Presse et revues
4 pages
Titre : La Lumière : journal non politique... : beaux-arts, héliographie, sciences
Auteur : Société héliographique (France). Auteur du texte
Éditeur : Société d'héliographie (Paris)
Éditeur : A. GaudinA. Gaudin (Paris)
Éditeur : M.-A. GaudinM.-A. Gaudin (Paris)
Date d'édition : 1864-08-15
Contributeur : Monfort, Benito R. de (18..-18..). Directeur de publication
Contributeur : Gaudin, Alexis (1816-1894). Directeur de publication
Contributeur : Lacan, Ernest (1829-1879). Rédacteur
Contributeur : Gaudin, Marc-Antoine (1804-1880). Rédacteur. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32809606x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3408 Nombre total de vues : 3408
Description : 15 août 1864 15 août 1864
Description : 1864/08/15 (A14,N15). 1864/08/15 (A14,N15).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6111072h
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3100
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/12/2010
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jiniiée. — N° 15. Bureaux d'abonnement : rue de k Perle, 9, à Paris." 15 Août 1864
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PARAISSANT Î.É 15 ET LE 30 DE CHAQUE MOIS.
l.J<;-A.GAjBiN,! ':
RÉDACTEUR ;EiV .CUBE j
Pour ce qui concerne la
Rédaction, écrire franco, 6, nié
Oudinot, à 5Ï. Ïl'-A. (SAÙDÏSr "
Pour les Abonnements ou les
réclamations relatives àû ser-
vice,-, s'adresser à M; .GATJDJrï,
rué'dé-là Perlé* 9; à Paris.
On s'abonne* à LflridreSj Ser-"
iiïonlânei5:T>oct6r's:Cominôn».
■'■■ .'.' r'-<>&ig& .'■
:.JliiiniqùeS-''d'^'-,corpB^iàflHeuxi"V
épreuves photographiques 'sur verre, obtenu au
de l'oxide .double d'argent, et de .plOrnb,:. par., le
'l ■ .■r";- . ;;: '■ -'-'"■'.' ' ' '■-:' - ". ' ■'.-.
niéOioâê de photographié au côUodibri sec, par
; Kaiser- i :■;.";■'..:■ '.•'■■■: ■'■
5 Seis deplàtinei de rhodium et d'iridium.
aplne, en ; Égypte^par M., de Roùgé (suite.) '
scientifique; :■ :Ëlpge. historique de Kepler, par
rand. (Suite,et fin;) , .. .;■
IÉTÊS CHIMUiMS DES CORPS ; GÉLATINEUX.
atières: organiques,dé.-,,ce genre ont acquis
ographie une certaine importance depuis
découvert les: propriétés .qu'elles possèdent
nir complètement inspiuibles dans l'eau
après leur insolation en présence des,bi-
cs alcalins. J'extrais donc du Photographie
elques renseignements, sur ces substances
composition est presque identique ; elles
probablement une série de corps isqipéri-
mme il s'en .trouve tant dans, le règne or-
. Les substances examinées sont au nombre
savoir: l'osséine, la gélatine, la ■chondrine, la
pisson, et les nids d'oiseçiuxi'.
Qsséine.
matière animale se trouve dans les os ; c'est,
te, la même: substance qui existe dans les
oit pendant la vie, soit au moment où l'on
e les animaux. Elle est caractérisée par son
lité, son inaptitude à se combiner avec le
et finalement par la facilité à subir un cer-
ngement moléculaire, qui lui permet de se
lentement en gélatine par son ébullition
M it la pression ordinaire, et rapidement
cuisson se fait à haute pression à une tem-
élevée, et très-lentement aussi sous l'in-
ùe la putréfaction.
Gélatine.
la'ine est une substance solide demi-lrans^
qui absorbe l'eau en forte proportion
i tout en devenant par ce fait transparente.
