Titre : La Griffe : journal hebdomadaire de critique, politique et satirique
Éditeur : [s.n.] (Alger)
Date d'édition : 1921-10-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32784001t
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 258 Nombre total de vues : 258
Description : 20 octobre 1921 20 octobre 1921
Description : 1921/10/20 (A2,N29). 1921/10/20 (A2,N29).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5743916p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-93420
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
déminent par la « Grande Lessive » et
reconnaissait la parfaite honnêteté de M.
Baranès... », sont assez explicites pour
qu'il soit utile d'insister.
Nous sommes heureux que la vérité se
soit fait jour, et qu,on puisse enfin c oire
va la sincérité,des articles que nous pu-..
; bliâriïes ^ïprsç' ; . v ;
! Par!ëeïte arrestation, les ; sympatiiies
- sorït^ênùëS nombreuses, ainsi-que les i'é-
:: lici talions.
Nous avons été largement payés des
; calomnies et des injures *" anonymes que
j.. la poste déversait journellement dans LO-
ï tre boîte, au temps où nous luttions pour
. le bon droit.
Nous n'avons jamais douté en l'imma-
nente justice, nous n'en sommes pas plus
fiers po%r cela.- - ^ -
LA GBIFFE.
onns LES nominiSTRnTi.ns
mitnpis
LE PERSONNEL FEMININ
.r'^ôus'-reçevons d'jun jle-;n.os correspon-
dants les lignes suivantes :
, :: Les deux- derniers: 'bons articles' des i
"'fimUdiens^ou- hebdomadaires d'Alger sur
je personnel [éniiniu^dans.les administra- .
-lions militaires ' bnl paru dernièrement L
dans le TVTulîlé et dam les Nouvelles."Très
-■çrânei% nos. amislas signataires,::mais
Irojrffiné'trés-encorede politesse Iran- '~
çàisè envers télexé visé, de charité chré-
tienne, si l'on. 'acceptfclcTivbl, Jd les, -enfin-, -à l'égard d'unités, à.quelq'jvs ;
■■exceptions près, fort peu intéressantes,
qui, elles, iiïetlcnïrlèurs scrupules soûs'
le talon de leurs bas de soie.
■^■Néanmoins, des-ïionïs étalés, von, pas
•encore ; nous temporisons volontiers
-avec la perspective prochaine décurie-'
jions inévitables, et d'un remaniement:,
ylm sensé daïis, iculuires piinislénelles.
j Nous nous contenterons pour.Tinslanl
ide simples? sttlmi4!Utfsv;mueltes'el j^réa-,
?•?£$»: GQ?^£^&MïikT&&.chimiisfiS,. sur .le
mur où la toile blanche de l'écran, où hits
Ji^laïr.e.s^^ petto de la G..., de l',bUen-
~t ^nGer--à>'i
if!peomiuîlfpnf.;.le^7fS têtes, et le l'uud, -.et
*fradmiiùsïlitâ(»i^n défaite. .;
\% ])oèwwtitë,ï5MW*^M sommes,; .W-^
.; que, iïBurfï dans le: sérail, en connais-
fjçtnl les moindres détours et tout-l'élé-
ment féminin det< bureaux mUilair'is (l'Al-
ger passera à la ,toise. Ces indJésjmbfes,
s'entend, auxquelles manquent quel j:ii>s
centimètres^ de, taille..;, morale.
!;Wos belles pètûes: se relancer uni lu
balle, d'une voisine à l'autre, devant 1rs
indiscrétions dé l'impitoyable objectif.;.-,
les commentaires iront leur train, clùiturç
i^0iltt[¥essemMance-et quelques o^raj-
îihoùciïës iaussi^ ' ■■; pùuPêtre^en^siyle; des
iUalles, cinglantes comme lanières de
||ouet. :~':---:;-v >vl"vL- : ■■:-•' ""■■■'■"■'■■ -'••■■■'■'■'■ '"■""
;? A7 cm,. • certes.,, rien ne manquera à te "/à:
■^em^d'é^èsous^màipropfës
^éûe^é^jei^uisdnfiOrmérde ions les, énér
mWîelxts^a% tous leurs gestes, du plus
galonné manitou au dernier planton de
Pélissier, de mille circonstances particu-
lières, enfin, sans que les... portraiturés
sachent d'où les:airs me.parviénnenl, tel .
-.dans If! « -J)jalile boiteux'■•». de Le'Sage, le 1
■personnage d'Às'modéc, enlecaid les lotis
des maisons de Madrid pour étaler-au
grand jour-eu. qui s'y-passe, Sil'inlen- :
daut'gënérïiUe tutti quanti en ^eignenl^
dans leurs moustaches grises, 'l^.jmblii:-'-
en rira, bon "juge et 'bon' dernier, Hu qui"
paie les fanfreluches.
UN ÉVINCÉ JD'AN-ÏAN.. •
aq T. A.
Depuis une quinzaine de jours, le. pu-
blic maugrée contre le trafic des voitures ;
des T. A.
