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- SOMMAIRE TRENTE-NEUVIEME ANNEE. N° 48. JEUDI 1er DECEMBRE 1892.
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TRENTE-NEUVIÈME ANNEE.
No m.
JEUDI 1er DECEMBRE 1S92.
SOMMAIRE
l'aies
ASSEMM-filî «fiXÉllALE »lî I./V HIUTISII
SOUTH AKRIOAX C° A C.IIAIIT13 66-J
-NOUVELLES DIVEliSES '|66
LE CKK1Î0 MEKGADO 667
JLA QUESTION DE L'AUGENT ET LA cox-
EEllEXCE M0XÊTAIH15 667
aussi]', (Chemins de fer en construc-
tion) . 668
XES M IXES Jj'Olt EX 1I0X(HUE 6CS
Cil l'.OXIOUE 1XDUST1U ELLE ;_)6!)
■OFKHES ET DEM AXDES 560
HENSEUÎNEM ENTS 070
L'.EVUE JUINIÈUE KT MÉTALLURGIQUE.. 070
BULLETIN FINANCIER 0J-\>
.ANNONCES 070
COURS DE LA nour.su 076
ASSEMBLEE GENERALE
m; LA
« British South Africa C° »
L'événement le plus intéressant de la
semaine à Londres est. la réunion de Ja
seconde assemblée générale annuelle de
cette Compagnie, qui s'est tenue mardi
dernier, sous la présidence du due
d'Abercom assisté du due de File, gendre
du prince de Galles, et de l'honorable
Oecil Rhodes, premier ministre do la
<;olonie du Cap.
On attendait cet événement, avec beau-
coup d'intérêt.pour plnsieurs motifs, mais
principalement en raison de la politique
du gouvernement de M. Gladstone, à l'oc-
casion de l'Ouganda, le garder ou l'aban-
donner, question qui affecte si directement
'les intérêts de toutes -les Compagnies
anglaises à Charte en Afrique. En outre,
•c'était la première fois que le grand orga-
nisateur de cette entreprise se rencontrait
avec les actionnaires en sa qualité de
directeur général de la Compagnie au
Sud Afrique.
La grande salle du Camion Street Hôtel
était bondée, et si les 8,000 actionnaires
de la Compagnie s'y étaient rendus, il
n'y eût pas eu de place pour eux, eût-ce été
même dans le plus grand théâtre de
Londres. Les premiers arrivés ont trouvé
des sièges, mais la grande maj orité dut
•rester debout serrée comme des harengs
• en caque. Cette posture fatigante ne les a
•pas empêchés de saluer M. Rhodes d'un
; accueil enthousiaste et cordial.
Le rapport des opérations de la Compa-
gnie qui avait été remis aux actionnaires
avant la séance a paru causer une satis-
faction générale. 11 faut se rappeler que
le rapport et le bilan diffèrent considéra-
blement de ceux d'une entreprise commer-
ciale ordinaire. Ce rapport est'plutôt le I 1'
récit des faits et gestes des premiers aven- te
turiers anglais dans l'Inde que du dévelop-
pement prudent, delàcolonisalion en Ans- d
tralie ou dans l'Amérique du Nord. La p
Compagnie, dont M. Rhodes est le fonda- p
teur et l'Ame, ne vise à rien moins qu'à la d
création d'un nouvel empire sous le pavil- f
Ion britannique. p
Les espérances de M. Rhodes et de ses p
collègues, comme celles de ceux qui aspi- n
rent à fonder des empires, peuvent, pren- J;
dreune trop haute volée, mais il faut p
reconnaître qu'ils ont. à première vue, de )
solides raisons pour avoir confiance. i
La position financière de la Compagnie <;
est des plus intéressantes à connaître pour î
les actionnaires; ils ont vu leurs titres, il n'y a. pas longtemps encore, fortement dé- ^
préciés, mais ils ont actuellement la salis- t
faction de les A'oir remonter rapidement ]
sur le marché. 1
L'attention du public sera plutôt attirée l
sur la partie supplémentaire du rapport 1
qui expose le champ immense des opéra-
tions de la Compagnie, les ressources ri- '
clies et variées du pays qui est sous sa '
dépendance et le développement ainsi que ;
les progrès qui ont été réalisés .jusqu'à ce :
jour. 11 est clair qu'au Sud-Afrique, des ;
efforts individuels eussent été insuffisants '
pour arriver à. un développement sérieux,
il fallait des efforts combinés pour entre-
prendre la tâche d'ouvrir et de posséder
une contrée de si grande étendue, c'est là
l'teuvro assignée à la. Compagnie par sa
Charte royale. Ce territoire couvre une
surface égale à la France, l'Allemagne,
l'Autriche-Hongrie et l'Italie réunies.
