Presse et revues
4 pages
Titre : Arcachon-saison : journal des étrangers
Éditeur : [s.n.] (Arcachon)
Date d'édition : 1892-01-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32700777c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 28 janvier 1892 28 janvier 1892
Description : 1892/01/28 (A5,N184)-1892/02/03. 1892/01/28 (A5,N184)-1892/02/03.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
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Description : Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5817085g
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-5721
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
Ctnquiém» aimée : N* 184 Le NUMÉRO |Q CENT .MES 38 Janvier — 3 Février ifjMj
ARCACHON (GIRONDE)
e*eas»4 lliltWi — Apptieabla dans lee maladies
taraedqiMa da pvitrii* 4 forma arétbique, cbea las
•ajata irritablaa «t à coaaftitutiM nerveuse.
■■fllaal aie» SBaatsM» 41* ■**•*■» «aranl
t*4W. — ApfjHaaMa IIMM lu maladie* jmticiablea
da la médication aalina, principalement cbea lee I
femmao ot daaa la Jaune *««. I
êfwntU» MHhntêtiiwi àJ$Mêmëiuin
M* <*•» niI4.n AU 4A JtNV IM09
ITHKRMOMftTRB PMJIS Mttmr.Tiom
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MAXIM* I MIHIMA BN M/ M/ ÉTAT OU CIBI.
Jaav.N S.4 3.0 0 9 brouillard
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Il il 7 4.1 18 ♦• BOUI. P-P
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Illill II. Kll M. II1))^1"!1""1"*!!)"^!,'^';^»." ',:fl
Serrlee ¥édio*l
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FKSTAL, ». Da»id (». rkHer).... *44 » ■ '<
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ÂH> V.i (iMlH ' j -. i( . ■ ■ , I
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.Q»k A'ifif l'.ÎWlW»'- W*. c?"* semaine à 'li"
CMwbr,*,-,..,,,,,,',,.,,..,., ... . , ;, .',.: ,
Cet incident peut fournir i des réfljxioins ('e
diTep^iif&qçfal "P^l ici> où nous mettons ré-
■olument de côté tout ce qui touche à la politi-
quê';'î*Y(n,e fdédraW eTidégàRer qu'un eneteigw!»
meriCqut'e^ de phHôsophié i^remerif «p^tMli» !
tive.
M. Rochelort attaque depuis longtemps,
dans son jonrnal, M. Constans, le ministre de nij
I intérieur. Je ne lis gul-re l'Intransigeant, qu
pour ma p*rt ; je suis trop vieu» et trop occupé ne
|H»ur perdre mon temps i suivre des polémiques ter
qui me semblent aussi vaines qu'irritantes. Je len
rais par avance qu'il ne faut laite aucun fonds '
sur 1rs allégations d u.i journal où écrit M. Ro- e»(
chefort ; qu'il versr à pleines main? et h l'élour- ou
die le» calomnie* les plus affreuses Mir les gens (ui
qu'il veut détruire ; je n'ai donc aucun intérêt
ni aucun plaisir à lire des fartuitis, qui ne sont du
qne «les «uvres de haine et de parti-pris. tai
C'est par ouï dire que j'ai appris la campa- q»
j»ne poursuivie par lIntransigeant contre M. qu
le ministre de I' nlérieur. Il parait que les plu* un
horribles accusation* s'y étalent chaque jour I ce
avec une cynique effronterie ; que le* faits les I
plu» simples y sont travesti» de la façon la plus /»'
odieuse ; que d'autres y sont inventés de toute le
pièces, et que Rochefort jette sur toute cette q«
bouc le luxe de ses étourdissants coq-a l'âne, p<
de ses trouvailles d'épithètes gouailleuses. r*
J'ignore si les « premiers-Paris » de llntran- \y
stgftyf ont beaucoup -de Jcr.Uur» dans Ja thautr/ u
et,«)H>'cnno Wour»^«>rt4t^j«r|>Uisi aasurrr.iqnten. I*
toslteaa^iJtn M ,ontq»«nitiés
mp4Hl«!aù jnnw», «>n tta>ift^artk3tcs<)d«fiRocfafc- I, ^
MV.f>l^MrsVus«i*aidlkMafltpr-fMS)Baieolaji)t#uiis-4i4)rfomc,etràQutéa panumounoisdtcitFbai» ,8
sowpk «hUfT«$ii«*j04V nfyicrniti||nM)ii ^n>lad»l> i 1
nwri^dA-.tcrapA^jaaiareiraiaiareoipqiiat-ilfngtseMl- ! a
lerr.cnt e^ti|KMlkpiè{ i> a
liA.ifei->vaU9 («it unf) resnarquat>Ro«Hbien
peq éiaif ni pqasuaaila aeuxi(|ai tne CtoUivaient(> c
d»na:te,j«auinalKia^iqMeià.
.pniàiniste .de •«onv.lc!iqMl;>ric'étkrt'(uit ■écrivain» l
rare, qui parlait une langue m«*M«iUouKé»;tili< ^
é|wt> jeiI<]icnMid*>rn«ina/-bitfrnéP'd'una.fDii «ii- I
CMCJ Jfl.nc »i»cs paadlbornrn» ql '
Oi\ «la>BV«att 4c«:
sinési 4}!iinc-'tikaMj ai .-juste ot •s»lcW^tiHbr{auviolente brutalité ! Mais les batt^'«n rWateaU'i |
quittqs |i>ur MvfciomMidrVmi-
lot.no leur arwait pas rkvJMimi wtil «ir.taa?ii ^dM> :'? i '
rents. Il les avaient rendus ridicules ; il ne Un»r! •
atarttfiasiienlitvélia» -.atome de il'vwfbiicnr»vq»>'8s
exerçaieritjsut'iosiKauDits.m ...I-J. :M : • ;;;. ,.^-.u
■ Je; ifa «âmparc-iqc rtq*-. i »pfi* i Mj. )iRioci»cfcyrti : A ■•<
Louis Vcuiilot, qui était un maître. Il a celtoi*
reaaeanWauceiia.teo W> «édadteÉri:qm>.rUii Jifc
VUmvcrs qu'il n'a jamais procédé aycoracu»
qui n'était |K>int de son lUord que par l'ironie
et) l'inculte 1 ■■ G!est;;lfc 'stV faibitwsd 'tniqniei<" ' ■"> ':':. " '' ■'"' :v~ ■"■ ■ •,,;' ; "'"i. I *,:!:,.i
M. lb,mJni*lrc,dft:4'*»*èfiin»r''b'fcllrf( *>rd' dtK",
voiti'àicw débwdcnient'Ide ' mite»ies!,!id'îrtlfcVJ! •■
/ti*«*
silehteT'du'fnepriSiïl'tferti'sarts^dot^sqVil'ftatt vI
laisser toute lib-rté à la prefset^' ei tt pfe»«aU,tie,,!|
plMftil^«ie!to»Vl't.'*?laiV«n'SVif du jmirnar 'dtt'chefort ne comptait pas. " ■■'< :. ' "i ■»' '"'Ml|
li^it^U mêrn^ ces awaréntiorr*•P'J*'l'tgH^è. "'I
i Mais a S(ipposct'rf*ni& qu»U «ë Hct!lltlt)de«HuiHrt>b
•reim*ttr«4c*n«imérb dtf jwirriai, 'tt' l'buwk>l^4<>>.