Pendant des vingt minutes, il attend.'le
passage de celles-ci, qui, naturellement,
sont bondées ; d'autres fois, il assiste au
passage, en sens- inverse, de quatre ou
cinq véhicules à peu près vides, qui se
suivent à la-queuè-leu-leu !
Nous signalons ce fait à la Direction et
demandons en outre l'établissement d'un
buffet, à l'entrée de la Bab-Azoun,,où la
longueur dés arrêts tient de celle de Té-
ter nité.
Notre Directeur vient d'adresser la
plainte suivante au Directeur des T. A. :
Monsieur le^Directeur* ; ; fl
-■-J'ai l'honneur de' pdrter-à votre con- .1
naissance" l'appel peu poli que certains ;.
receveurs' cherchent 1 à mettre en pratique 1
sur. le. réseau des; T. A. v :; ; -
"L'aphonie dont ils sont sciemment at-
teints leur donne lé droit, d'après eux,
d'appeler l'attention des voyageurs, pour
leur perception, en frappant, sur le bois
où sont fixées leurs feuilles de contrôle.
Cette façon cavalière, pour ne pas dire ;
grossière, indispose les voyageurs, vous
le conceviez .facilement.
Dernièrement.j'ai,diV-meltre à sa p)n-
ce je.receveur iî" 573, qui, sur mon ôjb-"
servatioh, .répondit que..<<;s'il fallait op-!
peler'les^voyageurs messieurs ou inestïa-;
mes, il séiàtigùerait là gorge au bout de':
la journée !» !.;
; ' - Si ; ces -quelques -fatigués du,; larynx
..avaient besoin de repos, j'ose espérer que
/vous leur accorderiez leur exeat définitif.
• Il iie nianquépas de muetsrdans la vilio;
d'Alger pour tenir le mème'èiùploi. ■ ';
!. Ce tam-tam ligneux serait, alors .sup-
portable,, le sachant, produit par des in
', firmes'.'
En vous signalant cet état de choses,.
J'ai.,l'espoir..que, vous-donnerez des .ius-
tmctipns; nécessaires pour que ces faits
ne se renouvellent plus à l'avenir.
Sans demander des receveurs 1 ik is
rouges, une très primaire* politesse nous
suffirait. .;, .... ■.
\;\'euillez agréer, etc. ■ : - .
: LE GUEPAIU).
MIS OU»
Que demande l'ouvrier ? Le droit à la
vie et du. pain pour ses vieux jeurs. Il \
veut/avoir l'assurance-que lés années de , v
ïdurs;labeurs qu'il s'inipose>dans 1a;nialu-;;■■:.
vicité luiugarantiront ,lorsque l'âg£ eU/les» ■ ■-..
^peines F obligeront' aù/'repôs,' une àisà'nee "
pour les siens et pour lui.
, :Par quels moyens pratiques arrivera- ;
t-it-à" cette' solution ?-Par là. coopération
obligatoire du Capital et du Travail, par
.une-entente loyale entre les deux fac-
'léni^: patrons et ouyi-ier.s
:; CetteJclaire vision -du problème .à; ré-
s'ôudrè" simplifiera; la solution.
Inutile d'aller chercher dans la lune
les moyens rationnels d'obtenir un'ré-
sultat. ■
II. n'est nullement besoin dé se laisser ;
bourrer le crâne pa rdes théoriciens in- ;.
ternationaux qui n'entrevoient d'autre so-
lution que"le grand' soin'.d'un ehambar- :
dénient national, pour solutionner cette
question. ;^-- ;
Ceci est/la démagogie qui tarait sûre-
ment.le bonheur dès meneursV-^' profes- i
sionïiels delà gréviculture msiis non ira- •
vailieurs — qui^vivent aux. crochets de la :
niasse.Pu\Tière,. là. désorienté," l'abrutit,
parles;pliràsés / aussi sonores ^que creu- ;
ses.^tfcs/en ïonf un anarchepied'pour l'as-
souyis^enïent ;de/'leufô .jouissances.
Les ouvriers conscients- devraient d'a-
bèïTi exiger des'mauvais bergers quiveu- -
"lent les;-cdnduire ailleurs qu'à la campa-;
|:gne, de leur prouver leurs moyens d'exis- ;
tence, leur qualité, de travailleurs.
Les trois-qùarts de ces énergumènes,
de ces rastas, sont subventionnés pour
prêcher leurs théories subversives, par la
haute finance métèque. C'est dans les
conflits sociaux, dans les guerres exté-
rieures ou civiles que la haute pègre dv.
ki finance récolte le plus de bénéfioes ;
I aussi'entretient-elle grassement des équi-
pes de batteurs d'estrades, de meneurs,
orateurs de' bouges ou d'estaminets, de
: bourrcurside crânes qui. faussent .l'esprit
.,de.,ltt masse ^ouvrière,, excitent, surchauf-
' lent les passions et'entraînent lès moutons
, "'"bêlàrit Vers rabattoir, vers' les barrica-
des. ... • ■ '••• :0
\ — -Les..victimes n'ont plus..,rien à .revendi-
quer "•'"eues ont reçu "ù'fïë balle * dans la
. .peau^.jmais denlôre les barricades arri-
vent à la curée les meneurs qui les dé-
pouillent et les. gros financiers qui achè-
flcnf, .ces, dépouilles.
