Titre : Journal des mines : organe spécial de l'industrie minière et métallurgique en France et à l'étranger... / directeur : Henri Cozic
Éditeur : Imprimerie de Paul Dupont (Paris)
Date d'édition : 1903-08-23
Contributeur : Cozic, Henri. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328000737
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 11057 Nombre total de vues : 11057
Description : 23 août 1903 23 août 1903
Description : 1903/08/23 (A50,N33). 1903/08/23 (A50,N33).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5800014z
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, FOL-V-1230
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
CINQUANTIEME ANNEE. — N« 33,
Le numéro : 30 centimes
N° 83. ~ DIMANCHE 23 AOUT Ï90S
Une affaire exceptionnelle i
Nous venons de terminer l'étude
'd'une affaire dont les actions seront
introduites prochainement SUÏ 1§
.marché de Paris.
Cette affaire, en pleine exploita-
tion, rivalisera avec celles qui ont
fait les grandes fortunes du monde,
comme celles des Clark, des Rock-
feller et des Pierpont-Morgan.
Il ne s'agit nullement d'une en-
treprise à ses débuts, ayant à subir
tous les aléas de rinconnu,mais bien
d'une mine en pleine exploitation
'dont toutes les galeries sont ouver-
tes et qui.a déjà sur le CARREAU
DU MINERAI POUR QUELQUES MIL-
LIONS DE FRANCS.
Ces actions seront introduites
bien au-dessus du pair, mais, au
cours d'introduction, ce sera encore
un placement de tout premier ordre,
puisque les ingénieurs prévoient un
dividende de cent cinquante pour cent
pour l'exercice prochain et de sept
cent cinquante pour cent pour les
exercices suivants.
Nous ne sommes pas autorisés à
publier les détails de cette affaire
tout à fait exceptionnelle,mais,jus-
qu'à nouvel ordre, nous donnerons
par lettre, à tous ceux de nos lec-
teurs qui en feront la demande, les
renseignements les plus complets et
. ni us pourrons leur réserver quel-
ques titres, avant l'introduction, à
un prix très avantageux.
ftn effet, nous prévoyons pour
cette valeur un avenir tellement ex-
ceptionnel, que nous n'avons pas
hésité à prendre ferme un certain
nombre d'actions et nous serions
très heureux que notre clientèle y.
{participât avec nous et dans les mê-
mes conditions.
Monsieur le directeur
. de la Caisse des Mines.
•';'' 85, rue Richelieu, Paris.
Veuillez m'indiquer quelle est. l'affaire ex-
ceptionnelle dont 0 est question dans le Jour-
nal des Minés du 23 août, sans aucun enga-
gement de ma part dé m'y intéresser.
Nom
Adresse ...........,,....•••:•••••••»•••.
LETTRE DE PARIS
Il s'est passé pas mal d événements en cette
dernière quinzaine. Dans la note gale, nous
avons eu l'affaire Humbert,les nouveaux cris
des camelots qui au « petit vent du Nord »
ont substitué « As-tu vu Marcotte », « Quel
malheur d'avoir une bru ». « C'est la faute à
mon père ».
Dans l'ordre triste, nous avons eu une ter-
rifiante catastrophe, celle du Métropolitain.
Dans les Balkans, la politique s'est compli-
quée. En Espagne, enfin, on a paru vouloir
accréditer le bruit de la. maladie du jeune roi.
Chacun de ces événements a eu sur la,, spé-
culation un contre-coup plus ou moins direct,
mais bien des positions ont été retournées.
Au plus grand 1 profit de l'activité des échan-
ges. On a beaucoup travaillé, les uns pour
défendre leurs positions antérieures; les au-
tres pour jouer toutes les conséquences possi-
bles des événements^
*** '■:',,
An lendemain de la catastrophe 'du Métro-
politain les titres ont baissé dans une très vive
proportion, en raison des conséquences qu'elle
comporte. La. Compagnie, toutefois, est cour
verte par une police d'assuarnce contre les dé-
■ gâts dus à l'incendie. En ce qui concerne les in-
demnités, le départ des responsabilités devra
être fait, lorsque l'enquête aura établi les causes
"' de l'accident et les suites de l'affolement des
• voyageurs.- A ce sujet encore, une question de
pratique financière se pose. Dans des cas sem-
blables il est maintes fois arrivé que des socié-
tés répartissaint la perte sur plusieurs exer-
cices-au lieu de la faire supporter par un seul.
