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même temps conforme à la prononciation, on ne pouvait choisir de
signe plus fidèle que la réunion des deux voyelle ai; car toujours,
si je ne m'abuse, nous les prononçons comme l'è grave lorsqu'elles
appartiennent à une syllabe finale et qu'elles sont suivies d'une
- consonne autre que 17 (l). La moindre incertitude sur la manière de
prononcer les imparfaits, les conditionnels, les noms de peuple, etc.,
ne saurait donc plus être permise à quiconque possède les pre-
mières notions de la lecture ; et l'étranger, comme le Français, ne
peut maintenantattribuer qu'à sa seule ignorance le doute qui l'ar-
rête ou la méprise qu'il commet.
C'est encore , selon moi, par une très-judicieuse déférence que
l'Académie conserve le t au pluriel des mots en antet en ent, et
sanctionne l'usage qui est aujourd'hui le plus général. Comme il
faut rendre justice à chacun, je dirai cette fois à la louange des
grammairiens , qu'ils ont la plupart conseillé cette Utile et sage ré-
forme longtemps avant que l'Académie l'eût adoptée.
Le même discernementparaît avoir présidé au choix que l'Aca-
démie a fait dans l'immense vocabulaire néologique ouvert devant
elle depuis plus de quarante ans, et qui chaque jour est grossi par
la science, ou par le charlatanisme verbeux. Il fallait une grande
sûreté de jugement pour ne pas céder à la force de l'exemple quand
il est mauvais, pour le sanctionner à propos quand il est bon ; il
fallait surtout une sagacité peu commune, un tact juste et fin,
pour prévoir la destinée des termes nouveaux, en appréciant l'im-
portance et la durée de ce qui en a déterminé la création. Dételles
qualités ne sontpeut-être jamais l'apanage d'un seul homme, parce
que le moins passionné a toujours, quoi qu'il fasse, ses prédilections
et ses répugnances qui le maîtrisent. Elles semblent ne pouvoir ap-
partenir qu'à une réunion d'esprits divers, où les préventions respec-
tives se neutralisent et ne laissent dominer que l'impassible raison.
L'Académie est l'organe de l'usage, mais l'organe intelligent et
discret; elle ne consent pas à devenir un de ces aveugles échos
d'autant plus admirés qu'ils répètent plus de paroles. Elle ne crie
point au public ébahi : « Voilà cinquante mille mots, en voilà cent
mille, en voilàcentcinquantemille; êtes-vous contents ? » Elle dit :
« Voilà ce qui me semble utile, raisonnable et vrai; je ne suis point
un compilateur indifférent, mais un juge. » Il suffira de quelques
exemples pour montrer qu'elle s'est dignement acquittée de son de-
voir, au grand avantage de notre langue, aujourd'hui si fatiguée
de son maladif embonpoint.
Ainsi le Dictionnaire admet les mots utiliser, mobiliser, popu-
lariser, régulariser, parce qu'ils sont formés d'après la même
analogie que subtiliser, familiariser, etc.^ et qu'ils ont déjà ^
comme ces derniers, leurs substantifs correspondants, utilité,
mobilité,popularité, régularité. Il recueille également délimiter,
délimitation, qui répondent à limiter et limitation, comme ré-
fléchit'et réflexion à fléchir et flexion.
Mais l'Académie réprouve, jusqu'à ce qu'un plus long usage ait
fait oublier la barbarie de leur origine, les verbes activer, démo-
raliser, se suicider. Le premier, qui est un dérivé à'actif, devrait
rigoureusement avoir une forme moulée sur celle de vivifier, dé-
rivé de vif, et l'on dirait actifier. Il est bien vrai que vif est la
souche des mots aviver et raviver ; mais ce sont )à des composés,
qui suivent la même, loi que les dérivés analogues de pur, par
exemple, lequel donne épurer, apurer, etc., mais dont le dérivé
simple est purifier. Une raison subsidiaire qui a dû déterminer le
rejet absolu du mot activer, c'est qu'il estde la plus parfaite inu-
tilité : car on peut toujours le remplacer par les mots accélérer,
presser, hâter, au moins si l'on se borne à la signification qui pa-
raît lui être généralement attribuée. Mercier, cenéologue fougueux,
le retourne comme un chapeau d'arlequin, et lui donne trois sens :
l'usage a donc aussi ses timidités, puisqu'il n'en tolère qu'un seul ?
i Quant au verbe démoraliser, qui entraîne avec lui le substantif
démoralisation, je ne connais qu'une raison qui le pût faire ad-
mettre ; c'est le besoin d'énoncer un fait terrible, dont là triste évi-
dence frappe tous les esprits. Mais si la chose est affreuse, le mot
doit-il être barbare? A-t-on jamais dit, moraliser un peuple,
| pour dire-, donner à un peuple une morale, de bonnes moeurs? et
I le terme de moralisation se trouve-t-il ailleurs que dans Boiste?