h'hmre.oir'it'etttrt'fietd
• s'écriait, j'imagine :
— Bah! j'en ai vu bien d'autres ! ^uel est le
nigaud qui peut croire a toutes ces niaiseries, p
qu'empoisonne le vitriol du style ? Il n'y a qu'à
ne pas laire attention a ces fadaises, à les c
tenir pour non avenues et a poursuivre tntnquil- n
lement son chemin. I
Oui. c'est ainsi que l'un raisonne quand «m r
est tout seul, ou quand on n'est qu'avec deux i
ou trois amis, philosophes et sceptiques, qui <
fument un cigare en blaguant la bêtise humaine. i
Mais c'est la que se voit bien cette vérité, I
dont on n'a pas encore asset mesuré l'impor- .'
tance. L'homme pense et sait tout autrement,
qu.nul il fait partie d'un public ou d'une foule <
que lorsqu'il er-t tout seul. Seul, il est lui ; dans !
une foule, il n'est plus qu'une de» unités de i
cette foule.
il y a dans YHistoire du Ccnsutat et de l'Em-
f>tre, de Thiers, un chapitre dont j'ai été dans
le temps profondément frippé. L'empereur,
qui était en dissentiment avec le pape l'ie VII
pour les affaires ecclésiastique*, avait, en i8it
réuni à Paris un concile national de qui il es-
pérait obtenir certaines déclarations qui lui
tenaient a*i cucur, ,11 p/epait à p.^rt chacun, des,!
P^*4*/*.*|uiiV(««HWM',<'i^iJ| lns.f|»i*ai^.
i travailler l'un après l'autre par d'habiles di|)Lo(-i
! r#*^»>;
j *%rV.flH»,'4l'lf^j ministres. L'eni|>ereur croyait.a,ypj|ri egvsV .&&.'
i IWfiq : .»n*P Wlti> **Bft«^i"^i»Sil?Wâ.g.^
\ qW.W^MfRrW.ri tolrtV if» W& dJl"S; nJ|?.,
! îMHWnW^W^^iibejfftnt,^,,,^» niajo/t»^,^.! étai(t'
as»W*f i:4l SWRJrH 1 »P«' W*Mftn .-u<....,-: !
«A JMm-«ft»ensemble, qu'ils drvcr^ueat, (oulçy ou. si vpu^, !
jappe*,^itt^F»Wl^v^.».FbWun.^Au^:,rÇ|?^
I les opirdons^ç) t4M)n,;,.^Ja,,peosai«nt.,.ensembJe,.
parce qu/y^4lajej|t(l<;qs^br£i. M... TNCF*; *lui
était, lorsqu'il écrivît cette.jUjs^iro, t\m ,vie^x
p*çJmnp«>|airaf,«,<;, jj,yrje,à, dc,^, rc^S^ons, b.i
I<« b^»»W«4ftJl1f?MWe,lp^s fetJne,d,e(jsp4^Ti
chati)ieu.KMA,M
d^lpana-via^asspnndjj^s,.... '•-, il..,;..,,,,.,..
I Nous faisons sans cesse la même observation!.
au.4bcéà|r,ç,f O/JÇ dqto^flVv-VQB, p:is,., cpmarqué
! combien ..MA iP^bt^c • fiompv>sé,_.(d élé^otcnts t,rès.
, i dispa/çatcf,,dpJ)Wa plupart poatvicicux^, prenait,,
d^qs U4ie,^all«f;tl.q;s4jectaq|p parti p Hinla vurt,i\ ; ,
, qu',eJle hot/çar i^ a.yait de v/otr (c.crimQ. triain,. ,
, phant ! Jg,pp.^ia,,quva..dit :.Réuniss<:i».»î,iris un ■',
i thi^Mç dfi«.cqur»isan^s.^t,lcMrs a,nits ; tays.s'in
digotïPPt 4':^" JflVrt .tfPP.;;libi4?, dju^e . situation.,
lrflB os4»î4P4.^|a|»P^«d.ifQ'1t *■ ^*e- P,ira*P dT > :
«^PJSTHSflAaUtéjflftHiîçltrçt Ç'j;sfqu^ls;sont..<}^v,c-,;
nus public : il#.J|0.n;ttpour, ,a,wîi\ dirç, d^pcjuill^,.;
, leu^persflQn»^ iWvtprfï, ^qwr çn revêtir «ne
r, qu^lftVU.Bt^ c«n>mun«4 tous» M. -s«.dégage (ifi .„
itoifte&iiG^Ân^estOO'iç^taçt.unp électricité inys--
tér,ifiu^^,,
vj et.»q-mêfliQ.gfîsbçv .„.•„,■ , , '"■ -
>x\ Jit'sk vtaiteinWable que; Mv Constans avait .i
| dit)Cent fols, ,et.4ei'l| à »o»'«mis': Moi.hqu'R^a'me. fàohc .oontrç les .
"l| atWlfe^ de Rochefortilmqùë; jd'-m'ten inquiète
>'» m8mfe1 àlWnf • donc 4ivon^ Vue; .prener. :|>our nu- '.
