Presse et revues
4 pages
Titre : Arcachon-saison : journal des étrangers
Éditeur : [s.n.] (Arcachon)
Date d'édition : 1891-11-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32700777c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 1161 Nombre total de vues : 1161
Description : 13 novembre 1891 13 novembre 1891
Description : 1891/11/13 (A4,N173)-1891/11/18. 1891/11/13 (A4,N173)-1891/11/18.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Description : Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5817071f
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-5721
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
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toute Henri IV
Hôtel de FamDle 1* orlr»
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SUCCURSALES
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Jeux Difeh
Voitures i la disposition
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Dans la Fortt de pins
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Omnibus de l'Hôtel
à tous les trains
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ARGAGHON-SAISON •• Organe de la Rcino du Sud-Ouest
PARAIT TOUS LES JEUDIS
ABONNEMENTS
PAUIB HT Avmk» nrrAntBMr.NTS
Un an.i.
.Six mots, s> ■»
•. LES ABONNEMENTS .
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On s'abonne : à Areaehon, aux bureaux du jaunial et ctiex les
libraire* ; à Bordeaux Agence Hâves, Péris! vie
du Grand-Théâtre
A. GRANER, Directeur — G. L.EIRBAG, Rédacteur en chef
BUREAUX : AUée~Corrigàn — ARCACHON
ON TRAITE A FORFAIT POUR LES ANNONCES
Les insertions sont reçues dans les Bureaux du Journal, dans toutes
les Agences de publicité et chez nos Dépositaires
ABONNEMENTS
ÀnraciioN ET LA GmoNDB.
ABONNEMENT I
•AltON.
On s'abonne.! t Paria, Agença Havaa, 2, plaça de la Bouraa;
dan* toutes les Agences de publicité et dans
tous les bureaux de poste
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ARCACHON (GIRONDE)
•
MIMIIOM éllsMsis«rie|MC» a^dsitlve «Iss-
raai J'^ilvor. - Applicable dans les maladies
rhroniquès'sujet» irritable» et A cosstitutton nerveuse.
Saiattlexar me* MstlM*» aie» aaer efssratnt
l*e>S4t>. — Applicable dans tes malatliaa justiciables
da ta médication satina, principalement cbai lea
femmes et dans la jeûna ig«.
£a'frtts £Montogiqut fftkdomêiêitt
ANNSS IM»I y .
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MAXIM* MINIMA «N M/ M/ *TAT OU«|ri
Nov 4 U.o :« -I 0.0 tr. b. journée
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'■ Sonrico Médical
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K OocU.ur-.Mé-ocl»- CMlUtlHI
, , MM. HONNAL, place de la Mairie 244 h. a
IIOUW>IKn,r.Fr-iiiçolat.egal!aia. 1*2 •
DÉCIIAJ4PS,<*> villa Tibur.... 1A3 >
KKSTAI., v. David (v. d'hiver).... 2 A4 »
GEAY, v. Bonheur (v. d'hiver).. I à 3 •
1 IIAMP.AU,p«r%(^!ic.Ste-Annc40 Si5 *
A. HAMEAU, c. Me Anne 40.... 2*4 »
l.ALKSQUE,(UA )b.la|laB*350. 2*4 »
INSTITUT OBTHOPEDIQl'E, I.. de 9tMm,
Océan, 15. Consul, grat. tous les jeudis.
V.Abdon Boisson 4ftéot«ur-médical.
CUlruratl*n-t>*ntlat*
M. LEY.S, avenue Cambetta de 10 h m.
* ■ (Chirurgien-dentiste américain.) à S h s.
■•tMhlkataiM
, M— AVRIL, baul. de la Plage —
COLOMBIER, c. Tartas -
GRELl.F.T.boul. de la Plage 130.
Arëstotiost-SanlMon «at en vente:
A Pari» : kiosques 34 ttoulevard des Italiens ; *29
Boulevard de la Madeleine ; 48, 57, 59 Houlcvnrd
Poissonnière ; 05 Gare de l'Est ; 202 Gare du Nord ;
210 Faubourg St Denis. ,,.-»•
A fiatics-tle-Ptam : Vvc Dumas libraire.
A Lamailke-rlu-Tcich bibliothèque Ai la Gare.
A OorW««u>.' : dans les kiosques delà ville tt
chez les marchands de journaux ; à la Gare Saint-
Jean : Vestibule, Quai et Etat. — Vente en gros,
chez. M. J. Oraby, 13, rile des Pilicrs-de-Tutelle.
\. Arcachon : Librairies Delamnre, Don, Pujibet,
Dupuy, Vve Bréard, M»« Desfossés, bibliothèque du
'Cattino, bibliothèque de la Cure.
ft NOS ÉDILES II
Nous avons reçu celte semaine deux lettres
de nos étrangers d'Arcarhon, qui, toutes deux,
traitent le môme sujet : l'état de la promenade
' des Anglais dans la ville d'hiver.
' Pour éclairer la municipalité, nous croyons
de notre devoir de les reproduire intégralement.
Arcachou, le 5 Novembre. sorti
Monsieur, souf
Souvent le» étrntiKors se plaiKiieut du manque i ,
J'imuirtiicnti a Arrarhon : on a tort, car lorsqu'il ..
se donne soit un concert, soit un« représentation, il
y vient si |>eu de la colonie ètrniiKcrn qu'il *st in>- *t Ci
pos»ible dp fairn les frai», payei la location d'une heui
salle, les musiciens etc. etc. __:,
Maisjeveu* ai river ii un autre but. en écrivant »."
ces quelques liKiie», voici : je demande nu nom de y"
loua lea étrangers a A ronchon, que la Promenade dégt
des Anglais «oit balayée, arrosée et tenue avec ni us sien
Hier je m'y trouvais, la pou»»ière se soulevait A ""*
cha<|ue pa». puis ni plus, le passade dos voitures. '>0U
comme noiulile. COti
'"TJa ne sentait que cette odeur de poustière si d«>»a- bile
gr* 1 al.le pour tout le IIK mlc it suitoit pour le» au
malades. .
