Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1864-07-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 31 juillet 1864 31 juillet 1864
Description : 1864/07/31 (Numéro 547). 1864/07/31 (Numéro 547).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k588657c
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/07/2008
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QTTOTÏBIEM
I ÎV NUMERO
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j, $.v.m
partent du l"ou du 1C de chaque Mois
Mandat ou tinbFes-PfWfc
PETIT 3OUW1:|
e ynoms -̃-•
'Si j'avais une décoration à demander, di-
sait hier, par trente-deux degrés de chaleur,
Hya ̃inthe du Palais-Royal, je solliciterais.
l'ordre du Uain.
n.fait, en effet, si étouffant partout, que
l'eau est, l'heure actucUe. un élément qui
fait fureur on se ferait volontiers Triton,
si Neptune acceptait dès engagements volon-
;aires.
̃.
Lébajn a éié, de tout temps, un ,grandluxe
des peuples fastueux, une nécessité des peu-
plades nécessiteuses.
M lis les bains publics n'ont pas toujours
existé.
Il n'est pas besoin depalais pour nager;
les mœurs austères de la république romai-
ne répudiaient cette recherche qui se pèr-
sonnifie dans les gymnases nautiques des
Grecs.
Les Romains se baignaient dans le Tibre
Et ce ne fut que plus tard que l'on con-
struisit des thermes, contenant des bains
variées.
Du temps de César le luxe des bains n'eut
pas de bornes.
Les bassins étaient en marbre;
Les pavés en mosaïque
Les murs et les plafonds ornés de pein-
tures
Les plus beaux morceaux de sculpture
servaient d'ornement à ces lieux de réu-
mon.
Le Laocoon a été trouvé dans les bains de
Tivoli, et dans ceux de Ca-
racalia.
J'ai en la curiosité de regarder ce matin
ce au étaient les bains de Paris en f807,
Je copie textuellement l'alinéa sur les
bains publics sur la Seine.
1 C'est M. Poitevin qui, en 1765, fit le pre-
mier construire des bains sur bateaux flot-
tants. Ces bains ont des instruments qui rè-
glent le degré de chaleur convenable. Le
prix du bain- est de 1 franc 50 centimes.
Les écoles de natation étaient au nombre
de deux, cette du quai Bonaparte et cellede
l'iie de la Fraternité.
Aujourd'hui, les bains sont nombreux à
Paris comme à Home.
Il n'est pas de grandes maisons sans salle
de bains,
Et. dans vingt hôtels, l'or, l'argent et le
stuc brillent à promsion.
V**
Les bains publics de Paris manquent de
FEUILLETON. DU PETIT .JOURNAL j
»u 31 juiluit ISOi.
• CIUMÈRlî
Suite..
ij.
î'ïi'i.sesl la n-nttl^uils, les plus j
presque des palais, cl j
la rue lit moins tut inorable est Iiordcfi de-viim'
vivre au sein de la grandi' cité, et cependant, j
lui aussi l'avait entrevue à Iiviuts unkaléi-j
ne. C'est que, pour, bien comprendre ifl. pour;
bien admirer Paris, il ne suffit pas de eontem-l
pler sa physionomie de pierre. il f.u.il surtout
envisager son âme, et IVune est toujours jouir ;>
xe n'îvé.ler.
Maisqii'iniporUiitiiu jeune homme l'éclat plus!
ou ninjns éblouissaiil de la eapfôi'f VQue lui itn- j
portait la Grandeur de «'erveillc de l'ir.-j
lelligonc'e t' il avait en tète, il avait au cœur un
plus impérieux souci. Il Si.' d(!iiiaiKiait a\i\-
biiion, revoir celles qui s'éAaicnl emparées ly-
mettant à 'profit l'inrHatidn qui lui en avait été
indiqués \ tuédicale.
fl y a un pédicure attaché à tout établis-
de. 1e wiassage'c' la friction. nécessaires aux
gen-; sujets il la goutte ou aux infirmité^
Ii suffirait, pour organiser ce service de
l'rictions russes:dèquciqucs mètres d'espace,
Et Paris aurait au moins, comme Londres
et Constantinople, un bain complet.
Voici quelques axiomes pour les bai-
gneurs
Le bain d'eau chaude doit être pris deux
heures après avoir mangé.
Il doit être de la température de 22 à
degrés Réaumur..