"i". autrt?! <^nhi>st'papft|it*mcnt>égai' et il peut diro .:
'!• toiH'V*''''4,r*'!,T,^ltv '^oywvous qufc-l'opiaioiv
al pi»bliqueùrft «»it>:é»iiuii ? .pourquoi* vouiea- voua
'que je m'en trouble davantage ?
C'est ainsi que M. le ministre de l'intérieur I 4
pensait quand il était seul, quand il était lui. '
A la Chambre, vous l'ave» vu, les choses ont
changé de face. L'insulleu., à coup sûr. n'avait j
ni la surface ni l'envergure de Rochefort. M. «
Laur, quelque puisse être d'ailleurs son talent. J
n'a pas l'oreille de la Chambre, et on l'y com- '
pare volontiers à un hanneton. Il semblait donc (
que le ministre, qui s'était cuirassé contre le ;
rédacteur en chef de l/nstranstgeant d'une si <
belle indifférence, hausserait les épaules 4 l'in- '
suite du sou* ordre de Rochefort. (
Mais voilà ! M. Constans était devenu public .
et foule. Il n'a plus senti de même, il a bondi l
sovis I outrage, et ce qu'il y a de plus caracté- *
ristiijiic, c est qu'aussitôt,de c tte foule, il s'est
dégagé une électricité qui s'est déchargée en
soufflets, en coups de poing, en menaces de
duel. Les hommes les plus doux ont perdu la
la t»Me ; la bigarre a été générale
Je suis convaincu que, le lendemain, chacun
(l-s pugiliste*, rendu à sou naturel, a dû sentir
quelque honte de sa conduite.
Ils recommenceront, si l'ccca«ion s'en pré-'
• s^tc- ....
;, l|^\\reluscii)e,nt que ces occasions-là sont rares..
1, 1 '"' ! FRANCISQUE SAkCKY;•' M I,
■ ■■■[■ I : : -'c. '. .1 : :■. J.I I»
•"•'•'••■" -V: • ••!•: • | _, ,-:,,■[ ,, .,. ,, ... . , i ■••";.-,n
UStE DES ÉTRàJIGEM; ; ;
; ( ..._tu ji^ii.iàtiM i inciiCHflfi , '
! ,/.r «J/I•'/•Va P
j 4,.AVKNKI.. V«r'h«inl. v. Itollii'ii.
4.'AsnHÏKi x, Uorite'àiix, »'.Miii(Jrvfe.'!. • '''• ''■'■' '"'"' «
S.'ÀUi'eum'iaV'^AÏ^Parts, K. Rieheliea •>' 1: j-..'; I
4.'ApuliKT,iÀiT{k>n.t)sull!.r.»ti
4. IIIIAVO, l':iris, v. l'ariaof,.- . ,- ,...., , , ,., , ; . . '^
7. l>oLLm;y.Kri--,.>St l'étersbourg, v. Favorite .,'.
3. Bi.AgùiKMR (t.ùily i\c\ t.oa.lrcs, (irand llottl de
> I» K*Wl'evd'A(>gtfci*rr«i • ■• •-! -.■'■ ■■■] <
1. lk)Cii»i.N,tl,ar.»4t.U#'«u)d UMK«1 da:l* fc'Ofet.çt-4'An,;. j
,.,;gUterre, .,,., . ,.,< ,.,, .,.,.-,.., |
1. UÏNÏCOI ^M.lle), Paris, r.Georges Marie , |
* 6. nHiiioT/l'arfa.'v 1: ÔHetVai.''' "' :' "'' ; ' '' :!'! i;
1. Borr-rour Pari» Grand ffotel de la foret et d'An-
-•i^tfetwVe.' ! :'• ■-.'.■ -... •■•!.. ij; ■
2i BAIKUSAUHajitt H. de ,Frai\c.Q. ,
2,..lJ^PST0ij tjoyàl l^otèl. -^ ,
6.' UiiitiKi-, Paris', v^Gïroheé, '
G.'noisi3h6i.(.»EK '(ttè) "MtfntniorilTon,' Y. Chôisstuil;
8. UETHMAN (de), UordSajuxî, v:.Carmen.
. j 5..foiiaoT*c.<»nite de)ù v-. tiiaïiftf». .
. 4. Itoiiuiiin, v. Hell* l'iage. ,,-■,.-, • -
12.!.lbuoi|T,P:u-is1»oyallt6te;. ,
3. Ûo-ïsSBCi'.M'(ilt'). Pàrfs, v'.-Loetitia.
4. itoVrf.-rWA'ùV'rtiifMl'ètihx; v. Lauré-ltaotil. : '"' i
,6. •BKAti8Éix**l«'(WlUi'da);-v;-d«« Hruyères; 1 '.
(2. HiiiiiKT«»i 'l]acl>os,|VuM(irguerite-^inma«uel.. .
. |6.„t',Q»i^ii4.u,i>ai7SH,y,. lùiima. c . ,, ,
12. ÇRÉRAIN, l.e Vosir»et, v. Souvenir.
li.'CiiAMPuitANti (.'
4. CiiAMiBH, l'uns, v. Vetpeau.
" 5. 4JW*MlSKS-tA.c>(^ïad.) v. Jea"»iiei Marguerite. ■
J3. CANAT, (colo|iel),iy,.tlella-yiat4.
^ Î3. CANTII.I.ON UF. I.A COUTUBK, Limoges, v. Itujutt.
t |5. i:oi.oï, llordeaux, v. Sully.''
'' ;l.'CoiisiN l'ontafl'icr tl.' de KrhnceL
2. t'trAtituclr (M'«« dq ; d'Angleterre. ■■■ .■■.. ,• :•■. . ,: 1
,. '.5. CANCI.AIIX (,1'te dej. p^rjs v.iGeorgçs.^uid, ... , \
'6. C,'A*Ti«e) (d*),.llré»il,.v. Serpa-l'into. ,
;2. OiUUMBT, Bordeaux, v.' Marins. ,
A. (iÀuà»lhT, tvaris, v.'l.Utéeè'. ..-'•.>■
•'> U. OAKIIIN, l»arfs, v. Flor*; -<
•S M. Uii.'Hnitun. nB-.'AiY^'BimAKi, dép»itHôtel de ,1a Forêt et d'Angleterre. .