Veuillez, Moi sieur, recevoir r<'Xpr>>ssi<>n de mes
sentiments distingués. "e '
Une Etrai
anit
Arcai-hoii, Ie7 Novfinbre 1M0I. . i-.
Monsieur le Directeur du journal "A rrarhon- A '
Sm'sou"
Monsieur, I
Permettez inoi de ilemniider l'hospitalité ù votie -
très «stipinble journal pour une roclaui.'itiouqui me
semble très-justifMe et dont bien des malades et des
étr.-niKcr» de la ville d'hiver vous sauront un «ré
""fini ds l'insertion. Je veux parler d«s l'état déplo-
rable dans lequel se trouv« nctuollciiu'iit la Prome-
nade de* Anglais, qui, je crois, est le seul endroit
privilégié de toute la ville d'hiver où l
peuvent venir respirer à l'aise et ileeruicnt jouir, t« '
saut fitrcinromiiHHlUs, du magnifique soleil d'Arca- 4. /
chon.
J'insisterai tout d'abord sir l«min|ii<" absolu d; I 5. 1
voirie et la pénurie incompréhensible des sièges. I
Mais ce qui est intolérable c'est de permettre ;iu\ 7,
voitures de passer ! Elles soulèvent des nuages de
poussière, risquent d« blesser ou écraser les enfants '2. I
qui s'ébattent sous les yeux des mamans et des 7. I
nourrices. |_
J'ose croire, Monsieur, que cet état de choses n'est
dû qu'à un oubli qui sera tôt réparé, au contente- 3.
ment général.
Veuillez aRréer, Monsieur le Directeur, avec toute t..
l'cxprasHion d« ma gratitude, l'assurance de ma plus 4.
haute considération, 2.
Un Etranger malade. 3.
En effet, nos visiteurs ont grandement raison : 3'
le seul endroit vraiment agréable et ensoleillé, 10
petite Provence en plein milieu de la forêt, est G-
sans contredit la promenade des Anglais, qui, *■
espérons le en passant, sera prochainement 6"
améliorée par les travaux entrepris ptr la ville. 2,
Les malades y vont chaque jour passer l'après- 1.
midi ; les non-malades eux-mêmes vont s'y pro-
mener avec leurs familles, de nombreux enfants *'
y jouent ; tout le monde enfin cherche dans ce
délicieux petit coin, les uns la santé, les autres 5.
ui bon repos. 6.
Or, depuis quelque temps, tous se plaignent : 4'
les voitures de louage on de commerce, les ca- \'
valiers, les vélocipéde3 passent à toute allure 2,
en soulevant des flots de poussière ; le milieu 4.
de la chaussée, que voit bien rarement le balai 5-
'municipal, émet de mauvaises odeurs et est '"
bien loin d'avoir la propreté désirable. Les en-
fants, les personnes âgées, sont obligés de se ?
réfugier sur d'étroits trottoirs, de crainte de se s,
faite écraser. Enfin les pauvres promeneurs ont *■
six bancs pour cent personnes, et encore tous 5
du même côté. En résumé, de ce petit lieu de '
délices, on fait aujourd'hui une insupportable 3
route. 1
La municipalité nous répondra qu'en ce 2
moment les travaux sont en cours et qu'elle est 3
en train de faire toutes les améliorations néces- '6
saires. Fort bien, mais cela ne sera fini qu'a la 4
sortie de l'hiver, et il n'est pas juste de faire "•
souffrir nos hôtes pendant toute la saison Iroide. * ■
Le remède est cependant bien simple. ,y
En ce qui touche la circulation des voitures 0.
et cavaliers, il est très aisé de rétablir, de une fi.
heure à cinq heures, las barrières mobiles qui 4
existaient jusqu'au mois d'Avril dernier. Il est
biealacile ausaid'orvionner au balayeur attitréd? j,'
dégager la promenadcchaqtrematindela pous- i
siète et d< simmomlicesqwi la déparent, en même *
t-~.t» 4. ••«i«(i«i:i un p»J. E, ,t^rni*r liru, *■
pourquoi ne pas mettre des bancs de ch.iquc 4
coté, ou plutôt une cinquantaine de chaises mo- ?
biles qui permettraient aux malades de prendre, '-'
au bon soleil, la position qui leur convient. *
Allons, Messieurs de la Municipalité, un peu »
de courage et de bon travail, et tachons de don- r.
ner à ceux qui nous apportent leur argent et
animent notre ville le confort et la bonne hospi- *
talité auxquels iU ont absolument droit, ;',
(i. H. C. 4
l
n
LISTE DES ÊTRàrlGERS l
EN VILUGIITURC I MCICHOR ]
:i
L* chiffre ]ilnrt> devant cfnn/ue nom huinjuc 1
te nombre des l>rrtoniiei do la famille. 1
4. Ai.VAur.7.-('Ai.iii'.n<)N (Nicanor de\ Itrésil, liraud •
Motel de la Torèl et d'Angleterre. I *
5. AI.VAIIKK-CAMIF.IION ilticardo de), Espagne, (irnnd I
llotel de la Forêt et d'Angleterre.
7. AI.VAIIK7.-(.'AM>I:IION ideV Espagne, v. Vasro de
(i.'iina.
