Presse et revues
4 pages
Titre : Arcachon-saison : journal des étrangers
Éditeur : [s.n.] (Arcachon)
Date d'édition : 1892-03-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32700777c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 1161 Nombre total de vues : 1161
Description : 24 mars 1892 24 mars 1892
Description : 1892/03/24 (A5,N192)-1892/03/30. 1892/03/24 (A5,N192)-1892/03/30.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Description : Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5817090s
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-5721
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
Cinquième année : IN* 191
LE NUMÉRO IO CENT MES
24 — 30 Mars 1892
ARCACHON (GIRONDE)
tolisitoia «•llmwlArltiMA a»*Vdaitl«'«> «1u-
f*«nt l'hiver. — Applicable dans les maladies
.*aronique» de poitrine ù forint» éréthique, che» les
t«jet» irritables et A rotiKtittition nerveuse.
•Me«il«»n «1«> Itnln*» «l» ss*.*>a* «tirant
l'dVtaV — Applicable ituim le» maladies justiciables
da la médication ■oliiie, principalement chea les
ftmnu at CIMII* U jeune âge.
$uUctin tjfitiorologiqat gtbiomaiëin
4KS1-.K 1K'.>2
N* 140 OU 46 AU 22 MARS 4892
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DATES ...
M*XIMA UINIU* P.N M/ M/ EIAT liti CIKI.
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Mars l(i !•>-7 H'.t 0 1 beau temps
17 M.i 4 I O.t hrotiil. mut.
1H ï| {i ïi.i» 't 0 tr. I). jour,
l'.i -j;i M I!» 0.0 tr. b. jour.
•jo is.;t :> 8 oo beau tcm|>»
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•jj U 7 7.8 o 0 beau lump*
— - ■ —■ ■ i_1_^J^J_^^jaMiMMMC^;a^.
Service Médical
l>o<'t«iur»-M>>declnii . ClDKlIlliU.
MM. BONN AL, place de la Mairie 244 h.
P.OlMUMEH.r. FrmçoisLegollais. 142 •
DKCHAMPS. {-ff) villa Tibur 1*J •
FF.STAL, v. David (». d'hiver).... 2à4 •
HAMEAU, pére(#>c. Ste-Anne40 ïài •
A. HAMEAU, o. Ste Anne 40.... 2*4 •
E.U.F.SQCE, U\ ) blaplage350. 2à4 »
Ctiilrtir«l€*i»«-I>owi%iw%e>s}
MM. FABHE |>tre et fils boni, de la Oh.à 12 h.
Plage (annexe de l'Hôtel de France) 2 à 5 h.
1.EYS, avenue Gambetta de 10 h m.
(Chirurgien-dentiste américain.) \ ■ 5 j, g.
M>»« A\ HIL, boul. de la Plage _
COLOMBIER, c. Tartas _
GRELLKT, boul. de la Plage 130. I —
Area«hon-SnlNon est en vente:
A Paris : kiosques .14 Boulevard des Italiens ; 292
Boulevard de la Madeleine ; 48, 57, 59 Boulevard
Poissonnier* ; 95 Cure de l'Kst ; 202 Gare du Nord
208 Faubourg St Denis.
A Saties-dc-KSurn : Vve Dumas libraire.
A Laniothe-du-Teich bibliothèque de la Gare.
A liorilcinx : dans les kiosques de la ville e^
chez les marchands de journaux ; à la Gare Saint
Jean : Vestibule, Quai et Ktat. — Vente en gros,
chez M. J. Graby, M, rue dos Piliers-de-Tutelle.
A Krcarhen : Librairies Delamare, Bon, Dupuy,
Vve Brearcl, M"« Desfossés, bibliothèque du Casino,
Bibliothèque de la Gare.
CHROMOTPE
Voyons ! monsieur, vous qui me lisez, les
pieds sur vos chenels, je suppose qu'il vous ar-
rive une aventure de ce genre : Vous habitez
près d'un bois ou d'un jardin public, vous avez
l'habitude d'aller y faire de temps à autre un
tour de promenade quand il fait beau. Vous
rencontrez souvent de petits galopins qui, au
lieu d'aller à l'école ou à l'établi, vont bague-
nauder par la ; vous avez causé paroi par-là
avec quelques-uns d'entre eux, donnant a l'un 1
un !>on conseil, èl'autre un gâteau, à l'autre une |
pièce blanche, les grondant parfois, quand vous i
les preniez a polissonner. <
Un jour, le commissaire de police vient chef «
vous ; il a un mandat damner, il vous arrête. 1
Von» êtes inculpé d'excitation habituelle de mi- j
neurs à la débauche et de tout ce qui s'ensuit.
Ne vous récries pas ; ne me dites pas que ja-
mais vous ne serex effleuré d'un soupçon pareil,
que cela est impossible. Cela n'est pas impos-
sible . Il suffit d'un petit garnement vicieux ou
d'une petite- gamine rouée (il n'en manque nulle
part) qui fasse la leçon à deux ou trois camara-
des. Tout le monde sait l'incroyable facilité avec
laquelle les enfants se persuadent qu'ils ont vu,
de leurs yeux vu, une scène qu'on leur a sug-
gérée. I
On vous a, pour une raison ou pour une autre,
particulièrement visé. C'est ou une vengeance,
ou une farce sinistre, ou un chantage. La vé-
rité est que vous allez passer en police correc-
tionnelle.
Vous étes-vous jamais rendu compte de la
situation d'esprit où doit se trouver un homme
sur qui tombe àl'improvisteune si énorme tuile?