Au Mashonaland, la période des dé-
penses exceptionnelles de premier établis-
sement, peut déjà être considérée comme
tirant à sa lin.
La région des lacs africains depuis que
la Compagnie à Charte en a pris posses-
sion a. fait des progrès considérables; le
climat y est beaucoup plus favorable que
dans les portions au sud du Zambèse, on
y est sous la même latitude que l'île de
Geylan. C'est au Mashonaland que la Com-
pagnie à Charte entreprend sa première
tâche ; là, en dépit de bien des difficultés,
la vie civilisée a fait un premier pas. 11 est
vrai que tant, que le chemin de fer de He.ira
ne sera lias construit conformément, aux
conditions anglo-portugaises, le progrès
sera plus difficile, mais il n'y a plus de
doute qu'il va être établi, et dès lors les
frais de transport, qui sont, actuellement
excessifs, seront considérablement, dimi-
nués. Cependant des émigrants anglais et
boërs arrivent dans le pays, y prenne
possession de concessions de terrains; il a
déjà été enregistré plusieurs milliers de
claims de mines d'or, quoique l'explora-
tion ait été encore imparfaite, enfin, tant
que le chemin de fer ne sera pas fait, les
affaires ne pourront, se développer d'une
manière sérieuse ; mais il est certain que
l'or y existe et qu'il sera exploité dans un
temps plus ou moins rapproché.
Dans la sphère de la Compagnie an sud
du Zambèse on compte déjà iî.OOO Euro-
péens qui s'y établissent, on y voit les
premiers indices de civilisation tels que
des hôtels, des banques, des journaux.
Fort-Salisbury où une expédition de
pionniers était parvenue il y a un peu
plus de deux ans, est le centre d'une admi-
nistration modeste et proportionnée aux
besoins actuels. On a déjà pu licencier une
partie de la troupe de police année qu'on
y avait amenée. M. Selous, un des pre-
miers pionniers dans ces pays a pu établir
des communications locales, mais le che-
min de fer de Heïra d'un coté, et le prolon-
gement de celui de Vrylmrg, de l'autre,
*onl. attendus avec une extrême impa-
tience. Les frontières avec les possessions
portugaises ont été rectifiées et délimitées,
la Compagnie a pris possession des lacs et
de toute la Zambesia du Nord jusqu'aux
limites de l'Etat du Cnngo.
Les perspectives sont donc des plus en-
courageantes, même quand il y aurait
quelque exagération dans les rapports au
sujet de la richesse minérale et de la ferti-
lité du sol.L'or est certainement la grande
attraction au Mashonaland, mais le pays
est aussi très favorable pour toutes entre-
prises agricoles ou d'élevage, il ne man-
que que les facilités d'accès'; sur les hauts
plateaux de l'intérieur on pourra, cultiver
tous les produits des climats tempérés et
des tropiques. Tout, bien considéré, il est-
satisfaisant de savoir que ces aventureu-
ses entreprises ont été lancées avec succès,
et que malgré les difficultés qui se sont
rencontrées il n'a pas été nécessaire d'ap-
peler un nouveau capital. La Compagnie
a semé la graine de futurs dividendes,
avec l'avis sage des administrateurs de ne
pas les attendre immédiatement. La mois-
son consistera dans l'exploitation de la
richesse minérale du Mashonaland, mais
avant on retirera des bénélices de la vente
de terrains.
11 faut, s'attendre à de plus riches mois-
sons encore lors du développement, de la
Zambesia du Nord, le climat y est, d'une
salubrité exceptionnelle pour l'Afrique, et
quoiqu'elle soit peu peuplée on y trouvera
cependant une main-d'oeuvre sulïisantcde
la part d?s indigènes; le bois et l'eau y
sont en abondance, dans ses parties les
plus fertiles, il n'y a ni inondations, ni
vents desséchants. C'est là un splendide
domaine à administrer qui doit plus que
suffire à la plus ambitieuse compagnie,
sans chercher de nouvelles conquêtes.
La longueur de l'article qui précède
nous oblige à ne donner qu'un résumé de
ce qui s'est passé à l'assemblée.
