Titre : Arcachon-saison : journal des étrangers
Éditeur : [s.n.] (Arcachon)
Date d'édition : 1896-05-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32700777c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 1161 Nombre total de vues : 1161
Description : 14 mai 1896 14 mai 1896
Description : 1896/05/14 (A9,N397)-1896/05/20. 1896/05/14 (A9,N397)-1896/05/20.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Description : Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k58172373
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-5721
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
Neuvième année : N° 897
Le Numéro IO Centimes
11 — -Ml Mai IHÎMÎ
ARCACHON (GIRONDE)
Mlatllott all»MMt*»**l*i*i» «^«Ifktlvo 4km-
mal l'hlvfr. — Applicable diuia le* maladie*
«|iruui<|ueii «le poitrine à forme éréthique. chu* lea
•uJ«U irritables et M constitution nerveu»e.
Mlntloit «le» MNIMW «I* aM«>r diiraal
l'éXA.— A|»|>lic«ute «lunule» malitUie* jiuticiutile*
de la médication aalina, principalement che* lea
femmea et daua le jeun* AK*-
§mllttin %4tior$lotiqut gtbiomaitirt
ANNRK I8W1
H' 3
TIIKHMOMftTHK l'I.UIK o»»t«ï.tio«*
0ATKS —--—--- I
j MAXIM* I MINIMA «N M/ M, KTAT MHIM
Avril 0 H .2 »-0 0.0 t. 1>. U'inp*
7 23 .V 7..'» 0.0 «
Mai M !?:>.« 10.t» Oïl ' ••
9 2fi.;t !>.v O.II « • ;
10 «a. a 11.2 o.o » - i
11 21.2 10.0 0.0 « *
12 22.3 U.8 l.r>.0 orage *oir |
I ,!
_',-.,. ■ -, ■ Tr-~r~~~M~—
Service Médical
Uon«eiira-Mé4aelna CeiullllitM
MM UONNAU Vla«« *• I» Mairi 2 44 h.
BOUI»WKH,(OA)r.rraiiç.-t.egal 1*2»
DÉCHAMPS, (jflf) villa Tlbur.... a « 4 •
Lundi, mercredi et vendredi.
► ESTAI.,». David (v. d'hiver).... u * < .
I.ALESUUK.(U I.) b. lapUffeîM.
Villa Claude Hernard. 2 à 4 »
l'Ail.1.1'', v.Kuaèbe. dune l'ontacq îà 4»
l'AUUET, Y. Pauline, Avenue
Gambetta 1 A 4 •
A«roMiéra»U
Etablissement ouvert du 15 octobre au 30 avril
laBea-temmea
M— CASTEBON, rue Jeheiin*.
COLOMBIER, coura Tartas.
DUTHUCH. rue Frnncois Legallais 6.
THOUGNAC, avenu* du Château.
Médecln-V6t<>rlnt»ir«
M. fABDIAC, r. François I.egallnis: de midi i 2h.
Arcaokaa-fialaoïi eat en vante:
A Paris : kio*«ue* 34 Boulevard de* Italien* ; 292
Boulavard d* la Madeleine ; 48, 57, 59 Boulevard
Poissonnière ; 95 Gare de l'Eat ; 202 Gare du Nord
«08 Faubourg St Denis.
A Salie»-de-Béarn : Vve Dumas libraire.
A Bordeaux : dan* le* kiosque* de la villa et
chez le* marchand* de journaux ; Vente en gro*
chez M. J. Graby, 12, rue des Pitiers-de-Tutelle.
A Arcac/t»n : Librairie* Bon, Dupuy
Vvc Bréard, M«* Desfossés, bibliotbèquedu Casino.
HEURES ET HAUTEURS DES PLEINES MER
Hauteurs prises A la Chapelle
du 14 au 20 Mai 1896
MÂTIN" SOIR
illUl JOURS -~-—— -*^~
MIURS* COIPF1C. I1BUMS COIPP1C.
141 Jeudi 5.34 78 5.51 78
15 Vendredi... «.10 76 fi.28 74
16 Samedi 6.47 72 7.09 69
17 Dimanche.. 7.34 65 7.56 62
18 Lundi 8.23 58 8.56 55
119 Mardi 9.30 53 10.07 51
vK) Mercredi....! 10.43 51 11.20 52
La Force du Destin
Il est quelquefois bien drôle de lire ce
pie l'assemblage «les noms peut produire
?ti choses bizarres.