Rappelez-vous quelques exemples célèbres : tel
homme en vue dénoncé aux abords du Palais-
Royal par un mauvais petit chenapan. Savez-
vous que c'est la une des accusations les plus
horribles et les plus difficiles à réfuter. L'opi-
nion publique est, sur ce point délicat, d'une ri-
gueur excessive. Elle vous met tout de suite en
demeure, vous, prévenu, de démontrer la faus-
seté du fait, de prouver une négation.
Vous avez du premier coup tout le monde
contre vous. Et ce qu'il y a de pis, c'est que
vous ne pouvez pas compter, pour vous discul-
per, sur le grand jour de l'audience. Le huis-
clos est presque toujours ordonné dans ces affai-
res qui intéressent la décence.
Vous n'avez donc à invoquer pour votre jus-
tification devant le public que l'acquittement
définitif, si vous êtes acquitté.
Eh bien 1 je vous suppose acquitté. U semble
qu'en bonne justice la société tout entière de-
vrait se serrer autour de vous, tâcher, par son
attitude à votre égard, de vous faire oublier les
ennuis dont vousavezété victime, vous faire en
quelque sorte des excuses. \ ous avez passé
six mois dans les transes, dans les larmes, dans
les indignations et les fureurs ; vous avez mar-
ché, durant tout ce temps, la tête baissée, pli-
ant sous la réprobation publique. Lu tribunal
vous renvoie indemne. Il serait d'une bonne lo-
gique, la logique du bon droit et de l'équité, que
vous pussiez rentrer dans le monde le front haut,
que vous y reprissiez sans conteste le rang que
vous teniez auparavant, qu'on vous dédomma-
geât même par un avancement quelconque si
vous faisiez partie d'uue administration. Il est
certain qu'on vous doit la réparation de tant de
mauvaises heures.
Et bien, savez-vous ce qui arrive ? C'est que
l'acquittement ne vous profite point ; il n'est
pas considéré dans le monde comme une preuve
irréfragable de votre innocence. On se dit tout
bas : Les juges ont acquitté, c'est qu'apparem-
ment les faits n'étaient pas suffisamment éta-
blis ; mais ils étaient vrais, et le tribunal, au
fond, en était persuadé. Il n'y a pas de fumée
sans feu
U n'y a pas de fumée sans feu I Voila un pro-
verbe qu'on devrait bien retrancher de la lan-
gue. Pourquoi compares-vous la calomnie aune
fumée ? Je pourais tout aussi bien dire qu'elle
est un poison, et qu'il n'y a pas de poison sans
empoisonneur. Ce serait infiniment plus vrai.
Mais, puisque nous en sommes aux vieux adages,
je dirai que comparaison n'est pas raison. *
Cest avec ces terreurs qu'a Lyon, il y a trois I <
ou quatre ans, deux ou trois maîtres-chanteurs I j
extorquèrent des sommes fat /'.eu»»? * de très 4
honorables négociants, qui aimaient mieux pa- ]
yer le silence de ces drôles que de les traîner
devant les tribunaux. (
— Nous gagnerons sans doute notre procès,
se diîaicnt ces braves gens ; mais nous en sor- 1
tirons éclaboussés pour la vie.
U n'y arien de plus salissant et de plus tenace
que le* accusations de ce genre. C'est pour ce-
la que je voudrais qu'au cas d'acquittement, la
réparation soi ialc suivit de près le jugement
intervenu.
Tenez ! je pense à l'affaire Rabaroust. Je ne
sais si vous l'avez oubliée. C'était un magistrat
qui, envoyé par son médecin a Arcachon pour
y passer l'hiver et y rétablir .-a santé, fut dé-
noncé par une bande de vauriens pour tentati-
ves d'excitation à la débauche, pour faits d'im-
moralité. Je ne précise ni n'insiste.
Le jour même où se produit l'affaire, M. Ra-
baroust envoie au ministre delà justice sa démis-
sion libellée en ces terme» :
" | ai l'honneur de prier monsieur le garde
des sceaux de vouloir bien accepter ma démis-
sion de substitut; comptant bien retrouver ma
carrière, aprèsavoir justifié de mon innoncence.
Et il écrivait le jour même au procureur gé-
néral de la cour de Bordeaux :
" Je viens d'envoyer ma démission et vous
prie de me traiter sans retard comme un incul-
pé vulgaire..." I
C'est ainsi que débuta le procès, dont le re -
tentissement fut énorme. Je n'ai pas ici à en
conter les phases. Vous vous souvenez qu'en fin
de compte la Cour d'Orléans acquitta solennel-
lement M. Rabaroust sur tous les chefs d'accu-
sation. U avait demandé que son affaire fût ju-
gée toutes portes ouvertes. On ne lui accorda
pas cette faveur. C'est dans le plus strict huis-
clos que fut démontrée son innocence. U n'en a
donc, aux yeux du monde, d'autre preuve que
cet acquittement même qui le constate.
I Cette preuve devrait être suffisante.
U paraît qu'elle ne l'est pas. M. Rabaroust
n'a pu être encore réintégré dans le poste dont
il s'était volontairement démis, confiant, disait-il,
dans la justice de son pays, qui reconnaîtrait
son innocence.
L'innoncence a été reconnue. Il y a chose
fugie,£til n'appartient pas aux magistrats de
révoquer en doute un arrêt qui est revêtu de
toutes les formes authentiques. Du moment que
la Cour a pron once, tout l'ordre de la magis-
trature, le ministre en tête, n'a plus qu'à s'incli-
ner : res dijudicata pro veritate habetur.