Il y a là une question d'interprétation qui
sera sans doute examinée. En principe, une
société ne fait de tort à personne en répartis-
sant ainsi une perte exceptionnelle. Elle y est
autorisée surtout quand l'entreprise de trans-
port est solide, c'est-à-dire quand elle donne
un bénéfice net, ce qui est le cas pour le Mé-
tropolitain, qui peut escompter un gain an-
nuel de 5 millions environ.
Pour quelques-uns, les conséquences indi-
rectes de l'accident sont jugées plus graves
que l'effet direct, mais ceux-là pourraient dif-
ficilement étayer leui opinion. Tl est impossi-
ble de dire, en effet, dans quelle proportion
et pour combien de temps le souvenir de l'ac-
cident empêchera la clientèle de prendre le
Métropolitain. Les recettes journalières mon-
trent un déchet et le contraire eût été une sorte
de miracle. Mais, en notre siècle, on a l'insou-
ciance du danger. On reviendra au Métropoli-
tain comme on est revenu au théâtre après l'in-
cendie de l'Opéra-Comique. On peut se pas-
ser d'aller au spectacle plus facilement que de
répudier un moyen nouveau de transport pour
revenir aux fiacres coûteux ou aux omnibus
lents st. incommodes. Même si rien n'était fait
pour diminuer les risques et le danger, l'ac-
coutumance vaincrait déjà les hésitations du
public et le Métropolitain- est déjà devenu in-
dispensable à la population parisienne.
Mais des mesures seront prises. Quelles se-
ront-elles ? Qui en aura là charge? Ces points
resteront obscurs longtemps encore; tont ce
que l'on peut faire observer jusqu'à nouvel or-
dre, c'est que l'application de ces mesures in-
combe à deux intérêts associés. De jjar son
contrat de concession, la Compagnie du Mé-
tropolitain intervient comme exploitant et son
intervention commence, avec l'armement des
voies, dont le coffre et l'a plate-forme sont
fournis par la ville de Paris. De même la ville
est intéressée dans l'entreprise en vertu de son
prélèvement de 30 % sur .le recette brute.
Ce sont deux points qu'il ne faut pas per*
dre de vue. Ils sont à considérer aussi bien
pour la. réparation- du dommage direct que
pour les conséquences indirectes et futures ôV
la catastrophe.
M. Villaverde s'est empressé de démentir
les rumeurs qui ont été lancées de la maladie
du roi. L'Extérieure espagnole n'en reste pas
moins indécise et. quelques-uns des phis chauds
partenaires de l'Extérieure au pair commen-
cent à faire preuve de moins d'assurance. II
faut reconnaître que tant que les affaires d'O-
rient ne seront pas améliorées, il n'y a guèrp;
de raison pour que la'.:spéculation se lance â
corps perdu à la hausse des fonds étrangers
cotés sur notre place.
Mais à bien réfléchir, on s'est peut-être trop
pressé d'escompter la grande marche en avant
de l'Extérieure. M. "Villaverde a pris, en effet,
le pouvoir dans des circonstances particulière-,
ment difficiles.
Ce qu'il y, a de curieux dans la situation et!
d'assez nouveau, c'est, que les notables conser-
vateurs n'ont pas marqué plus d'empressement
à offrir leurs services à M. "Villaverde que ce-
lui-ci à les leur demander. "Pas un des notablea
du parti ne s'est plaint de n'avoir pas reçu l!of-i
fre d'un portefeuille. Il est certain que les
émules de M. Villaverde dans la direction dui
parti conservateur, ne sont pas fâchés de le
voir se mesurer avec les difficultés. Ils ne fe-
ront rien qui ne soit correct et prévenant, mais
ils font cercle autour de lui et regardent, non
sans quelque doute, semble-t-il, s'il viendra à
bout du tour de force.