; Et je.lendemain, la lutte est à recom-
mencer ; les revendications ouvrières
..s'iniposent à. nouveau, aiguës et exacet 1:
,bées pai:..le sang répandu la teille ; tout
est à remonter et on recommence. jùsq'u'A
...même issue.: les. ouyriers revendiquent,:
; les gros capitalistes.encaissent, les me?
neifi.'S .reçoivent le courtage du prix du
sang du prolétariat.-
; ■'.■ Que se .passe-t-il- en Russie -.? Est-ce que
, ; jamais plus de sang ne fut. répandu d-.ms:
. mies guerre fratricide ?■■
'•" Le;régiiwô des suspects, la terreur rou-
ge dominent^des millions d'existences.
* A qùoï'aboutiront tant d'exécutions,
tant de massacrés ? A une réaction plus
'.' sanglante encore;
I Car, a forcé d'être terrorisées, les vic-
:'i I limes finissent parse soulever à leur tour
— pour la défense de leur propre exis-
tence— et ettent par-dessus bord toutes^
; les dictatures et les dictateurs. :;?'
..Quand le peuple russe sera anéanti par¥
les luttes sanguinaires, que le silence rèfj
gnera à Pétrograde, comme à Varsovie^
vlesv;étraiigers? les métèques, entreront erîf-
;.l|Bssié^etopposeront lete domination. ;f
.v0t c%|3pdur des écumëursv'^Hs^atrie|
que s'égorgent, au nom " de rinternatiol^
nale, des frères entre eux. '|
.;.Lè prolétariat-de France est trop intel||
ligeht pour'suivre plus longtemps d||
semblables théories. ¥_
.... C'-est entre Français : qu'ilçhêrchera lêfë
solution pratique de'ses aspirations. Il y|
arrivera par la coopération et-rien Qttfi^
par la coopération : Capital et .Trava^^"'
Plus dégrèves inconscientes---"arnî'é à
double tranchant— qui lèsent, par cpn-
tre-coup, d'autres travailleurs, miïis par
l'imposition aux. patrons d'une collabora-
tion intéressée, une part dans les bénéfi-
ces pu la création, entre ouvriers, de coo-
pératives, avec ouverture dé crédits sous
la garantie de F Etat; pour les premiers
frais.d'établissement, avec larges -facili-
tés d'amortissement. "/■'''
Les compagnies d'assurances peuvent
jouer un grand rôle dans cette -question
financière et de contrôle. ■■■]'
Alors le travail ne sera plus une corvée
acceptée avec des murmures, mais une
tâche qu el'ouvrier remplira allègrement,
■ puisque par ce travail, il atteindra à son
but : sinon la fortune, mais l'aisance^ ■
Ceci nous l'obtiendrons non par dès
émeutes, par des. vociférations, dés actes
contraires à l'honnêteté-et au bons'sens,
mais par le groupement de tous les ou-
vriers conscients, dans le calme et l'or-
dre.
Le Serpent des Forêts.
ÀO PARADIS DES VESTES
Oudaille (soupirant). -4 Si Làngouet
habille bien, Baïiac habille encore mieux*
'■■ FEUILLETON DE LA '"'^RrFFE"^.M«:A .
ILE sQUEkËÏTïf
''■■^■■''Wiaîs^os'"'-'-
GreAd roman-ciné en muHipies épisodtj
Msumé des chapities piecodents On
nage en pleines ténèbres.
IX
Lorsque Mehlosisortit des fluides ma-
gnétiques du giand 1 rochenter, le -îlence
était d'or.
Plus personne de tous ces démons, des
«< Quatre as de Bastos » Les bandits
(étaient loin.
\Cette solitude agaçant le policier ATéli-
los, il la viola sans honte en vociférant
l hymne belehevjste. Un fracas foimula-
blé ; interrolnpit" les 'p'remiSres ribtes :dé
. l'p3il-de-Mpscpù, Je ,pajais. du. Grand Tro-
.chentêr,;'îébéjië':'à'Acé''pàrii,'venait de s'ef-
""fpndrer.
;'• :Sôusi;les^décombres ,-on. djécouvrit une
casserole ayant l'àsjiect' tl'tifle forme fiu-,
liïàinè. C'était"'tout.^ ce qùîrèstàit du dé-
tective Melilos i
X
Sur la route qm mène à la Colonne-
Vonol, Un observateur attentif remar-
querait qu'il monte une côte poussiéreuse
î souhait Mais la ne s'ai referaient pas
ses sagaces observations II découvrirait
encore ,par la vue des rails (pu serpen-,
tent au. milieu d'elle et des câbles élec-
tnques qui la surplombent, qu'un tianl
doit v passeï \u moment où commence
ce récit, deux hommes sont assis sur un
banc et causent a voix basse Rien'/re les
distinguerait du commun des mortels,
s'ils ne portaient des chaussettes/repri-
sées Ce signe do jeconnaissance était cér
. . lui imaginé par le Grand Trpchentef,
,,Mais comme il fallait, trop souvent, dans'
.la,journée, se, déchausser entre affidés-i.