I Le verbe démoraliser, avec l'acception qu'on lui prête, et son
substantif démoralisation, mentent donc à leur origine, et n'ex-
primentqu'un grossier contre-sens. Je conviens qu'il existe dans no-
tre langue beaucoup de dérivés dont la signification ne cadre plus
avec celle du mot qui les a fournis : c'est un fâcheux résultat des
lentes et inégales altérations que la langue éprouve, et peut-être
aussi du développement imparfait de ses lois de dérivation. Pour
. cela, faut-il aggraver le mal, et augmenter la liste des mots incon-
grus à l'intelligence desquels l'étymologie même est fatale?
J'ai parlé d'une idée affreuse exprimée par un terme barbare :
cela nous ramène assez naturellement au prétendu verbe se suici-
der. Il existe peu de mots qui attestent davantage l'ignorance de
ceux par lesquels ils furent mis en crédit. Mercier n'en a pas voulu :
c'est tout dire. L'abbé Desfontaines créa le substantif suicide, qu'on
peut au moius justifier parle mauvais latin sut coedes, meurtre de
soi-même; et bientôt naquit lé monstrueux dérivé se suicider,
auquel l'analyse n'ose point toucher, tant il offre de non-sens. Com-
prenez-vous, dites-moi Je me suiciderai, en d'autres termes, je me
(me régime direct) commettrai un meurtre de soi-même?'C'est
l'absurde élevé à sa plus haute puissance. Anathème donc à cet
indigne petit-fils de Desfontaines, que son aïeul même désavoue-
rait ; et revenons au simple parler de nos pères , qui disaient tout
bonnement se tuer, se donner la mort, ou, avec une pittoresque
énergie, se défaire.
Il est un mot, le verbe baser, que défendront avec opiniâtreté
les néologues amateurs du superflu, malgré l'avertissement que
l'Académie leur donne aujourd'hui par son silence. Baser est con-
forme à l'analogie, mais il est en revanche tout aussi complètement
inutile qu'activer; et je doute, malgré la faveur dont il semble
jouir, que ce double redondant du. verbe fonder puisse jamais être
sanctionné par le bon Usage, et trouver grâce devant les juges qui
l'ont condamné.
Parmi les articles dont l'Académie a cette fois augmenté son
Dictionnaire, on en remarque plusieurs sur les noms propres de-
venus appellatifs qui se reproduisent assez fréquemment dans le
discours, tels que Amphitryon, Dulcinée, Nestor, Stentor, etc.,
mais il ne m'a pas été possible de découvrir le motif pour le-
quel, admettant les deux premiers, Amphitryon et Dulcinée,
elle ne veut point de Sosie et de don Quichotte, qui en sont
comme les corrélatifs obligés, les pendants lexicographiques, et
dont la valeur appetlativê ne saurait être douteuse. Serait-ce une
omission tout involontaire ? J'incline à le penser : ne voit-on pas
des taches au soleil?
Pour qui ne jure que par l'ordre alphabétique, le Dictionnaire
est muet sur cette foule de mots cachés pour ainsi dire au fond de
la langue, et qu'une plume ingénieuse ou hardie peut amener au
grand jour, lorsqu'elle manque des termes nécessaires à la com-
plète et vive expression de là pensée. Les esprits moins étroits et
moins routiniers s'apercevront bientôt que l'Académie est à cet
égard suffisamment explicite, et qu'elle a fait, sans hésiter, toutes
les concessions que l'analogie réclame. Elle donne, par exemple,
dans l'article consacré à la particule RE, la loi de formation que
doivent suivre les mots à la composition desquels on l'emploie;
puis elle ajoute : « Il serait inutile de réunir dans un dictionnaire
« tous les mots qu'on est libre dé former avec la particule Re;
« nous nous bornerons à indiquer ceux qui sont consacrés par l'u-
« sage. » Dans les articles IN , DE , Sous, etc., elle montre la même
prévoyance et une réserve tout aussi indulgente. Après cela, que
penser de ces accusations téméraires par lesquelles on impute à
l'Académie d'avoir omis les mots déconstruire, sous-interpréter,
et d'autres, employés dans la préface du Dictionnaire avec, tant
de justesse et d'à-propos?