''' 'A. fitlMAS i>R Gi)ii.liBMENvON'(Vfnle), v.t'.a Tauriil. Orlrlée (Mine); Pàrih, Grand llotel de ta FbWt' et"
j d'Angleterre.
4. Dt'MoNciiAtt (Palmyra). ftoyat-H4let.
t. Bai.Mtcii. Rordeaux, b. da Fraaea.
I. (lu IIAMRI., l'aria. Grand-Hottf da U fa**» «4
d'Angleterre.
S lUnnoN. Bordeaux, v. K4n4lo«.
6. Dftni'rfc, Bordeaux, ». Cotombiaa
4. DKLKaTim (Mme), Pan*, v. NOASM.
5. Davii.LB. Lille, ». Kealigar.
5. Du Cours, l'aria, ». Biquet.
4. DIRA» V IIIVAS, V. Bapp.
7. I).v*t-x. Anger, v. Marie-Th4ra««.
4. ItKirnKx. (Mme)l'aria,. v. Miatigrt.
10 DrrAa, Bordeaux, ». Sydney.
6. DANRT, Bordeaux, ». Hernocart.
I. K»nr.» (comte d') Ctermont, ». Bicbaliau.
5. Fm-ATHA ,.d'; La Brilla, v. Marjolailta.
6. KTIKK, Bordeaux, v. Daniel-Emile.
4. F.iutiMoToM (Mina), Londrea. ». Saaa-Soaai.
I. Fruin.A», Paria, Grand-Hetal da la r«Hl «I
d'Angleterre.
1. Fit. FONT, Bnctiefort, b. da France.
J. Fnancu, AiigUlerre, Royal llotal.
6. FHKCOM du MOCVII.I.IOB, Bordeaux, r. Man«>L4«B
5. FuNJr. VAN SALVCHOA, Hollande, *. Sé*ilta.
9. KI.I.UIUOT ua LÀNOI.KS, Paria, ». Mond4eir.
8. FITI-JAMRS ^cte de), Paria, ». Saint-Loaia.
2. Fi.r.niMo (Mlle), Angleterre, ». Rapin.
3. F*3Ann, Moulina, Grand-Hotal da la ForM «4 d'Aa-
.J\**W.-.. M.. -... ■ ..tt.i.. .; ,.» .
o„f mnv l»arif, fîranJ IIA^I a. I- a»—*» -. j.ftt|
gleterre.
3. GAUDF.T, Paria » vJfltl>flt
3. GF.IIAIID, Paris, v. Biquet.
3. GAHNiF.ii,Paris, v. F.va."
" Ar,ffî,'a"3. GATR (Docteur), Paria, ». Georgea Maria.
, 'b 'iM>»r«i4 rf'À'rlgftterrV. ,''""' 5' *T -^Ntta
, t. IIEHON, Paris v. Cirollée.' 11» ■>■ ■• ^'«*'J ««* »»»«»
. 3«4i*iisu>Wfv.^ttriduoa4,^tayalJilotisld::iol ti^n &J
5^!^Ws»r%rd».»"rt>--.rHi*Vtb«iri.iiub -.lua! ,i!iol îb
9-!t0^W!îs,^^1i^ti^;JîVf'^fii!,«vuo«flii -.nislavl
t. JKI.II, llelgiqiic, ». Tour«illa: ,,.', , .
f vrh9vw#m (aMBiéftW) I^Wi^ryràVt^f"^
i In Forêt et d'Angleterre. .Bieatiîao
[ 1. liAT*«.vjv* iMa«);>Pariai.'li» Rioa»Vi«uvil »i6q s.l
! 2. A1vtvRB,!l,a»i».:Kr.^Vli*#p ■j~.;u: »;i rf> ?il :•! In*v
31 LACHO.X, I aria, ». Magdala. ^ ,. R ws| ,j
6. LAUKISTON (Marquia de) Paria, ». Mirador,.
4i'lllviu!H>tsiiî •Jtiu'rWnA "~
7^ t)Airr«0|» DE--V*i«*iWESi(d»J «ban 4»oaatl>||bt<>,dail
' -i- Annf.j, .,;■-. j-im,. v f;.}' ■:Ui>'.: ::> !a» Htmtm
| A. LYON .Marquis du) Pari.J^RtfMJh ^ oo'l J»
i 1. LAIIHOUSSK, Paru, h. de Frauea. . .
i 4. •t.'VmEk'N-aritctvIVV Ma;Lt>uitàHW;:'': ■>,t,1'> K fA
6. LAHKUNIK, Bord«aUx;-»ij'Llltb.■■■.w.'.i: > ..iustii ^aa
C. .LA,CMASfiAiu»R;(^;i.e»a#da.), i(M|iv.v«liri»ltalit—
' 6. I.K PiN,,,y..Maf;i.e-.A,déi«r,i,, ,;1 -..:.,..,( i:ovu.,-.: ta
4. T.vos-SAVAi.bo'n (Mme) Paris, Granà/l|atel de\*L«u
; Forêt et d'Angleterre. '"'.''. ., '
i", 3.: ï.'AUAt«ïit «Mrh# vlo>! Pont*fn'g«*ydrtirla MrtM^f^ë'fa
j ;:-... F((«et fttd'Anglttjflrre.. j : it•( vt u i-v.no a .•■»
i i. .l,A*usi>o*u K.(ÇOmte»aSil«^Çourlan4ai y»4Jaa»W»laà
j4.' I'.ATRV'P- .(t «5. MONTÀnifii.,'Bordeaux, v. Wat'tiau. ,.
Î6. Mo*n:S(marqui» de)Parii8V,.'c;ii,ospiri!.',!f i3i' ",l *,u»'
|2. MHHAfibréBB; t<**'!•) »rest. H.i3. MBKC>«R P^ïja.tv. M^n.d!»lha*a.;'. ;; eu. li»-»* xv»
!3. NfoKEAVJMadO.Borde^ux.^.jJ^eJV^;. V,, ji»ii-|»d
;4. MONIION, Méd9C v. Sylvabelle. '. t
12. Mfeim, St Scr^hrvVrV-triçoVfn'ûlfné^ •"'
3. Mo«NlK^t,•'Vmill<^n•^H!B,,•»'■, FVtem-a: ;,,: •'"■''"'• -STλ
, j j4. A4*nfï»,iBordeaux,,v.. TcooaaV.it»'.> • -i :»;.•;*''. ™>i
3. ,MiA<^î#AftA.(Mvi«),AnKlptrri«,.;»i<-1^»ht">*:Aki«»io
«*• .^0W!€îSI»-ldf)f-.Wtf,l!l ,*«!I%»4W :T»r»q
! Beethoven.' ' ,
' iuiM|.. -.'L.T'V-
a. MKNAIU», Paris, v. Gaston. .«m* wlrj nr»t.!»
