Titre : Journal des mines : organe spécial de l'industrie minière et métallurgique en France et à l'étranger... / directeur : Henri Cozic
Éditeur : Imprimerie de Paul Dupont (Paris)
Date d'édition : 1901-01-27
Contributeur : Cozic, Henri. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328000737
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 11057 Nombre total de vues : 11057
Description : 27 janvier 1901 27 janvier 1901
Description : 1901/01/27 (A48). 1901/01/27 (A48).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5775785p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, FOL-V-1230
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
QUARANTE-HUITIEME ANNÉE.
Le numéro : 3© centimes.
DIMANCHE 27 JANVIER 1901.
ft V ! S I If! P y Si I n N I
A IIVOSS A.1301XJVÉS
La CAISSE DES MINI?S a l'honneur
d'informer les abonnés du JOURNAL
DES MINES que l'abonnement donne
droit, en dehors de l'envoi hebdomadaire
du journal, aux avantages suivants :
1° A l'envoi régulier de la cote quoti-
dienne dont le format varie suivant les
circonstances ;
2° A la vérification de tous tirages de
valeurs françaises et étrangères ;
3° A l'encaissement gratuit de tous
coupons, même s'ils sont payables à
l'étranger ;
4° A tous renseignements sur valeurs
françaises et étrangères — sans l'obli-
gation de joindre à la demande un
timbre-poste pour la réponse.
Ceux de nos abonnés dont le montant des
courtages aura atteint 5o francs dans le cou-
rant de l'année seront de plein droit inscrits
polir un nouvel abonnement de même durée,
ce à titre gratuit.
Nos abonnés trouveront dans le JOUR-
NAL DES MINES les appréciations et
les renseignements les plus exacts sur
toutes les valeurs négociées à la cote
officielle et sur le marché en banque.
Nous appelons tout particulièrement
l'attention de nos lecteurs sur les
MINES D'OR AUSTRALIENNES ; c'est
un compartiment très intéressant et
auquel nous donnons graduellement
tous les développements utiles qu'il
comporte.
Nous publions les cours, et nous pu-
blierons les tableaux de productions et
de bénéfices avec tous les renseigne-
ments particuliers concernant ces va-
leurs, dont les plus connues doivent
être introduites à un moment donné sur
le marché de Paris.
A la demande d'un grand nombre
d'abonnés, nous publions une cote des
VALEURS DU PETIT COMPTANT de
la CC I? LIS SB. Nous reconnaissons avec
-sax qu , aans ces petits billets de lote-
e, il peut s'en trouver parfois qui ne
soient pas trop mal placés. En tout cas,
ils n'exigent que de faibles déboursés.
Nous devons dire toutefois que nous
publions cette cote, avec commentaires
si besoin est, sans garantie.
Nos lecteurs ont pu remarquer que
nous publions, pour les valeurs les plus
en vue de nos tableaux de bourse, leur
rendement net en $b/i).
Les cours sont changés chaque se-
maine ; les modifications de rendement
sont publiées, s'il y a lieu, chaque mois.
CHRONIQUE
Choses d'Espagne :
M. Silvela ayant déclaré que le parti con- \
servateur devait rester au pouvoir jusqu'à qU
la majorité du roi etque tenterde le renver-
ser avant,c'était faireoeuvreantipatriotique, cje
M. Sagasta vient de retourner la balle au Sp(
chef de l'Union conservatrice en affirmant ca]
que le parti libéral ne peut pas attendre, aff
pour monter au pouvoir, que le roi attei- trc
gnent la majorité. Ye
11 faut, a dit M. Sagasla, avoir beaucoup de su
sans-façon, ou croire que tout le monde est bête, je!
pour soutenir que rien ne se passe dans le parti sa
conservateur.
Si l'on a une confiance si grande dans ses
éléments, s'ils sont si sûrs de leur union, pour-
quoi n'ouvre-t-on pas les Cortès ?