2. ItnF.uus (Mme\ v. Itella-Visln.
7. itoi'i.iTciiKi'r, St IVtersWourg, v. Eavorito
1. Hi.AiN I»KS COIIMIKKS, Versailles, Gr.iud llotel de
Eorét et d'Angleterre.
3. III.AUUIKHK (l.ady des Londres, Grand llotel de
la Forêt et d'Angleterre.
«>. DP.THMAN (de), Itordeau.x, v. Carmen.
4. KoiiniKn, v. Ilelle Plage.
•i. Ui NKSKO (Mme), Itoumauie, v. Parisot
3. HARKT, V. Mozart.
2. HitiuiiT, Paris, Itoyal Hôtel.
3. ItitATiANO (Mme), v. Pibrac
10 flAiiin, Paris, v. Montretout.
G. HoYssKDi.u (de), Paris, v. Ltitin.
4. IIUI'I'RTBAU, llordcaux, v. Laure-ltaoul.
1. BASIIAN (M>'«). St-Pélersbourg, v. Bella-Vista.
6. BEAUSÉJUUR (Mlle de), v. des bruyères.
2. ItUiiiKrn, Tarbes, v. Marguerite-Emmanuel.
1. CROKTIIWAITK (miss), Londres, Crand llotel d« lu I
Fotèt et d'Angleterre. I
4. lîoNVENTiiv, Liverpool II. de France. J
9. CAitnF.11.il AO, Paris, Grand llotel de ila Foi et et
d'Angleterre.
5. CANCI.AUX ((-'te de) Paris v. Georges Sand.
6. CASIIIO (de), Brésil, v. Serpa-Pinto.
4. CounorjY, Bordeaux, v. Némo.
5, CADAVAI.(Mme de), Pau, v. St Louis.
3. CASTIIO (Paulo de). Brésil, v. Espeletta.
2. CHAUMKT, Bordeaux, v. Marins.
4. CAUSAIII-, Paris, v. Lutèce.
5. CAJ-.RAI'X, V. Nicholson.
I. DEi.uc(Mme), Paris, Grand Hôtel de la |Forèt et
d'Angleterre.
?. DAuniF.t'X, Bordeaux, Grand llotel de la Eoièt
et d'Angleterre.
8. DAHIIOS, Bordeaux, v. Fénélon.
t. Dsi.Ksi'itF. (Mme), Pans, v. Noémi.
5. D11.11.1.H, Lille, v. Scaliger.
1. DF.IUIOIS, Angers, II. de France.
I. D.IMONT, Paris, h. de France.
S. DODAUT, Cognac, v. Biquet.
1. DmtAND (Mme), Paris, Itoyal Hôtel.
2. DAVEV, Chichestcr, Boyal-llotel.
3. DIIVAI., iles Canaries, v. Uiquet.
5. Du ('ours, Paris, v. Ktquct.
6. DIIHAN Y IUVAS, v. Bapp.
4. DAI.IIL'SSET, Bordeaux, v. Frivolité.
". DAVAI-X, Anger, v. Marie-Thérèse.
1. Hiivr.u:», Nuiiteuil-eu-Vullé, v.Mistign.
>. Dciom, Haïti, v. Pékin.
10 Dr.r-As, Bordeaux, v. Sydney.
B. DASI.V, Hordeaux, v. Ilernor.ai't.
B. EtiiKu. flordeaux, v. Daniel-Emile.
4. EIIIUNOION. Londres, v. Sans-Souci.
K. Fii«-JAMr.H tête de). Pari», v. Saint-Louis.
i. Fi.l'ui.Hii (Mlle), Angleterre, v. Itapin.
9. FMMOM du Motivii.t.ioN, Bordeaux, v. Marie-Léon
i. FIJMJK VAN SAI.VIIU.A. Hollande, v. Sévilla.
y. Fi.KtmiOT us LANUI.K«, l'aria, v. Mondésii.
1. G«
U Anglclui-r*.
4. GAt'iirin (Mnif, llordcaux, v. Jasmin.
•„'. (icii 111.v. Alger, H. de France,
i*. C.cii.i.Ki', Uord eaux v. Diane.
4. (ioi:nwi|( u, St Pétersbourg, x. St-Celiiie.
1(1 GIIANUK-PAIN, V. Attala.
2. tloni IIACX Pari», v. Lovely,
.'•. Ili iii-.niA vile), Paris, v. Marie.
. Juiuui.r, llochefort sur Mer II de France.
4. JAIV.K (('te de, Paris, v. I.ulli.
5. JOIINS, Bordeaux, v. Aubcr.
'.•. Jxl'liliAN. Begles, v. St Elmo.
4. I.VNii.H, Niiiites, v. Mu l.ouisette.
I. LAI 01:11, ^Mad. de) Paris Boyal llotel.
•i. I.AitucMi'., llordcaux, v. Lilia.
0. LA < IIASSAK.M: (t tesse de), Paris, v. William.
G. I.K PIN. v. Maria-Adèle.
3. I.Arr.iiMi u (Mlle, Paris, v. Actéon.
7. I.Aiiuodssi.. l'éngueux, v. Stella.
1. MI:NAIIIHI.IIK ^le ia>. tirent, lloyal-H6tel.
il. I.ITAS M ni»- '. Pari», v. l.il.a.
1. I.WIIII'KU I I 'sse de A,.'. i',
1. l..vMii»iiiuirr ,eumtesse,le; Ciiurlnnde, v.Bagatelle
1. I.ios (.Vlexundrc; llord"aux, v. Gretry.
4. I.AIUAUK >,de , villa des Pervenches.
«'. Mi nu, St Ser\an, v. KraiiçoiN-Pauline,
;{. M.H..MI;, Vmceiiiii'S, v. Franea.