La réhabilitation de M. Rabaroust ne sera
complète que le jour où le ministre lui aura
rendu sa place. Cette réhabilitation, on la lui
doit. Oui, la société tout entière contracte une
dette, une véritable dette, envers (homme qu'-
1 elle a tourmenté et flétri, le croyant coupable,
et qui se trouve être innocent. Cette dette, il
faut la payer du mieux que l'on peut.
FRANCISQUE SARCEY.
LISTE DES ÉTR1HGERS
Cl flLUtlITUiE I MC1CH0I \
Le chiffre placé devant chaque nom ma* i'«u«
te nomere de» i*r»onnet de la famille.
1. XacTCVtaaae de Guy d*) Paris v.Velcy
4. AVBNBL, VarneutL ». Bell i tu.
4. Awomau». Bordeaax. ». Miner»*.
». AVTCNISCKT (Mm«) Parts, ?. des Tourellaa.
4. A «MOT, Arganteuil. ». Maria.
1. Bossu Paris v. Hlquet
7. BEAUCMABJPS-MONTNÉARD (Baron 4a). Sartha, v.
Figaro.
4. ItwnRT. Paria, Grand Hôtel da la Forât et d'An-
gleterre,
t. BRUNO Paris Grand llotel da la Foret at d'Angle-
tarra
4. BOUSSIRON Borda aux ». Colilri
Z. BsTzoï.o-Sourto (Mme la Princesse) Boumania
Grand llotel de la Forât at d'Angleterre
4. BRAVO, Paris, ». Parisot.
1. BKMSCI-I (Mlle), Paris, ».George* Maria
6. Btiuior, Paris, v. Odette.
6. HIKUKI., Paris, v, Giroflée.
C. Boiscitioi t iKii (del Montmoiillon, T. Choitseuil.
9. BITIIM»* i.de), Bordeaux, v. Carmen.
5. BAHBOT comte de), v. Bianca.
4. HonDiF.it. v. Belle Plane,
r. B111011T, Paris, Boy al Hôtel.
3. HoTSSBiM.il (de), Paris, v. Lirtiti*.
4. BUITKTBAU, Bordeaux, ». Laure-Baoul. I
6. BKAUSKIUUH (Mlle de), v. des Bruyères. I
2. HiuiiBTTi, Tarbcs, v. Murguerite-Kmmanuel. I
5. HBLI. (Mad) Amérique Grand Hôtel de la Korlt et
d'Angleterre
10 CAIIHOI., Klers, v. Franklin.
1. CIIAI.US Bordeaux Grand Hôtel de la Forêt et
d'Angleterre
6. CoMAU.i.a,Paris, ». Emma.
2. Cap.PAVX, Ls Vèsinet, t. Bella-Vista.
6. CiiAuroiiANU (de) Paris, ». Stora.
4. CIIABTIEH, Pans, ». Velpeau.
». CHAMTOISIAU (Mad.) T. Jeanna Marguerite.
I. COUDRHT, Paris, ». Souvenir
1. GANAT, (colonel), v. Bella-Vista.
IS. C«nriM.ON DE LA COUTUKS, Limoges, ». Biquet.
S. COLOT, Bordeaux, v. Sully. I
i. CASCLAUX (Cte de; Paria v. Georges Saud.
6. CASTRO (de), Brésil, ». Serpa-Pinto.
2. CUAUMBT, Bordeaux, ». Mariua.
4. CAUSAI»', Paris, T. Lutéce.
5. DRESSER Londres v. Kougèrea
2. DENES, Bouen. ». BeUa-Vista.
4. DABniM, Paris, v. Flore,
3. DALBA, Paris, v. Parisot.
2. DUVAL Parisv. Biquet
1. DAVID (.Mad) Saintes Grand Hôtel de la Foret at
d'Angleterre
4. DUMAS DE GUILIIEHENÇON (Mme), ». La Tauride.
2. DARUON, Bordeaux, v. Fénélon.
6. DKNUCÈ, Bordeaux, v. Colombina
i. DBI.KSTHK (.Mme), Paris, v. No4mi.
Ià. DBVIIXE. Lille, v. Scaliger.
t. DUKAN T Kivts, ». Banp.
7. D&viux, Anger, v. Marie-Thérèse.
4. 1)ESPIU:S, «.MmsiParis,, v. Miatigri.
10 DEPAS, Bordeaux, v. Sydney.
6. DANET, Bordeaux, v. Hernozant.
4. ESPIKS (comte d') Clermont, v. Ittchelieu.
5. ESCATHA I.«I',I l.a Beille, v. Marjolaine.
6. EVOBR, Bordeaux, v. Daniel-Kimle.
4. ERIUNOTON (Mme), Londres, v. Sans-Sou.M.
2. EWINO (Mad) Angleterre Grand Hôtel de la Koret
2. ELBRS, Angleterre, Hoyal-Hotel,
et d'Angleterre
t. FBUIIXAS, Paris, Grand-Hotel de la lorct «t
d'Angleterre.
1 6. FHKCOM du MOUVILI.ION, Bordeaux, v. Marie-Léon
t S. KUNJE VAN SALVEHDA, Hollande, v. Sévilla.
i 9. FI.BUIUOT DB LANGI.ES, Paris, v. Moudesii.
. 8. FITZ-JAMBS (.cte de), Paris, ». Saint Louis.