,,,; J2. MAnT|iv,:BordB«.i»x:.:b.i(léir«ia»»«e'i' •■■'"»' «1-vi.M
, il. blicAKij.t Pari8,f,b».de,Fra«ev«, fi ■.,'„ eu.n /mil no*
|2. MAUOnfen/A^le^.rre.il^yàl^tfl,^ ,^,io/, ,. ,„;>%
i:" h. NIMnIN. Cognac, Grand llotal de la Poret «4
d'Angleterre.
ARCACHON (GIRONDE)
e*eas»4 lliltWi — Apptieabla dans lee maladies
taraedqiMa da pvitrii* 4 forma arétbique, cbea las
•ajata irritablaa «t à coaaftitutiM nerveuse.
■■fllaal aie» SBaatsM» 41* ■**•*■» «aranl
t*4W. — ApfjHaaMa IIMM lu maladie* jmticiablea
da la médication aalina, principalement cbea lee I
femmao ot daaa la Jaune *««. I
êfwntU» MHhntêtiiwi àJ$Mêmëiuin
M* <*•» niI4.n AU 4A JtNV IM09
ITHKRMOMftTRB PMJIS Mttmr.Tiom
•—-^—-— -
MAXIM* I MIHIMA BN M/ M/ ÉTAT OU CIBI.
Jaav.N S.4 3.0 0 9 brouillard
M IS.« il M >>•"«
tt |i.n 7.1 Wf beau temp
tt 11.» «•• 0 0 brouil. mat
Il il 7 4.1 18 ♦• BOUI. P-P
fj ft.l 1.4 II bronil mat.
S* S.4 l.l 0 1 beau temps
;•. Hj 1 ....>, .1 . ... 1 ... .11 J.
Illill II. Kll M. II1))^1"!1""1"*!!)"^!,'^';^»." ',:fl
Serrlee ¥édio*l
M*t«0»lN*U ph*c* 44»* Mairie,,,,,. ,*M,h,. e.((
vu WW»PIRW^rfWC*i»Lej,ai|«|a. ; ,j •
FKSTAL, ». Da»id (». rkHer).... *44 » ■ '<
., .*, IMMKAU. «,. *»♦ AV»» ffltMf. . 1»5Î-5M'-M
MM< f *JtW ■*• ■»..»!* W«> ,de U »b.A M U.^
,. l.EVs, avenue Gambatla ....... «i« 10 h m >
« Wy*Wn^iU»ste .•AéHcW«i.r>!'! •*li"»'\*tf."«-
Mm»!AAW1I» tmoi.«>
-at«BU:flSB-îK_l .:; =.,;;;
lillîlllt lllll !■■■ |l I I m ■' \\
it .V!n>ii,;j c ■ -.(. ;,!.. • .• .:-.si. ■> ,,, ; ,: ,p.,. ,
.A«^«ibk««n*«Mnla«>AMt*ft.. gantai , .
MUmtiti kiosques J4HpuU»ard,des &*"•"•.?■,*»
BoutotarOe lit Madeleine; 48, »7, 50 boulevard
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Jean : Veatibula. Quai et Etat. — Vente en gros,
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V Arcic/li>»i : LibrHîrios Deiimfcth, Bbn, Popoy,
VTS tireafW, Hl»«il>e»f6aM«,;b»«0théHu» du Caninf. •>
bibliothtqu»
1 *~*+*^rr~—r~—' '
ÂH> V.i (iMlH ' j -. i( . ■ ■ , I
•-t: i, ■y»*-aamian
.Q»k A'ifif l'.ÎWlW»'- W*. c?"* semaine à 'li"
CMwbr,*,-,..,,,,,,',,.,,..,., ... . , ;, .',.: ,
Cet incident peut fournir i des réfljxioins ('e
diTep^iif&qçfal "P^l ici> où nous mettons ré-
■olument de côté tout ce qui touche à la politi-
quê';'î*Y(n,e fdédraW eTidégàRer qu'un eneteigw!»
meriCqut'e^ de phHôsophié i^remerif «p^tMli» !
tive.
M. Rochelort attaque depuis longtemps,
dans son jonrnal, M. Constans, le ministre de nij
I intérieur. Je ne lis gul-re l'Intransigeant, qu
pour ma p*rt ; je suis trop vieu» et trop occupé ne
|H»ur perdre mon temps i suivre des polémiques ter
qui me semblent aussi vaines qu'irritantes. Je len
rais par avance qu'il ne faut laite aucun fonds '
sur 1rs allégations d u.i journal où écrit M. Ro- e»(
chefort ; qu'il versr à pleines main? et h l'élour- ou
die le» calomnie* les plus affreuses Mir les gens (ui
qu'il veut détruire ; je n'ai donc aucun intérêt
ni aucun plaisir à lire des fartuitis, qui ne sont du
qne «les «uvres de haine et de parti-pris. tai
C'est par ouï dire que j'ai appris la campa- q»
j»ne poursuivie par lIntransigeant contre M. qu
le ministre de I' nlérieur. Il parait que les plu* un
horribles accusation* s'y étalent chaque jour I ce
avec une cynique effronterie ; que le* faits les I
plu» simples y sont travesti» de la façon la plus /»'
odieuse ; que d'autres y sont inventés de toute le
pièces, et que Rochefort jette sur toute cette q«
bouc le luxe de ses étourdissants coq-a l'âne, p<
de ses trouvailles d'épithètes gouailleuses. r*
J'ignore si les « premiers-Paris » de llntran- \y
stgftyf ont beaucoup -de Jcr.Uur» dans Ja thautr/ u
et,«)H>'cnno Wour»^«>rt4t^j«r|>Uisi aasurrr.iqnten. I*
toslteaa^iJtn M ,ontq»«nitiés
mp4Hl«!aù jnnw», «>n tta>ift^artk3tcs<)d«fiRocfafc- I, ^
MV.f>l^MrsVus«i*aidlkMafltpr-fMS)Baieo
sowpk «hUfT«$ii«*j04V nfyicrniti||nM)ii ^n>lad»l> i 1
nwri^dA-.tcrapA^jaaiareiraiaiareoipqiiat-ilfngtseMl- ! a
lerr.cnt e^ti|KMlkpiè
liA.ifei->vaU9 («it unf) resnarquat>
peq éiaif ni pqasuaaila aeuxi(|ai tne CtoUivaient(> c
d»na:te,j«auinalKia^iqMeià.