1 MAXO, Aucli. II. de France.
■S. MACONAN, Paris, h. de France.
I. MOIIAI'I, Paris, Itoyal llotel.
4. M.Mi'ii, llor.le.mx, v. Trocadéro.
i;. MACNOMAIIA I.MIIU-) Angleterre, v. Juanne-d'Arc.
4. MONSCKV (Ctesse de», Labonle Saint-Denis, v.
Beethoven.
5. MONIIION (Mad. de), Angleterre, v. Antoniua
3. Mi MAIMI, Paris, v. Gaston.
1. MI'.SMIN, Paris, h. de France.
4. MACNAMAIIA, Angleterre, v. Jesnno d'Arc.
3. MA(;NAHT, Paris, v. Eurêka.
2. MAIIIHC, Angoulème, Grand Hôtel de la Forêt et
d'Angleterre.
3. Martine* île lloz, (.'réon. Grand Hôtel de la
Foret etd'Angleterre.
6. MAINUA, Paris, v. Flore.
8. MICIIAII., Itoumauie, v. Bellegarde
4. Nicgui'.T, ltordeaux, v. Nicquet.
il. Giiii (^Mine) It.irdeaux.Hoyal-llotel.
1. PICAIIKAU, Augoulème, h. de France.
5. POULAIN, Paris, Grand llotel de la Forêt et d'An-
gleterre.
5. BOUJON, directeur des Beaux-Arts, Paris, Grand
llotel
3. BKNAUOIN, Paris, h. de France.
5. PKYIU; (Dr). Bordeaux, v. François-Marie.
4. BUTAII.IIAU, v. Urixton.
1. Hicuvii-, iNliss), New-York, Grand-llotel de la
Foret *t d'Angleterre.
I. BOIJ'I'KNSKV, 'Mad), Bussie, Grand h. .le la Fore
et d'Angleterre.
1. ItoiiKiiT, Angleterre, v. Biquet.
6. HKYtH, Bordeaux, v. Tourville.
10 llr.NDouiN BKHTIKII, Paris, v. les Pins.
2. SAUVAIMI, Ne lilly, Grand Hotïl de la Forêt et
d'Angleterre.
4. SAVARY. Paris, h. de France.
1. .SAXF.-HRY (Mme), Paris Boyal llotel.
2. SUTTI.K, chalet de.s Eglantiers.
5. SAKHAMIA, Paris, v.Palissy.
4. SAIIUCY DE SOHC.UKS, Paris, en sa vill.v.
4 TAI.IIOTBF.YNF.S, Angleterre, v. Valérie,
G. VALI.ÉK (do\ sénateur, Paris, v. Watteau,
2, N'ii.i.iiii'iiitoN
et d'Angleterre.
6. VIAI.I.ANKS, v. Paradis.
3. VINOY, l'aris, v. Marie Léon.
5. VALAIUMIRII, V. Yvonne.
MM. lea Etrangers dont laa noms au-
tmleot été oubliés ou mal orthoftapkiéa
sur la lista, sont priés de déposer ou d'en-
voyer leur oarte : k l'administration du
Jwmal.MléeCorrigan. — S94.Boul. de la
Place, Àcenoe de la Forêt. — MO, boni,
de la Plage, Librairie Delamare.
Les abonnements et annonoes 7 sont éga
lemsnt reçus.
IÎ0DVELLB9LO01LI8
Maiintorlnm.— Dimanche dernier a eu
lieu à Hordeaux la distribution des récompenses
aux lauréats de la société d'encouragement au
bien. I.'afflucnce était considérable.
Apr' < un discour--, de M. le vi> pmte de Pelle-
port, interrompu à plusieurs reprises par let
applaudissements de l'auditoire, M. de Loyne*
procUiiv I05 no:ns des lauréats. Parmi ceux-ci
r.fru < i;v. -s con ne ayant obt .nu la médaille
(1 o:. le Siin tl'jrium
Parlant de M. le Dr Armaingaud et du Sana-
torium qu'il a fondé dans notre ville, M. de
l.oyncs tilt :
Po-.ir secouer l'indifférence publique, il fallait un
homme d'action, prêt a mettre en pratique les idées
iju'il développerait, les projets qu'il exposerait. Il
ne suffisait pas de créer l'établissenwut, il fallait en
assurer le fonctionnement au moyen de ressources
régulières soustraites à tous les aléas de la charité
pulilii|iie.
Telle est l'
précieuses adhésions. L'action ne tarda pas à succé-
der à la parole. Le Sanatorium d'Arcachon et le
sanatorium de Banyuls-sur-Mer étaient fondé»,
nous n'avons à vous parler que. du premier. Les li-
béralités deM. le docteur Luuisl.alanne, le concours
du Conseil Municipal d'Arcachon, donnant sur la
demande de Mme Kngrémy le reliquat des fonds
légués à la ville par son mari, ont permis la cons-
truction d'un premier pavillon qui sera suivi A bref
délai d'un deuxième.
Quant à la maiche de l'établissement, voici de
quelle manière il y est pourvu. En dehors des som-
mes versées par les départements, les communes,
ou même des particuliers qui y placent des enfants
malades, la principale ressource du budget consiste
dans le produit net de la publicité faite dans les
petites brochures publiées par M. le docteur Ar-
maingaud, sous eetitre : Enseiijnrmeui populaire
de l'Utjijii'ne. C'est l'une des combinaisons le* plue
ingénieuses que, l'esprit puisse rêver. Il faut félici-
rer l'auteur d'avoir su faire servir à une oeuvre émi-
nemment utile le besoin de réclame qui tourmente
notre siècle. Il faut surtout féliefter l'auteur d'avoir
prouve la fécondité de la liberté et de l'initiative
individuelle ; il a montré qu'une volonté persévé-
rante sait vaincre toutes les dificultès, qu'il ne faut
jamais s'abandonner soi-même, qu'on ne doit pas
rêver dune providence humaine chargée de faire le
bonheur de tous. Cette providence deviendrait
bientôt une dictature et les dictatures préparent les
[dus sinistres îv.veils.