4. FISCHER, Angleterre, Grand Hôtel de la Forêt
et d'Angleterre.
» 2. KI.KUINU (Mlle), Angleterre, v. Bapin.
I 2. Fanns Paris, Grand Hôtel da la boiet «t d'An
gleterre.
t. GninvES (Mias), Londres, Royal Hôtel.
5. Gr.o»or. Bordeaux Grand Hôtel de la Foret et
d'Angleterre
6. GBIMAUI» Paris v. Daabieya
4. GBBBM Angleterre Grand Hôtel de IaKoret et d'An
gleterre
1. GRKMIBR (Dr) villa Favorite
4 GIRARD. Paris v. Abel William,
I. GABDKT, Paria ». Vauuau.
>. GAHMitn,Paria, ». Eva.
1. GutHET, Bordeaux. Grand Hôtel da la Taré t et
d'Angleterre.
I. OATB (Doctenr). Paria, v. Georges Maria.
4. QotiKWiTcn, St Pélersbourg. ». St Céline.
5. GODCMAUX Paris, v. Lovely.
t. GREHir.r Paria ». Biquet
S. HUTAUB (Mme), Hen laye, h. da Franna.
I. HIUMIN (Mi»»), Liverpool, BoyaJ Hôtel.
3. Hoti.uiNO vMine), Dublin, Itoyul-Hôtel.
1. HÉRON, Parisv. Giroflée.
'i. ISTRE. Clermont, Grand Hôtel da la For*t et
d'Angleterre.
3. jAKjur.Mimr Mlli- , i'aris. Grand Hotei de lu l'orèt
2. JUNKS, .Suuderluud, Uuy.il-llotc'..
et d'Angleterre.
S. JOIINS, Bordeaux, v. Auber.
9. JollHDAN, Begles, v. St Elme.
4. Jusr DB LA Fous DES Ks»Mti» ,Cle>, v. Soutenir.
1. JEI.IK, Belgique, v. Tourville.
1. KIUK (Mis»; Angleterre Grand Hôtel de Furet et
d'Angleterre
7. LF.ÏOI'RD Tour» v. Audubert
1. LAVKSVKI vMlie , Paris. Ii. Biohelieu.
12. LKIKVRE, Pan», v. Solitu.
3. LACIUUX, I ari;». v. NLigilula.
4. LAL'I'OUK, Aiinou-le-faucon, v. Noémi
7. LAI.YUON DB VAIIF.S.NKS (dci cuat de LarhosU, v.
Anna.
2. Liibi.iK (Miss\ Amérique, Grand Hôtel de. la Foret
et d'Angleterre.
2. I.AIICF.NA ^Docteur), Sens, Bpyal Hôtel.
3. LYMCII Nliss), Londres, Itoyal-Hulel.
4. l.Tsu.n, Nantes, v. Ma Louisette.
6. LAUHUMR, Bordeaux, v. Lilia.
6. LA CIIASSAIUNK (Ctesse de), Paris, v. William.
6. La PIN, v. Marie-Adèle.
1. LAMBSDOHPt' (eomtessede) Courlande, v. Bagatelle
4. l.AïUADK (de;, villa des Pervenches.
12. MuiEVAHD, New-York, Boyal-llotcl.
4. MONDON, Medoi", v. Sylvabclle.
î. MKIIU, Si Servan, ». François-Pauline.
3. MENIN, Joigny, Hoyal-Hotel.
3. MOUNIEK, Vineenn-», v. Franc-a
4. MARDI-, Bordeaux, v. Troi-adéro.
3. MACNOIIARA (Mme) Angleterre, v. Jeanne-d'Arc .
4. MONSPEY vCtesse de), Laborde Saint-Denis, v.
Beethoven.
3. MESTREAI: (Mad) Saintes Grand Hôtel de la FortH
et d'Augleterre
3. MENAIUI, Pans, v. Gaston.
8. MiciiKi.OT. Bordeaux, v. Diane.
3. MOWAI, Paris, v. Ormiércs.
8. MICIIAIL, Houmanie, v. Bellegarde
2. MASIOH (Docteur;, Pari», h. de France.
5. MONI'AIUOL, Bordeaux, v. Wattcau.
6. MOUES (marquis de) Paris v. Chopin.
2. MÉNAIIDIÙRB (de la) Brest, H. d* la Ville d'Hiver.
8. MKUCER Paris, v. Mendelhson.
3. MOREAU (Mad.) Bordeaux, ». Lucie.
6. MBSIREZAT, Bordeaux. ». Coulaine.
5. NADAH, Paris, v. Olivier.
3. NOBHHT, Francfort, ». Jean Baptiste.
2. OSMOK r (Mines; Paris, Grand Hôtel de la Foret
et d'Angleterre.
1. OVONNOR, v. Bella Vista.
2. PKRROT, Brest, ». Eurêka.
2. Pir.BiiK ANIMIK, Bordeaux, Grand llotel
ForAt et d'Angleterre.
6. POIUK-SAINIOIN (Minr) ni -icai .■-. \ . M ■■ ' ut.
9. PAUAM, Pars, v.Gietry.
i. PKOUIKNSHY «.le), lli.ssic, Gr.u..l ::>.•■• c> la
Foret et d'Angleterre .
8. KousiEi St Mare v. Malgré tous
l 4, BBTAII.UAU, v.Urixton.