ceux-ci... simplifiaient cette .....besogne en
marchant pieds, nus. ; ■.,
- Ces deux sinistres causeurs n'étaient
. ..sûrement pas "en ce lieu sans'qu'un motif
puissant les/y eû/t-conduits, comme on va
:yeKyQir,^aF;la suite.I;;a:;^,v.,. .^:^^^ ;:
-Un,,bruit.;,.sourd de ferraille se fit sou-
dai îi-enteiîdré; dans lé/lôintàin.; -'Le^ deux
hoiriinessé levèrent en'pâlissant; ;l5e iii(>-
ment .était .venu d'agir. .,- ■-;;.,
Postés de chaque côté de la route, ilg
^-vWënV-%'enTfïaieux une automobile'4Misi-:
ble. Sauter,dedans..fut .l'affaire d'une
seconde. Des cris .troublèrent le silence
nocturne, du sang coula sur les pavés.
Nul témoin de ce drame atroce, aucun se-
"'eours possible pour ces malheureuses vic-
times. ■■■•-•■: ■
— Filons ! dit une voix. ,-.:•.
../;-. r- J'ai l'enfant, lui répondit une;au^
tre.. ' ■ ,. ..-.i-,, . . „.,,,,. :,:.;: ...,- .
(A suivre.) Pierre DEBOU«SAT,LÉ;
, l
LES PROJETS OE m. pmsmiT
;. —-x— -:' ■ • ■ •■''■•' ■■"
La presse a reproduit le long exposé de
M. Puisant, noire sous-secrétaîre d'Etat
au Ravitaillement et à la Liquidation des
stocks : c'est en réalité tout un plàn.d'àc-
'lion .destiné,- dans' \î\. pensée; de son;a.u-
.feur, à abaisser'le p'rjx de l'existence en
'France. Le'projet est ."và^le 1' eï 'niéVite
qu'.p'n s'y ari'èle," car ÏI petit (•.àùte'r'Wâu-
coùp,d'argent et nonI m'oins de niêcoinp-
&s. ;"" ' '.- , ';"';i:' ;,:: •';"'; •'';'■'"■'
Au.sonimét de rédifice a.''construire, on
placerait. uiieDirec/ii)» de. la viê'écono-
)iii(iue'. Beau liire, 'Vn'ést-iï''j);is'vrai ? On
lie nous dit;pas aif.ju.slè énqu.pi 'elle. Con-
sisiei'h'il," iiiais" il est 'blèii. éviiiçni 1 qu'elle
sera çon.stilii{:é de tous les j'bnclioiniàires
du Ravitaillement, q'ue ïa' siippi-ession
prochaine de leurs services và'nielti'è à
pied ,et auxquels là noïivéHxv'Cr'èafiàn of-
"Ifira avei-vilji'gréabl.es' siiié<ïuV-tisvtih refu-
ge diî tout repos'."'Quelle ^,ei|àrj'eui:'-'(àcli'e ?
M. Paisnnl ' nôii.s: ùit.qu'ils' 'dëvrb'nt.-Woir
» des aitriiniijohs nêtlemeiit dél'inies: »rel
un peu plus..loin!,' précisant' sa iVen'seç. il
a joule qu'il faudra « surveiller les. cours,
les réglémënièr non pas par des textes
souvent innJi,tès.V,'maîs'.,par.' une heureuse
répartition 'dés denrées'..>>.. Biefi 'i\ ffjtpa-
r-aît. que la Directkm^de. Ut rie économique
. sera omnjppl.èntfi, puisqn'ejje. ^disposera
.'. à: spnV gré des,prp(fùits'.;à)imcntair .No-
Iresoùs-secrfitairéxllïtàtie^ eri.çpn-
clua,nt qu'il est nécessaire'«'de':'ipeijre!de
l'ordre dans le désordre et d'organiser les
rapports entre--la ..production et la"côn-
'somniiàtiori: "'■»'_' ' ..-••:-•■
" Ces , déçiamtions. témoigaent, éyidem-
nienl desnieillèures intentions' du monde,
'.'. et nombre, de; consommateurs pni, dû, être
.viye.nient reconnaisants à M.' Pai'santv.de
■.,-. Irayssàlier aihsl,slimn/ài:,lfipi:;b.pnheur,!vïdu
, moins,.à la:,djminuiion.i-.des.;'.dii'i)icù.lté5j;de
l'existence. Elle est si a'tlrayant(3. cette
idée de mettre « de l'ordre;dans le désor-
, dre..! » On ;ne nous dit.';pas, il esÇ.yçai,
: .-.çommenl, on s'y prèndra,^mais ,qu.'irnppr-
J:\é, .puisque ié.dô.sprdre'.4pit cHsparàîire.
Puis quelle belle fprnuiie que celle dé,Vpr-
ganisalion des,rapports .en-felà produc-
tion ôt la consommation ! Elle ne .corres-
pond certes à rieii de bien' net, mais elle
plaît.àlbus ceux qui ont à''se plaidrè d'un
. fait-,ou d'un àuti-é:';êl Dieu s^it'si ïes;mo-
tii's. de môçofitRiitement 'sont nombreux
aujourd'hui ! '. ;. '.'. .' .'.
