Titre : Journal des mines : organe spécial de l'industrie minière et métallurgique en France et à l'étranger... / directeur : Henri Cozic
Éditeur : Imprimerie de Paul Dupont (Paris)
Date d'édition : 1903-04-05
Contributeur : Cozic, Henri. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328000737
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 05 avril 1903 05 avril 1903
Description : 1903/04/05 (A50). 1903/04/05 (A50).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5775926h
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, FOL-V-1230
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
CINQUANTIEME ANNEE Le numéro : SO'ceiitïmes DÎMANGHE 5 AVRIL 1903,
LETTRE DE PARIS 1 t
_ _ CE
Fontîs tT'ECat français, ançjlais, àlio-
manSs.Vi.quoIqucs considérations.; ce
L'engouement pour les fonds d'Etat qui sa B;
•manifeste d'habitude pendant les périodes de 1'
.crise industrielle tend à se calmer... Ce a pal- ei
ladium » des rentiers en détresse perd tous les ^
jours de son charme, l'éliage de sa cote Fin- b
dique. Nous n'y voyons aucun inconvénient, h
au contraire, et saluons avec plaisir le retour n
jdes capitaux en quête de placement vers les n
bonnes valeurs industrielles et minières. Nous fc
nous garderons bien de médire des fonds r
d'Etat, lorsqu'il s'agit d'états de premier or-
dre, mais dans cette catégorie de titres, il y a è
comme partout du faux, du clinquant, du tru- i
quage et nous plaignons sincèrement les dé- J
tenteurs abusés et illusionnés de titres d'Etats (
secondaires aux finances avariées, aux budgets i
en équilibre instable. Ils ont été séduits par - .
la perspective de gros revenus à loucher, sous j i
cette étiquette magique « Fonds d'Etats », j ,
■mais hélas, ils ne les toucheront pas longtemps | ;
et le réveil sera cruel. ,
Nous ne cachons pas notre préférence pour
les bonnes valeurs industrielles et minières,
qui offrent des sécurités comparables à celles
des meilleurs Fonds d'Etats et l'emportent
sur eux par les avantages d'un revenu plus
rémunérateur et les chances de plus-value du
capital.
Les Fonds d'Etats de premier ordre ont
donc été fortement secoués dans ces derniers '
temps, j>ar U1i vent de baisse, et le record
dans ce sens, pour des causes et circonstances
spéciales, il est vrai, appartient sans conteste
aux Consolidés Anglais, qui, depuis 1897 ont
baissé de 114 à 90, soit une dépréciation
de 24 points. L'an dernier, ils cotaient encore
'98, et l'on pronostiquait leur retour vers les
hauts sommets d'antan.
Le 3 0/0 Allemand, qui naguère encore,
s'élevait au-dessus du pair, a rétrogradé à
92, en perte de plus de huit points. En
face de ses congénères anglo-saxons — et
nous sommes heureux de consister que la su-
périorité prétendue des Anglo-Saxons n'appa-
■rait pas en cette matière — notre 3 0/0 Fran-
çais fait bonne contenance, ne perdant que
cinq unités sur son plus haut cours de 103 à
;I04 fr.
Que dire de la rente Espagnole qui, en une
'séance, a perdu quatre points. Est-ce ainsi
|que se comportent les fonds, dits sérieux, les
[Valeurs de père de famille ? La rente Es-pa-
'ignole, sur la simple nouvelle de la démission
■d'un ministre, s'est comportée en véritable pe»
itite folle, mettant à mal ses trop confiants dé-
tenteurs, au grand désespoir de ses Barnurns,
,qui s'étaient évertués à la faire passer pour
folle rangée et assagie. Hélas ! l'Espagne est
'le pays de la danse et des castagnettes, et
longtemps encore, nous le craignons pour ses mi
fidèles, sa rente Extérieure continuera ses ac
cascades et ses cake-walk. de
Loin: de nous cependant, la pensée de nié- se
connaître les efforts qu'a faits l'Espagne pour
se relever de ses désastres, pour mettre de ck
l'ordre dans ses finances et introniser chez p.
elle, les procédés gouvernementaux des Etats xc
de crédit indiscutable, établi sur bases sta- p]
blés et pondérées. La comédie et la genèse de qT
la démission Villaverde, ne sont pas que des p,
incidents, elles onstituent un enseignement,et 4
nous révèlent que le pays du Cid et de Cervan- j
tes n'en est encore qu'à l'apprentissage d'un 1 u
régime gouvernemental et financier sérieux. p
Le plan du ministre Villaverde consistant t<
à assurer lu budget en équilibre, présentant g
mêmes des excédents de recettes plus ou moins r
fallacieux, avec relegation au second plan de e
toutes les dépenses de guerre et de travaux f
publics — quelques légitimes qu'elles fussent r
— aurait dû être poursuivi avec l'appui du \
Cabinet tout entier, il y allait du salut et du ]
crédit de VEs-pagne. Il n'en a rien été. Il a \
suffi des intrigues du- ministre de la Guerre '<
et de la Marine (toujours les manoeuvres mi- (
litaristes, cette plaie de l'Espagne), plus ou ■
moins soutenues, dans la coulissej par le roi
et le président du Conseil pour tout remettre
en question, et forcer un ministee des Finan-
ces consciencieux, imbu de sa tâche difficile,
à jeter le manche après la cognée, à démis-
sionner.