5. BOMEUI. (de), Paris, v. Siebel.
1. BAWI.INSON, (.Miss), Londres, Hoynl llotel.
2. HotiEit'i'SON, Edimbourg, Hoyal Ib.t.l.
1. HHMHHKI.INSIVA (.Mine C.i villas Henry Louis* et
Picciola.
LE NUMÉRO IO CENT MES
24 — 30 Mars 1892
ARCACHON (GIRONDE)
tolisitoia «•llmwlArltiMA a»*Vdaitl«'«> «1u-
f*«nt l'hiver. — Applicable dans les maladies
.*aronique» de poitrine ù forint» éréthique, che» les
t«jet» irritables et A rotiKtittition nerveuse.
•Me«il«»n «1«> Itnln*» «l» ss*.*>a* «tirant
l'dVtaV — Applicable ituim le» maladies justiciables
da la médication ■oliiie, principalement chea les
ftmnu at CIMII* U jeune âge.
$uUctin tjfitiorologiqat gtbiomaiëin
4KS1-.K 1K'.>2
N* 140 OU 46 AU 22 MARS 4892
lllliUMoMMKK l'UJIK oa
DATES ...
M*XIMA UINIU* P.N M/ M/ EIAT liti CIKI.
«_,^_ —_—_ ——— ——— ————
Mars l(i !•>-7 H'.t 0 1 beau temps
17 M.i 4 I O.t hrotiil. mut.
1H ï| {i ïi.i» 't 0 tr. I). jour,
l'.i -j;i M I!» 0.0 tr. b. jour.
•jo is.;t :> 8 oo beau tcm|>»
l'I 17. I 7.<• (> 0 beau temps
•jj U 7 7.8 o 0 beau lump*
— - ■ —■ ■ i_1_^J^J_^^jaMiMMMC^;a^.
Service Médical
l>o<'t«iur»-M>>declnii . ClDKlIlliU.
MM. BONN AL, place de la Mairie 244 h.
P.OlMUMEH.r. FrmçoisLegollais. 142 •
DKCHAMPS. {-ff) villa Tibur 1*J •
FF.STAL, v. David (». d'hiver).... 2à4 •
HAMEAU, pére(#>c. Ste-Anne40 ïài •
A. HAMEAU, o. Ste Anne 40.... 2*4 •
E.U.F.SQCE, U\ ) blaplage350. 2à4 »
Ctiilrtir«l€*i»«-I>owi%iw%e>s}
MM. FABHE |>tre et fils boni, de la Oh.à 12 h.
Plage (annexe de l'Hôtel de France) 2 à 5 h.
1.EYS, avenue Gambetta de 10 h m.
(Chirurgien-dentiste américain.) \ ■ 5 j, g.
M>»« A\ HIL, boul. de la Plage _
COLOMBIER, c. Tartas _
GRELLKT, boul. de la Plage 130. I —
Area«hon-SnlNon est en vente:
A Paris : kiosques .14 Boulevard des Italiens ; 292
Boulevard de la Madeleine ; 48, 57, 59 Boulevard
Poissonnier* ; 95 Cure de l'Kst ; 202 Gare du Nord
208 Faubourg St Denis.
A Saties-dc-KSurn : Vve Dumas libraire.
A Laniothe-du-Teich bibliothèque de la Gare.
A liorilcinx : dans les kiosques de la ville e^
chez les marchands de journaux ; à la Gare Saint
Jean : Vestibule, Quai et Ktat. — Vente en gros,
chez M. J. Graby, M, rue dos Piliers-de-Tutelle.
A Krcarhen : Librairies Delamare, Bon, Dupuy,
Vve Brearcl, M"« Desfossés, bibliothèque du Casino,
Bibliothèque de la Gare.
CHROMOTPE
Voyons ! monsieur, vous qui me lisez, les
pieds sur vos chenels, je suppose qu'il vous ar-
rive une aventure de ce genre : Vous habitez
près d'un bois ou d'un jardin public, vous avez
l'habitude d'aller y faire de temps à autre un
tour de promenade quand il fait beau. Vous
rencontrez souvent de petits galopins qui, au
lieu d'aller à l'école ou à l'établi, vont bague-
nauder par la ; vous avez causé paroi par-là
avec quelques-uns d'entre eux, donnant a l'un 1
un !>on conseil, èl'autre un gâteau, à l'autre une |
pièce blanche, les grondant parfois, quand vous i
les preniez a polissonner. <
Un jour, le commissaire de police vient chef «
vous ; il a un mandat damner, il vous arrête. 1
Von» êtes inculpé d'excitation habituelle de mi- j
neurs à la débauche et de tout ce qui s'ensuit.
Ne vous récries pas ; ne me dites pas que ja-
mais vous ne serex effleuré d'un soupçon pareil,
que cela est impossible. Cela n'est pas impos-
sible . Il suffit d'un petit garnement vicieux ou
d'une petite- gamine rouée (il n'en manque nulle
part) qui fasse la leçon à deux ou trois camara-
des. Tout le monde sait l'incroyable facilité avec
laquelle les enfants se persuadent qu'ils ont vu,
de leurs yeux vu, une scène qu'on leur a sug-
gérée. I
On vous a, pour une raison ou pour une autre,
particulièrement visé. C'est ou une vengeance,
ou une farce sinistre, ou un chantage. La vé-
rité est que vous allez passer en police correc-
tionnelle.
Vous étes-vous jamais rendu compte de la
situation d'esprit où doit se trouver un homme
sur qui tombe àl'improvisteune si énorme tuile?