Ne savent-ils pas que le fait d'avoir fermé ^f
les Chambres, lorsqu'elles avaient à discuter tè
des questions aussi importantes que le budget g(
de l'Etat, est le plus grand des scandales qu'un y,
gouvernement parlementaire puisse provoquer? j^
Cela ne prouve-t-il pas que le cabinet actuel
s'est senti incapable de vivre avec les Chain- ,
bres. Or les gouvernements parlementaires, en
vertu même de leur caractère, ont besoin de
vivre avec le Parlement. c
Le mariage de la princesse n'a rien à faire 1
avec les séances des Cortès. Celles-ci devaient r.
rester ouvertes jusqu'à ia veille du mariage. De r
cette façon on aurait donné plus d'importance
à l'acte, car des commissions des Chambres s
auraient pu y assister en représentation du
pays. j
En clôturant les Cortès, le gouvernement pa-
raît vouloir que le mariage de la princesse ait
lieu en dehors de la nation.
D'autre part, en réponse aux déclarations
de M. Silvela, qui prétendait compter sur
l'appui du duc de Tetuan, celui-ci vient
d'affirmer qu'à son avis l'Union conserva-
trice a échoué.
Les faits ont démontré, a dit le chef du parti
conservateur dissident, que non seulement le
gouvernement que préside le général Azcarraga,
mais tout le parti que M. Silvela dirige se trouve
; complètement désorganisé.
! Nous approchons d'une période analogue à
: celle de la restauration.
Nous allons entrer dans le règne d'Al-
J phonse XIII. Et de même qu'avec la restaura-
■ tion disparurent les partis qui avaient dominé
pendant l'époque révolutionnaire, de même
3 avec le règne d'Alphonse XIII doivent diparaî-
3 ire les partis de la régence.
11 faudra une solution de circonstance. A
nouveaux problèmes nouvelles solutions. K S:
Le Libéral publie les déclarations sui-
g vantes de M. Pi y Margall, che|:du parti
r républicain fédéral : .;|
Après le clôture des Chambrés, la nation se
3- trouve avec moins d'espoir et plus de craintes.
it Les budgets n'ont pas été discutés et ladettedu
s. Trésor n'est pas encore soldée. Nous devons
encore à la Banque plus d'un milliard. La ri-
chesse agricole du pays ne s'accroit pas.
M. Pi y Margall a terminé en disant qu'on
ne pouvait attendre actuellement rien de bon.
Une révolution administrative en Tur-
quie.
Voulant remédier à la situation finan-
cière, le sultan a institué une commission
spéciale composée de quelques membres du
cabinet et de fonctionnaires au courant des
affaires financières, avec ordre de se réunir
trois fois par semaine au palais pour trou- .
ver de nouvelles sources de revenus, d'as-
surer l'équilibre du budget et de rechercher
les moyens de relever le crédit du pays,
sans toutefois recourir à des emprunts nou-
veaux auxquels Je sultan est absolument
contraire.
Dans Tirade remis à cette commission
spéciale, le sultan désapprouve le sys-
tème actuel permettant aux gouverneurs
généraux des provinces de disposer des re-
venus pour leurs propres besoins sans ré-
férer à l'autorité centrale, à laquelle ils
remettent seulement l'excédent des recettes.
Le sultan donne comme exemple le sys-
tème financier centralisateur de la France
et A'oudrait le voir appliquer en Turquie.
Il ajoute qu'il est un souverain libéral qui
ne veut pas donner des ordres à la com-
mission, mais des conseils.
Les agents du fisc parcourent les établis-
sements publics étrangers et indigènes et
demandent qu'on leur paye dès mainte-
nant les taxes dont la perception ne devrait
se faire que le 14 mars prochain.
Le premier ministre roumain, M. Carp,
en tournée financière plutôt que politique,
a fait quelques déclarations intéressantes
à un rédacteur de la Nouvelle Presse libre.