Quelle confiance après cela, accorder au
crédit de l'Espagne ! peut-on croire encore à
la sécurité de ses rentes ? 1
Bien fol serait le capitaliste qui s'y lierait, j
U Extérieure Espagnole, habituée aux casca- |
des, revient à ses premières amours, c'était 1
fatal ! elle a toujours été un merveilleux ins-
trument de jeux et telle qu'elle était, elle res-
tera... pour longtemps encore, nous le crai-
gnons bien.
Ce n'est pas la faute du ministre Villa-
verde, qui avait tout préparé pour asseoir, sur
des bases stables, le crédit de son. pays, par
l'équilibre du budget et la baisse du change,
qui devait s'ensuivre. Il avait même habile-
ment fait montre d'excédents, en évaluant ses
recettes au taux minimum et en réduisant ses
dépenses par de sages mesures adminisrati-
ves. Ces excédents^ c'était le rêve du ministre,
il les avait obtenus plus ou moins fictivement
et il entendait bien s'en prévaloir et en battre
la grosse caisse au plus grand profit du crédit
de son pays. Il comptait bien aussi s'en ser-
vir pour liquider le passé et retirer de la cir-
culation cet amas' de monnaies fiduciaires qui
alourdit le change.
ïl avait compté sans ses hôtes et collègues
de la Guerre et de la Marine. Tout est à re-
commencer et rien n'indique que son succes-
seur, imbu cependant de ses idées* réussisse
mieux que lui. En tous cas, il débute par un
acte de faiblesse, en accordant à ses collègues
de la Guerre et de la Marine4 les crédits refu-
sés avec raison par Villaverde. Le programme
des 0 RÉFORMES FINANCIÈRES s nous paraît
donc à vau-l'eau et dans ces conditions les
parrains de la rente Extérieure Espagnole au-
ront difficulté de la présenter à nouveau comme
placement de père de famille. Nous estimons
que l'Espagne aura encore beaucoup à faire
pour que sa rente soit considérée à Pégaie du
'4 0/0 Italien ou du 4 0/0 Russe.
Notre rente nationale a donc fait preuve,
malgré une situation financière embrouillée de
plus de stabilité que ses congénères d'Angle-
terre et d'Allemagne, je n'ajoute pas d'Espa-
gne, ce serait faire trop d'honneur à l'Exté-
rieure, de la mettre à parité des fonds anglais
et allemands. Nous pensons que les rentiers
français, qui, l'an dernier, alors que le 3 0/0
national dépassait de plusieurs points le pair,
l'ont arbitré contre les Consolidés à 97, dans
l'espérance d'une plus-value annoncée sur ce
titre, doivent la regretter amèrement. En fait
de fonds d'Etat, gardons le nôtre, si no'ds
en avons en portefeuille, et ne cherchons pas
au-delà de nos frontières.
C'est le moment psychologique de le dire,
car les rentiers français pourraient être inci-
tés — on oublie si vite en France — à recom-
mencer le coup qui leur a si mal réussi avec
les Consolidés, en arbitrant leur 3 0/0 — qui
cote encore 99 — contre le 3 0/0 Tratisvaa-
lien, que l'on va émettre probablement à 97
(les local loans cotant 98 1/2) ou contre le fu-
| tur emprunt 3 0/0 allemand, qui sera offert
] à. 91-
I Qu'ils né se laissent pas séduire par les
j comparaisons de cours, ce mirage, qui pour-,
rait être décevant et trompeur.
S'ils veulent faire des arbitrages, qu'ils re-.
gardent dans le compartiment des bonnes va->
leurs industrielles et minièreSj, tout aussi sta-
bles, nous venons de le voir, que les fonds
d'Etat et, en choisissant bien, ils y trouveront
accroissement de capital et de revenus. Ce
n'est pas aux acheteurs de la première heure,
devenus millionnaires, D'ACTIONS DE CHAR-
BONNAGES du Nord de la France, des Bassins
houillère de Liège, de Mons et de Charleroi,
qu'il faudrait prôner l'excellence des fonds
'd'Etat ; ce n'est pas non plus aux porteurs des
VALEURS MINIÈRES, qui ont nom Golden
Horseshoë, 'RobinsoiA, Ferreira, 'Mysore,-
Wemmer et tutti quanti, qu'il faudrait recom-
mander l'arbitrage des fonds d'Etat, ils sel
borneraient à répondre, en choeur, à leur naïf
thuriféraire, avec quelque triviolité peut-être t
ë Vous venez... de Pontoise ou de Poperinghë,
retournez-y et réservez aux habitants de ces
régions l'éloge des fonds d'Etat; il en fautf
mais pas trop n'en faut. *
C'est aussi notre avis* et c'est avec îsnë cori*
LETTRE DE PARIS 1 t
_ _ CE
Fontîs tT'ECat français, ançjlais, àlio-
manSs.Vi.quoIqucs considérations.; ce
L'engouement pour les fonds d'Etat qui sa B;
•manifeste d'habitude pendant les périodes de 1'
.crise industrielle tend à se calmer... Ce a pal- ei
ladium » des rentiers en détresse perd tous les ^
jours de son charme, l'éliage de sa cote Fin- b
dique. Nous n'y voyons aucun inconvénient, h
au contraire, et saluons avec plaisir le retour n
jdes capitaux en quête de placement vers les n
bonnes valeurs industrielles et minières. Nous fc
nous garderons bien de médire des fonds r
d'Etat, lorsqu'il s'agit d'états de premier or-
dre, mais dans cette catégorie de titres, il y a è
comme partout du faux, du clinquant, du tru- i
quage et nous plaignons sincèrement les dé- J
tenteurs abusés et illusionnés de titres d'Etats (
secondaires aux finances avariées, aux budgets i
en équilibre instable. Ils ont été séduits par - .