Il ne doit pas être prolongé an delà de
trois quarts d'heure, a peine d'affaiblisse-
ment, de congestion à la tête ou à la poitrine.
Une personne grasse supportera une
température plus accusée qu'une personne
maigre.
Les règles du bain froid sont savamment
groupées par M. le docteur H. Montanier.
collaborateur de Y Opinion nationale.
Et nous extrayons, en les abrégeant
regret, quelques lignes de son curieux tra-
vail.
Les bains froids de rivière ou de mer sont
d'un usage presque général aujourd'hui.
Pour être mis à profit,nos conseils doivent
ôtre précédés d'une- étude sur l'action de
l'eau froide sur le corps de l'homme.
L'eau offre une densité beaucoup plus
considérable que celle de l'air extérieur;
ëlle est, en outre, et par conséquent, nfeil-
loure condiclricc de la chaleur que lui
d'où il résulte que, lorsqu'on se plonbe dans
un bain froid, on perd rapidement une quan-
tité notable de chaleur, et que le corps su-
bit une pression assez ;rande; d'où, avec la
sensation du froid, une certaine gène de la
respiration, et en même temps un ralentis-
sement de la circulation et par conséquent
une diminution dans le nombre des batte-
ments du coeur et du pouls.
C'est là le premier effet du bain froid, et il
est d'autant p'us prononcé que la tempéra-,
turc,de l'eau est elle-même plus basse;niais
biontôlun effet contraire se produit, princi-
palement si le baigneur se livre à des mou-
vements un peu violents une réaction s'é-
tablit plus ou moins vite, le cœur bat avec
plus de i'orce, la respiration s'accélère un
peu, la température ducorpsslélève graduel-
Le. baigneur a conscience de cet état, et
c'est le bon moment pour' .sortir du bain,
car, si l'on prolonge celui-ci, celle- période
de réaction salutaire cesse il s;c l'ait un nou-
faite «>-«!(• insistance, ii eût pu se .présenter aux.,
[Mais, on le comprend sanspoino, il répugnait
i hasiirii du soin de lui ménager une reiioonttc
lortui eavec l'une oi; l'aulre. tics trois jeunes
iiiles. i.'r, le hasard aime beaucoup les un)OU-
reux il les favorise, il les aide, sur.lpul, quand
.eux-mêmes savent s'aider un peu.
Dominique.,
le monde élégant, an bois, à Féç;lise. au théàlrr.
lies stalles de J),ilc:>n, lorsqu'un brus<]iie mou-
veineui. lui échappa aussitôt ii uiiiniima le
nom do Gnlisie. C'était bici:, en
vait eh jïi reconnu et. le désignait, vivement à u;ie
dame d'un à^!C mûr. d'un .visage distingué,
fois iiidélinie. mais presque toujours percepti-
ble, (ini rév. èl« une mire. Caliste élail encore
'pius'ebioûfsstiiHc de jeunesse et de fraîcheur
qu'elle ne l'avait .pnru à Douarnencz. Elle était
iti .lioiii!. de niiro de toutes les lorgnettes du dan-'
pas s't'> préoccuper. Elle dirigeait;! chaque in-
tlroif- inémi.'où fJjnniiiqiio était placé, et!e cœur
̃ du -jeune homme palpitait sous Fiiiiuience.Ju-
mifioiisode ces deux voua plus-juu-s que le dia-
niiiiit.
A il se pendit au. loyer. A
pe'my avaH-i! fait quelques pbs qu'il se Iroii-
tion froid se lait sentir; on attendrait vai-
jiemeUi une nouvelle réaction organique. Air
irontr«ïjn», plits 'e bain" se 'p'rolohgerait, p'ius.
k's pii4iïomrnt'.s de concentration se pronon-
ceraient; on éprouverait un certain malaise
pas sans danger, &i\to
de l'eau, par exemple, était de
dix a douze degrés.
est impossible de déterminer à quelle
température doit être l'eau pour que le bain
soit le lus salutaire. Cola dépend de l'habi-
tude déjà contractée, de la vigueur du sujet,
de sa force de'résistance-, Pour que la réac-
tion se fasse et qu'on sache en profiler, ]e
bain est d'autant nieilieurqu'il est plus froid,
JDn peut arriver à prendre graduellement
.des bains d'eau glacée, 'non pas seulement
sans, danger, mais même 'avec beaucoup
d'avantagés pour la santé.
