Titre : Journal des mines : organe spécial de l'industrie minière et métallurgique en France et à l'étranger... / directeur : Henri Cozic
Éditeur : Imprimerie de Paul Dupont (Paris)
Date d'édition : 1892-05-12
Contributeur : Cozic, Henri. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328000737
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 11057 Nombre total de vues : 11057
Description : 12 mai 1892 12 mai 1892
Description : 1892/05/12 (A39,N19). 1892/05/12 (A39,N19).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5775961z
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, FOL-V-1230
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
- Aller à la page de la table des matières217
- SOMMAIRE TRENTE-NEUVIEME ANNEE. N° 19. JEUDI 12 MAI 1892.
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- .......... Page(s) .......... 226
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TR ENTE-N EUVIEME ANNÉE.
N» 10.
JEUDI 12 MAI 1892.
SOMMAIKE
V:lKc-s
I.KS -\CT10XS 1.115 Hi:v.y. 217
Ki>-<;vi;i,i/i-:s jjivuusKs 21.7
ï--lvi:_ GUIVliK. KTA1N" 21S
i.KS tilsEMKXTS DK l'I.ATIXK KX ÎUJSSIK. 218
I.A vr.onue.TioN ou MKISC.UIO; i:x IIUSSIK 218
KOTOXOU 21 il
I.KMEXiymc KT l/IxnOSTlUKKJl'.AXOKItK 220
OKKIUiS HT DlîMANOliS 220
■.'.KXSKtOXIJM KNTS 2:20
!:I:VUK M IX! ftiiiï 221
■:H;l'.'l.KTI'N" FIXAXOI MIS 22")
i-.ww.ioni.M'HiK 220
AXXUXCKS 220
■ :')i;iw i/K LA wounsE 227-228
LES ACTIONS DE SUEZ
Les oui reprisas de. percement d'isthme
■-.font pas clé pour la. Franco exemples do
■ liflkvnltés. Je mécomptes et de revers. Si.,
grâce à l'énergie et- à lu prépondéranco
qu'avait alors le gouvernement, impérial,
M- de Lesseps a. vu. s'abaisser tous les
•obslades que suscitait, la diplomatie an-
glaise à. Conslantinoplo et au Caire, et si
finalement l'honneur d'avoir ouvert le
•«•.littiriin île la. Méditerranée à la mer Bouge
o!.ù la mer des Indes revient tout entier à
la. France, il n'en est pas moins vrai que
nous n'en avons pas tiré les prolits qui
eussent dû nous en revenir, et que c'est
encore l'Angleterre qui a le plus profilé
des marrons que nous avons tirés de la
«•eutlrc. C'est en général le loi: de nos deux
nations: à la,France l'honneur, à l'Angle-
terre le prolil, : ne nous plaignons pas, car
si. nous n'avons pas l'un et, l'autre, c'est à
nons-mêmos*qu'il faut n'ous.en prendre. .. .
lin effet, n'est-ce lias notre 'gouverne-
ment qui sous le ministère dnducDeea/.cs
a refusé l'offre d'ismail Pacha de lui céder
les 170.<>02 actions du canal qu'il possé-
dait? Le khédive; préférait, les voirdansdes
mains françaises, il comprenait que c'était
presque un devoir de les offrir d'abord à
«a France, auteur du canal, qui eût eu le
plus grand intérêt politique à les possé-
der, sans parler de l'intérêt financier.
Maïs l'étroitesse de vues du gouverne-
■mentd'alors, une pusillanimité sans ex-
■Givse, firent refuser cette proposition d'un
intérêt si capital pour notre influence en
Egypte et éviter la prépotence d'un gou-
vernement rival dans le conseil même de
la Compagnie. Cette faute lourde a été <
commise. Aussitôt, sans hésitation, sans 1
même en référer au Parlement tant l'a- t
vanlage était éclatant et, tant le bill d'in-
demnité était certain, le ministère d'is-
raeli offrit des guinées au khédive, qui
dans la nécessité de vendre, cédait, la
mort dans l'âme, à ceux dont il redoutait
avec raison la puissance.
Dernièrement, en parlant du budget à la
Chambre des communes, M. (iosohen, le
ministre des finances, disait combien
l'énorme plus-value des actions du canal
de Sue/, procurait do bénéfices au gouver-
nement anglais et excitait de regrets, il
disait même de chagrin, dans la presse
française, ces actions, ajoutait-il, qui ont
élé achetées pour une chanson, lin ell'el,
le gouvernement anglais les a payées
r>(>7 francs, elles valent aujourd'hui 2.7Ô0,
soi! une différence de .'58'J.Ô22.1I5(> fr. de
plus-value !
l'n journal anglais qui rend compte do
ce discours, ajoute : « Ce qu'il y a de plus
« dépitant, pour les Français, c'est que
« celle plus-value fera plus que payer
« l'argent emprunté pour la défense de
« nos ports, de nos stations de charbon et
K de nos "casernes. La loi pour notre
« défense navale avouait nettement que
« nous devions conserver noire suprématie
« maritime et devait, nous rendre d'une
« force supérieure à l'alliance quelle
« qu'elle soit, de deux puissances navales.