'rès-peu soluble dans l'eau froide, mais
Me dans l'eau bouillante ; et cette solution
a Propriété caractéristique de former une
se refroidissant. La gélatine possède la pro-
J5 solidifier l'eau à un tel degré, qu'une
e gélatine peut former gelée avec 100 par-
' û» a remarqué que la gélatine perd cette
- "«portante par une ébullition prolongée
■ '°n ordinaire ou quand on porte la tem-
.aiJ delà de
._llnils de dire que si la gélatine solide ré-
«gteinps à la putréfaction, ses solutions
j,L se Putréfient très-promptement; mais
utl u l^aisir de vous apprendre que quel-
lion ' aC'âe carb°Mque peuvent prévenir sa
i'anifendant très-lonStemPs- La gélatine se
Renient dans l'acide acétique de force
Ii|(,je(ails le vinaigre, et cette solution que
c°mme colle peut rester fluide et se
conserver pendant'quelque temps. L'action dé IV
cide sulfurique' sur'là 1 gélatine est importante au
point dé vue scientifique, ::ën ce, qu'il en résulte Un
alcaloïde nomméleucine ,;: ainsi, qu'une substance
sucrée nommée, giycOcoie .-ou-;;sucre.de;gélatine: La
gélatine se; distingue desiautrés substances organiques
par les réactions, chimiques suivantes : elle produit
un précipité blanc avec l'alcool et avec le chlore,
avec le tannin, mais non avec l'acide gallique. Les
propriétés du précipité formé par lé tannin (ou acide
tannique) prennent de l'importance, la, transforma^
tioades peaux en cuir en étant la conséquence. La
proportion relative: de ces deux substances (gélatine
et tannin) varient en raison des quantités mises en
présence; mais on a examiné, un précipité renfer-.
m'ant jusqu'à. 46 0/0 de tannin ; il est insoluble dans
l'eau et résiste complètement à la putréfaction.
M. Pinson, de Paris) a fabriqué récemment desi.ob*
jets d'ornementation variés, dits en écaille de tortue
artificielle, qu'il obtient, en fondant à une tempes
rature modérée de la gélatine combinée à une faible
proportion de sels métalliques qu'il coule dans des
moules, colorant la masse avec l'hydrosulfate d'am-
moniaque^ de manière à produire la marbrure de
l'écaillé de tortue. Les objets ainsi fabriqués sont
ensuite polis et deviennent ainsi propres à l'usage.
Chondrine.
La chondrine, ou gélatine cartilagineuse, remar-
quée pour lapremière fois par MM. Millier et Vogel
jeune, est intéressante, en ce qu'elle possède des
propriétés qui diffèrent non-seulement de celles de la
gélatine, mais en ce qu'elles nuisent à la qualité de
celle-ci par son mélange avec elle. En effet, elle
produit un précipité avec l'acide acétique, l'alun,
le prosulfate de fer et autres sels, et comme on
emploie souvent la gélatine avec ces substances, on
comprend combien ces précipités nuisent à ses ap-
plications.
D'un autre côté, les qualités particulières à cette
sorte de gélatine peuvent être, je pense, mises à
profit dans l'art d'impression sur tissus en place
d'albumine et de lactine.
Colle de poisson.
La colle de poisson s'extrait de la vessie nata-
toire de certaines espèces de poissons,. surtout de
celle de l'esturgeon. Pour en extraire une belle
qualité de substance gélatineuse, on ramollit d'a-
bord dans l'eau les membranes des vessies, puis on
les lamine à haute pression, on forme de feuilles
minces de plusieurs pieds de longueur; à leur
tour ces feuilles sont débitées en minces parcelles
fillïaires par des couteaux faisant mille tours à la
minute. Cette qualité est destinée aux usages' do-
mestiques. Pour les emplois industriels, on prépare
une qualité inférieure avec les attaches des vessies.
La colle de poisson est en réalité composée de gé-
latine unie à une matière membraneuse très-déliée,
insoluble dans l'eau, qui se trouve aussi dans le
blanc d'oeuf, mais en plus faible proportion; c'est
ce réseau qui joue un si grand rôle dans les cla-
rifications , représentant l'usage principal de la
colle de poisson, et cette membrane préexistante se
joint dans son effet au précipité fibrineux que déter-
minent l'alcool et le; tannin: dès,brassons par; leur
contact avec-l'a.portion gélatineuse.; .■-■':.