Le bain e*t aussi d autant meilleur que
l'eau est plus courante; la percussion de
l'eau est une cause d'excitation de plus, et*
elle rend le bain beaucoup plus tonique.
Tout le^monde sait que les bains froids ne
doivent pas, être pris pendant le travail de la
digestion; laconséquence en pourrait être
une grave indigeston ou même une conges-
tion mortelle. Les exemples sont nombreux
d'individus qui ont succombé dans ces con-
ditions.
Les bains doivent être peu prolongés,nous
l'avons déjà dit, pour être réellement salu-
taires.
Pour éviter la congestion du poumon ou
de la tête, le baigneur doit se jeter brusque-
ment à l'eau, de façon à être complément
immergé d'un coup et non point s'avancer
peu à peu de manière k immerger successi-
veroent son corps deubas en haut.^ ,<.u >“
II est très bon, au moins pendant la ma-
jeure partie du bain, de se livrer à un exer-
cice quelconque ceux qui savent nager fe-
ront de la natation, tes autres exécuteront,
soutenus un objet quelconque, le plus de
mouvements possibles. De cette façon, le
bain pourra être prolongé beaucoup plus
iqnglèmps tout en conservant son'action-to-
nique et bienfaisante Quand ta température
extérieure est élevée, le moment le plus pro-
pice pour prendre un bain est le mat n, une
heure environ-après le lever du soleil son
efl'et fortifiant est alors bien marqué. Quand
le temps est un peu froid, il vaut mieux se
baigner. vers quatre où cinq heures du soir.
.̃
Voilà la ̃science médicale, diei's lecteurs,
il votre portée;, grâce au docteur Monlanier.
Le bain a besoin d être réglementé, fût-ce
un siniple' iia'.n de pieds, il la moutarde, ou
au se) gris.
.le ne vous, psr e pas du bain, de mains,
prescrit par l'ancienne médecine, qui l'ap-
pel^iit^le inciiiluce et l'ordonna t pour déga-
ger la. poitrine.
va enj présence de Caliste. et.de sa mère. Les
deux Tenmies lurent les -|rçn)ièi:es à l'aborder.
.(.̃lioLir'uno lui lui quand il était à
qu'elle était impatiente de lui prodiguer de Ci-
ve voix. -Kilo lm lit jirouiellrc que Je lendemain
regagna sa stalle, il nageait en pleine félicité.
Au 'dernier acte de la Favorite pendant, que
notre- Breton, éieclrisé, tourna la tète, et son re-
gard aila celui de Calisle. Un observa-
t(Hir péiselraMt. pouvait, supposer que deux âmes
vonaicuL de se tondre dans ce choc mystérieux
sous les tliuninès de l'ardenle mélodie.
.Leltjndèinaiii fut pour Doininiijue un nouvel
i.encjKinleinenl. La baronne de ïtochehrune et
!.sa iii'e r.accueilliri'nl dans l:inlimilé. Elles n'a-
vaicui.'pas voulu,, dirent-elles, partager le plai-
(le le recevoir. D'ailleurs, Olympe de Treuil
et (Sialienne Dornans étaient encoro avec leurs
l'ansilies a la campagne, et toute antre personne
ne pouvait, que gêner .T'cxpansion toute ualu-
S relie qui s'échappait de leur cceur.
Nous vous gardons toute ta journée, dit
i M'"° de ll'ochebrùne avec une douce autorité;
si vous ne trouvez pas le temps trop long, ce
1 soir vous nous accompagnerez au bois.
sJ)oiîV.nique s'inclina sans répondre, maisl'ex-
Eirteôre mpiys du bain de tetre, en;î)ïoy4
On Impatient debout dans !ki
Sot, çptfuitp on. a&t (ait
̃p!nn(é. 2'"
Tout-vtait enîerré, la tête e.vcoplu.
Et ce mçycn délorrainait ùnesuoitf abo»-
!̃
Ltvi'on«-nou> donc tous aux bpiilie,urs-
aquatiques, on ces jours' de chaleur excès-,
isive, elsuivons les règles qui nous nont tra-
cées. ̃̃̃.
Le sorbet parfumé n'est pas .d'un prix
proportionne à !Nous ne pouvons pas tous posséder la-villa
faux -grands. arbres, ..la salle de lj;;ins ;\ux
l'esclave turque agi-1-
¡tant l'éventail ou le chasse-mouche.