La situation financière du pays, on y re-
médiera, a dit le ministre, par l'intro-
duction de l'impôt mobilier et de l'impôt
: sur le revenu. Le roi n'y est pas contraire,
et, si la Chambre-ne vote pas ces impôts,
1 le cabinet se retirera. Il s'attend, d'ailleurs,
à une forte opposition de la part des libé-
raux et même d'un certain nombre de con-
l servateurs:: En tout cas, on ne recourra pas
^ à un emprunt trop onéreux.
En ce qui touche l'adhésion de là* Rou-
manie à la triple alliance, tout Immonde
\ sait, a dit en propres termes--lêjpvinistre,
combien la politique de la jfâj^ianie in-
[. cline du côté de la triple allïkjfcè, du moins
ti pour le maintien de ladjafàï'dans les Bal-
kans. M. Stotu-dza, .mop'adversaire poli-
ie tique, est tout aus$||pàftisan' que moi de
s_ l'adhésion de nptclfpâys à là triplicc. Quant
.u aux bruits d'unf* alliance entre la Rou-
is manie et la Turquie, par opposition à,;ùne
Le numéro : 3© centimes.
DIMANCHE 27 JANVIER 1901.
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MINES D'OR AUSTRALIENNES ; c'est
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auquel nous donnons graduellement
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comporte.
Nous publions les cours, et nous pu-
blierons les tableaux de productions et
de bénéfices avec tous les renseigne-
ments particuliers concernant ces va-
leurs, dont les plus connues doivent
être introduites à un moment donné sur
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A la demande d'un grand nombre
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VALEURS DU PETIT COMPTANT de
la CC I? LIS SB. Nous reconnaissons avec
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e, il peut s'en trouver parfois qui ne
soient pas trop mal placés. En tout cas,
ils n'exigent que de faibles déboursés.
Nous devons dire toutefois que nous
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Nos lecteurs ont pu remarquer que
nous publions, pour les valeurs les plus
en vue de nos tableaux de bourse, leur
rendement net en $b/i).
Les cours sont changés chaque se-
maine ; les modifications de rendement
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CHRONIQUE
Choses d'Espagne :
M. Silvela ayant déclaré que le parti con- \
servateur devait rester au pouvoir jusqu'à qU
la majorité du roi etque tenterde le renver-
ser avant,c'était faireoeuvreantipatriotique, cje
M. Sagasta vient de retourner la balle au Sp(
chef de l'Union conservatrice en affirmant ca]
que le parti libéral ne peut pas attendre, aff
pour monter au pouvoir, que le roi attei- trc
gnent la majorité. Ye
11 faut, a dit M. Sagasla, avoir beaucoup de su
sans-façon, ou croire que tout le monde est bête, je!
pour soutenir que rien ne se passe dans le parti sa
conservateur.
Si l'on a une confiance si grande dans ses
éléments, s'ils sont si sûrs de leur union, pour-
quoi n'ouvre-t-on pas les Cortès ?
Ne savent-ils pas que le fait d'avoir fermé ^f
les Chambres, lorsqu'elles avaient à discuter tè
des questions aussi importantes que le budget g(
de l'Etat, est le plus grand des scandales qu'un y,
gouvernement parlementaire puisse provoquer? j^
Cela ne prouve-t-il pas que le cabinet actuel
s'est senti incapable de vivre avec les Chain- ,
bres. Or les gouvernements parlementaires, en
vertu même de leur caractère, ont besoin de
vivre avec le Parlement. c
Le mariage de la princesse n'a rien à faire 1
avec les séances des Cortès. Celles-ci devaient r.
rester ouvertes jusqu'à ia veille du mariage. De r
cette façon on aurait donné plus d'importance
à l'acte, car des commissions des Chambres s
auraient pu y assister en représentation du
pays. j
En clôturant les Cortès, le gouvernement pa-
raît vouloir que le mariage de la princesse ait
lieu en dehors de la nation.