Rappelez-vous quelques exemples célèbres : tel
homme en vue dénoncé aux abords du Palais-
Royal par un mauvais petit chenapan. Savez-
vous que c'est la une des accusations les plus
horribles et les plus difficiles à réfuter. L'opi-
nion publique est, sur ce point délicat, d'une ri-
gueur excessive. Elle vous met tout de suite en
demeure, vous, prévenu, de démontrer la faus-
seté du fait, de prouver une négation.
Vous avez du premier coup tout le monde
contre vous. Et ce qu'il y a de pis, c'est que
vous ne pouvez pas compter, pour vous discul-
per, sur le grand jour de l'audience. Le huis-
clos est presque toujours ordonné dans ces affai-
res qui intéressent la décence.
Vous n'avez donc à invoquer pour votre jus-
tification devant le public que l'acquittement
définitif, si vous êtes acquitté.
Eh bien 1 je vous suppose acquitté. U semble
qu'en bonne justice la société tout entière de-
vrait se serrer autour de vous, tâcher, par son
attitude à votre égard, de vous faire oublier les
ennuis dont vousavezété victime, vous faire en
quelque sorte des excuses. \ ous avez passé
six mois dans les transes, dans les larmes, dans
les indignations et les fureurs ; vous avez mar-
ché, durant tout ce temps, la tête baissée, pli-
ant sous la réprobation publique. Lu tribunal
vous renvoie indemne. Il serait d'une bonne lo-
gique, la logique du bon droit et de l'équité, que
vous pussiez rentrer dans le monde le front haut,
que vous y reprissiez sans conteste le rang que
vous teniez auparavant, qu'on vous dédomma-
geât même par un avancement quelconque si
vous faisiez partie d'uue administration. Il est
certain qu'on vous doit la réparation de tant de
mauvaises heures.
Et bien, savez-vous ce qui arrive ? C'est que
l'acquittement ne vous profite point ; il n'est
pas considéré dans le monde comme une preuve
irréfragable de votre innocence. On se dit tout
bas : Les juges ont acquitté, c'est qu'apparem-
ment les faits n'étaient pas suffisamment éta-
blis ; mais ils étaient vrais, et le tribunal, au
fond, en était persuadé. Il n'y a pas de fumée
sans feu
U n'y a pas de fumée sans feu I Voila un pro-
verbe qu'on devrait bien retrancher de la lan-
gue. Pourquoi compares-vous la calomnie aune
fumée ? Je pourais tout aussi bien dire qu'elle
est un poison, et qu'il n'y a pas de poison sans
empoisonneur. Ce serait infiniment plus vrai.
Mais, puisque nous en sommes aux vieux adages,
je dirai que comparaison n'est pas raison. *
Cest avec ces terreurs qu'a Lyon, il y a trois I <
ou quatre ans, deux ou trois maîtres-chanteurs I j
extorquèrent des sommes fat /'.eu»»? * de très 4
honorables négociants, qui aimaient mieux pa- ]
yer le silence de ces drôles que de les traîner
devant les tribunaux. (
— Nous gagnerons sans doute notre procès,
se diîaicnt ces braves gens ; mais nous en sor- 1
tirons éclaboussés pour la vie.
U n'y arien de plus salissant et de plus tenace
que le* accusations de ce genre. C'est pour ce-
la que je voudrais qu'au cas d'acquittement, la
réparation soi ialc suivit de près le jugement
intervenu.
Tenez ! je pense à l'affaire Rabaroust. Je ne
sais si vous l'avez oubliée. C'était un magistrat
qui, envoyé par son médecin a Arcachon pour
y passer l'hiver et y rétablir .-a santé, fut dé-
noncé par une bande de vauriens pour tentati-
ves d'excitation à la débauche, pour faits d'im-
moralité. Je ne précise ni n'insiste.
Le jour même où se produit l'affaire, M. Ra-
baroust envoie au ministre delà justice sa démis-
sion libellée en ces terme» :
" | ai l'honneur de prier monsieur le garde
des sceaux de vouloir bien accepter ma démis-
sion de substitut; comptant bien retrouver ma
carrière, aprèsavoir justifié de mon innoncence.
Et il écrivait le jour même au procureur gé-
néral de la cour de Bordeaux :
" Je viens d'envoyer ma démission et vous
prie de me traiter sans retard comme un incul-
pé vulgaire..." I
C'est ainsi que débuta le procès, dont le re -
tentissement fut énorme. Je n'ai pas ici à en
conter les phases. Vous vous souvenez qu'en fin
de compte la Cour d'Orléans acquitta solennel-
lement M. Rabaroust sur tous les chefs d'accu-
sation. U avait demandé que son affaire fût ju-
gée toutes portes ouvertes. On ne lui accorda
pas cette faveur. C'est dans le plus strict huis-
clos que fut démontrée son innocence. U n'en a
donc, aux yeux du monde, d'autre preuve que
cet acquittement même qui le constate.
I Cette preuve devrait être suffisante.
U paraît qu'elle ne l'est pas. M. Rabaroust
n'a pu être encore réintégré dans le poste dont
il s'était volontairement démis, confiant, disait-il,
dans la justice de son pays, qui reconnaîtrait
son innocence.
L'innoncence a été reconnue. Il y a chose
fugie,£til n'appartient pas aux magistrats de
révoquer en doute un arrêt qui est revêtu de
toutes les formes authentiques. Du moment que
la Cour a pron once, tout l'ordre de la magis-
trature, le ministre en tête, n'a plus qu'à s'incli-
ner : res dijudicata pro veritate habetur.