Gé,que..l!on,np.u,s propose, .c'esj. donc/de
remettre le soin de nous ravitailler a des
reconnaissait la parfaite honnêteté de M.
Baranès... », sont assez explicites pour
qu'il soit utile d'insister.
Nous sommes heureux que la vérité se
soit fait jour, et qu,on puisse enfin c oire
va la sincérité,des articles que nous pu-..
; bliâriïes ^ïprsç' ; . v ;
! Par!ëeïte arrestation, les ; sympatiiies
- sorït^ênùëS nombreuses, ainsi-que les i'é-
:: lici talions.
Nous avons été largement payés des
; calomnies et des injures *" anonymes que
j.. la poste déversait journellement dans LO-
ï tre boîte, au temps où nous luttions pour
. le bon droit.
Nous n'avons jamais douté en l'imma-
nente justice, nous n'en sommes pas plus
fiers po%r cela.- - ^ -
LA GBIFFE.
onns LES nominiSTRnTi.ns
mitnpis
LE PERSONNEL FEMININ
.r'^ôus'-reçevons d'jun jle-;n.os correspon-
dants les lignes suivantes :
, :: Les deux- derniers: 'bons articles' des i
"'fimUdiens^ou- hebdomadaires d'Alger sur
je personnel [éniiniu^dans.les administra- .
-lions militaires ' bnl paru dernièrement L
dans le TVTulîlé et dam les Nouvelles."Très
-■çrânei% nos. amislas signataires,::mais
Irojrffiné'trés-encorede politesse Iran- '~
çàisè envers télexé visé, de charité chré-
tienne, si l'on. 'acceptfclcTivbl, Jd
■■exceptions près, fort peu intéressantes,
qui, elles, iiïetlcnïrlèurs scrupules soûs'
le talon de leurs bas de soie.
■^■Néanmoins, des-ïionïs étalés, von, pas
•encore ; nous temporisons volontiers
-avec la perspective prochaine décurie-'
jions inévitables, et d'un remaniement:,
ylm sensé daïis,
j Nous nous contenterons pour.Tinslanl
ide simples? sttlmi4!Utfsv;mueltes'el j^réa-,
?•?£$»: GQ?^£^&MïikT&&.chimiisfiS,. sur .le
mur où la toile blanche de l'écran, où hits
Ji^laïr.e.s^^ petto de la G..., de l',bUen-
~t ^nGer--à>'i
if!peomiuîlfpnf.;.le^7fS têtes, et le l'uud, -.et
*fradmiiùsïlitâ(»i^n défaite. .;
\% ])oèwwtitë,ï5MW*^M sommes,; .W-^
.; que, iïBurfï dans le: sérail, en connais-
fjçtnl les moindres détours et tout-l'élé-
ment féminin det< bureaux mUilair'is (l'Al-
ger passera à la ,toise. Ces indJésjmbfes,
s'entend, auxquelles manquent quel j:ii>s
centimètres^ de, taille..;, morale.
!;Wos belles pètûes: se relancer uni lu
balle, d'une voisine à l'autre, devant 1rs
indiscrétions dé l'impitoyable objectif.;.-,
les commentaires iront leur train, clùiturç
i^0iltt[¥essemMance-et quelques o^raj-
îihoùciïës iaussi^ ' ■■; pùuPêtre^en^siyle; des
iUalles, cinglantes comme lanières de
||ouet. :~':---:;-v >vl"vL- : ■■:-•' ""■■■'■"■'■■ -'••■■■'■'■'■ '"■""
;? A7 cm,. • certes.,, rien ne manquera à te "/à:
■^em^d'é^èsous^màipropfës
^éûe^é^jei^uisdnfiOrmérde ions les, énér
mWîelxts^a% tous leurs gestes, du plus
galonné manitou au dernier planton de
Pélissier, de mille circonstances particu-
lières, enfin, sans que les... portraiturés
sachent d'où les:airs me.parviénnenl, tel .
-.dans If! « -J)jalile boiteux'■•». de Le'Sage, le 1
■personnage d'Às'modéc, enlecaid les lotis
des maisons de Madrid pour étaler-au
grand jour-eu. qui s'y-passe, Sil'inlen- :
daut'gënérïiUe tutti quanti en ^eignenl^
dans leurs moustaches grises, 'l^.jmblii:-'-
en rira, bon "juge et 'bon' dernier, Hu qui"
paie les fanfreluches.
UN ÉVINCÉ JD'AN-ÏAN.. •
aq T. A.
Depuis une quinzaine de jours, le. pu-
blic maugrée contre le trafic des voitures ;
des T. A.
Pendant des vingt minutes, il attend.'le
passage de celles-ci, qui, naturellement,
sont bondées ; d'autres fois, il assiste au
passage, en sens- inverse, de quatre ou
cinq véhicules à peu près vides, qui se
suivent à la-queuè-leu-leu !