L'air de la mer et les balsamiques senteurs de la
forêt régénèrent les débiles constitutions de ces en-
fants et en corrigent les vices. Les larmes des pir.s
au printemps servent à sécher les larmes des mères
En quittant l'établissement auquel ils doivent un
sang nouveau, ces pauvres enfants emportent un
souvenir reconnaissant pour celui qui est leur bien-
f'iteur, pour l'udiniiustiatçur m ideste et dévoué
qui a veillé sur eux et pourvu à leurs besoins, pour
les saintes tilles qui se sont faites leurs infirmières
ot ont remplacé prés d'eux la mère absente.
A cette u'uvre, je le répète, nous avons attribué
notre, médaille d'or. Elle est belle entre toutes, car
elle est humanitaire et française. Due à l'initiative
privée, elle n'a pas encore reçu la consécration
|(|in> donne la reconnaissance d'utilité publique.
Nous faisons des vieux les plus ardents pour que
HuCellvt Ut LA r U K E T ET CAVES CENTRAI F^ VENL? PE TERRAINS VIN ET SPIRITUEUX. "E^^MINERAÏES
w mm mm mm m* n I «# lllal ta | W H W IsV l# Iss II I II H L IsW 29'»» boulevard de la Plage, .AreacAo» RENSEIGNEMENTS
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PlfMti
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Hôtel de FamDle 1* orlr»
AU CttftTMt
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raai J'^ilvor. - Applicable dans les maladies
rhroniquès'
Saiattlexar me* MstlM*» aie» aaer efssratnt
l*e>S4t>. — Applicable dans tes malatliaa justiciables
da ta médication satina, principalement cbai lea
femmes et dans la jeûna ig«.
£a'frtts £Montogiqut fftkdomêiêitt
ANNSS IM»I y .
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TIIUHMOMBTRK ItAJIB I MtiM.Ttoat
HATES ——^—-—-
MAXIM* MINIMA «N M/ M/ *TAT OU«|ri
Nov 4 U.o :« -I 0.0 tr. b. journée
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9
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chez. M. J. Oraby, 13, rile des Pilicrs-de-Tutelle.
\. Arcachon : Librairies Delamnre, Don, Pujibet,
Dupuy, Vve Bréard, M»« Desfossés, bibliothèque du
'Cattino, bibliothèque de la Cure.
ft NOS ÉDILES II
Nous avons reçu celte semaine deux lettres
de nos étrangers d'Arcarhon, qui, toutes deux,
traitent le môme sujet : l'état de la promenade
' des Anglais dans la ville d'hiver.
' Pour éclairer la municipalité, nous croyons
de notre devoir de les reproduire intégralement.
Arcachou, le 5 Novembre. sorti
Monsieur, souf
Souvent le» étrntiKors se plaiKiieut du manque i ,
J'imuirtiicnti a Arrarhon : on a tort, car lorsqu'il ..
se donne soit un concert, soit un« représentation, il
y vient si |>eu de la colonie ètrniiKcrn qu'il *st in>- *t Ci
pos»ible dp fairn les frai», payei la location d'une heui
salle, les musiciens etc. etc. __:,
Maisjeveu* ai river ii un autre but. en écrivant »."
ces quelques liKiie», voici : je demande nu nom de y"
loua lea étrangers a A ronchon, que la Promenade dégt
des Anglais «oit balayée, arrosée et tenue avec ni us sien
Hier je m'y trouvais, la pou»»ière se soulevait A ""*
cha<|ue pa». puis ni plus, le passade dos voitures. '>0U
comme noiulile. COti
'"TJa ne sentait que cette odeur de poustière si d«>»a- bile
gr* 1 al.le pour tout le IIK mlc it suitoit pour le» au
malades. .
Veuillez, Moi sieur, recevoir r<'Xpr>>ssi<>n de mes
sentiments distingués. "e '
Une Etrai
anit
Arcai-hoii, Ie7 Novfinbre 1M0I. . i-.
Monsieur le Directeur du journal "A rrarhon- A '
Sm'sou"
Monsieur, I
Permettez inoi de ilemniider l'hospitalité ù votie -
très «stipinble journal pour une roclaui.'itiouqui me
semble très-justifMe et dont bien des malades et des
étr.-niKcr» de la ville d'hiver vous sauront un «ré
""fini ds l'insertion. Je veux parler d«s l'état déplo-
rable dans lequel se trouv« nctuollciiu'iit la Prome-
nade de* Anglais, qui, je crois, est le seul endroit
privilégié de toute la ville d'hiver où l
peuvent venir respirer à l'aise et ileeruicnt jouir, t« '
saut fitrcinromiiHHlUs, du magnifique soleil d'Arca- 4. /
chon.
J'insisterai tout d'abord sir l«min|ii<" absolu d; I 5. 1
voirie et la pénurie incompréhensible des sièges. I
Mais ce qui est intolérable c'est de permettre ;iu\ 7,
voitures de passer ! Elles soulèvent des nuages de
poussière, risquent d« blesser ou écraser les enfants '2. I
qui s'ébattent sous les yeux des mamans et des 7. I
nourrices. |_
J'ose croire, Monsieur, que cet état de choses n'est
dû qu'à un oubli qui sera tôt réparé, au contente- 3.
ment général.