La réhabilitation de M. Rabaroust ne sera
complète que le jour où le ministre lui aura
rendu sa place. Cette réhabilitation, on la lui
doit. Oui, la société tout entière contracte une
dette, une véritable dette, envers (homme qu'-
1 elle a tourmenté et flétri, le croyant coupable,
et qui se trouve être innocent. Cette dette, il
faut la payer du mieux que l'on peut.
FRANCISQUE SARCEY.
LISTE DES ÉTR1HGERS
Cl flLUtlITUiE I MC1CH0I \
Le chiffre placé devant chaque nom ma* i'«u«
te nomere de» i*r»onnet de la famille.
1. XacTCVtaaae de Guy d*) Paris v.Velcy
4. AVBNBL, VarneutL ». Bell i tu.
4. Awomau». Bordeaax. ». Miner»*.
». AVTCNISCKT (Mm«) Parts, ?. des Tourellaa.
4. A «MOT, Arganteuil. ». Maria.
1. Bossu Paris v. Hlquet
7. BEAUCMABJPS-MONTNÉARD (Baron 4a). Sartha, v.
Figaro.
4. ItwnRT. Paria, Grand Hôtel da la Forât et d'An-
gleterre,
t. BRUNO Paris Grand llotel da la Foret at d'Angle-
tarra
4. BOUSSIRON Borda aux ». Colilri
Z. BsTzoï.o-Sourto (Mme la Princesse) Boumania
Grand llotel de la Forât at d'Angleterre
4. BRAVO, Paris, ». Parisot.
1. BKMSCI-I (Mlle), Paris, ».George* Maria
6. Btiuior, Paris, v. Odette.
6. HIKUKI., Paris, v, Giroflée.
C. Boiscitioi t iKii (del Montmoiillon, T. Choitseuil.
9. BITIIM»* i.de), Bordeaux, v. Carmen.
5. BAHBOT comte de), v. Bianca.
4. HonDiF.it. v. Belle Plane,
r. B111011T, Paris, Boy al Hôtel.
3. HoTSSBiM.il (de), Paris, v. Lirtiti*.
4. BUITKTBAU, Bordeaux, ». Laure-Baoul. I
6. BKAUSKIUUH (Mlle de), v. des Bruyères. I
2. HiuiiBTTi, Tarbcs, v. Murguerite-Kmmanuel. I
5. HBLI. (Mad) Amérique Grand Hôtel de la Korlt et
d'Angleterre
10 CAIIHOI., Klers, v. Franklin.
1. CIIAI.US Bordeaux Grand Hôtel de la Forêt et
d'Angleterre
6. CoMAU.i.a,Paris, ». Emma.
2. Cap.PAVX, Ls Vèsinet, t. Bella-Vista.
6. CiiAuroiiANU (de) Paris, ». Stora.
4. CIIABTIEH, Pans, ». Velpeau.
». CHAMTOISIAU (Mad.) T. Jeanna Marguerite.
I. COUDRHT, Paris, ». Souvenir
1. GANAT, (colonel), v. Bella-Vista.
IS. C«nriM.ON DE LA COUTUKS, Limoges, ». Biquet.
S. COLOT, Bordeaux, v. Sully. I
i. CASCLAUX (Cte de; Paria v. Georges Saud.
6. CASTRO (de), Brésil, ». Serpa-Pinto.
2. CUAUMBT, Bordeaux, ». Mariua.
4. CAUSAI»', Paris, T. Lutéce.
5. DRESSER Londres v. Kougèrea
2. DENES, Bouen. ». BeUa-Vista.
4. DABniM, Paris, v. Flore,
3. DALBA, Paris, v. Parisot.
2. DUVAL Parisv. Biquet
1. DAVID (.Mad) Saintes Grand Hôtel de la Foret at
d'Angleterre
4. DUMAS DE GUILIIEHENÇON (Mme), ». La Tauride.
2. DARUON, Bordeaux, v. Fénélon.
6. DKNUCÈ, Bordeaux, v. Colombina
i. DBI.KSTHK (.Mme), Paris, v. No4mi.
Ià. DBVIIXE. Lille, v. Scaliger.
t. DUKAN T Kivts, ». Banp.
7. D&viux, Anger, v. Marie-Thérèse.
4. 1)ESPIU:S, «.MmsiParis,, v. Miatigri.
10 DEPAS, Bordeaux, v. Sydney.
6. DANET, Bordeaux, v. Hernozant.
4. ESPIKS (comte d') Clermont, v. Ittchelieu.
5. ESCATHA I.«I',I l.a Beille, v. Marjolaine.
6. EVOBR, Bordeaux, v. Daniel-Kimle.
4. ERIUNOTON (Mme), Londres, v. Sans-Sou.M.
2. EWINO (Mad) Angleterre Grand Hôtel de la Koret
2. ELBRS, Angleterre, Hoyal-Hotel,
et d'Angleterre
t. FBUIIXAS, Paris, Grand-Hotel de la lorct «t
d'Angleterre.
1 6. FHKCOM du MOUVILI.ION, Bordeaux, v. Marie-Léon
t S. KUNJE VAN SALVEHDA, Hollande, v. Sévilla.
i 9. FI.BUIUOT DB LANGI.ES, Paris, v. Moudesii.
. 8. FITZ-JAMBS (.cte de), Paris, ». Saint Louis.
4. FISCHER, Angleterre, Grand Hôtel de la Forêt
et d'Angleterre.
» 2. KI.KUINU (Mlle), Angleterre, v. Bapin.