Mais nous pouvons- tous nous jplèr îi.b
rivière, Ma mer,– selon que l'une, ou j'outre
jsont à notre proximité.
L'Eau coule. poiii1 toutlp monde.
'̃̃ ̃ -V! fi ;^TIMOTUÉETIi!AIM.
On installe en. ce moment devant le guichet
du Louvre, en lacé du punt des Arts, la statue
en bronze du comte de Gasparin. Celte statue,
'plus grande que nature, et fondue dans les aftî-.
Mlers de M. Victor Thiébault, a été cxmiii'cp.-ir
ment sur une des Elle publiques nrodumie-
d'Orange {Vaucluso), pairie du célèbre.nome,
̃̃ "̃" ''•
L'Acadëiuie de t'institut impérial de France tiendra sa sèaii-
ce publique annuelle le vendredi ;i aoi'il pro-
chain, sous- la présidence de M. de Saulcy.
̃ M.'le président, iians le discours d'ouvertuiv,
"annoncera tes pro. décernes et tes
|j»'ix proposas.
M. lesecréteire porpéUiei lira une notice his-
torique sur lu vie ol les travaux de
trenifci'ti de (puincvi, membre de l'Aç-adcuiie de?;
pe rj •" UpL'
de l;Aeaderijie des beaux. -arts.
M. i'^Sn?'' lira un morceau intitulé ^Hit'I-
de documents originaux et eoiiicm'
connus ^11" la prise do Consiantmopie jsii'U.
'Turcs. '<,) >• ̃̃"•' ̃
Celle hièmê Académie, dans sa sjcanci^d'tiioi.
29 juillet,' a p-artà^^ib pvix. du coiicours. roj.-ii li
aux livres dits herinëiûlHçs, enlro.M. l.iiiiis J|<1'-
nard, docteur es .Iftltpes, et AI. Félix Hi,h:i;
docteur es leUres, proiesseur d'Iiisloir»: im-nii-.
léco'Ue NapoléoiiviUoV
Dans là séance précédente, PAcadOm-'t'ju-
geant le concours de IWSî sur tes anllcjutUs ïa France, avait Jà-orné la tiiétiaiS'e
ii -M. Henri Lepa^'e; !JOUI' son Pouillë (lu dh'fi'£,
de 'foui et ses autres .ouvrages sur ^histoire d*-
la Lorraine:
La deuxième niwjaille, à M. Arthur l'orgeais.
pour sa (Jottcdio" de plombs lùstorU's Irowrcs
dans.la Seine
La iro.isièine médaille, a M. Ldouani,i\i.eiiiy,,
jio'ur'son ouvrage .sur les Manuscrits et yiin;»-
turcs ric la bibliothèque, de Laon.
tout" le. son âme. Vers huit heu-
res, la baronne' fit avancer une jolie calèche de
remise. Elle n'était point assez riche pour avoir.,
équipage. Yeuve d'un général morlen.aoliviW'.
de service, toute sa fortune se composail. d'une
dizaine de pille ii vresde rente el d'une pen-
sion que lui servait l'Etat. Ce revenu, disait-on,,
ne suffisait point aux dépenses un peu inconsi-
dérées de la mère aet de la fille, de sorte .qaie le
capital, ajoutait-on, était déjà sensibjemeiit e-
brèche. Mais le monde est si méchant qu'il ne
faut pas croire tout. ce qu'il dit.
Quoi qu'il en soit. Dominique se laissait dé-
river au fil. du bonheur comme une barque i h- ̃
dolente dérive au fil de l'eau. Assis en lacc.ife
Caliste, il savourait, pour ainsi.parler., ses beau-
tés une à. une et s'étonnait ingénument que Dieu
ait '-créé un être si. éclatant et si parlait. Dans
son extase, avait.peine à garder assez Vie pré-
sence d'esprit pour répondre sans trop "dé ma-
ladresse la baropne, qui L'interrogeait 'sur son
existence de province., sur sa famille, sur scy
relation;
Ainsi, pour.-i.ivit, Mmo de Koc-hchr-ii t io, 1 1.
votre dépari a du lui causer bien de î'eiuiUif.A
son âge, toute séparation est cruelle.