D'autre part, en réponse aux déclarations
de M. Silvela, qui prétendait compter sur
l'appui du duc de Tetuan, celui-ci vient
d'affirmer qu'à son avis l'Union conserva-
trice a échoué.
Les faits ont démontré, a dit le chef du parti
conservateur dissident, que non seulement le
gouvernement que préside le général Azcarraga,
mais tout le parti que M. Silvela dirige se trouve
; complètement désorganisé.
! Nous approchons d'une période analogue à
: celle de la restauration.
Nous allons entrer dans le règne d'Al-
J phonse XIII. Et de même qu'avec la restaura-
■ tion disparurent les partis qui avaient dominé
pendant l'époque révolutionnaire, de même
3 avec le règne d'Alphonse XIII doivent diparaî-
3 ire les partis de la régence.
11 faudra une solution de circonstance. A
nouveaux problèmes nouvelles solutions. K S:
Le Libéral publie les déclarations sui-
g vantes de M. Pi y Margall, che|:du parti
r républicain fédéral : .;|
Après le clôture des Chambrés, la nation se
3- trouve avec moins d'espoir et plus de craintes.
it Les budgets n'ont pas été discutés et ladettedu
s. Trésor n'est pas encore soldée. Nous devons
encore à la Banque plus d'un milliard. La ri-
chesse agricole du pays ne s'accroit pas.
M. Pi y Margall a terminé en disant qu'on
ne pouvait attendre actuellement rien de bon.
Une révolution administrative en Tur-
quie.
Voulant remédier à la situation finan-
cière, le sultan a institué une commission
spéciale composée de quelques membres du
cabinet et de fonctionnaires au courant des
affaires financières, avec ordre de se réunir
trois fois par semaine au palais pour trou- .
ver de nouvelles sources de revenus, d'as-
surer l'équilibre du budget et de rechercher
les moyens de relever le crédit du pays,
sans toutefois recourir à des emprunts nou-
veaux auxquels Je sultan est absolument
contraire.
Dans Tirade remis à cette commission
spéciale, le sultan désapprouve le sys-
tème actuel permettant aux gouverneurs
généraux des provinces de disposer des re-
venus pour leurs propres besoins sans ré-
férer à l'autorité centrale, à laquelle ils
remettent seulement l'excédent des recettes.
Le sultan donne comme exemple le sys-
tème financier centralisateur de la France
et A'oudrait le voir appliquer en Turquie.
Il ajoute qu'il est un souverain libéral qui
ne veut pas donner des ordres à la com-
mission, mais des conseils.
Les agents du fisc parcourent les établis-
sements publics étrangers et indigènes et
demandent qu'on leur paye dès mainte-
nant les taxes dont la perception ne devrait
se faire que le 14 mars prochain.
Le premier ministre roumain, M. Carp,
en tournée financière plutôt que politique,
a fait quelques déclarations intéressantes
à un rédacteur de la Nouvelle Presse libre.
La situation financière du pays, on y re-
médiera, a dit le ministre, par l'intro-
duction de l'impôt mobilier et de l'impôt
: sur le revenu. Le roi n'y est pas contraire,
et, si la Chambre-ne vote pas ces impôts,
1 le cabinet se retirera. Il s'attend, d'ailleurs,
à une forte opposition de la part des libé-
raux et même d'un certain nombre de con-
l servateurs:: En tout cas, on ne recourra pas
^ à un emprunt trop onéreux.
En ce qui touche l'adhésion de là* Rou-
manie à la triple alliance, tout Immonde
\ sait, a dit en propres termes--lêjpvinistre,
combien la politique de la jfâj^ianie in-
[. cline du côté de la triple allïkjfcè, du moins
ti pour le maintien de ladjafàï'dans les Bal-
kans. M. Stotu-dza, .mop'adversaire poli-
ie tique, est tout aus$||pàftisan' que moi de
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