« La Franco, nous l'espérons, n'est pas
« plus désireuse, que nous d'en venir aux
« coups, mais si ce malheur arrivait avec
« notre ancienne ennemie,et notre récente
« alliée.il serait vraiment regrettable pour
« noire adversaire de savoir que nos plus
, « puissants cuirassés ont, élé .construit
« avec l'argent des actions de Sue/.. »
L'ironie du journal anglais est malheu-
reusement I rop justifiée; il faut avouer que
si gouverner c'est prévoir, nos gouver-
nants d'alors ont, été singulièrement aveu-
gles dans la question, et qu'ils portent une
lourde responsabilité. Dès qu'il fut ques-
: lion du percement de l'isthme par la
France, l'Angleterre s'empara de Périm et,
d'Aden pour en boucher l'issue, et cela en
dépit des traités garantissant l'intégralité
de l'empire ottoman; mais tout cela est,
i scrupule ou sentiment, et la nation posi-
1 tive n'en tient pas compte; c'est bon pour
les nations latines, les nations chevalercs-
3- crues, et la presse britannique les couvre
de ses railleries sans avoir de remords de
la foi violée. « La vertu sans l'argent est
un meuble inutile ! »
IOÏÏYELLES DIYEESES
Catastrophes sur les réseau.!- a/ie-
■nuinds. — Lu 1801, les chemins do fer
allemands ont eu :■>.(> 18 accidents à leur
actif, alors qu'en 1800, ils n'en avaient
:jue 8.088. C'est un progrès !
11 y a eu ô:57 déraillements et :!72 ren-
contres de trains, dont une centaine en
pleine campagne.
Le nombre dos viclimes s'élève à 2.7:>(i,
dontôOO tués et 2.23U blessés. Les voya- ■
geui's lues sont au nombre de. :-5(.î et les
employés au nombre de ïô'i, plus "10 per-
sonnes tuées non voyageurs. Les voya-
geurs blessés sont au nombre île. 170 et les
employés au nombre de 1.011, plus 'i!J att-
ires personnes non voyageurs.
La moyenne des accidents est de 0,11.
tués par i million de voyageurs et de(),ô5
blessés par également 1 million de voya-
geurs.
On sait qu'en Allemagne la responsabi-
lité de l'expoilation est limitée.
Chemin* de fer aairrieains. — Les
recettes nettes dc,^ l:îr>.(iJ2 milles do
voies ferrées exploitées aux Flals-t'iiis en
1801, déduction l'aile des frais d'exploila-
tion.'onl étéde.-?:!.>l.:,.r):i.!)18. contre i-5-2.SU
milles ci s:ï::50.7!)7.'i(J'i on 1800. 11 y a donc
uni; augmentation de 2 10/100 0/0 dans le
nombre de milles exploités, lundis que les
recettes nelfesonl augmenté do 82 100 0 0.
11 n'y a pas eu de circonstances exception-
nellement favorables eu 1801, la produc-
tion de fer a souffert spécialement ; du
reste la progression est normale, en se re-
portant, six années en arrière, on constate
que les recettes brutes ont augmenté en
movenne de 50.000.000 de dollars.
Dans les dix années dernières, le laux
moyen de l'escompte à la Banque de
France a élé de :>.10 0/0; à la Banque
d'Angleterre de M.'i8 0 O, et à. la Banque
d'Allemagne de ;>,87 0/0. C'est donc la
France qui a joui du taux le plus bas. Au-
trefois, le taux d'escompte de la Banque
de France dépendait presque exclusive-
ment du taux de la Banque d'Angleterre;
mai? maintenant que le stock métallique
de la Banque de France est bien supérieur
à celui de la Banque d'Angleterre, elle
s'est: .soustraite à son influence et peut
mieux que cette dernière maintenir la sta-
bilité dans le Laux de l'escompte.
Essais de vitesse. — Des expériences
intéressantes sur la vitesse des trains, se
OFFRES ET DEMANDES (Voir à la 4™e page).
N» 10.
JEUDI 12 MAI 1892.
SOMMAIKE
V:lKc-s
I.KS -\CT10XS 1.115 Hi:v.y. 217
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LES ACTIONS DE SUEZ
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■-.font pas clé pour la. Franco exemples do
■ liflkvnltés. Je mécomptes et de revers. Si.,
grâce à l'énergie et- à lu prépondéranco
qu'avait alors le gouvernement, impérial,
M- de Lesseps a. vu. s'abaisser tous les
•obslades que suscitait, la diplomatie an-
glaise à. Conslantinoplo et au Caire, et si
finalement l'honneur d'avoir ouvert le
•«•.littiriin île la. Méditerranée à la mer Bouge
o!.ù la mer des Indes revient tout entier à
la. France, il n'en est pas moins vrai que
nous n'en avons pas tiré les prolits qui
eussent dû nous en revenir, et que c'est
encore l'Angleterre qui a le plus profilé
des marrons que nous avons tirés de la
«•eutlrc. C'est en général le loi: de nos deux
nations: à la,France l'honneur, à l'Angle-
terre le prolil, : ne nous plaignons pas, car
si. nous n'avons pas l'un et, l'autre, c'est à
nons-mêmos*qu'il faut n'ous.en prendre. .. .