C'est lùi-mênie, madame, qui m'a conseillé
de venir visiter Paris. J'étais un peu Irisle, il ;«
espéré qu'un voyage. yne distrairait, et je, suis
Yingisansf. ii est encore si actif. qu'il
lui-même fé travail de ses métayers. (.<•̃ «•
i-;Tvf.t?.i.A. '•& r»r« «s r.
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QTTOTÏBIEM
I ÎV NUMERO
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partent du l"ou du 1C de chaque Mois
Mandat ou tinbFes-PfWfc
PETIT 3OUW1:|
e ynoms -̃-•
'Si j'avais une décoration à demander, di-
sait hier, par trente-deux degrés de chaleur,
Hya ̃inthe du Palais-Royal, je solliciterais.
l'ordre du Uain.
n.fait, en effet, si étouffant partout, que
l'eau est, l'heure actucUe. un élément qui
fait fureur on se ferait volontiers Triton,
si Neptune acceptait dès engagements volon-
;aires.
̃.
Lébajn a éié, de tout temps, un ,grandluxe
des peuples fastueux, une nécessité des peu-
plades nécessiteuses.
M lis les bains publics n'ont pas toujours
existé.
Il n'est pas besoin depalais pour nager;
les mœurs austères de la république romai-
ne répudiaient cette recherche qui se pèr-
sonnifie dans les gymnases nautiques des
Grecs.
Les Romains se baignaient dans le Tibre
Et ce ne fut que plus tard que l'on con-
struisit des thermes, contenant des bains
variées.
Du temps de César le luxe des bains n'eut
pas de bornes.
Les bassins étaient en marbre;
Les pavés en mosaïque
Les murs et les plafonds ornés de pein-
tures
Les plus beaux morceaux de sculpture
servaient d'ornement à ces lieux de réu-
mon.
Le Laocoon a été trouvé dans les bains de
Tivoli, et dans ceux de Ca-
racalia.
J'ai en la curiosité de regarder ce matin
ce au étaient les bains de Paris en f807,
Je copie textuellement l'alinéa sur les
bains publics sur la Seine.
1 C'est M. Poitevin qui, en 1765, fit le pre-
mier construire des bains sur bateaux flot-
tants. Ces bains ont des instruments qui rè-
glent le degré de chaleur convenable. Le
prix du bain- est de 1 franc 50 centimes.
Les écoles de natation étaient au nombre
de deux, cette du quai Bonaparte et cellede
l'iie de la Fraternité.
Aujourd'hui, les bains sont nombreux à
Paris comme à Home.
Il n'est pas de grandes maisons sans salle
de bains,
Et. dans vingt hôtels, l'or, l'argent et le
stuc brillent à promsion.
V**
Les bains publics de Paris manquent de
FEUILLETON. DU PETIT .JOURNAL j
»u 31 juiluit ISOi.
• CIUMÈRlî
Suite..
ij.
î'ïi'i.sesl la n-nttl^uils, les plus j
presque des palais, cl j
la rue lit moins tut inorable est Iiordcfi de-viim'
vivre au sein de la grandi' cité, et cependant, j
lui aussi l'avait entrevue à Iiviuts unkaléi-j
ne. C'est que, pour, bien comprendre ifl. pour;
bien admirer Paris, il ne suffit pas de eontem-l
pler sa physionomie de pierre. il f.u.il surtout
envisager son âme, et IVune est toujours jouir ;>
xe n'îvé.ler.
Maisqii'iniporUiitiiu jeune homme l'éclat plus!
ou ninjns éblouissaiil de la eapfôi'f VQue lui itn- j
portait la Grandeur de «'erveillc de l'ir.-j
lelligonc'e t' il avait en tète, il avait au cœur un
plus impérieux souci. Il Si.' d(!iiiaiKiait a\i\-
biiion, revoir celles qui s'éAaicnl emparées ly-
mettant à 'profit l'inrHatidn qui lui en avait été
indiqués \
fl y a un pédicure attaché à tout établis-
de. 1e wiassage'c' la friction. nécessaires aux
gen-; sujets il la goutte ou aux infirmité^
Ii suffirait, pour organiser ce service de
l'rictions russes:dèquciqucs mètres d'espace,
Et Paris aurait au moins, comme Londres
et Constantinople, un bain complet.
Voici quelques axiomes pour les bai-
gneurs
Le bain d'eau chaude doit être pris deux
heures après avoir mangé.
Il doit être de la température de 22 à
degrés Réaumur..