la perspective de gros revenus à loucher, sous j i
cette étiquette magique « Fonds d'Etats », j ,
■mais hélas, ils ne les toucheront pas longtemps | ;
et le réveil sera cruel. ,
Nous ne cachons pas notre préférence pour
les bonnes valeurs industrielles et minières,
qui offrent des sécurités comparables à celles
des meilleurs Fonds d'Etats et l'emportent
sur eux par les avantages d'un revenu plus
rémunérateur et les chances de plus-value du
capital.
Les Fonds d'Etats de premier ordre ont
donc été fortement secoués dans ces derniers '
temps, j>ar U1i vent de baisse, et le record
dans ce sens, pour des causes et circonstances
spéciales, il est vrai, appartient sans conteste
aux Consolidés Anglais, qui, depuis 1897 ont
baissé de 114 à 90, soit une dépréciation
de 24 points. L'an dernier, ils cotaient encore
'98, et l'on pronostiquait leur retour vers les
hauts sommets d'antan.
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s'élevait au-dessus du pair, a rétrogradé à
92, en perte de plus de huit points. En
face de ses congénères anglo-saxons — et
nous sommes heureux de consister que la su-
périorité prétendue des Anglo-Saxons n'appa-
■rait pas en cette matière — notre 3 0/0 Fran-
çais fait bonne contenance, ne perdant que
cinq unités sur son plus haut cours de 103 à
;I04 fr.
Que dire de la rente Espagnole qui, en une
'séance, a perdu quatre points. Est-ce ainsi
|que se comportent les fonds, dits sérieux, les
[Valeurs de père de famille ? La rente Es-pa-
'ignole, sur la simple nouvelle de la démission
■d'un ministre, s'est comportée en véritable pe»
itite folle, mettant à mal ses trop confiants dé-
tenteurs, au grand désespoir de ses Barnurns,
,qui s'étaient évertués à la faire passer pour
folle rangée et assagie. Hélas ! l'Espagne est
'le pays de la danse et des castagnettes, et
longtemps encore, nous le craignons pour ses mi
fidèles, sa rente Extérieure continuera ses ac
cascades et ses cake-walk. de
Loin: de nous cependant, la pensée de nié- se
connaître les efforts qu'a faits l'Espagne pour
se relever de ses désastres, pour mettre de ck
l'ordre dans ses finances et introniser chez p.
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la démission Villaverde, ne sont pas que des p,
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nous révèlent que le pays du Cid et de Cervan- j
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mêmes des excédents de recettes plus ou moins r
fallacieux, avec relegation au second plan de e
toutes les dépenses de guerre et de travaux f
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Cabinet tout entier, il y allait du salut et du ]
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la sécurité de ses rentes ? 1
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gnons bien.
Ce n'est pas la faute du ministre Villa-
verde, qui avait tout préparé pour asseoir, sur
des bases stables, le crédit de son. pays, par
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de la Guerre et de la Marine4 les crédits refu-
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donc à vau-l'eau et dans ces conditions les
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placement de père de famille. Nous estimons
que l'Espagne aura encore beaucoup à faire
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'4 0/0 Italien ou du 4 0/0 Russe.
Notre rente nationale a donc fait preuve,
malgré une situation financière embrouillée de
plus de stabilité que ses congénères d'Angle-
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C'est le moment psychologique de le dire,
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accroissement de capital et de revenus. Ce
n'est pas aux acheteurs de la première heure,
devenus millionnaires, D'ACTIONS DE CHAR-
BONNAGES du Nord de la France, des Bassins
houillère de Liège, de Mons et de Charleroi,
qu'il faudrait prôner l'excellence des fonds
'd'Etat ; ce n'est pas non plus aux porteurs des
VALEURS MINIÈRES, qui ont nom Golden
Horseshoë, 'RobinsoiA, Ferreira, 'Mysore,-
Wemmer et tutti quanti, qu'il faudrait recom-
mander l'arbitrage des fonds d'Etat, ils sel
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thuriféraire, avec quelque triviolité peut-être t
ë Vous venez... de Pontoise ou de Poperinghë,
retournez-y et réservez aux habitants de ces
régions l'éloge des fonds d'Etat; il en fautf
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