.pniàiniste .de •«onv.lc!iqMl;>ric'étkrt'(uit ■écrivain» l
rare, qui parlait une langue m«*M«iUouKé»;tili< ^
é|wt> jeiI<]icnMid*>rn«ina/-bitfrnéP'd'una.fDii «ii- I
CMCJ Jfl.nc »i»cs paadlbornrn» q
Oi\ «la>BV«att 4c«:
sinési 4}!iinc-'tikaMj ai .-juste ot •s»lcW^tiHbr{
quittqs |i>ur
lot.no leur arwait pas rkvJMimi wtil «ir.taa?ii ^dM> :'? i '
rents. Il les avaient rendus ridicules ; il ne Un»r! •
atarttfiasiienlitvélia» -.atome de il'vwfbiicnr»vq»>'8s
exerçaieritjsut'iosiKauDits.m ...I-J. :M : • ;;;. ,.^-.u
■ Je; ifa «âmparc-iqc rtq*-. i »pfi* i Mj. )iRioci»cfcyrti : A ■•<
Louis Vcuiilot, qui était un maître. Il a celtoi*
reaaeanWauceiia.teo W> «édadteÉri:qm>.rUii Jifc
VUmvcrs qu'il n'a jamais procédé aycoracu»
qui n'était |K>int de son lUord que par l'ironie
et) l'inculte 1 ■■ G!est;;lfc 'stV faibitwsd '
M. lb,mJni*lrc,dft:4'*»*èfiin»r''b'fcllrf( *>rd' dtK",
voiti'àicw débwdcnient'Ide ' mite»ies!,!id'îrtlfcVJ! •■
/ti*«
silehteT'du'fnepriSiïl'tferti'sarts^dot^sqVil'ftatt vI
laisser toute lib-rté à la prefset^' ei tt pfe»«aU,tie,,!|
plMftil^«ie!to»Vl't.'*?laiV«n'SVif du jmirnar 'dtt'
li^it^U mêrn^ ces awaréntiorr*•P'J*'l'tgH^è. "'I
i Mais a S(ipposct'rf*ni& qu»U «ë Hct!lltlt)de«HuiHrt>b
•reim*ttr«4c*n«imérb dtf jwirriai, 'tt' l'buwk>l^4<>>.
h'hmre.oir'it'etttrt'fietd
• s'écriait, j'imagine :
— Bah! j'en ai vu bien d'autres ! ^uel est le
nigaud qui peut croire a toutes ces niaiseries, p
qu'empoisonne le vitriol du style ? Il n'y a qu'à
ne pas laire attention a ces fadaises, à les c
tenir pour non avenues et a poursuivre tntnquil- n
lement son chemin. I
Oui. c'est ainsi que l'un raisonne quand «m r
est tout seul, ou quand on n'est qu'avec deux i
ou trois amis, philosophes et sceptiques, qui <
fument un cigare en blaguant la bêtise humaine. i
Mais c'est la que se voit bien cette vérité, I
dont on n'a pas encore asset mesuré l'impor- .'
tance. L'homme pense et sait tout autrement,
qu.nul il fait partie d'un public ou d'une foule <
que lorsqu'il er-t tout seul. Seul, il est lui ; dans !
une foule, il n'est plus qu'une de» unités de i
cette foule.
il y a dans YHistoire du Ccnsutat et de l'Em-
f>tre, de Thiers, un chapitre dont j'ai été dans
le temps profondément frippé. L'empereur,
qui était en dissentiment avec le pape l'ie VII
pour les affaires ecclésiastique*, avait, en i8it
réuni à Paris un concile national de qui il es-
pérait obtenir certaines déclarations qui lui
tenaient a*i cucur, ,11 p/epait à p.^rt chacun, des,!
P^*4*/*.*|uiiV(««HWM
i travailler l'un après l'autre par d'habiles di|)Lo(-i
! r#*^»>;
j *%rV.flH»,'4l'lf^
i IWfiq : .»n*P Wlti> **Bft«^i"^i»Sil?Wâ.g.^
\ qW.W^MfRrW.ri tolrtV if» W& dJl"S; nJ|?.,
! îMHWnW^W^^iibejfftnt,^,,,^» niajo/t»^,^.! étai(t'
as»W*f i:4l SWRJrH 1 »P«' W*Mftn .-u<....,-: !
«A JMm-«ft»
jappe*,^itt^F»Wl^v^.».FbWun.^Au^:,rÇ|?^
I les opirdons^ç) t4M)n,;,.^Ja,,peosai«nt.,.ensembJe,.
parce qu/y^4lajej|t(l<;qs^br£i. M... TNCF*; *lui
était, lorsqu'il écrivît cette.jUjs^iro, t\m ,vie^x
p*çJmnp«>|airaf,«,<;, jj,yrje,à, dc,^, rc^S^ons, b.i
I<« b^»»W«4ftJl1f?MWe,lp^s fetJne,d,e(jsp4^Ti
chat
d^lpana-via^asspnndjj^s,.... '•-, il..,;..,,,,.,..
I Nous faisons sans cesse la même observation!.
au.4bcéà|r,ç,f O/JÇ dqto^flVv-VQB, p:is,., cpmarqué
! combien ..MA iP^bt^c • fiompv>sé,_.(d élé^otcnts t,rès.