L'Académie n'avait pas seulement à choisir parmi les termes
récents qui attendaient une décision favorable ou contraire; elle
devait aussi l'attention la plus sérieuse aux mots qui sont dans le
patrimoine certain de notre langue; et c'est avec une scrupuleuse
application qu'elle s'est attachée à revoir leurs définitions, à cons-
(1) Excepté dansje saisjevais, qu'on prononce^ se, je vé.
même temps conforme à la prononciation, on ne pouvait choisir de
signe plus fidèle que la réunion des deux voyelle ai; car toujours,
si je ne m'abuse, nous les prononçons comme l'è grave lorsqu'elles
appartiennent à une syllabe finale et qu'elles sont suivies d'une
- consonne autre que 17 (l). La moindre incertitude sur la manière de
prononcer les imparfaits, les conditionnels, les noms de peuple, etc.,
ne saurait donc plus être permise à quiconque possède les pre-
mières notions de la lecture ; et l'étranger, comme le Français, ne
peut maintenantattribuer qu'à sa seule ignorance le doute qui l'ar-
rête ou la méprise qu'il commet.
C'est encore , selon moi, par une très-judicieuse déférence que
l'Académie conserve le t au pluriel des mots en antet en ent, et
sanctionne l'usage qui est aujourd'hui le plus général. Comme il
faut rendre justice à chacun, je dirai cette fois à la louange des
grammairiens , qu'ils ont la plupart conseillé cette Utile et sage ré-
forme longtemps avant que l'Académie l'eût adoptée.
Le même discernementparaît avoir présidé au choix que l'Aca-
démie a fait dans l'immense vocabulaire néologique ouvert devant
elle depuis plus de quarante ans, et qui chaque jour est grossi par
la science, ou par le charlatanisme verbeux. Il fallait une grande
sûreté de jugement pour ne pas céder à la force de l'exemple quand
il est mauvais, pour le sanctionner à propos quand il est bon ; il
fallait surtout une sagacité peu commune, un tact juste et fin,
pour prévoir la destinée des termes nouveaux, en appréciant l'im-
portance et la durée de ce qui en a déterminé la création. Dételles
qualités ne sontpeut-être jamais l'apanage d'un seul homme, parce
que le moins passionné a toujours, quoi qu'il fasse, ses prédilections
et ses répugnances qui le maîtrisent. Elles semblent ne pouvoir ap-
partenir qu'à une réunion d'esprits divers, où les préventions respec-
tives se neutralisent et ne laissent dominer que l'impassible raison.
L'Académie est l'organe de l'usage, mais l'organe intelligent et
discret; elle ne consent pas à devenir un de ces aveugles échos
d'autant plus admirés qu'ils répètent plus de paroles. Elle ne crie
point au public ébahi : « Voilà cinquante mille mots, en voilà cent
mille, en voilàcentcinquantemille; êtes-vous contents ? » Elle dit :
« Voilà ce qui me semble utile, raisonnable et vrai; je ne suis point
un compilateur indifférent, mais un juge. » Il suffira de quelques
exemples pour montrer qu'elle s'est dignement acquittée de son de-
voir, au grand avantage de notre langue, aujourd'hui si fatiguée
de son maladif embonpoint.
Ainsi le Dictionnaire admet les mots utiliser, mobiliser, popu-
lariser, régulariser, parce qu'ils sont formés d'après la même
analogie que subtiliser, familiariser, etc.^ et qu'ils ont déjà ^
comme ces derniers, leurs substantifs correspondants, utilité,
mobilité,popularité, régularité. Il recueille également délimiter,
délimitation, qui répondent à limiter et limitation, comme ré-
fléchit'et réflexion à fléchir et flexion.
Mais l'Académie réprouve, jusqu'à ce qu'un plus long usage ait
fait oublier la barbarie de leur origine, les verbes activer, démo-
raliser, se suicider. Le premier, qui est un dérivé à'actif, devrait
rigoureusement avoir une forme moulée sur celle de vivifier, dé-
rivé de vif, et l'on dirait actifier. Il est bien vrai que vif est la
souche des mots aviver et raviver ; mais ce sont )à des composés,
qui suivent la même, loi que les dérivés analogues de pur, par
exemple, lequel donne épurer, apurer, etc., mais dont le dérivé
simple est purifier. Une raison subsidiaire qui a dû déterminer le
rejet absolu du mot activer, c'est qu'il estde la plus parfaite inu-
tilité : car on peut toujours le remplacer par les mots accélérer,
presser, hâter, au moins si l'on se borne à la signification qui pa-
raît lui être généralement attribuée. Mercier, cenéologue fougueux,
le retourne comme un chapeau d'arlequin, et lui donne trois sens :
l'usage a donc aussi ses timidités, puisqu'il n'en tolère qu'un seul ?
i Quant au verbe démoraliser, qui entraîne avec lui le substantif
démoralisation, je ne connais qu'une raison qui le pût faire ad-
mettre ; c'est le besoin d'énoncer un fait terrible, dont là triste évi-
dence frappe tous les esprits. Mais si la chose est affreuse, le mot
doit-il être barbare? A-t-on jamais dit, moraliser un peuple,
| pour dire-, donner à un peuple une morale, de bonnes moeurs? et
I le terme de moralisation se trouve-t-il ailleurs que dans Boiste?