Voici en cherchant un peu, ce que nous
nous trouvé sur nos nouveaux édiles : j
de Dninrém O nt
l'o.t'Mir |»;, c liet
T — sscyre ,
M - llien '
l'a r* lardelle
Itoumé^ou (/)
Pc t/) eux
l> J> rrieux
Lapèg C e
Monta^iières- < éviter
I, m coq
de Mala 3J lie
l.e H O ux
Z iol
Aussan H
de Mir > mont
(1 3) enier
Du O los
('• > Ilot
O astex
T I urneyssen
l.af O nt
De Z ry
Ce qui sera vrai, quoiqu'on en dise dans
l'officine de Y Avenir.
Ku revanche les noms des blachoulfo du
du 3 Mai nous donnent très exactement la
mesure de ce qui leur est éclm en partage
dans cette mémorable journée :
Docteur Rourd — ier
Escarraftue r~
Bu (/) quel
C O uilleau
lira Z nens
Ras H er
00 elloeq
M — chelet
Faur m
Pey Z on
J CD eorges
H > meau
Cassa O ne
Ma Z o
S ni- miac
Lagrel r*
C > zeaux
"0 eyrot
Duc O s
! Cabo J) y
DutTar H
D m spujols
Il faut espérei pour Arcacbou. qu'ils y
resteront toujours.
II. P.
Chronique Scientifique
LES BIINSDE LUMIÈRE PHOTOTERIPHIE
t.' xuiéi ique. I..ii jour., le onde in découvertes,
vient d'avoir rineénieu-.c idée d'employer la
1 *inii»-1«* «^tf-ctiicim- IIIIIIMU' agent thérapeuti-
que, ci utilisant sis rav
■ i
du Miicil.
Nous i uniiaiiins tems I influi-nro du l'aslrr
IMHCIUIS sur l<-> jiLitili-•- ■ -i l'-ui rtat de dep^ris-
M-tuclil lut .^(ju'fllt s ri litiin .-ni privées il<' !■•'■<
rayons liictit.'iis.mt •.
I.t- eorps liuin.iiu a lir.-oin, comme les plan-
tes, df luiinèie < t d'air, et quand ces deux
agents de santé, lui font délaiit, il s'anémie, il
s'étiole ( ninme une plante privée du tolcil. le
visage pâlit, le sanjj s'appauvrit, lis glolmle-
rouées et l'iiénuigloliiue diniinuelit, les forces
disparaissent cl sin vient l'anémie avec toutes
ses conséquences fatales pour l'économie.
Pour ( oiiibattr.r :TS ai ciilcnts, des médecins
s'inspirant des lois de l'hygiène, le doi teui
Roussi I, de (ienéve, entre autres, inaiiginéreiit
les hains de soleil. ( )n plaçait dans des tentes
sans toit, sorte de so/.'ir/HHJ, exposées aux
ravons du Mileil, les personnes alïaiMirs, com-
plétenu i.t nues, à pari la tète et les main-.
couvertes de voiles et de gants.
Le soleil agissant sur la peau de tout le corps,
revivifiait les globules du sang et combattait
avec succès l'anémie.
L'Amérique modifia cette méthode curative
et sut l'adapter aux exigences de la vie toute
pratique : elle utilisa les rayons de la lumière
électrique et construisit à Nc\v-York et à Phi-
ladelphie; des établissements d insolation che
trique.
Ce traitement facilement emplové au milieu
des villes, a l'avantage d'être appliqué en
toutes saisons.
Il est reconnu qu'il existe une grande ressem-
blance entre la lumière solaire et celle de la
lumière électrique,de l'arc voltaïque par exem-
ple.
Dans le monde vég-étal des expériences
nombreuses ont piouvé la valeur de la lumière
électrique sur la végétation, l'entretien ci
l'accroissement rapide des plantes.