Nous signalons ce fait à la Direction et
demandons en outre l'établissement d'un
buffet, à l'entrée de la Bab-Azoun,,où la
longueur dés arrêts tient de celle de Té-
ter nité.
Notre Directeur vient d'adresser la
plainte suivante au Directeur des T. A. :
Monsieur le^Directeur* ; ; fl
-■-J'ai l'honneur de' pdrter-à votre con- .1
naissance" l'appel peu poli que certains ;.
receveurs' cherchent 1 à mettre en pratique 1
sur. le. réseau des; T. A. v :; ; -
"L'aphonie dont ils sont sciemment at-
teints leur donne lé droit, d'après eux,
d'appeler l'attention des voyageurs, pour
leur perception, en frappant, sur le bois
où sont fixées leurs feuilles de contrôle.
Cette façon cavalière, pour ne pas dire ;
grossière, indispose les voyageurs, vous
le conceviez .facilement.
Dernièrement.j'ai,diV-meltre à sa p)n-
ce je.receveur iî" 573, qui, sur mon ôjb-"
servatioh, .répondit que..<<;s'il fallait op-!
peler'les^voyageurs messieurs ou inestïa-;
mes, il séiàtigùerait là gorge au bout de':
la journée !» !.;
; ' - Si ; ces -quelques -fatigués du,; larynx
..avaient besoin de repos, j'ose espérer que
/vous leur accorderiez leur exeat définitif.
• Il iie nianquépas de muetsrdans la vilio;
d'Alger pour tenir le mème'èiùploi. ■ ';
!. Ce tam-tam ligneux serait, alors .sup-
portable,, le sachant, produit par des in
', firmes'.'
En vous signalant cet état de choses,.
J'ai.,l'espoir..que, vous-donnerez des .ius-
tmctipns; nécessaires pour que ces faits
ne se renouvellent plus à l'avenir.
Sans demander des receveurs 1 ik is
rouges, une très primaire* politesse nous
suffirait. .;, .... ■.
\;\'euillez agréer, etc. ■ : - .
: LE GUEPAIU).
MIS OU»
Que demande l'ouvrier ? Le droit à la
vie et du. pain pour ses vieux jeurs. Il \
veut/avoir l'assurance-que lés années de , v
ïdurs;labeurs qu'il s'inipose>dans 1a;nialu-;;■■:.
vicité luiugarantiront ,lorsque l'âg£ eU/les» ■ ■-..
^peines F obligeront' aù/'repôs,' une àisà'nee "
pour les siens et pour lui.
, :Par quels moyens pratiques arrivera- ;
t-it-à" cette' solution ?-Par là. coopération
obligatoire du Capital et du Travail, par
.une-entente loyale entre les deux fac-
'léni^: patrons et ouyi-ier.s
:; CetteJclaire vision -du problème .à; ré-
s'ôudrè" simplifiera; la solution.
Inutile d'aller chercher dans la lune
les moyens rationnels d'obtenir un'ré-
sultat. ■
II. n'est nullement besoin dé se laisser ;
bourrer le crâne pa rdes théoriciens in- ;.
ternationaux qui n'entrevoient d'autre so-
lution que"le grand' soin'.d'un ehambar- :
dénient national, pour solutionner cette
question. ;^-- ;
Ceci est/la démagogie qui tarait sûre-
ment.le bonheur dès meneursV-^' profes- i
sionïiels delà gréviculture msiis non ira- •
vailieurs — qui^vivent aux. crochets de la :
niasse.Pu\Tière,. là. désorienté," l'abrutit,
parles;pliràsés / aussi sonores ^que creu- ;
ses.^tfcs/en ïonf un anarchepied'pour l'as-
souyis^enïent ;de/'leufô .jouissances.
Les ouvriers conscients- devraient d'a-
bèïTi exiger des'mauvais bergers quiveu- -
"lent les;-cdnduire ailleurs qu'à la campa-;
|:gne, de leur prouver leurs moyens d'exis- ;
tence, leur qualité, de travailleurs.
Les trois-qùarts de ces énergumènes,
de ces rastas, sont subventionnés pour
prêcher leurs théories subversives, par la
haute finance métèque. C'est dans les
conflits sociaux, dans les guerres exté-
rieures ou civiles que la haute pègre dv.
ki finance récolte le plus de bénéfioes ;
I aussi'entretient-elle grassement des équi-
pes de batteurs d'estrades, de meneurs,
orateurs de' bouges ou d'estaminets, de
: bourrcurside crânes qui. faussent .l'esprit
.,de.,ltt masse ^ouvrière,, excitent, surchauf-
' lent les passions et'entraînent lès moutons
, "'"bêlàrit Vers rabattoir, vers' les barrica-
des. ... • ■ '••• :0
\ — -Les..victimes n'ont plus..,rien à .revendi-
quer "•'"eues ont reçu "ù'fïë balle * dans la
. .peau^.jmais denlôre les barricades arri-
vent à la curée les meneurs qui les dé-
pouillent et les. gros financiers qui achè-
flcnf, .ces, dépouilles.