Ce n'est rien - moins qu'un tour de force, en
effet. Le nouveau premier ministre réserve en-
core son programme, et on ne connaît des ques-
tions qu'il aura à aborder que les points dfin-
terrogation. Disons mieux : ce n'est pas lui qui
va aborder les questions'; il n'est pas maître de
l'heure et du moment ; ce sont les questions qui
l'abordent, qui le pressent. Il y a le budget a
établir en équilibre réel; il y a le « système tri-
butaire » et la question monétaire; il y a les
Le numéro : 30 centimes
N° 83. ~ DIMANCHE 23 AOUT Ï90S
Une affaire exceptionnelle i
Nous venons de terminer l'étude
'd'une affaire dont les actions seront
introduites prochainement SUÏ 1§
.marché de Paris.
Cette affaire, en pleine exploita-
tion, rivalisera avec celles qui ont
fait les grandes fortunes du monde,
comme celles des Clark, des Rock-
feller et des Pierpont-Morgan.
Il ne s'agit nullement d'une en-
treprise à ses débuts, ayant à subir
tous les aléas de rinconnu,mais bien
d'une mine en pleine exploitation
'dont toutes les galeries sont ouver-
tes et qui.a déjà sur le CARREAU
DU MINERAI POUR QUELQUES MIL-
LIONS DE FRANCS.
Ces actions seront introduites
bien au-dessus du pair, mais, au
cours d'introduction, ce sera encore
un placement de tout premier ordre,
puisque les ingénieurs prévoient un
dividende de cent cinquante pour cent
pour l'exercice prochain et de sept
cent cinquante pour cent pour les
exercices suivants.
Nous ne sommes pas autorisés à
publier les détails de cette affaire
tout à fait exceptionnelle,mais,jus-
qu'à nouvel ordre, nous donnerons
par lettre, à tous ceux de nos lec-
teurs qui en feront la demande, les
renseignements les plus complets et
. ni us pourrons leur réserver quel-
ques titres, avant l'introduction, à
un prix très avantageux.
ftn effet, nous prévoyons pour
cette valeur un avenir tellement ex-
ceptionnel, que nous n'avons pas
hésité à prendre ferme un certain
nombre d'actions et nous serions
très heureux que notre clientèle y.
{participât avec nous et dans les mê-
mes conditions.
Monsieur le directeur
. de la Caisse des Mines.
•';'' 85, rue Richelieu, Paris.
Veuillez m'indiquer quelle est. l'affaire ex-
ceptionnelle dont 0 est question dans le Jour-
nal des Minés du 23 août, sans aucun enga-
gement de ma part dé m'y intéresser.
Nom
Adresse ...........,,....•••:•••••••»•••.
LETTRE DE PARIS
Il s'est passé pas mal d événements en cette
dernière quinzaine. Dans la note gale, nous
avons eu l'affaire Humbert,les nouveaux cris
des camelots qui au « petit vent du Nord »
ont substitué « As-tu vu Marcotte », « Quel
malheur d'avoir une bru ». « C'est la faute à
mon père ».
Dans l'ordre triste, nous avons eu une ter-
rifiante catastrophe, celle du Métropolitain.
Dans les Balkans, la politique s'est compli-
quée. En Espagne, enfin, on a paru vouloir
accréditer le bruit de la. maladie du jeune roi.
Chacun de ces événements a eu sur la,, spé-
culation un contre-coup plus ou moins direct,
mais bien des positions ont été retournées.
Au plus grand 1 profit de l'activité des échan-
ges. On a beaucoup travaillé, les uns pour
défendre leurs positions antérieures; les au-
tres pour jouer toutes les conséquences possi-
bles des événements^
*** '■:',,
An lendemain de la catastrophe 'du Métro-
politain les titres ont baissé dans une très vive
proportion, en raison des conséquences qu'elle
comporte. La. Compagnie, toutefois, est cour
verte par une police d'assuarnce contre les dé-
■ gâts dus à l'incendie. En ce qui concerne les in-
demnités, le départ des responsabilités devra
être fait, lorsque l'enquête aura établi les causes
"' de l'accident et les suites de l'affolement des
• voyageurs.- A ce sujet encore, une question de
pratique financière se pose. Dans des cas sem-
blables il est maintes fois arrivé que des socié-
tés répartissaint la perte sur plusieurs exer-
cices-au lieu de la faire supporter par un seul.