Veuillez aRréer, Monsieur le Directeur, avec toute t..
l'cxprasHion d« ma gratitude, l'assurance de ma plus 4.
haute considération, 2.
Un Etranger malade. 3.
En effet, nos visiteurs ont grandement raison : 3'
le seul endroit vraiment agréable et ensoleillé, 10
petite Provence en plein milieu de la forêt, est G-
sans contredit la promenade des Anglais, qui, *■
espérons le en passant, sera prochainement 6"
améliorée par les travaux entrepris ptr la ville. 2,
Les malades y vont chaque jour passer l'après- 1.
midi ; les non-malades eux-mêmes vont s'y pro-
mener avec leurs familles, de nombreux enfants *'
y jouent ; tout le monde enfin cherche dans ce
délicieux petit coin, les uns la santé, les autres 5.
ui bon repos. 6.
Or, depuis quelque temps, tous se plaignent : 4'
les voitures de louage on de commerce, les ca- \'
valiers, les vélocipéde3 passent à toute allure 2,
en soulevant des flots de poussière ; le milieu 4.
de la chaussée, que voit bien rarement le balai 5-
'municipal, émet de mauvaises odeurs et est '"
bien loin d'avoir la propreté désirable. Les en-
fants, les personnes âgées, sont obligés de se ?
réfugier sur d'étroits trottoirs, de crainte de se s,
faite écraser. Enfin les pauvres promeneurs ont *■
six bancs pour cent personnes, et encore tous 5
du même côté. En résumé, de ce petit lieu de '
délices, on fait aujourd'hui une insupportable 3
route. 1
La municipalité nous répondra qu'en ce 2
moment les travaux sont en cours et qu'elle est 3
en train de faire toutes les améliorations néces- '6
saires. Fort bien, mais cela ne sera fini qu'a la 4
sortie de l'hiver, et il n'est pas juste de faire "•
souffrir nos hôtes pendant toute la saison Iroide. * ■
Le remède est cependant bien simple. ,y
En ce qui touche la circulation des voitures 0.
et cavaliers, il est très aisé de rétablir, de une fi.
heure à cinq heures, las barrières mobiles qui 4
existaient jusqu'au mois d'Avril dernier. Il est
biealacile ausaid'orvionner au balayeur attitréd? j,'
dégager la promenadcchaqtrematindela pous- i
siète et d< simmomlicesqwi la déparent, en même *
t-~.t» 4. ••«i«(i«i:i un p»J. E, ,t^rni*r liru, *■
pourquoi ne pas mettre des bancs de ch.iquc 4
coté, ou plutôt une cinquantaine de chaises mo- ?
biles qui permettraient aux malades de prendre, '-'
au bon soleil, la position qui leur convient. *
Allons, Messieurs de la Municipalité, un peu »
de courage et de bon travail, et tachons de don- r.
ner à ceux qui nous apportent leur argent et
animent notre ville le confort et la bonne hospi- *
talité auxquels iU ont absolument droit, ;',
(i. H. C. 4
l
n
LISTE DES ÊTRàrlGERS l
EN VILUGIITURC I MCICHOR ]
:i
L* chiffre ]ilnrt> devant cfnn/ue nom huinjuc 1
te nombre des l>rrtoniiei do la famille. 1
4. Ai.VAur.7.-('Ai.iii'.n<)N (Nicanor de\ Itrésil, liraud •
Motel de la Torèl et d'Angleterre. I *
5. AI.VAIIKK-CAMIF.IION ilticardo de), Espagne, (irnnd I
llotel de la Forêt et d'Angleterre.
7. AI.VAIIK7.-(.'AM>I:IION ideV Espagne, v. Vasro de
(i.'iina.
2. ItnF.uus (Mme\ v. Itella-Visln.
7. itoi'i.iTciiKi'r, St IVtersWourg, v. Eavorito
1. Hi.AiN I»KS COIIMIKKS, Versailles, Gr.iud llotel de
Eorét et d'Angleterre.
3. III.AUUIKHK (l.ady des Londres, Grand llotel de
la Forêt et d'Angleterre.
«>. DP.THMAN (de), Itordeau.x, v. Carmen.
4. KoiiniKn, v. Ilelle Plage.
•i. Ui NKSKO (Mme), Itoumauie, v. Parisot
3. HARKT, V. Mozart.
2. HitiuiiT, Paris, Itoyal Hôtel.
3. ItitATiANO (Mme), v. Pibrac
10 flAiiin, Paris, v. Montretout.
G. HoYssKDi.u (de), Paris, v. Ltitin.
4. IIUI'I'RTBAU, llordcaux, v. Laure-ltaoul.
1. BASIIAN (M>'«). St-Pélersbourg, v. Bella-Vista.
6. BEAUSÉJUUR (Mlle de), v. des bruyères.
2. ItUiiiKrn, Tarbes, v. Marguerite-Emmanuel.
1. CROKTIIWAITK (miss), Londres, Crand llotel d« lu I
Fotèt et d'Angleterre. I
4. lîoNVENTiiv, Liverpool II. de France. J
9. CAitnF.11.il AO, Paris, Grand llotel de ila Foi et et
d'Angleterre.
5. CANCI.AUX ((-'te de) Paris v. Georges Sand.
6. CASIIIO (de), Brésil, v. Serpa-Pinto.
4. CounorjY, Bordeaux, v. Némo.
5, CADAVAI.(Mme de), Pau, v. St Louis.