; Et je.lendemain, la lutte est à recom-
mencer ; les revendications ouvrières
..s'iniposent à. nouveau, aiguës et exacet 1:
,bées pai:..le sang répandu la teille ; tout
est à remonter et on recommence. jùsq'u'A
...même issue.: les. ouyriers revendiquent,:
; les gros capitalistes.encaissent, les me?
neifi.'S .reçoivent le courtage du prix du
sang du prolétariat.-
; ■'.■ Que se .passe-t-il- en Russie -.? Est-ce que
, ; jamais plus de sang ne fut. répandu d-.ms:
. mies guerre fratricide ?■■
'•" Le;régiiwô des suspects, la terreur rou-
ge dominent^des millions d'existences.
* A qùoï'aboutiront tant d'exécutions,
tant de massacrés ? A une réaction plus
'.' sanglante encore;
I Car, a forcé d'être terrorisées, les vic-
:'i I limes finissent parse soulever à leur tour
— pour la défense de leur propre exis-
tence— et ettent par-dessus bord toutes^
; les dictatures et les dictateurs. :;?'
..Quand le peuple russe sera anéanti par¥
les luttes sanguinaires, que le silence rèfj
gnera à Pétrograde, comme à Varsovie^
vlesv;étraiigers? les métèques, entreront erîf-
;.l|Bssié^etopposeront lete domination. ;f
.v0t c%|3pdur des écumëursv'^Hs^atrie|
que s'égorgent, au nom " de rinternatiol^
nale, des frères entre eux. '|
.;.Lè prolétariat-de France est trop intel||
ligeht pour'suivre plus longtemps d||
semblables théories. ¥_
.... C'-est entre Français : qu'ilçhêrchera lêfë
solution pratique de'ses aspirations. Il y|
arrivera par la coopération et-rien Qttfi^
par la coopération : Capital et .Trava^^"'
Plus dégrèves inconscientes---"arnî'é à
double tranchant— qui lèsent, par cpn-
tre-coup, d'autres travailleurs, miïis par
l'imposition aux. patrons d'une collabora-
tion intéressée, une part dans les bénéfi-
ces pu la création, entre ouvriers, de coo-
pératives, avec ouverture dé crédits sous
la garantie de F Etat; pour les premiers
frais.d'établissement, avec larges -facili-
tés d'amortissement. "/■'''
Les compagnies d'assurances peuvent
jouer un grand rôle dans cette -question
financière et de contrôle. ■■■]'
Alors le travail ne sera plus une corvée
acceptée avec des murmures, mais une
tâche qu el'ouvrier remplira allègrement,
■ puisque par ce travail, il atteindra à son
but : sinon la fortune, mais l'aisance^ ■
Ceci nous l'obtiendrons non par dès
émeutes, par des. vociférations, dés actes
contraires à l'honnêteté-et au bons'sens,
mais par le groupement de tous les ou-
vriers conscients, dans le calme et l'or-
dre.
Le Serpent des Forêts.
ÀO PARADIS DES VESTES
Oudaille (soupirant). -4 Si Làngouet
habille bien, Baïiac habille encore mieux*
'■■ FEUILLETON DE LA '"'^RrFFE"^.M«:A .
ILE sQUEkËÏTïf
''■■^■■''Wiaîs^os'"'-'-
GreAd roman-ciné en muHipies épisodtj
Msumé des chapities piecodents On
nage en pleines ténèbres.
IX
Lorsque Mehlosisortit des fluides ma-
gnétiques du giand 1 rochenter, le -îlence
était d'or.
Plus personne de tous ces démons, des
«< Quatre as de Bastos » Les bandits
(étaient loin.
\Cette solitude agaçant le policier ATéli-
los, il la viola sans honte en vociférant
l hymne belehevjste. Un fracas foimula-
blé ; interrolnpit" les 'p'remiSres ribtes :dé
. l'p3il-de-Mpscpù, Je ,pajais. du. Grand Tro-
.chentêr,;'îébéjië':'à'Acé''pàrii,'venait de s'ef-
""fpndrer.
;'• :Sôusi;les^décombres ,-on. djécouvrit une
casserole ayant l'àsjiect' tl'tifle forme fiu-,
liïàinè. C'était"'tout.^ ce qùîrèstàit du dé-
tective Melilos i
X
Sur la route qm mène à la Colonne-
Vonol, Un observateur attentif remar-
querait qu'il monte une côte poussiéreuse
î souhait Mais la ne s'ai referaient pas
ses sagaces observations II découvrirait
encore ,par la vue des rails (pu serpen-,
tent au. milieu d'elle et des câbles élec-
tnques qui la surplombent, qu'un tianl
doit v passeï \u moment où commence
ce récit, deux hommes sont assis sur un
banc et causent a voix basse Rien'/re les
distinguerait du commun des mortels,
s'ils ne portaient des chaussettes/repri-
sées Ce signe do jeconnaissance était cér
. . lui imaginé par le Grand Trpchentef,
,,Mais comme il fallait, trop souvent, dans'
.la,journée, se, déchausser entre affidés-i.
ceux-ci... simplifiaient cette .....besogne en
marchant pieds, nus. ; ■.,
- Ces deux sinistres causeurs n'étaient
. ..sûrement pas "en ce lieu sans'qu'un motif
puissant les/y eû/t-conduits, comme on va
:yeKyQir,^aF;la suite.I;;a:;^,v.,. .^:^^^ ;:
-Un,,bruit.;,.sourd de ferraille se fit sou-
dai îi-enteiîdré; dans lé/lôintàin.; -'Le^ deux
hoiriinessé levèrent en'pâlissant; ;l5e iii(>-
ment .était .venu d'agir. .,- ■-;;.,
Postés de chaque côté de la route, ilg
^-vWënV-%'enTfïaieux une automobile'4Misi-:
ble. Sauter,dedans..fut .l'affaire d'une
seconde. Des cris .troublèrent le silence
nocturne, du sang coula sur les pavés.