Des plantes déposées dans une serre en deux
parties, étaient les unes éclairées le jour par
le soleil, et les autres par le soleil avec en plus
ta lumière électrique pendant la nuit, l'ne
grande différence dans la végétation a été
notée en faveur de celle qui recevait les deux
lumières,
Lincore un exemple : depuis l'éclairage par
Télectricilé du Caeino de Nice, des palmiers
qui dépérissaient, ont repris rapidement une
nouvelle vigueur.
Actuellement il existe en Amérique de nom-
breux établissements, parmi lesquels celui de
notre confrère Margaret A. Cleaves.dc New-
York,qui a obtenu d'excellents résultats dansun
grand*nombre d'états morbides. '
La doctoresse A. Cleaves se sert de lampes ;
à arc, comme supérieures aux lampes à inean- v
dcsccncc, la lumièie se rapprochant davantage
de celle du soleil. <
Le patient est dépouillé de ses vêtement.-, <■
les yeux sont garantis par un voile. «!■• la I>MT-
bération trop éclatante de la lumière : le visage '
et les mains sont protégés, afin d'- mpèclii r la '
peau de brunir. Car le coup d ■ soleil él. ctrique l
brunit la peau comme le coup de -oleil vérita-
ble. Les mains smit convertis de gants allant
jusqu'au coude. l
Sous l'inllneiice de cette méthode et au bout
d'un certain nombre de se ce-s, la I.I ,m du
corps rougit comme sous lu,liai i.ce d'un coup
de soleil, puis elle se hu|e, tandis que le visage
et les mains ne brunissent pas,
Les globules du sang \ ieimeiit plus nom ht eux,
le malade prend de nom. l'es forces, et s.i san-
té générale s'améliore.
(.'est un excellent traitement des personnes
anémiques, affaibli's et surmenées.
La doi-lore-re A. ("'caves a lait au quatrième
meeting- annuel d • l'Aso, ialion él. ctrique thé-
rapeutique améiiiair.e, tenu à l'Académie de
médecine de N- w \oik, une coininu: ii atioii
sur le t'-.iitemi nt d. s bains de ]mi':èn : .■';.■ i
rapporté un grand nombre d'nb-- :\..!e i .>:■
cluantes, f|■ iî pi i incitent de piédire le p'u-
brillant avenir a i cite nouvelle méthode, qui
est excellente dans le cas de rah i li-seiiient de |
la nutrition et dans la neurasthénie ou état
nerveux.
Elle a noté aussi chez, les malades une mu '.'.-
fication rapide dans le poids, et dans ]'acti\i:é
générale.
Les résultats ont été aussi appréciables du
les états nerveux, n'accompagnant d'ail, cti..;.:
cutanées, de sporia-i.-\
C'est un traitement excellent dans la dehiiité
des enfants avec croissance d'Il'n ile, dans la
tuberculose an début et dans h's allei tiens des
voies respiratoires, car, en outre inhérentes a la lumière, on a aussi uti.i.é les
ellets fortifiants et anliceptiques de l'o/.op.e.
Les bains de lumière ont été emplové s, avec
avantage dans h-s névralgies c t certaines for-
mes de rhumatisme où l'action analgésique de
la lumière a été particulièrement remarquable.
Le docteur Imbert de la Touche, médecin-
électricien à Lyon, a eu l'idée d'établir le pre-
mier en France, ce nouveau traitement auquel
il adonné le nom de photclhérapie clectri.ue.
Dans une chambre tendue de blanc .-«lin de
refléter plus facilement la luinièie, le patient .• -e
trouve baigné dans une onde lumineuse équi-
valant de 500 à 2,5oo bougies environ.
1 Ce dernier mode de traitement complétera
: l'installation de l'Institut d'ele< Iroilu'rapie (pie
> le docteur Imbert de li Touche a créé à Lyon.
L Un des premiers après la communication d'Kdi-
son au congrès de Heilin, il a étudié le dans
r port des médicaments par l'électricité ou calo-
3 pbores, pour le traUemer.'. de la goutte et du
2 rhumatisme; il en lit une communication à la
Société française d'électrothérapie (mars îSqi;,
(-1 au congrès de l'Association française pour
e l'avancement des sciences, (Marseille, septem-
•- bre, 18M1;.
n I Le premier à Lyon, il a mis au service, de ses
malades i. s h.in- hyd: . ,•,.■, triques à courants
alternatif- .-imi-oï,|.,u\ TI professeur d'Arson.
val, membre d. flnstuu'. médication qui a une
action si prépondérante sui ia nutrition et donne
de si beaux tisiftats ' c: ■ le rhumatisme, la
go'itte 1 t I- - Il e;ii,|i. • .il.iiiées.