3. CASTIIO (Paulo de). Brésil, v. Espeletta.
2. CHAUMKT, Bordeaux, v. Marins.
4. CAUSAIII-, Paris, v. Lutèce.
5. CAJ-.RAI'X, V. Nicholson.
I. DEi.uc(Mme), Paris, Grand Hôtel de la |Forèt et
d'Angleterre.
?. DAuniF.t'X, Bordeaux, Grand llotel de la Eoièt
et d'Angleterre.
8. DAHIIOS, Bordeaux, v. Fénélon.
t. Dsi.Ksi'itF. (Mme), Pans, v. Noémi.
5. D11.11.1.H, Lille, v. Scaliger.
1. DF.IUIOIS, Angers, II. de France.
I. D.IMONT, Paris, h. de France.
S. DODAUT, Cognac, v. Biquet.
1. DmtAND (Mme), Paris, Itoyal Hôtel.
2. DAVEV, Chichestcr, Boyal-llotel.
3. DIIVAI., iles Canaries, v. Uiquet.
5. Du ('ours, Paris, v. Ktquct.
6. DIIHAN Y IUVAS, v. Bapp.
4. DAI.IIL'SSET, Bordeaux, v. Frivolité.
". DAVAI-X, Anger, v. Marie-Thérèse.
1. Hiivr.u:», Nuiiteuil-eu-Vullé, v.Mistign.
>. Dciom, Haïti, v. Pékin.
10 Dr.r-As, Bordeaux, v. Sydney.
B. DASI.V, Hordeaux, v. Ilernor.ai't.
B. EtiiKu. flordeaux, v. Daniel-Emile.
4. EIIIUNOION
K. Fii«-JAMr.H tête de). Pari», v. Saint-Louis.
i. Fi.l'ui.Hii (Mlle), Angleterre, v. Itapin.
9. FMMOM du Motivii.t.ioN, Bordeaux, v. Marie-Léon
i. FIJMJK VAN SAI.VIIU.A. Hollande, v. Sévilla.
y. Fi.KtmiOT us LANUI.K«, l'aria, v. Mondésii.
1. G«
U Anglclui-r*.
4. GAt'iirin (Mnif, llordcaux, v. Jasmin.
•„'. (icii 111.v. Alger, H. de France,
i*. C.cii.i.Ki', Uord eaux v. Diane.
4. (ioi:nwi|( u, St Pétersbourg, x. St-Celiiie.
1(1 GIIANUK-PAIN, V. Attala.
2. tloni IIACX Pari», v. Lovely,
.'•. Ili iii-.niA vile), Paris, v. Marie.
. Juiuui.r, llochefort sur Mer II de France.
4. JAIV.K (('te de, Paris, v. I.ulli.
5. JOIINS, Bordeaux, v. Aubcr.
'.•. Jxl'liliAN. Begles, v. St Elmo.
4. I.VNii.H, Niiiites, v. Mu l.ouisette.
I. LAI 01:11, ^Mad. de) Paris Boyal llotel.
•i. I.AitucMi'., llordcaux, v. Lilia.
0. LA < IIASSAK.M: (t tesse de), Paris, v. William.
G. I.K PIN. v. Maria-Adèle.
3. I.Arr.iiMi u (Mlle, Paris, v. Actéon.
7. I.Aiiuodssi.. l'éngueux, v. Stella.
1. MI:NAIIIHI.IIK ^le ia>. tirent, lloyal-H6tel.
il. I.ITAS M ni»- '. Pari», v. l.il.a.
1. I.WIIII'KU I I 'sse de A,.'. i',
1. l..vMii»iiiuirr ,eumtesse,le; Ciiurlnnde, v.Bagatelle
1. I.ios (.Vlexundrc; llord"aux, v. Gretry.
4. I.AIUAUK >,de , villa des Pervenches.
«'. Mi nu, St Ser\an, v. KraiiçoiN-Pauline,
;{. M.H..MI;, Vmceiiiii'S, v. Franea.
1 MAXO, Aucli. II. de France.
■S. MACONAN, Paris, h. de France.
I. MOIIAI'I, Paris, Itoyal llotel.
4. M.Mi'ii, llor.le.mx, v. Trocadéro.
i;. MACNOMAIIA I.MIIU-) Angleterre, v. Juanne-d'Arc.
4. MONSCKV (Ctesse de», Labonle Saint-Denis, v.
Beethoven.
5. MONIIION (Mad. de), Angleterre, v. Antoniua
3. Mi MAIMI, Paris, v. Gaston.
1. MI'.SMIN, Paris, h. de France.
4. MACNAMAIIA, Angleterre, v. Jesnno d'Arc.
3. MA(;NAHT, Paris, v. Eurêka.
2. MAIIIHC, Angoulème, Grand Hôtel de la Forêt et
d'Angleterre.
3. Martine* île lloz, (.'réon. Grand Hôtel de la
Foret etd'Angleterre.
6. MAINUA, Paris, v. Flore.
8. MICIIAII., Itoumauie, v. Bellegarde
4. Nicgui'.T, ltordeaux, v. Nicquet.
il. Giiii (^Mine) It.irdeaux.Hoyal-llotel.
1. PICAIIKAU, Augoulème, h. de France.
5. POULAIN, Paris, Grand llotel de la Forêt et d'An-
gleterre.
5. BOUJON, directeur des Beaux-Arts, Paris, Grand
llotel
3. BKNAUOIN, Paris, h. de France.
5. PKYIU; (Dr). Bordeaux, v. François-Marie.
4. BUTAII.IIAU, v. Urixton.
1. Hicuvii-, iNliss), New-York, Grand-llotel de la
Foret *t d'Angleterre.