, i dispa/çatcf,,dpJ)Wa plupart poatvicicux^, prenait,,
d^qs U4ie,^all«f;tl.q;s4jectaq|p parti p Hinla vurt,i\ ; ,
, qu',eJle hot/çar i^ a.yait de v/otr (c.crimQ. triain,. ,
, phant ! Jg,pp.^ia,,quva..dit :.Réuniss<:i».»î,iris un ■',
i thi^Mç dfi«.cqur»isan^s.^t,lcMrs a,nits ; tays.s'in
digotïPPt 4':^" JflVrt .tfPP.;;libi4?, dju^e . situation.,
lrflB os4»î4P4.^|a|»P^«d.ifQ'1t *■ ^*e- P,ira*P dT > :
«^PJSTHSflAaUtéjflftHiîçltrçt Ç'j;sfqu^ls;sont..<}^v,c-,;
nus public : il#.J|0.n;ttpour, ,a,wîi\ dirç, d^pcjuill^,.;
, leu^persflQn»^ iWvtprfï, ^qwr çn revêtir «ne
r, qu^lftVU.Bt^ c«n>mun«4 tous» M. -s«.dégage (ifi .„
itoifte&iiG^Ân^estOO'iç^taçt.unp électricité inys--
tér,ifiu^^,,
vj et.»q-mêfliQ.gfîsbçv .„.•„,■ , , '"■ -
>x\ Jit'sk vtaiteinWable que; Mv Constans avait .i
| dit)Cent fols, ,et.4ei
"l| atWlfe^ de Rochefortilmqùë; jd'-m'ten inquiète
>'» m8mfe1 àlWnf • donc 4ivon^ Vue; .prener. :|>our nu- '.
"i". autrt?! <^nhi>st'papft|it*mcnt>égai' et il peut diro .:
'!• toiH'V*''''4,r*'!,T,^ltv '^oywvous qufc-l'opiaioiv
al pi»bliqueùrft «»it>:é»iiuii ? .pourquoi* vouiea- voua
'que je m'en trouble davantage ?
C'est ainsi que M. le ministre de l'intérieur I 4
pensait quand il était seul, quand il était lui. '
A la Chambre, vous l'ave» vu, les choses ont
changé de face. L'insulleu., à coup sûr. n'avait j
ni la surface ni l'envergure de Rochefort. M. «
Laur, quelque puisse être d'ailleurs son talent. J
n'a pas l'oreille de la Chambre, et on l'y com- '
pare volontiers à un hanneton. Il semblait donc (
que le ministre, qui s'était cuirassé contre le ;
rédacteur en chef de l/nstranstgeant d'une si <
belle indifférence, hausserait les épaules 4 l'in- '
suite du sou* ordre de Rochefort. (
Mais voilà ! M. Constans était devenu public .
et foule. Il n'a plus senti de même, il a bondi l
sovis I outrage, et ce qu'il y a de plus caracté- *
ristiijiic, c est qu'aussitôt,de c tte foule, il s'est
dégagé une électricité qui s'est déchargée en
soufflets, en coups de poing, en menaces de
duel. Les hommes les plus doux ont perdu la
la t»Me ; la bigarre a été générale
Je suis convaincu que, le lendemain, chacun
(l-s pugiliste*, rendu à sou naturel, a dû sentir
quelque honte de sa conduite.
Ils recommenceront, si l'ccca«ion s'en pré-'
• s^tc- ....
;, l|^\\reluscii)e,nt que ces occasions-là sont rares..
1, 1 '"' ! FRANCISQUE SAkCKY;•' M I,
■ ■■■[■ I : : -'c. '. .1 : :■. J.I I»
•"•'•'••■" -V: • ••!•: • | _, ,-:,,■[ ,, .,. ,, ... . , i ■••";.-,n
UStE DES ÉTRàJIGEM; ; ;
; ( ..._tu ji^ii.iàtiM i inciiCHflfi , '
! ,/.r «J/I•'/•Va P
j 4,.AVKNKI.. V«r'h«inl. v. Itollii'ii.
4.'AsnHÏKi x, Uorite'àiix, »'.Miii(Jrvfe.'!. • '''• ''■'■' '"'"' «
S.'ÀUi'eum'iaV'^AÏ^Parts, K. Rieheliea •>' 1: j-..'; I
4.'ApuliKT,iÀiT{k>n.t)sull!.r.»ti
4. IIIIAVO, l':iris, v. l'ariaof,.- . ,- ,...., , , ,., , ; . . '^
7. l>oLLm;y.Kri--,.>St l'étersbourg, v. Favorite .,'.
3. Bi.AgùiKMR (t.ùily i\c\ t.oa.lrcs, (irand llottl de
> I» K*Wl'evd'A(>gtfci*rr«i • ■• •-! -.■'■ ■■■] <
1. lk)Cii»i.N,tl,ar.»4t.U#'«u)d UMK«1 da:l* fc'Ofet.çt-4'An,;. j
,.,;gUterre, .,,., . ,.,< ,.,, .,.,.-,.., |
1. UÏNÏCOI ^M.lle), Paris, r.Georges Marie , |
* 6. nHiiioT/l'arfa.'v 1: ÔHetVai.''' "' :' "'' ; ' '' :!'! i;
1. Borr-rour Pari» Grand ffotel de la foret et d'An-
-•i^tfetwVe.' ! :'• ■-.'.■ -... •■•!.. ij; ■
2i BAIKUSAUHajitt H. de ,Frai\c.Q. ,
2,..lJ^PST0ij tjoyàl l^otèl. -^ ,
6.' UiiitiKi-, Paris', v^Gïroheé, '
G.'noisi3h6i.(.»EK '(ttè) "MtfntniorilTon,' Y. Chôisstuil;
8. UETHMAN (de), UordSajuxî, v:.Carmen.
. j 5..foiiaoT*c.<»nite de)ù v-. tiiaïiftf». .
. 4. Itoiiuiiin, v. Hell* l'iage. ,,-■,.-, • -
12.!.lbuoi|T,P:u-is1»oyallt6te;. ,
3. Ûo-ïsSBCi'.M'(ilt'). Pàrfs, v'.-Loetitia.
4. itoVrf.-rWA'ùV'rtiifMl'ètihx; v. Lauré-ltaotil. : '"' i
,6. •BKAti8Éix**l«'(WlUi'da);-v;-d«« Hruyères; 1 '.
(2. HiiiiiKT«»i 'l]acl>os,|VuM(irguerite-^inma«uel.. .
. |6.„t',Q»i^ii4.u,i>ai7SH,y,. lùiima. c . ,, ,
12. ÇRÉRAIN, l.e Vosir»et, v. Souvenir.
li.'CiiAMPuitANti (.'