lin effet, n'est-ce lias notre 'gouverne-
ment qui sous le ministère dnducDeea/.cs
a refusé l'offre d'ismail Pacha de lui céder
les 170.<>02 actions du canal qu'il possé-
dait? Le khédive; préférait, les voirdansdes
mains françaises, il comprenait que c'était
presque un devoir de les offrir d'abord à
«a France, auteur du canal, qui eût eu le
plus grand intérêt politique à les possé-
der, sans parler de l'intérêt financier.
Maïs l'étroitesse de vues du gouverne-
■mentd'alors, une pusillanimité sans ex-
■Givse, firent refuser cette proposition d'un
intérêt si capital pour notre influence en
Egypte et éviter la prépotence d'un gou-
vernement rival dans le conseil même de
la Compagnie. Cette faute lourde a été <
commise. Aussitôt, sans hésitation, sans 1
même en référer au Parlement tant l'a- t
vanlage était éclatant et, tant le bill d'in-
demnité était certain, le ministère d'is-
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dans la nécessité de vendre, cédait, la
mort dans l'âme, à ceux dont il redoutait
avec raison la puissance.
Dernièrement, en parlant du budget à la
Chambre des communes, M. (iosohen, le
ministre des finances, disait combien
l'énorme plus-value des actions du canal
de Sue/, procurait do bénéfices au gouver-
nement anglais et excitait de regrets, il
disait même de chagrin, dans la presse
française, ces actions, ajoutait-il, qui ont
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le gouvernement anglais les a payées
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soi! une différence de .'58'J.Ô22.1I5(> fr. de
plus-value !
l'n journal anglais qui rend compte do
ce discours, ajoute : « Ce qu'il y a de plus
« dépitant, pour les Français, c'est que
« celle plus-value fera plus que payer
« l'argent emprunté pour la défense de
« nos ports, de nos stations de charbon et
K de nos "casernes. La loi pour notre
« défense navale avouait nettement que
« nous devions conserver noire suprématie
« maritime et devait, nous rendre d'une
« force supérieure à l'alliance quelle
« qu'elle soit, de deux puissances navales.
« La Franco, nous l'espérons, n'est pas
« plus désireuse, que nous d'en venir aux
« coups, mais si ce malheur arrivait avec
« notre ancienne ennemie,et notre récente
« alliée.il serait vraiment regrettable pour
« noire adversaire de savoir que nos plus
, « puissants cuirassés ont, élé .construit
« avec l'argent des actions de Sue/.. »
L'ironie du journal anglais est malheu-
reusement I rop justifiée; il faut avouer que
si gouverner c'est prévoir, nos gouver-
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lourde responsabilité. Dès qu'il fut ques-
: lion du percement de l'isthme par la
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d'Aden pour en boucher l'issue, et cela en
dépit des traités garantissant l'intégralité
de l'empire ottoman; mais tout cela est,
i scrupule ou sentiment, et la nation posi-
1 tive n'en tient pas compte; c'est bon pour
les nations latines, les nations chevalercs-
3- crues, et la presse britannique les couvre
de ses railleries sans avoir de remords de
la foi violée. « La vertu sans l'argent est
un meuble inutile ! »
IOÏÏYELLES DIYEESES
Catastrophes sur les réseau.!- a/ie-
■nuinds. — Lu 1801, les chemins do fer
allemands ont eu :■>.(> 18 accidents à leur
actif, alors qu'en 1800, ils n'en avaient
:jue 8.088. C'est un progrès !
11 y a eu ô:57 déraillements et :!72 ren-
contres de trains, dont une centaine en
pleine campagne.
Le nombre dos viclimes s'élève à 2.7:>(i,
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employés au nombre de 1.011, plus 'i!J att-
ires personnes non voyageurs.
La moyenne des accidents est de 0,11.
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On sait qu'en Allemagne la responsabi-
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Chemin* de fer aairrieains. — Les
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1801, déduction l'aile des frais d'exploila-
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nombre de milles exploités, lundis que les
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tion de fer a souffert spécialement ; du
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Dans les dix années dernières, le laux
moyen de l'escompte à la Banque de
France a élé de :>.10 0/0; à la Banque
d'Angleterre de M.'i8 0 O, et à. la Banque
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trefois, le taux d'escompte de la Banque
de France dépendait presque exclusive-
ment du taux de la Banque d'Angleterre;
mai? maintenant que le stock métallique
de la Banque de France est bien supérieur
à celui de la Banque d'Angleterre, elle
s'est: .soustraite à son influence et peut
mieux que cette dernière maintenir la sta-
bilité dans le Laux de l'escompte.
Essais de vitesse. — Des expériences
intéressantes sur la vitesse des trains, se
OFFRES ET DEMANDES (Voir à la 4™e page).
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