I 2. Fanns Paris, Grand Hôtel da la boiet «t d'An
gleterre.
t. GninvES (Mias), Londres, Royal Hôtel.
5. Gr.o»or. Bordeaux Grand Hôtel de la Foret et
d'Angleterre
6. GBIMAUI» Paris v. Daabieya
4. GBBBM Angleterre Grand Hôtel de IaKoret et d'An
gleterre
1. GRKMIBR (Dr) villa Favorite
4 GIRARD. Paris v. Abel William,
I. GABDKT, Paria ». Vauuau.
>. GAHMitn,Paria, ». Eva.
1. GutHET, Bordeaux. Grand Hôtel da la Taré t et
d'Angleterre.
I. OATB (Doctenr). Paria, v. Georges Maria.
4. QotiKWiTcn, St Pélersbourg. ». St Céline.
5. GODCMAUX Paris, v. Lovely.
t. GREHir.r Paria ». Biquet
S. HUTAUB (Mme), Hen laye, h. da Franna.
I. HIUMIN (Mi»»), Liverpool, BoyaJ Hôtel.
3. Hoti.uiNO vMine), Dublin, Itoyul-Hôtel.
1. HÉRON, Parisv. Giroflée.
'i. ISTRE. Clermont, Grand Hôtel da la For*t et
d'Angleterre.
3. jAKjur.Mimr Mlli- , i'aris. Grand Hotei de lu l'orèt
2. JUNKS, .Suuderluud, Uuy.il-llotc'..
et d'Angleterre.
S. JOIINS, Bordeaux, v. Auber.
9. JollHDAN, Begles, v. St Elme.
4. Jusr DB LA Fous DES Ks»Mti» ,Cle>, v. Soutenir.
1. JEI.IK, Belgique, v. Tourville.
1. KIUK (Mis»; Angleterre Grand Hôtel de Furet et
d'Angleterre
7. LF.ÏOI'RD Tour» v. Audubert
1. LAVKSVKI vMlie , Paris. Ii. Biohelieu.
12. LKIKVRE, Pan», v. Solitu.
3. LACIUUX, I ari;». v. NLigilula.
4. LAL'I'OUK, Aiinou-le-faucon, v. Noémi
7. LAI.YUON DB VAIIF.S.NKS (dci cuat de LarhosU, v.
Anna.
2. Liibi.iK (Miss\ Amérique, Grand Hôtel de. la Foret
et d'Angleterre.
2. I.AIICF.NA ^Docteur), Sens, Bpyal Hôtel.
3. LYMCII Nliss), Londres, Itoyal-Hulel.
4. l.Tsu.n, Nantes, v. Ma Louisette.
6. LAUHUMR, Bordeaux, v. Lilia.
6. LA CIIASSAIUNK (Ctesse de), Paris, v. William.
6. La PIN, v. Marie-Adèle.
1. LAMBSDOHPt' (eomtessede) Courlande, v. Bagatelle
4. l.AïUADK (de;, villa des Pervenches.
12. MuiEVAHD, New-York, Boyal-llotcl.
4. MONDON, Medoi", v. Sylvabclle.
î. MKIIU, Si Servan, ». François-Pauline.
3. MENIN, Joigny, Hoyal-Hotel.
3. MOUNIEK, Vineenn-», v. Franc-a
4. MARDI-, Bordeaux, v. Troi-adéro.
3. MACNOIIARA (Mme) Angleterre, v. Jeanne-d'Arc .
4. MONSPEY vCtesse de), Laborde Saint-Denis, v.
Beethoven.
3. MESTREAI: (Mad) Saintes Grand Hôtel de la FortH
et d'Augleterre
3. MENAIUI, Pans, v. Gaston.
8. MiciiKi.OT. Bordeaux, v. Diane.
3. MOWAI, Paris, v. Ormiércs.
8. MICIIAIL, Houmanie, v. Bellegarde
2. MASIOH (Docteur;, Pari», h. de France.
5. MONI'AIUOL, Bordeaux, v. Wattcau.
6. MOUES (marquis de) Paris v. Chopin.
2. MÉNAIIDIÙRB (de la) Brest, H. d* la Ville d'Hiver.
8. MKUCER Paris, v. Mendelhson.
3. MOREAU (Mad.) Bordeaux, ». Lucie.
6. MBSIREZAT, Bordeaux. ». Coulaine.
5. NADAH, Paris, v. Olivier.
3. NOBHHT, Francfort, ». Jean Baptiste.
2. OSMOK r (Mines; Paris, Grand Hôtel de la Foret
et d'Angleterre.
1. OVONNOR, v. Bella Vista.
2. PKRROT, Brest, ». Eurêka.
2. Pir.BiiK ANIMIK, Bordeaux, Grand llotel
ForAt et d'Angleterre.
6. POIUK-SAINIOIN (Minr) ni -icai .■-. \ . M ■■ ' ut.
9. PAUAM, Pars, v.Gietry.
i. PKOUIKNSHY «.le), lli.ssic, Gr.u..l ::>.•■• c> la
Foret et d'Angleterre .
8. KousiEi St Mare v. Malgré tous
l 4, BBTAII.UAU, v.Urixton.
5. BOMEUI. (de), Paris, v. Siebel.
1. BAWI.INSON, (.Miss), Londres, Hoynl llotel.
2. HotiEit'i'SON, Edimbourg, Hoyal Ib.t.l.
1. HHMHHKI.INSIVA (.Mine C.i villas Henry Louis* et
Picciola.
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