L lui .ippailenait do. ■ d'eu,- l ■ premier pour
inaugurer en l-'rance I 1 pliu'othéiapic élcetri-
«pie ou biins de himii re. méthode appelée cer-
t- 1 nemei t m pins brillant avenir.
K ipp.-'o ,-. à n,,- 1,., leurs qui: le docteur Im-
bert d- ! 1 Touche applique un traitement spé-
11 n d é,i 1 ti jcite ,.uix maladies des voies respi-
..«loir. s , 1 «de cm d»-.:,, ■:';.. 1 s excédents pour
o-- nombreux arii.- t,r. qUj. giùc.- ;'i lui tctroll-
\ •" ' la saule.
I M.SOUVIKKsr
NOUVELLES LOCALES
l'oiiriiée «aiTi, - - Nous apprenons
que cetie 1 \ee|iei,:e iroupe viendra donner
sur notre M'i'ti • l'i «'iisino une représentntion
le s':! Mai fouratit. avec !•> eoneours du célèbre
comédien -\ i « 1 < ■ ■ : : • du ( \\ mnase. fondateur du
' lient re . ibre.
un jouera : Le. Idis ui(hn>pj vt l'Auvergnat
et fiLiUell'-'llt).
Avis aux per onn^s qui veillent passer 11110
iig-rc-ibie si é.iee.
>"»ees •!*»■•. — M. et Mml. Delafout
!.• S'-I'erdinand. MIMIIV,.! de célébrer .Mardi
dei-iiier 1-J Mui, dans ieur p-irois.se, le einii-
'i 1 .a..: :.-me an;,;-,. i-aii-e ,|e leur mariage.
Apres la cérémonie religieuse, leur neveu.
M. Helal'ont concessionnaire, du Casino
nimii.-ipiil. les ;i réuni dniis cet établisement
ou 11:1 rej.ns l'ami liai ;,.-s attendait.
i' 11s mis \ii'u\ aux \ eiiei-uble.s époux.
lsiïoi*i»»:iti«>at. — ou considère, à
l'heure actuelle, comme ua fait accompli, la
iioiniiialion de M . de Selve.s, ancien préfet de
ia < iiroiiite. a lu Préfecture de lu Seine. M.
liarthou. iiiitiistre de i'lutcrieur, eu n avisé
olliciidleinent. l'aueien directeur général des
postes et télégraphes.
I.iMt«* Heô|Mi|»lU*niii«v — Kntiveottc
liste patronnée par l'Avonir et celle du C" de
haniréinont, le choix des électeurs n'était
pas douteux. Qui vovons-nous, en etl'et,
ligun-r sur celte preieii.lue liste républicaine :
a peine quatre républicains, deux ;socialistes
une douzaine de monarchistes royalistes, ou
bonapartistes, quatre neutres et une gi-
rouette.
A noire axis, il a mieux valu prendre dfrf
lumiiics qui. s'ils ne crient pas à tout venant
vive la Kepublique. s'a! lâcheront, du moins
à ramener dans la uu-alilé. le travail et la-
prosperité, plutôt que de choisir des person-
i milites (pli, se couvrant du drapeau repu-
« biicain, n'ont rien l'ail jusqu'à ce jour pour
notre station et. seraient prêts à fouler aux
r pieds cet étendard si l'occasion s'en présen-
tait jamais.
Nous devons doue féliciter les électeurs de
s leur bon choix et. attendre avec confiance les
ARGENTERIE
LITERIE
EN LOCATION
DÉSINFECTION
des locaux mobiliers, etc., c'est-A-dire
destruction des microbes et aussi
des mitea, put.aises et autres parasites.
NETTOYAGE
A NEC
TEINTURE
■ REMISE A NEUF des objets traités,
il tols <|Uo, Mohilovs, tn]ùs; teiiUuvs,
;| vètomenls, etc., etc.