La composition de ces quatre substances est : la
suivante: ■'.-
^GolieVij
'. ■■ . 0,sséine.:,Gélatinei.:Ghôndrinë.;depoisspn
Carbone»,.... - 5Ô.i = &0v0. 50;61 50.56- ;
Hydfogène.J. ; 6.S; 6L5: 6.58 0.90a
Azote........ 16.9 - W.5: M.M 17;.79!i
Oxygène..... 26.2 26.0 -- 27.37; ;. 24.75ï
• Nids'd'oiseaux. ■ -
La substauce qui compose ce' singulier çornesti'
ble, si recherché dans l'Inde,: est de nature animale,;
elle se vend quelquefois eh Europe, au prix élevé,
de 200 à 300 francs le kilogramme. Sa composition
approche beaucoup de celle ,de la gélatine, elle se
dissout comme elle dans l'eau, bouillante, mais ne
forme pas; de: gelée en se refroidissant
RELIEE DES ÉPREUVES PHuTOGRÀPfllQUES SDR, VERRE
POSITIF ■ OBTENU AD MOYEN; DE,L'OXIDE: DOUBLE
D'ARGENT^ ET; DE îLOÏÏBv ,
On écrit dé Berlin au Bulletin belge de la photo-
graphie :
Berlin, 30 juin 1864.
Monsieur le directeur,
Le cercle photographique de Berlin a été mis en,
état d'apprécier deux communications qui me pa-
raissent assez intéressantes pour que je me borne
aujourd'hui à en entretenir les lecteurs de votre
estimable-journal. M. Osborne a soumis à rassem-
blée une étude sur le relief que présentent souvent
les négatives sur verre, et il a présenté toute une
série de reliefs obtenus de, cette façon, quelques-uns
même très-vigoureux. Cette communication a donng
lieu a une discussion animée entre plusieurs mem-
bres, non-seulement à cause de la priorité de l'ob-
servation, qui a été faite par quelques praticiens
déjà, mais aussi sur la question de savoir s'il est
possible, et dans quelle mesure il l'est, d'en tirer
parti pour la reproduction des épreuves par l'im-
pression typographique. Nous ne suivrons pas les
orateurs dans leurs arguments pour et contre la
possibilité d'utiliser ce singulier phénomène : mais
il nous paraît curieux de résumer l'exposé de M. Os-
borne lui-même. En général, dit-il, on est tenté de
considérer les épreuves négatives obtenues par les
procédés ordinaires comme des surfaces planes :
l'observation a cependant démontré qu'il n'en est
pas ainsi et que les épreuves de ce genre offraient
des creux et des reliefs très-sensibles, surtout dans
les images dont les lignes sont très-arrêtées et qui
offrent peu de demi tons. Ces creux sont assez pro-
noncés pour que l'étain en feuille en garde l'em-
preinte, llien de plus facile du reste que ' de s'en
assurer : sur l'épreuve négative, placée sur un bloc
de plâtre, appliquez une feuille d'étain où il y ait
un alliage assez riche de plomb et passez le tout à
la presse lithographique ou au cylindre à satiner. Il
vous arrivera plus d'une fois de faire éclater le verre,
mais pas toujours. Pour obtenir les empreintes dans
toute leur pureté, il est bon de mouiller d'abord
la plaque avec de la gomme arabique ou d'enlever
jiniiée. — N° 15. Bureaux d'abonnement : rue de k Perle, 9, à Paris." 15 Août 1864
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après leur insolation en présence des,bi-
cs alcalins. J'extrais donc du Photographie
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composition est presque identique ; elles
probablement une série de corps isqipéri-
mme il s'en .trouve tant dans, le règne or-
. Les substances examinées sont au nombre
savoir: l'osséine, la gélatine, la ■chondrine, la
pisson, et les nids d'oiseçiuxi'.