Nul témoin de ce drame atroce, aucun se-
"'eours possible pour ces malheureuses vic-
times. ■■■•-•■: ■
— Filons ! dit une voix. ,-.:•.
../;-. r- J'ai l'enfant, lui répondit une;au^
tre.. ' ■ ,. ..-.i-,, . . „.,,,,. :,:.;: ...,- .
(A suivre.) Pierre DEBOU«SAT,LÉ;
, l
LES PROJETS OE m. pmsmiT
;. —-x— -:' ■ • ■ •■''■•' ■■"
La presse a reproduit le long exposé de
M. Puisant, noire sous-secrétaîre d'Etat
au Ravitaillement et à la Liquidation des
stocks : c'est en réalité tout un plàn.d'àc-
'lion .destiné,- dans' \î\. pensée; de son;a.u-
.feur, à abaisser'le p'rjx de l'existence en
'France. Le'projet est ."và^le 1' eï 'niéVite
qu'.p'n s'y ari'èle," car ÏI petit (•.àùte'r'Wâu-
coùp,d'argent et nonI m'oins de niêcoinp-
&s. ;"" ' '.- , ';"';i:' ;,:: •';"'; •'';'■'"■'
Au.sonimét de rédifice a.''construire, on
placerait. uiieDirec/ii)» de. la viê'écono-
)iii(iue'. Beau liire, 'Vn'ést-iï''j);is'vrai ? On
lie nous dit;pas aif.ju.slè énqu.pi 'elle. Con-
sisiei'h'il," iiiais" il est 'blèii. éviiiçni 1 qu'elle
sera çon.stilii{:é de tous les j'bnclioiniàires
du Ravitaillement, q'ue ïa' siippi-ession
prochaine de leurs services và'nielti'è à
pied ,et auxquels là noïivéHxv'Cr'èafiàn of-
"Ifira avei-vilji'gréabl.es' siiié<ïuV-tisvtih refu-
ge diî tout repos'."'Quelle ^,ei|àrj'eui:'-'(àcli'e ?
M. Paisnnl ' nôii.s: ùit.qu'ils' 'dëvrb'nt.-Woir
» des aitriiniijohs nêtlemeiit dél'inies: »rel
un peu plus..loin!,' précisant' sa iVen'seç. il
a joule qu'il faudra « surveiller les. cours,
les réglémënièr non pas par des textes
souvent innJi,tès.V,'maîs'.,par.' une heureuse
répartition 'dés denrées'..>>.. Biefi 'i\ ffjtpa-
r-aît. que la Directkm^de. Ut rie économique
. sera omnjppl.èntfi, puisqn'ejje. ^disposera
.'. à: spnV gré des,prp(fùits'.;à)imcntair .No-
Iresoùs-secrfitairéxllïtàtie^ eri.çpn-
clua,nt qu'il est nécessaire'«'de':'ipeijre!de
l'ordre dans le désordre et d'organiser les
rapports entre--la ..production et la"côn-
'somniiàtiori: "'■»'_' ' ..-••:-•■
" Ces , déçiamtions. témoigaent, éyidem-
nienl desnieillèures intentions' du monde,
'.'. et nombre, de; consommateurs pni, dû, être
.viye.nient reconnaisants à M.' Pai'santv.de
■.,-. Irayssàlier aihsl,slimn/ài:,lfipi:;b.pnheur,!vïdu
, moins,.à la:,djminuiion.i-.des.;'.dii'i)icù.lté5j;de
l'existence. Elle est si a'tlrayant(3. cette
idée de mettre « de l'ordre;dans le désor-
, dre..! » On ;ne nous dit.';pas, il esÇ.yçai,
: .-.çommenl, on s'y prèndra,^mais ,qu.'irnppr-
J:\é, .puisque ié.dô.sprdre'.4pit cHsparàîire.
Puis quelle belle fprnuiie que celle dé,Vpr-
ganisalion des,rapports .en-felà produc-
tion ôt la consommation ! Elle ne .corres-
pond certes à rieii de bien' net, mais elle
plaît.àlbus ceux qui ont à''se plaidrè d'un
. fait-,ou d'un àuti-é:';êl Dieu s^it'si ïes;mo-
tii's. de môçofitRiitement 'sont nombreux
aujourd'hui ! '. ;. '.'. .' .'.
Gé,que..l!on,np.u,s propose, .c'esj. donc/de
remettre le soin de nous ravitailler a des
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