EXPOSITIÛHDE BÛRDEADX 1895
DIPLOME D'HONNEUR
[HUI|. I.| I ll'slllilJCl ...Il
peur les nioeè.lés il." lueuiiyu
Blanchisserie à Vapeur de la Gironde, Succursale d'Arcachon, 3, rue du Casino
Le Numéro IO Centimes
11 — -Ml Mai IHÎMÎ
ARCACHON (GIRONDE)
Mlatllott all»MMt*»**l*i*i» «^«Ifktlvo 4km-
mal l'hlvfr. — Applicable diuia le* maladie*
«|iruui<|ueii «le poitrine à forme éréthique. chu* lea
•uJ«U irritables et M constitution nerveu»e.
Mlntloit «le» MNIMW «I* aM«>r diiraal
l'éXA.— A|»|>lic«ute «lunule» malitUie* jiuticiutile*
de la médication aalina, principalement che* lea
femmea et daua le jeun* AK*-
§mllttin %4tior$lotiqut gtbiomaitirt
ANNRK I8W1
H' 3
TIIKHMOMftTHK l'I.UIK o»»t«ï.tio«*
0ATKS —--—--- I
j MAXIM* I MINIMA «N M/ M, KTAT MHIM
Avril 0 H .2 »-0 0.0 t. 1>. U'inp*
7 23 .V 7..'» 0.0 «
Mai M !?:>.« 10.t» Oïl ' ••
9 2fi.;t !>.v O.II « • ;
10 «a. a 11.2 o.o » - i
11 21.2 10.0 0.0 « *
12 22.3 U.8 l.r>.0 orage *oir |
I ,!
_',-.,. ■ -, ■ Tr-~r~~~M~—
Service Médical
Uon«eiira-Mé4aelna CeiullllitM
MM UONNAU Vla«« *• I» Mairi 2 44 h.
BOUI»WKH,(OA)r.rraiiç.-t.egal 1*2»
DÉCHAMPS, (jflf) villa Tlbur.... a « 4 •
Lundi, mercredi et vendredi.
► ESTAI.,». David (v. d'hiver).... u * < .
I.ALESUUK.(U I.) b. lapUffeîM.
Villa Claude Hernard. 2 à 4 »
l'Ail.1.1'', v.Kuaèbe. dune l'ontacq îà 4»
l'AUUET, Y. Pauline, Avenue
Gambetta 1 A 4 •
A«roMiéra»U
Etablissement ouvert du 15 octobre au 30 avril
laBea-temmea
M— CASTEBON, rue Jeheiin*.
COLOMBIER, coura Tartas.
DUTHUCH. rue Frnncois Legallais 6.
THOUGNAC, avenu* du Château.
Médecln-V6t<>rlnt»ir«
M. fABDIAC, r. François I.egallnis: de midi i 2h.
Arcaokaa-fialaoïi eat en vante:
A Paris : kio*«ue* 34 Boulevard de* Italien* ; 292
Boulavard d* la Madeleine ; 48, 57, 59 Boulevard
Poissonnière ; 95 Gare de l'Eat ; 202 Gare du Nord
«08 Faubourg St Denis.
A Salie»-de-Béarn : Vve Dumas libraire.
A Bordeaux : dan* le* kiosque* de la villa et
chez le* marchand* de journaux ; Vente en gro*
chez M. J. Graby, 12, rue des Pitiers-de-Tutelle.
A Arcac/t»n : Librairie* Bon, Dupuy
Vvc Bréard, M«* Desfossés, bibliotbèquedu Casino.
HEURES ET HAUTEURS DES PLEINES MER
Hauteurs prises A la Chapelle
du 14 au 20 Mai 1896
MÂTIN" SOIR
illUl JOURS -~-—— -*^~
MIURS* COIPF1C. I1BUMS COIPP1C.
141 Jeudi 5.34 78 5.51 78
15 Vendredi... «.10 76 fi.28 74
16 Samedi 6.47 72 7.09 69
17 Dimanche.. 7.34 65 7.56 62
18 Lundi 8.23 58 8.56 55
119 Mardi 9.30 53 10.07 51
vK) Mercredi....! 10.43 51 11.20 52
La Force du Destin
Il est quelquefois bien drôle de lire ce
pie l'assemblage «les noms peut produire
?ti choses bizarres.