Il ne doit pas être prolongé an delà de
trois quarts d'heure, a peine d'affaiblisse-
ment, de congestion à la tête ou à la poitrine.
Une personne grasse supportera une
température plus accusée qu'une personne
maigre.
Les règles du bain froid sont savamment
groupées par M. le docteur H. Montanier.
collaborateur de Y Opinion nationale.
Et nous extrayons, en les abrégeant
regret, quelques lignes de son curieux tra-
vail.
Les bains froids de rivière ou de mer sont
d'un usage presque général aujourd'hui.
Pour être mis à profit,nos conseils doivent
ôtre précédés d'une- étude sur l'action de
l'eau froide sur le corps de l'homme.
L'eau offre une densité beaucoup plus
considérable que celle de l'air extérieur;
ëlle est, en outre, et par conséquent, nfeil-
loure condiclricc de la chaleur que lui
d'où il résulte que, lorsqu'on se plonbe dans
un bain froid, on perd rapidement une quan-
tité notable de chaleur, et que le corps su-
bit une pression assez ;rande; d'où, avec la
sensation du froid, une certaine gène de la
respiration, et en même temps un ralentis-
sement de la circulation et par conséquent
une diminution dans le nombre des batte-
ments du coeur et du pouls.
C'est là le premier effet du bain froid, et il
est d'autant p'us prononcé que la tempéra-,
turc,de l'eau est elle-même plus basse;niais
biontôlun effet contraire se produit, princi-
palement si le baigneur se livre à des mou-
vements un peu violents une réaction s'é-
tablit plus ou moins vite, le cœur bat avec
plus de i'orce, la respiration s'accélère un
peu, la température ducorpsslélève graduel-
Le. baigneur a conscience de cet état, et
c'est le bon moment pour' .sortir du bain,
car, si l'on prolonge celui-ci, celle- période
de réaction salutaire cesse il s;c l'ait un nou-
faite «>-«!(• insistance, ii eût pu se .présenter aux.,
[Mais, on le comprend sanspoino, il répugnait
i hasiirii du soin de lui ménager une reiioonttc
lortui eavec l'une oi; l'aulre. tics trois jeunes
iiiles. i.'r, le hasard aime beaucoup les un)OU-
reux il les favorise, il les aide, sur.lpul, quand
.eux-mêmes savent s'aider un peu.
Dominique.,
le monde élégant, an bois, à Féç;lise. au théàlrr.
lies stalles de J),ilc:>n, lorsqu'un brus<]iie mou-
veineui. lui échappa aussitôt ii uiiiniima le
nom do Gnlisie. C'était bici:, en
vait eh jïi reconnu et. le désignait, vivement à u;ie
dame d'un à^!C mûr. d'un .visage distingué,
fois iiidélinie. mais presque toujours percepti-
ble, (ini rév. èl« une mire. Caliste élail encore
'pius'ebioûfsstiiHc de jeunesse et de fraîcheur
qu'elle ne l'avait .pnru à Douarnencz. Elle était
iti .lioiii!. de niiro de toutes les lorgnettes du dan-'
pas s't'> préoccuper. Elle dirigeait;! chaque in-
tlroif- inémi.'où fJjnniiiqiio était placé, et!e cœur
̃ du -jeune homme palpitait sous Fiiiiuience.Ju-
mifioiisode ces deux voua plus-juu-s que le dia-
niiiiit.
A il se pendit au. loyer. A
pe'my avaH-i! fait quelques pbs qu'il se Iroii-
tion froid se lait sentir; on attendrait vai-
jiemeUi une nouvelle réaction organique. Air
irontr«ïjn», plits 'e bain" se 'p'rolohgerait, p'ius.
k's pii4iïomrnt'.s de concentration se pronon-
ceraient; on éprouverait un certain malaise
pas sans danger, &i\to
de l'eau, par exemple, était de
dix a douze degrés.
est impossible de déterminer à quelle
température doit être l'eau pour que le bain
soit le lus salutaire. Cola dépend de l'habi-
tude déjà contractée, de la vigueur du sujet,
de sa force de'résistance-, Pour que la réac-
tion se fasse et qu'on sache en profiler, ]e
bain est d'autant nieilieurqu'il est plus froid,
JDn peut arriver à prendre graduellement
.des bains d'eau glacée, 'non pas seulement
sans, danger, mais même 'avec beaucoup
d'avantagés pour la santé.