Il y a là une question d'interprétation qui
sera sans doute examinée. En principe, une
société ne fait de tort à personne en répartis-
sant ainsi une perte exceptionnelle. Elle y est
autorisée surtout quand l'entreprise de trans-
port est solide, c'est-à-dire quand elle donne
un bénéfice net, ce qui est le cas pour le Mé-
tropolitain, qui peut escompter un gain an-
nuel de 5 millions environ.
Pour quelques-uns, les conséquences indi-
rectes de l'accident sont jugées plus graves
que l'effet direct, mais ceux-là pourraient dif-
ficilement étayer leui opinion. Tl est impossi-
ble de dire, en effet, dans quelle proportion
et pour combien de temps le souvenir de l'ac-
cident empêchera la clientèle de prendre le
Métropolitain. Les recettes journalières mon-
trent un déchet et le contraire eût été une sorte
de miracle. Mais, en notre siècle, on a l'insou-
ciance du danger. On reviendra au Métropoli-
tain comme on est revenu au théâtre après l'in-
cendie de l'Opéra-Comique. On peut se pas-
ser d'aller au spectacle plus facilement que de
répudier un moyen nouveau de transport pour
revenir aux fiacres coûteux ou aux omnibus
lents st. incommodes. Même si rien n'était fait
pour diminuer les risques et le danger, l'ac-
coutumance vaincrait déjà les hésitations du
public et le Métropolitain- est déjà devenu in-
dispensable à la population parisienne.
Mais des mesures seront prises. Quelles se-
ront-elles ? Qui en aura là charge? Ces points
resteront obscurs longtemps encore; tont ce
que l'on peut faire observer jusqu'à nouvel or-
dre, c'est que l'application de ces mesures in-
combe à deux intérêts associés. De jjar son
contrat de concession, la Compagnie du Mé-
tropolitain intervient comme exploitant et son
intervention commence, avec l'armement des
voies, dont le coffre et l'a plate-forme sont
fournis par la ville de Paris. De même la ville
est intéressée dans l'entreprise en vertu de son
prélèvement de 30 % sur .le recette brute.
Ce sont deux points qu'il ne faut pas per*
dre de vue. Ils sont à considérer aussi bien
pour la. réparation- du dommage direct que
pour les conséquences indirectes et futures ôV
la catastrophe.
M. Villaverde s'est empressé de démentir
les rumeurs qui ont été lancées de la maladie
du roi. L'Extérieure espagnole n'en reste pas
moins indécise et. quelques-uns des phis chauds
partenaires de l'Extérieure au pair commen-
cent à faire preuve de moins d'assurance. II
faut reconnaître que tant que les affaires d'O-
rient ne seront pas améliorées, il n'y a guèrp;
de raison pour que la'.:spéculation se lance â
corps perdu à la hausse des fonds étrangers
cotés sur notre place.
Mais à bien réfléchir, on s'est peut-être trop
pressé d'escompter la grande marche en avant
de l'Extérieure. M. "Villaverde a pris, en effet,
le pouvoir dans des circonstances particulière-,
ment difficiles.
Ce qu'il y, a de curieux dans la situation et!
d'assez nouveau, c'est, que les notables conser-
vateurs n'ont pas marqué plus d'empressement
à offrir leurs services à M. "Villaverde que ce-
lui-ci à les leur demander. "Pas un des notablea
du parti ne s'est plaint de n'avoir pas reçu l!of-i
fre d'un portefeuille. Il est certain que les
émules de M. Villaverde dans la direction dui
parti conservateur, ne sont pas fâchés de le
voir se mesurer avec les difficultés. Ils ne fe-
ront rien qui ne soit correct et prévenant, mais
ils font cercle autour de lui et regardent, non
sans quelque doute, semble-t-il, s'il viendra à
bout du tour de force.
Ce n'est rien - moins qu'un tour de force, en
effet. Le nouveau premier ministre réserve en-
core son programme, et on ne connaît des ques-
tions qu'il aura à aborder que les points dfin-
terrogation. Disons mieux : ce n'est pas lui qui
va aborder les questions'; il n'est pas maître de
l'heure et du moment ; ce sont les questions qui
l'abordent, qui le pressent. Il y a le budget a
établir en équilibre réel; il y a le « système tri-
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