Voici en cherchant un peu, ce que nous
nous trouvé sur nos nouveaux édiles : j
de Dninrém O nt
l'o.t'Mir |»;, c liet
T — sscyre ,
M - llien '
l'a r* lardelle
Itoumé^ou (/)
Pc t/) eux
l> J> rrieux
Lapèg C e
Monta^iières- < éviter
I, m coq
de Mala 3J lie
l.e H O ux
Z iol
Aussan H
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(1 3) enier
Du O los
('• > Ilot
O astex
T I urneyssen
l.af O nt
De Z ry
Ce qui sera vrai, quoiqu'on en dise dans
l'officine de Y Avenir.
Ku revanche les noms des blachoulfo du
du 3 Mai nous donnent très exactement la
mesure de ce qui leur est éclm en partage
dans cette mémorable journée :
Docteur Rourd — ier
Escarraftue r~
Bu (/) quel
C O uilleau
lira Z nens
Ras H er
00 elloeq
M — chelet
Faur m
Pey Z on
J CD eorges
H > meau
Cassa O ne
Ma Z o
S ni- miac
Lagrel r*
C > zeaux
"0 eyrot
Duc O s
! Cabo J) y
DutTar H
D m spujols
Il faut espérei pour Arcacbou. qu'ils y
resteront toujours.
II. P.
Chronique Scientifique
LES BIINSDE LUMIÈRE PHOTOTERIPHIE
t.' xuiéi ique. I..ii jour., le onde in découvertes,
vient d'avoir rineénieu-.c idée d'employer la
1 *inii»-1«* «^tf-ctiicim- IIIIIIMU' agent thérapeuti-
que, ci utilisant sis rav
■ i
du Miicil.
Nous i uniiaiiins tems I influi-nro du l'aslrr
IMHCIUIS sur l<-> jiLitili-•- ■ -i l'-ui rtat de dep^ris-
M-tuclil lut .^(ju'fllt s ri litiin .-ni privées il<' !■•'■<
rayons liictit.'iis.mt •.
I.t- eorps liuin.iiu a lir.-oin, comme les plan-
tes, df luiinèie < t d'air, et quand ces deux
agents de santé, lui font délaiit, il s'anémie, il
s'étiole ( ninme une plante privée du tolcil. le
visage pâlit, le sanjj s'appauvrit, lis glolmle-
rouées et l'iiénuigloliiue diniinuelit, les forces
disparaissent cl sin vient l'anémie avec toutes
ses conséquences fatales pour l'économie.
Pour ( oiiibattr.r :TS ai ciilcnts, des médecins
s'inspirant des lois de l'hygiène, le doi teui
Roussi I, de (ienéve, entre autres, inaiiginéreiit
les hains de soleil. ( )n plaçait dans des tentes
sans toit, sorte de so/.'ir/HHJ, exposées aux
ravons du Mileil, les personnes alïaiMirs, com-
plétenu i.t nues, à pari la tète et les main-.
couvertes de voiles et de gants.
Le soleil agissant sur la peau de tout le corps,
revivifiait les globules du sang et combattait
avec succès l'anémie.
L'Amérique modifia cette méthode curative
et sut l'adapter aux exigences de la vie toute
pratique : elle utilisa les rayons de la lumière
électrique et construisit à Nc\v-York et à Phi-
ladelphie; des établissements d insolation che
trique.
Ce traitement facilement emplové au milieu
des villes, a l'avantage d'être appliqué en
toutes saisons.
Il est reconnu qu'il existe une grande ressem-
blance entre la lumière solaire et celle de la
lumière électrique,de l'arc voltaïque par exem-
ple.
Dans le monde vég-étal des expériences
nombreuses ont piouvé la valeur de la lumière
électrique sur la végétation, l'entretien ci
l'accroissement rapide des plantes.
Des plantes déposées dans une serre en deux
parties, étaient les unes éclairées le jour par
le soleil, et les autres par le soleil avec en plus
ta lumière électrique pendant la nuit, l'ne
grande différence dans la végétation a été
notée en faveur de celle qui recevait les deux
lumières,
Lincore un exemple : depuis l'éclairage par
Télectricilé du Caeino de Nice, des palmiers
qui dépérissaient, ont repris rapidement une
nouvelle vigueur.