I. BOIJ'I'KNSKV, 'Mad), Bussie, Grand h. .le la Fore
et d'Angleterre.
1. ItoiiKiiT, Angleterre, v. Biquet.
6. HKYtH, Bordeaux, v. Tourville.
10 llr.NDouiN BKHTIKII, Paris, v. les Pins.
2. SAUVAIMI, Ne lilly, Grand Hotïl de la Forêt et
d'Angleterre.
4. SAVARY. Paris, h. de France.
1. .SAXF.-HRY (Mme), Paris Boyal llotel.
2. SUTTI.K, chalet de.s Eglantiers.
5. SAKHAMIA, Paris, v.Palissy.
4. SAIIUCY DE SOHC.UKS, Paris, en sa vill.v.
4 TAI.IIOTBF.YNF.S, Angleterre, v. Valérie,
G. VALI.ÉK (do\ sénateur, Paris, v. Watteau,
2, N'ii.i.iiii'iiitoN
et d'Angleterre.
6. VIAI.I.ANKS, v. Paradis.
3. VINOY, l'aris, v. Marie Léon.
5. VALAIUMIRII, V. Yvonne.
MM. lea Etrangers dont laa noms au-
tmleot été oubliés ou mal orthoftapkiéa
sur la lista, sont priés de déposer ou d'en-
voyer leur oarte : k l'administration du
Jwmal.MléeCorrigan. — S94.Boul. de la
Place, Àcenoe de la Forêt. — MO, boni,
de la Plage, Librairie Delamare.
Les abonnements et annonoes 7 sont éga
lemsnt reçus.
IÎ0DVELLB9LO01LI8
Maiintorlnm.— Dimanche dernier a eu
lieu à Hordeaux la distribution des récompenses
aux lauréats de la société d'encouragement au
bien. I.'afflucnce était considérable.
Apr' < un discour--, de M. le vi> pmte de Pelle-
port, interrompu à plusieurs reprises par let
applaudissements de l'auditoire, M. de Loyne*
procUiiv I05 no:ns des lauréats. Parmi ceux-ci
r.fru < i;v. -s con ne ayant obt .nu la médaille
(1 o:. le Siin tl'jrium
Parlant de M. le Dr Armaingaud et du Sana-
torium qu'il a fondé dans notre ville, M. de
l.oyncs tilt :
Po-.ir secouer l'indifférence publique, il fallait un
homme d'action, prêt a mettre en pratique les idées
iju'il développerait, les projets qu'il exposerait. Il
ne suffisait pas de créer l'établissenwut, il fallait en
assurer le fonctionnement au moyen de ressources
régulières soustraites à tous les aléas de la charité
pulilii|iie.
Telle est l'
précieuses adhésions. L'action ne tarda pas à succé-
der à la parole. Le Sanatorium d'Arcachon et le
sanatorium de Banyuls-sur-Mer étaient fondé»,
nous n'avons à vous parler que. du premier. Les li-
béralités deM. le docteur Luuisl.alanne, le concours
du Conseil Municipal d'Arcachon, donnant sur la
demande de Mme Kngrémy le reliquat des fonds
légués à la ville par son mari, ont permis la cons-
truction d'un premier pavillon qui sera suivi A bref
délai d'un deuxième.
Quant à la maiche de l'établissement, voici de
quelle manière il y est pourvu. En dehors des som-
mes versées par les départements, les communes,
ou même des particuliers qui y placent des enfants
malades, la principale ressource du budget consiste
dans le produit net de la publicité faite dans les
petites brochures publiées par M. le docteur Ar-
maingaud, sous eetitre : Enseiijnrmeui populaire
de l'Utjijii'ne. C'est l'une des combinaisons le* plue
ingénieuses que, l'esprit puisse rêver. Il faut félici-
rer l'auteur d'avoir su faire servir à une oeuvre émi-
nemment utile le besoin de réclame qui tourmente
notre siècle. Il faut surtout féliefter l'auteur d'avoir
prouve la fécondité de la liberté et de l'initiative
individuelle ; il a montré qu'une volonté persévé-
rante sait vaincre toutes les dificultès, qu'il ne faut
jamais s'abandonner soi-même, qu'on ne doit pas
rêver dune providence humaine chargée de faire le
bonheur de tous. Cette providence deviendrait
bientôt une dictature et les dictatures préparent les
[dus sinistres îv.veils.
L'air de la mer et les balsamiques senteurs de la
forêt régénèrent les débiles constitutions de ces en-
fants et en corrigent les vices. Les larmes des pir.s
au printemps servent à sécher les larmes des mères
En quittant l'établissement auquel ils doivent un
sang nouveau, ces pauvres enfants emportent un
souvenir reconnaissant pour celui qui est leur bien-
f'iteur, pour l'udiniiustiatçur m ideste et dévoué
qui a veillé sur eux et pourvu à leurs besoins, pour
les saintes tilles qui se sont faites leurs infirmières
ot ont remplacé prés d'eux la mère absente.
A cette u'uvre, je le répète, nous avons attribué
notre, médaille d'or. Elle est belle entre toutes, car
elle est humanitaire et française. Due à l'initiative
privée, elle n'a pas encore reçu la consécration
|(|in> donne la reconnaissance d'utilité publique.
Nous faisons des vieux les plus ardents pour que
HuCellvt Ut LA r U K E T ET CAVES CENTRAI F^ VENL? PE TERRAINS VIN ET SPIRITUEUX. "E^^MINERAÏES
w mm mm mm m* n I «# lllal ta | W H W IsV l# Iss II I II H L IsW 29'»» boulevard de la Plage, .AreacAo» RENSEIGNEMENTS
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