Le président, le duc d'Abercorn, après
une courte allocution, a proposé l'adoption
du rapport et du bilan, le'duc de File a
appuyé la motion en rendant hommage à
OFFRES ET X>E1VX^ÏVI3ES (voir à la 5e page)
No m.
JEUDI 1er DECEMBRE 1S92.
SOMMAIRE
l'aies
ASSEMM-filî «fiXÉllALE »lî I./V HIUTISII
SOUTH AKRIOAX C° A C.IIAIIT13 66-J
-NOUVELLES DIVEliSES '|66
LE CKK1Î0 MEKGADO 667
JLA QUESTION DE L'AUGENT ET LA cox-
EEllEXCE M0XÊTAIH15 667
aussi]', (Chemins de fer en construc-
tion) . 668
XES M IXES Jj'Olt EX 1I0X(HUE 6CS
Cil l'.OXIOUE 1XDUST1U ELLE ;_)6!)
■OFKHES ET DEM AXDES 560
HENSEUÎNEM ENTS 070
L'.EVUE JUINIÈUE KT MÉTALLURGIQUE.. 070
BULLETIN FINANCIER 0J-\>
.ANNONCES 070
COURS DE LA nour.su 076
ASSEMBLEE GENERALE
m; LA
« British South Africa C° »
L'événement le plus intéressant de la
semaine à Londres est. la réunion de Ja
seconde assemblée générale annuelle de
cette Compagnie, qui s'est tenue mardi
dernier, sous la présidence du due
d'Abercom assisté du due de File, gendre
du prince de Galles, et de l'honorable
Oecil Rhodes, premier ministre do la
<;olonie du Cap.
On attendait cet événement, avec beau-
coup d'intérêt.pour plnsieurs motifs, mais
principalement en raison de la politique
du gouvernement de M. Gladstone, à l'oc-
casion de l'Ouganda, le garder ou l'aban-
donner, question qui affecte si directement
'les intérêts de toutes -les Compagnies
anglaises à Charte en Afrique. En outre,
•c'était la première fois que le grand orga-
nisateur de cette entreprise se rencontrait
avec les actionnaires en sa qualité de
directeur général de la Compagnie au
Sud Afrique.
La grande salle du Camion Street Hôtel
était bondée, et si les 8,000 actionnaires
de la Compagnie s'y étaient rendus, il
n'y eût pas eu de place pour eux, eût-ce été
même dans le plus grand théâtre de
Londres. Les premiers arrivés ont trouvé
des sièges, mais la grande maj orité dut
•rester debout serrée comme des harengs
• en caque. Cette posture fatigante ne les a
•pas empêchés de saluer M. Rhodes d'un
; accueil enthousiaste et cordial.
Le rapport des opérations de la Compa-
gnie qui avait été remis aux actionnaires
avant la séance a paru causer une satis-
faction générale. 11 faut se rappeler que
le rapport et le bilan diffèrent considéra-
blement de ceux d'une entreprise commer-
ciale ordinaire. Ce rapport est'plutôt le I 1'
récit des faits et gestes des premiers aven- te
turiers anglais dans l'Inde que du dévelop-
pement prudent, delàcolonisalion en Ans- d
tralie ou dans l'Amérique du Nord. La p
Compagnie, dont M. Rhodes est le fonda- p
teur et l'Ame, ne vise à rien moins qu'à la d
création d'un nouvel empire sous le pavil- f
Ion britannique. p
Les espérances de M. Rhodes et de ses p
collègues, comme celles de ceux qui aspi- n
rent à fonder des empires, peuvent, pren- J;
dreune trop haute volée, mais il faut p
reconnaître qu'ils ont. à première vue, de )
solides raisons pour avoir confiance. i
La position financière de la Compagnie <;
est des plus intéressantes à connaître pour î
les actionnaires; ils ont vu leurs titres, il
préciés, mais ils ont actuellement la salis- t
faction de les A'oir remonter rapidement ]
sur le marché. 1
L'attention du public sera plutôt attirée l
sur la partie supplémentaire du rapport 1
qui expose le champ immense des opéra-
tions de la Compagnie, les ressources ri- '
clies et variées du pays qui est sous sa '
dépendance et le développement ainsi que ;
les progrès qui ont été réalisés .jusqu'à ce :
jour. 11 est clair qu'au Sud-Afrique, des ;
efforts individuels eussent été insuffisants '
pour arriver à. un développement sérieux,
il fallait des efforts combinés pour entre-
prendre la tâche d'ouvrir et de posséder
une contrée de si grande étendue, c'est là
l'teuvro assignée à la. Compagnie par sa
Charte royale. Ce territoire couvre une
surface égale à la France, l'Allemagne,
l'Autriche-Hongrie et l'Italie réunies.