Actuellement il existe en Amérique de nom-
breux établissements, parmi lesquels celui de
notre confrère Margaret A. Cleaves.dc New-
York,qui a obtenu d'excellents résultats dansun
grand*nombre d'états morbides. '
La doctoresse A. Cleaves se sert de lampes ;
à arc, comme supérieures aux lampes à inean- v
dcsccncc, la lumièie se rapprochant davantage
de celle du soleil. <
Le patient est dépouillé de ses vêtement.-, <■
les yeux sont garantis par un voile. «!■• la I>MT-
bération trop éclatante de la lumière : le visage '
et les mains sont protégés, afin d'- mpèclii r la '
peau de brunir. Car le coup d ■ soleil él. ctrique l
brunit la peau comme le coup de -oleil vérita-
ble. Les mains smit convertis de gants allant
jusqu'au coude. l
Sous l'inllneiice de cette méthode et au bout
d'un certain nombre de se ce-s, la I.I ,m du
corps rougit comme sous lu,liai i.ce d'un coup
de soleil, puis elle se hu|e, tandis que le visage
et les mains ne brunissent pas,
Les globules du sang \ ieimeiit plus nom ht eux,
le malade prend de nom. l'es forces, et s.i san-
té générale s'améliore.
(.'est un excellent traitement des personnes
anémiques, affaibli's et surmenées.
La doi-lore-re A. ("'caves a lait au quatrième
meeting- annuel d • l'Aso, ialion él. ctrique thé-
rapeutique améiiiair.e, tenu à l'Académie de
médecine de N- w \oik, une coininu: ii atioii
sur le t'-.iitemi nt d. s bains de ]mi':èn : .■';.■ i
rapporté un grand nombre d'nb-- :\..!e i .>:■
cluantes, f|■ iî pi i incitent de piédire le p'u-
brillant avenir a i cite nouvelle méthode, qui
est excellente dans le cas de rah i li-seiiient de |
la nutrition et dans la neurasthénie ou état
nerveux.
Elle a noté aussi chez, les malades une mu '.'.-
fication rapide dans le poids, et dans ]'acti\i:é
générale.
Les résultats ont été aussi appréciables du
les états nerveux, n'accompagnant d'ail, cti..;.:
cutanées, de sporia-i.-\
C'est un traitement excellent dans la dehiiité
des enfants avec croissance d'Il'n ile, dans la
tuberculose an début et dans h's allei tiens des
voies respiratoires, car, en outre
ellets fortifiants et anliceptiques de l'o/.op.e.
Les bains de lumière ont été emplové s, avec
avantage dans h-s névralgies c t certaines for-
mes de rhumatisme où l'action analgésique de
la lumière a été particulièrement remarquable.
Le docteur Imbert de la Touche, médecin-
électricien à Lyon, a eu l'idée d'établir le pre-
mier en France, ce nouveau traitement auquel
il adonné le nom de photclhérapie clectri.ue.
Dans une chambre tendue de blanc .-«lin de
refléter plus facilement la luinièie, le patient .• -e
trouve baigné dans une onde lumineuse équi-
valant de 500 à 2,5oo bougies environ.
1 Ce dernier mode de traitement complétera
: l'installation de l'Institut d'ele< Iroilu'rapie (pie
> le docteur Imbert de li Touche a créé à Lyon.
L Un des premiers après la communication d'Kdi-
son au congrès de Heilin, il a étudié le dans
r port des médicaments par l'électricité ou calo-
3 pbores, pour le traUemer.'. de la goutte et du
2 rhumatisme; il en lit une communication à la
Société française d'électrothérapie (mars îSqi;,
(-1 au congrès de l'Association française pour
e l'avancement des sciences, (Marseille, septem-
•- bre, 18M1;.
n I Le premier à Lyon, il a mis au service, de ses
malades i. s h.in- hyd: . ,•,.■, triques à courants
alternatif- .-imi-oï,|.,u\ TI professeur d'Arson.
val, membre d. flnstuu'. médication qui a une
action si prépondérante sui ia nutrition et donne
de si beaux tisiftats ' c: ■ le rhumatisme, la
go'itte 1 t I- - Il e;ii,|i. • .il.iiiées.