Le bain e*t aussi d autant meilleur que
l'eau est plus courante; la percussion de
l'eau est une cause d'excitation de plus, et*
elle rend le bain beaucoup plus tonique.
Tout le^monde sait que les bains froids ne
doivent pas, être pris pendant le travail de la
digestion; laconséquence en pourrait être
une grave indigeston ou même une conges-
tion mortelle. Les exemples sont nombreux
d'individus qui ont succombé dans ces con-
ditions.
Les bains doivent être peu prolongés,nous
l'avons déjà dit, pour être réellement salu-
taires.
Pour éviter la congestion du poumon ou
de la tête, le baigneur doit se jeter brusque-
ment à l'eau, de façon à être complément
immergé d'un coup et non point s'avancer
peu à peu de manière k immerger successi-
veroent son corps deubas en haut.^ ,<.u >“
II est très bon, au moins pendant la ma-
jeure partie du bain, de se livrer à un exer-
cice quelconque ceux qui savent nager fe-
ront de la natation, tes autres exécuteront,
soutenus un objet quelconque, le plus de
mouvements possibles. De cette façon, le
bain pourra être prolongé beaucoup plus
iqnglèmps tout en conservant son'action-to-
nique et bienfaisante Quand ta température
extérieure est élevée, le moment le plus pro-
pice pour prendre un bain est le mat n, une
heure environ-après le lever du soleil son
efl'et fortifiant est alors bien marqué. Quand
le temps est un peu froid, il vaut mieux se
baigner. vers quatre où cinq heures du soir.
.̃
Voilà la ̃science médicale, diei's lecteurs,
il votre portée;, grâce au docteur Monlanier.
Le bain a besoin d être réglementé, fût-ce
un siniple' iia'.n de pieds, il la moutarde, ou
au se) gris.
.le ne vous, psr e pas du bain, de mains,
prescrit par l'ancienne médecine, qui l'ap-
pel^iit^le inciiiluce et l'ordonna t pour déga-
ger la. poitrine.
va enj présence de Caliste. et.de sa mère. Les
deux Tenmies lurent les -|rçn)ièi:es à l'aborder.
.(.̃lioLir'uno lui lui quand il était à
qu'elle était impatiente de lui prodiguer de Ci-
ve voix. -Kilo lm lit jirouiellrc que Je lendemain
regagna sa stalle, il nageait en pleine félicité.
Au 'dernier acte de la Favorite pendant, que
notre- Breton, éieclrisé, tourna la tète, et son re-
gard aila celui de Calisle. Un observa-
t(Hir péiselraMt. pouvait, supposer que deux âmes
vonaicuL de se tondre dans ce choc mystérieux
sous les tliuninès de l'ardenle mélodie.
.Leltjndèinaiii fut pour Doininiijue un nouvel
i.encjKinleinenl. La baronne de ïtochehrune et
!.sa iii'e r.accueilliri'nl dans l:inlimilé. Elles n'a-
vaicui.'pas voulu,, dirent-elles, partager le plai-
(le le recevoir. D'ailleurs, Olympe de Treuil
et (Sialienne Dornans étaient encoro avec leurs
l'ansilies a la campagne, et toute antre personne
ne pouvait, que gêner .T'cxpansion toute ualu-
S relie qui s'échappait de leur cceur.
Nous vous gardons toute ta journée, dit
i M'"° de ll'ochebrùne avec une douce autorité;
si vous ne trouvez pas le temps trop long, ce
1 soir vous nous accompagnerez au bois.
sJ)oiîV.nique s'inclina sans répondre, maisl'ex-
Eirteôre mpiys du bain de tetre, en;î)ïoy4
On Impatient debout dans !ki
Sot, çptfuitp on. a&t (ait
̃p!nn(é. 2'"
Tout-vtait enîerré, la tête e.vcoplu.
Et ce mçycn délorrainait ùnesuoitf abo»-
!̃
Ltvi'on«-nou> donc tous aux bpiilie,urs-
aquatiques, on ces jours' de chaleur excès-,
isive, elsuivons les règles qui nous nont tra-
cées. ̃̃̃.
Le sorbet parfumé n'est pas .d'un prix
proportionne à !Nous ne pouvons pas tous posséder la-villa
faux -grands. arbres, ..la salle de lj;;ins ;\ux
l'esclave turque agi-1-
¡tant l'éventail ou le chasse-mouche.
