fouve réalisé, pour le passé, dans le Réper-
oire encyclopédique de M. H. de la Blanchère,
ui réunit par ordre alphabétique tous les faits
éjà. acquis à la photographie : seulement les
aits nouveaux qui y feront suite se trouveront
aturellement classés par ordre de date, à me-
ure de leur apparition.
Les objets principaux à l'ordre du jour sont
8 papier leptographique et le tirage au char-
°û. Pour le papier leptographique, je repro-
duis. Un nouvel article qui montre ses avan-
tages, sous un nouveau jour. A. défaut de la
notice de M. Despaquis sur le tirage des
épreuves au charbon, j'extrais du Répertoire
ëncyôldpédiqué dé M. de la: Blanchère diverses
variantes du.procédé au charbon.
Avant d'avoir vu opérer M.. Despaquis, la
pratique'du; propédé. au.charbon me paraissait
hérissée de difficultés; je croyais que cette
pellicule de' collodion si délicate se déchirerait
à' tout propos; il n'en est rien cependant": à la
faveur de la couche d'eau dans laquelle elle
baigne^ on- conserve intactes les feuilles de très-
grandes dimensions, et l'épanouissement gra-
duel et définitif de ces épreuves magnifiques
autant qu'impérissables procuré ,un spectacle
saisissant.
Comme on .a pu le pressentir par l'étendue
de ;la liste des exposants, publiée dans notre
dernier numéro, qui ne concerne que l'apport
delà France,, notre prochaine exposition pro-
met d'être bien brillante, quand tous les pays
étrangers auront fourni leur contingent; et
sans doute elle sera la cause de nombreux
progrès et d'applications nouvelles concernant
les appareils, les produits et les manipulations,
qui sont maintenant sous le secret et se mon-
treront alors au grand jour.
Mc-A. GADBIH.
EMPLOI DES PAPIERS LEPTOGRAPHIQUES (1).
La Société de leptographie fabrique, dans ses ate-
liers, deux sortes de papiers sensibilisés par elle, l'un
brillant, l'autre mat, remplaçant las papiers albumi-
■ (1) Le gérant de la Société de leptographie nous
adresse la lettre 1 suivante, à propos des observations
auxquelles le nouveau papier avait donné lieu :
Monsieur, .
Tenant compte' des observations. et des désirs ex-
primés à la Société de leptographie, cette dernière
s'est empressée d'apporter tous les perfectionnements
possibles à ses produits.
Elle a donc la satisfaction dé vous dire :
•I» Que les éraillures et soulèvements qui se pro-
duisaient quelquefois sur le papier-porcelaine lors des
manipulations, ont désormais disparu; — 2° les pa-
piers minces offrent deux types au choix : le mal
déjà connu, et le type brillant nouvellement fabri-
qué ; ce dernier est comparable comme brillant au
plus bel albuminé, qu'il surpasse du reste toujours
comme finesse des détails; — 3° les cartes-porcelaine
qui évitent le collage de l'image sont également éta-
blies dans lès, conditions nouvelles de solidité ; son
application aux portraits-cartes ne peut manquer de
devenir générale;—4e les tons noirs-bleu et les tons
sépia, ainsi que toutes les nuances intermédiaires,
peuvent être obtenus non-seulement par les virages
indiqués dans l'instruction, mais encore par la pin-
nés et salés. Ces deux sortes, semblables de prépa^
ration, sauf la question de brillant, ont des avantages
marqués. En effet, dans l'ancien système, et tout
photographe de profession le sait parfaitement, le
papier préparé au chlorure d'argent ne peut servir
à F obtention dé l'épreuve que pendant la journée ou
le lendemain au plustard en hiver seulement, du
jour où il a été nitrate, sous peine de le voir se dé-
composer et jaunir rapidement sous l'impression des
molécules de chlorure d'argent emprisonnées dans le
corps du papier. Tous les moyens proposés pour le
conserver indéfiniment ont échoué. Ainsi donc le
photographe, se trouve dans la double alternative de
perdrespn papier s'il ne l'emploie le même jour, ou
de ne pas profiter dès quelques rayons de lumière
des temps d'hiver, si, contre son attente, il n'en a
point assez préparé. De cela résulte une perte d'ar-
gent et de temps.
Avec le nouveau procédé, rien de tout cela n'est
plus à craindre; le papier, préparé d'avance et mis à
l'abri de la lumière, est toujours prêt à servir; on
peut le laisser, eh cas de mauvais temps, dans les
châssis positifs tout chargés, et le soumettre quelques
jours après.à une nouvelle exposition, pour achever
de!'tirer lès"épreuves.;; Puis;' si ;le -temps- manque, ne
le tirer que deux où trois jours après, sans aucun
inconvénient, sans perte de blancheur, ce qui est
bien' agréable, et' ne peut se rencontrer qu'avec ce
papier. L'expérience est là pour le démontrer, il est
aussi sensible au bout de six mois que le premier
jour.
L'altération du papier albuminé n'est due en grande
partie qu'à l'incorporation du soufre que contiennent,
les oeufs. Ce soufre mis en contact avec le nitrate
d'argent et l'hyposulfite de soude, vient causer les
perturbations que chacun déplore, en se convertissant
en sulfure d'argent. Le chlorure d'or, dont on a su
si heureusement profiter pour donner des teintes har-
monieuses et variées à l'épreuve, vienl bien ajouter
à la durabilité de l'image qu'il colore, mais il ne la
protège qu'imparfaitement; il n'agit que comme un
retardataire du travail intérieur qui mine l'épreuve
d'abord lentement, puis la jaunit et vient enfin effacer
pour toujours des reproductions artistiques faites dans
les conditions les plus consciencieuses.
Le papier leptographique, nous a-l-on assuré, ne
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de nitrate d'argent; il est collodionné et non albu-
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est alcoolique, sont d'une neutralité absolue. Ainsi
donc, plus de soufre et partant plus d'altération pos-
sible. Ce procédé a par cela même fait un p:is im-
mense, et doit, à notre avis, préoccuper le" monde
part des virages communément en usage chez MM. les
photographes ; — S0 enfin, les prix des papiers ont
subi une réduction.
Les efforts que fait la Société pour réunir sur ses
produits toutes les conditions désirables de commo-
dité, sécurité, rapidité, finesse et économie lui per-
mettent d'espérer que l'accueil si favorable qu'ils ont
reçu jusqu'à ce jour lui sera continué par vous, afin
de l'encourager dans la voie de progrès incessant''
qu'elle s'est proposée.
Agréez, etc.
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