Au Mashonaland, la période des dé-
penses exceptionnelles de premier établis-
sement, peut déjà être considérée comme
tirant à sa lin.
La région des lacs africains depuis que
la Compagnie à Charte en a pris posses-
sion a. fait des progrès considérables; le
climat y est beaucoup plus favorable que
dans les portions au sud du Zambèse, on
y est sous la même latitude que l'île de
Geylan. C'est au Mashonaland que la Com-
pagnie à Charte entreprend sa première
tâche ; là, en dépit de bien des difficultés,
la vie civilisée a fait un premier pas. 11 est
vrai que tant, que le chemin de fer de He.ira
ne sera lias construit conformément, aux
conditions anglo-portugaises, le progrès
sera plus difficile, mais il n'y a plus de
doute qu'il va être établi, et dès lors les
frais de transport, qui sont, actuellement
excessifs, seront considérablement, dimi-
nués. Cependant des émigrants anglais et
boërs arrivent dans le pays, y prenne
possession de concessions de terrains; il a
déjà été enregistré plusieurs milliers de
claims de mines d'or, quoique l'explora-
tion ait été encore imparfaite, enfin, tant
que le chemin de fer ne sera pas fait, les
affaires ne pourront, se développer d'une
manière sérieuse ; mais il est certain que
l'or y existe et qu'il sera exploité dans un
temps plus ou moins rapproché.
Dans la sphère de la Compagnie an sud
du Zambèse on compte déjà iî.OOO Euro-
péens qui s'y établissent, on y voit les
premiers indices de civilisation tels que
des hôtels, des banques, des journaux.
Fort-Salisbury où une expédition de
pionniers était parvenue il y a un peu
plus de deux ans, est le centre d'une admi-
nistration modeste et proportionnée aux
besoins actuels. On a déjà pu licencier une
partie de la troupe de police année qu'on
y avait amenée. M. Selous, un des pre-
miers pionniers dans ces pays a pu établir
des communications locales, mais le che-
min de fer de Heïra d'un coté, et le prolon-
gement de celui de Vrylmrg, de l'autre,
*onl. attendus avec une extrême impa-
tience. Les frontières avec les possessions
portugaises ont été rectifiées et délimitées,
la Compagnie a pris possession des lacs et
de toute la Zambesia du Nord jusqu'aux
limites de l'Etat du Cnngo.
Les perspectives sont donc des plus en-
courageantes, même quand il y aurait
quelque exagération dans les rapports au
sujet de la richesse minérale et de la ferti-
lité du sol.L'or est certainement la grande
attraction au Mashonaland, mais le pays
est aussi très favorable pour toutes entre-
prises agricoles ou d'élevage, il ne man-
que que les facilités d'accès'; sur les hauts
plateaux de l'intérieur on pourra, cultiver
tous les produits des climats tempérés et
des tropiques. Tout, bien considéré, il est-
satisfaisant de savoir que ces aventureu-
ses entreprises ont été lancées avec succès,
et que malgré les difficultés qui se sont
rencontrées il n'a pas été nécessaire d'ap-
peler un nouveau capital. La Compagnie
a semé la graine de futurs dividendes,
avec l'avis sage des administrateurs de ne
pas les attendre immédiatement. La mois-
son consistera dans l'exploitation de la
richesse minérale du Mashonaland, mais
avant on retirera des bénélices de la vente
de terrains.
11 faut, s'attendre à de plus riches mois-
sons encore lors du développement, de la
Zambesia du Nord, le climat y est, d'une
salubrité exceptionnelle pour l'Afrique, et
quoiqu'elle soit peu peuplée on y trouvera
cependant une main-d'oeuvre sulïisantcde
la part d?s indigènes; le bois et l'eau y
sont en abondance, dans ses parties les
plus fertiles, il n'y a ni inondations, ni
vents desséchants. C'est là un splendide
domaine à administrer qui doit plus que
suffire à la plus ambitieuse compagnie,
sans chercher de nouvelles conquêtes.
La longueur de l'article qui précède
nous oblige à ne donner qu'un résumé de
ce qui s'est passé à l'assemblée.
Le président, le duc d'Abercorn, après
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