Mais nous pouvons- tous nous jplèr îi.b
rivière, Ma mer,– selon que l'une, ou j'outre
jsont à notre proximité.
L'Eau coule. poiii1 toutlp monde.
'̃̃ ̃ -V! fi ;^TIMOTUÉETIi!AIM.
On installe en. ce moment devant le guichet
du Louvre, en lacé du punt des Arts, la statue
en bronze du comte de Gasparin. Celte statue,
'plus grande que nature, et fondue dans les aftî-.
Mlers de M. Victor Thiébault, a été cxmiii'cp.-ir
ment sur une des Elle publiques nrodumie-
d'Orange {Vaucluso), pairie du célèbre
̃̃ "̃" ''•
L'Acadëiuie
ce publique annuelle le vendredi ;i aoi'il pro-
chain, sous- la présidence de M. de Saulcy.
̃ M.'le président, iians le discours d'ouvertuiv,
"annoncera tes pro. décernes et tes
|j»'ix proposas.
M. lesecréteire porpéUiei lira une notice his-
torique sur lu vie ol les travaux de
trenifci'ti de (puincvi, membre de l'Aç-adcuiie de?;
pe rj •" UpL'
de l;Aeaderijie des beaux. -arts.
M. i'^Sn?'' lira un morceau intitulé ^Hit'I-
de documents originaux et eoiiicm'
connus ^11" la prise do Consiantmopie jsii'U.
'Turcs. '<,) >• ̃̃"•' ̃
Celle hièmê Académie, dans sa sjcanci^d'tiioi.
29 juillet,' a p-artà^^ib pvix. du coiicours. roj.-ii li
aux livres dits herinëiûlHçs, enlro.M. l.iiiiis J|<1'-
nard, docteur es .Iftltpes, et AI. Félix Hi,h:i;
docteur es leUres, proiesseur d'Iiisloir»: im-nii-.
léco'Ue NapoléoiiviUoV
Dans là séance précédente, PAcadOm-'t'ju-
geant le concours de IWSî sur tes anllcjutUs
ii -M. Henri Lepa^'e; !JOUI' son Pouillë (lu dh'fi'£,
de 'foui et ses autres .ouvrages sur ^histoire d*-
la Lorraine:
La deuxième niwjaille, à M. Arthur l'orgeais.
pour sa (Jottcdio" de plombs lùstorU's Irowrcs
dans.la Seine
La iro.isièine médaille, a M. Ldouani,i\i.eiiiy,,
jio'ur'son ouvrage .sur les Manuscrits et yiin;»-
turcs ric la bibliothèque, de Laon.
tout" le. son âme. Vers huit heu-
res, la baronne' fit avancer une jolie calèche de
remise. Elle n'était point assez riche pour avoir.,
équipage. Yeuve d'un général morlen.aoliviW'.
de service, toute sa fortune se composail. d'une
dizaine de pille ii vresde rente el d'une pen-
sion que lui servait l'Etat. Ce revenu, disait-on,,
ne suffisait point aux dépenses un peu inconsi-
dérées de la mère aet de la fille, de sorte .qaie le
capital, ajoutait-on, était déjà sensibjemeiit e-
brèche. Mais le monde est si méchant qu'il ne
faut pas croire tout. ce qu'il dit.
Quoi qu'il en soit. Dominique se laissait dé-
river au fil. du bonheur comme une barque i h- ̃
dolente dérive au fil de l'eau. Assis en lacc.ife
Caliste, il savourait, pour ainsi.parler., ses beau-
tés une à. une et s'étonnait ingénument que Dieu
ait '-créé un être si. éclatant et si parlait. Dans
son extase, avait.peine à garder assez Vie pré-
sence d'esprit pour répondre sans trop "dé ma-
ladresse la baropne, qui L'interrogeait 'sur son
existence de province., sur sa famille, sur scy
relation;
Ainsi, pour.-i.ivit, Mmo de Koc-hchr-ii t io, 1 1.
votre dépari a du lui causer bien de î'eiuiUif.A
son âge, toute séparation est cruelle.
C'est lùi-mênie, madame, qui m'a conseillé
de venir visiter Paris. J'étais un peu Irisle, il ;«
espéré qu'un voyage. yne distrairait, et je, suis
Yingisansf. ii est encore si actif. qu'il
lui-même fé travail de ses métayers. (.<•̃ «•
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