L lui .ippailenait do. ■ d'eu,- l ■ premier pour
inaugurer en l-'rance I 1 pliu'othéiapic élcetri-
«pie ou biins de himii re. méthode appelée cer-
t- 1 nemei t m pins brillant avenir.
K ipp.-'o ,-. à n,,- 1,., leurs qui: le docteur Im-
bert d- ! 1 Touche applique un traitement spé-
11 n d é,i 1 ti jcite ,.uix maladies des voies respi-
..«loir. s , 1 «de cm d»-.:,, ■:';.. 1 s excédents pour
o-- nombreux arii.- t,r. qUj. giùc.- ;'i lui tctroll-
\ •" ' la saule.
I M.SOUVIKKsr
NOUVELLES LOCALES
l'oiiriiée «aiTi, - - Nous apprenons
que cetie 1 \ee|iei,:e iroupe viendra donner
sur notre M'i'ti • l'i «'iisino une représentntion
le s':! Mai fouratit. avec !•> eoneours du célèbre
comédien -\ i « 1 < ■ ■ : : • du ( \\ mnase. fondateur du
' lient re . ibre.
un jouera : Le. Idis ui(hn>pj vt l'Auvergnat
et fiLiUell'-'llt).
Avis aux per onn^s qui veillent passer 11110
iig-rc-ibie si é.iee.
>"»ees •!*»■•. — M. et Mml. Delafout
!.• S'-I'erdinand. MIMIIV,.! de célébrer .Mardi
dei-iiier 1-J Mui, dans ieur p-irois.se, le einii-
'i 1 .a..: :.-me an;,;-,. i-aii-e ,|e leur mariage.
Apres la cérémonie religieuse, leur neveu.
M. Helal'ont concessionnaire, du Casino
nimii.-ipiil. les ;i réuni dniis cet établisement
ou 11:1 rej.ns l'ami liai ;,.-s attendait.
i' 11s mis \ii'u\ aux \ eiiei-uble.s époux.
lsiïoi*i»»:iti«>at. — ou considère, à
l'heure actuelle, comme ua fait accompli, la
iioiniiialion de M . de Selve.s, ancien préfet de
ia < iiroiiite. a lu Préfecture de lu Seine. M.
liarthou. iiiitiistre de i'lutcrieur, eu n avisé
olliciidleinent. l'aueien directeur général des
postes et télégraphes.
I.iMt«* Heô|Mi|»lU*niii«v — Kntiveottc
liste patronnée par l'Avonir et celle du C" de
haniréinont, le choix des électeurs n'était
pas douteux. Qui vovons-nous, en etl'et,
ligun-r sur celte preieii.lue liste républicaine :
a peine quatre républicains, deux ;socialistes
une douzaine de monarchistes royalistes, ou
bonapartistes, quatre neutres et une gi-
rouette.
A noire axis, il a mieux valu prendre dfrf
lumiiics qui. s'ils ne crient pas à tout venant
vive la Kepublique. s'a! lâcheront, du moins
à ramener dans la uu-alilé. le travail et la-
prosperité, plutôt que de choisir des person-
i milites (pli, se couvrant du drapeau repu-
« biicain, n'ont rien l'ail jusqu'à ce jour pour
notre station et. seraient prêts à fouler aux
r pieds cet étendard si l'occasion s'en présen-
tait jamais.
Nous devons doue féliciter les électeurs de
s leur bon choix et. attendre avec confiance les
ARGENTERIE
LITERIE
EN LOCATION
DÉSINFECTION
des locaux mobiliers, etc., c'est-A-dire
destruction des microbes et aussi
des mitea, put.aises et autres parasites.
NETTOYAGE
A NEC
TEINTURE
■ REMISE A NEUF des objets traités,
il tols <|Uo, Mohilovs, tn]ùs; teiiUuvs,
;| vètomenls, etc., etc.
EXPOSITIÛHDE BÛRDEADX 1895
DIPLOME D'HONNEUR
[HUI|. I.| I ll'slllilJCl ...Il
peur les nioeè.lés il." lueuiiyu
Blanchisserie à Vapeur de la Gironde, Succursale d'Arcachon, 3, rue du Casino
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