4. CiiAMiBH, l'uns, v. Vetpeau.
" 5. 4JW*MlSKS-tA.c>(^ïad.) v. Jea"»iiei Marguerite. ■
J3. CANAT, (colo|iel),iy,.tlella-yiat4.
^ Î3. CANTII.I.ON UF. I.A COUTUBK, Limoges, v. Itujutt.
t |5. i:oi.oï, llordeaux, v. Sully.''
'' ;l.'CoiisiN l'ontafl'icr tl.' de KrhnceL
2. t'trAtituclr (M'«« d
,. '.5. CANCI.AIIX (,1'te dej. p^rjs v.iGeorgçs.^uid, ... , \
'6. C,'A*Ti«e) (d*),.llré»il,.v. Serpa-l'into. ,
;2. OiUUMBT, Bordeaux, v.' Marins. ,
A. (iÀuà»lhT, tvaris, v.'l.Utéeè'. ..-'•.>■
•'> U. OAKIIIN, l»arfs, v. Flor*; -<
•S M. Uii.'Hnitun. nB-.'AiY^'BimAKi, dép»it
''' 'A. fitlMAS i>R Gi)ii.liBMENvON'(Vfnle), v.t'.a Tauri
j d'Angleterre.
4. Dt'MoNciiAtt (Palmyra). ftoyat-H4let.
t. Bai.Mtcii. Rordeaux, b. da Fraaea.
I. (lu IIAMRI., l'aria. Grand-Hottf da U fa**» «4
d'Angleterre.
S lUnnoN. Bordeaux, v. K4n4lo«.
6. Dftni'rfc, Bordeaux, ». Cotombiaa
4. DKLKaTim (Mme), Pan*, v. NOASM.
5. Davii.LB. Lille, ». Kealigar.
5. Du Cours, l'aria, ». Biquet.
4. DIRA» V IIIVAS, V. Bapp.
7. I).v*t-x. Anger, v. Marie-Th4ra««.
4. ItKirnKx. (Mme)l'aria,. v. Miatigrt.
10 DrrAa, Bordeaux, ». Sydney.
6. DANRT, Bordeaux, ». Hernocart.
I. K»nr.» (comte d') Ctermont, ». Bicbaliau.
5. Fm-ATHA ,.d'; La Brilla, v. Marjolailta.
6. KTIKK, Bordeaux, v. Daniel-Emile.
4. F.iutiMoToM (Mina), Londrea. ». Saaa-Soaai.
I. Fruin.A», Paria, Grand-Hetal da la r«Hl «I
d'Angleterre.
1. Fi
J. Fnancu, AiigUlerre, Royal llotal.
6. FHKCOM du MOCVII.I.IOB, Bordeaux, r. Man«>L4«B
5. FuNJr. VAN SALVCHOA, Hollande, *. Sé*ilta.
9. KI.I.UIUOT ua LÀNOI.KS, Paria, ». Mond4eir.
8. FITI-JAMRS ^cte de), Paria, ». Saint-Loaia.
2. Fi.r.niMo (Mlle), Angleterre, ». Rapin.
3. F*3Ann, Moulina, Grand-Hotal da la ForM «4 d'Aa-
.J\**W.-.. M.. -... ■ ..tt.i.. .; ,.» .
o„f mnv l»arif, fîranJ IIA^I a. I- a»—*» -. j.ftt|
gleterre.
3. GAUDF.T, Paria » vJfltl>flt
3. GF.IIAIID, Paris, v. Biquet.
3. GAHNiF.ii,Paris, v. F.va."
" Ar,ffî,'a"
, 'b 'iM>»r«i4 rf'À'rlgftterrV. ,''""' 5' *T -^Ntta
, t. IIEHON, Paris v. Cirollée.' 11» ■>■ ■• ^'«*'J ««* »»»«»
. 3«4i*iisu>Wfv.^ttriduoa4,^tayalJilotisld::iol ti^n &J
5^!^Ws»r%rd».»"rt>--.rHi*Vtb«iri.iiub -.lua! ,i!iol îb
9-!t0^W!îs,^^1i^ti^;JîVf'^fii!,«vuo«flii -.nislavl
t. JKI.II, llelgiqiic, ». Tour«illa: ,,.', , .
f vrh9vw#m (aMBiéftW) I^Wi^ryràVt^f"^
i In Forêt et d'Angleterre. .Bieatiîao
[ 1. liAT*«.vjv* iMa«);>Pariai.'li» Rioa»Vi«uvil »i6q s.l
! 2. A1vtvRB,!l,a»i».:Kr.^Vli*#p ■j~.;u: »;i rf> ?il :•! In*v
31 LACHO.X, I aria, ». Magdala. ^ ,. R ws| ,j
6. LAUKISTON (Marquia de) Paria, ». Mirador,.
4i'lllviu!H>tsiiî •Jtiu'rW
7^ t)Airr«0|» DE--V*i«*iWESi(d»J «ban 4»oaatl>||bt<>,dail
' -i- Annf.j, .,;■-. j-im,. v f;.}' ■:Ui>'.: ::> !a» Htmtm
| A. LYON .Marquis du) Pari.J^RtfMJh ^ oo'l J»
i 1. LAIIHOUSSK, Paru, h. de Frauea. . .
i 4. •t.'VmEk'N-aritctvIVV Ma;Lt>uitàHW;:'': ■>,t,1'> K fA
6. LAHKUNIK, Bord«aUx;-»ij'Llltb.■■■.w.'.i: > ..iustii ^aa
C. .LA,CMASfiAiu»R;(^;i.e»a#da.), i(M|iv.v«liri»ltalit—
' 6. I.K PiN,,,y..Maf;i.e-.A,déi«r,i,, ,;1 -..:.,..,( i:ovu.,-.: ta
4. T.vos-SAVAi.bo'n (Mme) Paris, Granà/l|atel de\*L«u
; Forêt et d'Angleterre. '"'.''. ., '
i", 3.: ï.'AUAt«ïit «Mrh# vlo>! Pont*fn'g«*ydrtirla MrtM^f^ë'fa
j ;:-... F((«et fttd'Anglttjflrre.. j : it•( vt u i-v.no a .•■»
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