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matière animale se trouve dans les os ; c'est,
te, la même: substance qui existe dans les
oit pendant la vie, soit au moment où l'on
e les animaux. Elle est caractérisée par son
lité, son inaptitude à se combiner avec le
et finalement par la facilité à subir un cer-
ngement moléculaire, qui lui permet de se
lentement en gélatine par son ébullition
M it la pression ordinaire, et rapidement
cuisson se fait à haute pression à une tem-
élevée, et très-lentement aussi sous l'in-
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Gélatine.
la'ine est une substance solide demi-lrans^
qui absorbe l'eau en forte proportion
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Me dans l'eau bouillante ; et cette solution
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se refroidissant. La gélatine possède la pro-
J5 solidifier l'eau à un tel degré, qu'une
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point dé vue scientifique, ::ën ce, qu'il en résulte Un
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proportion relative: de ces deux substances (gélatine
et tannin) varient en raison des quantités mises en
présence; mais on a examiné, un précipité renfer-.
m'ant jusqu'à. 46 0/0 de tannin ; il est insoluble dans
l'eau et résiste complètement à la putréfaction.
M. Pinson, de Paris) a fabriqué récemment desi.ob*
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proportion de sels métalliques qu'il coule dans des
moules, colorant la masse avec l'hydrosulfate d'am-
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ensuite polis et deviennent ainsi propres à l'usage.
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propriétés qui diffèrent non-seulement de celles de la
gélatine, mais en ce qu'elles nuisent à la qualité de
celle-ci par son mélange avec elle. En effet, elle
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comprend combien ces précipités nuisent à ses ap-
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D'un autre côté, les qualités particulières à cette
sorte de gélatine peuvent être, je pense, mises à
profit dans l'art d'impression sur tissus en place
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celle de l'esturgeon. Pour en extraire une belle
qualité de substance gélatineuse, on ramollit d'a-
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les lamine à haute pression, on forme de feuilles
minces de plusieurs pieds de longueur; à leur
tour ces feuilles sont débitées en minces parcelles
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minute. Cette qualité est destinée aux usages' do-
mestiques. Pour les emplois industriels, on prépare
une qualité inférieure avec les attaches des vessies.
La colle de poisson est en réalité composée de gé-
latine unie à une matière membraneuse très-déliée,
insoluble dans l'eau, qui se trouve aussi dans le
blanc d'oeuf, mais en plus faible proportion; c'est
ce réseau qui joue un si grand rôle dans les cla-
rifications , représentant l'usage principal de la
colle de poisson, et cette membrane préexistante se
joint dans son effet au précipité fibrineux que déter-
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de 200 à 300 francs le kilogramme. Sa composition
approche beaucoup de celle ,de la gélatine, elle se
dissout comme elle dans l'eau, bouillante, mais ne
forme pas; de: gelée en se refroidissant
RELIEE DES ÉPREUVES PHuTOGRÀPfllQUES SDR, VERRE
POSITIF ■ OBTENU AD MOYEN; DE,L'OXIDE: DOUBLE
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On écrit dé Berlin au Bulletin belge de la photo-
graphie :
Berlin, 30 juin 1864.
Monsieur le directeur,
Le cercle photographique de Berlin a été mis en,
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aujourd'hui à en entretenir les lecteurs de votre
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les négatives sur verre, et il a présenté toute une
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même très-vigoureux. Cette communication a donng
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déjà, mais aussi sur la question de savoir s'il est
possible, et dans quelle mesure il l'est, d'en tirer
parti pour la reproduction des épreuves par l'im-
pression typographique. Nous ne suivrons pas les
orateurs dans leurs arguments pour et contre la
possibilité d'utiliser ce singulier phénomène : mais
il nous paraît curieux de résumer l'exposé de M. Os-
borne lui-même. En général, dit-il, on est tenté de
considérer les épreuves négatives obtenues par les
procédés ordinaires comme des surfaces planes :
l'observation a cependant démontré qu'il n'en est
pas ainsi et que les épreuves de ce genre offraient
des creux et des reliefs très-sensibles, surtout dans
les images dont les lignes sont très-arrêtées et qui
offrent peu de demi tons. Ces creux sont assez pro-
noncés pour que l'étain en feuille en garde l'em-
preinte, llien de plus facile du reste que ' de s'en
assurer : sur l'épreuve négative, placée sur un bloc
de plâtre, appliquez une feuille d'étain où il y ait
un alliage assez riche de plomb et passez le tout à
la presse lithographique ou au cylindre à satiner. Il
vous arrivera plus d'une fois de faire éclater le verre,
mais pas toujours. Pour obtenir les empreintes dans
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