I Le verbe démoraliser, avec l'acception qu'on lui prête, et son
substantif démoralisation, mentent donc à leur origine, et n'ex-
primentqu'un grossier contre-sens. Je conviens qu'il existe dans no-
tre langue beaucoup de dérivés dont la signification ne cadre plus
avec celle du mot qui les a fournis : c'est un fâcheux résultat des
lentes et inégales altérations que la langue éprouve, et peut-être
aussi du développement imparfait de ses lois de dérivation. Pour
. cela, faut-il aggraver le mal, et augmenter la liste des mots incon-
grus à l'intelligence desquels l'étymologie même est fatale?
J'ai parlé d'une idée affreuse exprimée par un terme barbare :
cela nous ramène assez naturellement au prétendu verbe se suici-
der. Il existe peu de mots qui attestent davantage l'ignorance de
ceux par lesquels ils furent mis en crédit. Mercier n'en a pas voulu :
c'est tout dire. L'abbé Desfontaines créa le substantif suicide, qu'on
peut au moius justifier parle mauvais latin sut coedes, meurtre de
soi-même; et bientôt naquit lé monstrueux dérivé se suicider,
auquel l'analyse n'ose point toucher, tant il offre de non-sens. Com-
prenez-vous, dites-moi Je me suiciderai, en d'autres termes, je me
(me régime direct) commettrai un meurtre de soi-même?'C'est
l'absurde élevé à sa plus haute puissance. Anathème donc à cet
indigne petit-fils de Desfontaines, que son aïeul même désavoue-
rait ; et revenons au simple parler de nos pères , qui disaient tout
bonnement se tuer, se donner la mort, ou, avec une pittoresque
énergie, se défaire.
Il est un mot, le verbe baser, que défendront avec opiniâtreté
les néologues amateurs du superflu, malgré l'avertissement que
l'Académie leur donne aujourd'hui par son silence. Baser est con-
forme à l'analogie, mais il est en revanche tout aussi complètement
inutile qu'activer; et je doute, malgré la faveur dont il semble
jouir, que ce double redondant du. verbe fonder puisse jamais être
sanctionné par le bon Usage, et trouver grâce devant les juges qui
l'ont condamné.
Parmi les articles dont l'Académie a cette fois augmenté son
Dictionnaire, on en remarque plusieurs sur les noms propres de-
venus appellatifs qui se reproduisent assez fréquemment dans le
discours, tels que Amphitryon, Dulcinée, Nestor, Stentor, etc.,
mais il ne m'a pas été possible de découvrir le motif pour le-
quel, admettant les deux premiers, Amphitryon et Dulcinée,
elle ne veut point de Sosie et de don Quichotte, qui en sont
comme les corrélatifs obligés, les pendants lexicographiques, et
dont la valeur appetlativê ne saurait être douteuse. Serait-ce une
omission tout involontaire ? J'incline à le penser : ne voit-on pas
des taches au soleil?
Pour qui ne jure que par l'ordre alphabétique, le Dictionnaire
est muet sur cette foule de mots cachés pour ainsi dire au fond de
la langue, et qu'une plume ingénieuse ou hardie peut amener au
grand jour, lorsqu'elle manque des termes nécessaires à la com-
plète et vive expression de là pensée. Les esprits moins étroits et
moins routiniers s'apercevront bientôt que l'Académie est à cet
égard suffisamment explicite, et qu'elle a fait, sans hésiter, toutes
les concessions que l'analogie réclame. Elle donne, par exemple,
dans l'article consacré à la particule RE, la loi de formation que
doivent suivre les mots à la composition desquels on l'emploie;
puis elle ajoute : « Il serait inutile de réunir dans un dictionnaire
« tous les mots qu'on est libre dé former avec la particule Re;
« nous nous bornerons à indiquer ceux qui sont consacrés par l'u-
« sage. » Dans les articles IN , DE , Sous, etc., elle montre la même
prévoyance et une réserve tout aussi indulgente. Après cela, que
penser de ces accusations téméraires par lesquelles on impute à
l'Académie d'avoir omis les mots déconstruire, sous-interpréter,
et d'autres, employés dans la préface du Dictionnaire avec, tant
de justesse et d'à-propos?
L'Académie n'avait pas seulement à choisir parmi les termes
récents qui attendaient une décision favorable ou contraire; elle
devait aussi l'attention la plus sérieuse aux mots qui sont dans le
patrimoine certain de notre langue; et c'est avec une scrupuleuse
application qu'elle s'est attachée à revoir leurs définitions, à cons-
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