Titre : Le Monde dramatique : revue théâtrale, artistique et littéraire / rédacteur en chef Théophile Deschamps
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1859-01-13
Contributeur : Deschamps, Théophile (01). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32818257p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 980 Nombre total de vues : 980
Description : 13 janvier 1859 13 janvier 1859
Description : 1859/01/13 (A8). 1859/01/13 (A8).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5733373c
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-1353
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/01/2011
Jeudi 15 Janvier 1859.
Bureaux : 64 nie d'Amsterdam.
Huitième Année.
PREMIÈRES. REPRÉSENTATIOMS.
THÉÂTRE-ITALIEN.
Reprise de Sémiramide.—MinesPenco, Alboni, MM. Bcïart
et Badiali. — Reprise de Sîartha.
Dans notre dernier numéro, nous avons annonce som-
mairement le succès obtenu par. l'a reprise de Sémiramide. -
Nous avons qualifié ce succès de foudroyant: c'est le mot.
Jamais, à la plus belle époque des Italiens, on ne vit écla-
ter un enthousiasme plus vif, plus spontané, plus démons-
tratif.
Dès les premières notes de l'ouverture, l'auditoire se
trouvait, pour ainsi dire, électrisé. C'est qu'aussi l'orches-
tre, si habilement dirigé par M. Bonetti, n'a jamais exécuté
avec plus.d'ensemble, avec plus d'entrain, une musique plus
mélodieuse, plus constamment inspirée. M.. Bonetti a su
habituer le public d'élite, qui remplit la salle des Italiens,
à réserver pour l'orchestre une bonne part de ces applau-
dissements, qui, dans la plupart des théâtres lyriques, s'a-
dressent exclusivement aux chanteurs et aux chanteuses.
Nous sommes heureux d'avoir à féliciter cet habile et ex-
cellent artiste d'avoir réalisé un semblable miracle. Le Giu-
ramento avait déjà fourni l'occasion d'un véritable triomphe
pour l'orchestre de M. Bonetti, — L'exécution si brillante
et, en même temps, si correcte de Sémiramide, lui crée
de nouveaux titres à la reconnaissance des dilellanli.
Que n'a-t-on pas écrit sur cette sublime, celte éton-
nante partition de Sémiramide ! Quels flots d'harmonie et
quel enchantement continuel ; quelle merveilleuse unité
dans la diversité; toutes les passions y trouvent leur ex-
pression avec leur véritable langage : l'amour, le remords,
l'amour maternel, l'enthousiasme religieux, la terreur, et,
au-dessus de tout cela, on sent le génie du maître qui
plane, en s'ignorànt.en quelque sorte,lui-même. Aucun ef-
fort, aucun de ces effets cherchés, obtenus par des moyens
purement matériels. C'est une inspiration soutenue ; c'est
une véritable intuition, l'évocation du'passé, avec toutes ses
splendeurs, avec sa grandeur-da-n-s-le bien et dans le mal.
L'exécution a été digne de,-l'oeuvre.: Mme Alboni, dont
les récentes, incursions dans le domaine, des soprani au-
raient pu déplacer la. voix,-a déployé, dans le rôle d'Arsa-
cio, toutes les richesses de sa vocalisation si brillante et si
limpide. Un mauvais plaisant a trouvé, qu'avec sa coiffure
guerrière et sa longue tonique, elle représentait assez exac-
tement un pompier, qui, rentré chez lui, aurait endossé sa
robe de chambre, sans songera ôter son casque à panache.
La comparaison est piquante sans Être tout à fait juste.
Mme Alboni est d'ailleurs une de ces cantatrices dont on
ne doit pas songera regarderie costume. Dès qu'elle chante,
on ne la voit^plus, et l'on doit faire'comme,ces; mélomanes
qui ferment les yeux pour mieux entendre et se recueillir
dans leur admiration.
Mme Penco, qui représente .l'avenir et quiest déjà lepré-
sent du Théâtre-Italien, a été. fort belle dans; le personnage
de la reine de Babylone. C'est un talent d'une spuplesse
admirable. Elle interprète tous ses rôles avec une véritable
supériorité. Elle njap.parlieiib exclusivement à aucune éco-
le; hier, vous applaudissiez, ses élans dramatiques dans
Norma; aujourd'hui, c'est Sémiramide; demain, ce sera la
; Traviala.— Elle a obtenu, dans son duo avec Mme Alboni,
un de ces succès qui font époque dans les annales d'un
théâtre. La salle était transportée d'admiration ; ce n'était
plus de l'enthousiasme, c'était du délire, presque de la fo-
lie... Les deux, inimitables cantatrices; on! éilé: .rappelées
quatre, cinq et jusqu'à sjx fois de suite. La salle; menaçait
de crouler sous les applaudissements; elles; ont dû bisser la
strette, et, le morceau terminé, le publie charmé croyait en-
endre encore leur voix mé lodieuse.
Badiali a fait ressortir, avec son expérience et son ha-
bileté habituelles, toutes les parties du rôle d'Assuro. C'est
quelque chose de merveilleux que la puissance d'organe, la
justesse et l'agilité que déploie cetexccllent artiste, dont
les premières créations datent déjà de quarante ans. Il a
retrouvé dans Sémiramide les applaudissements qui déjà
l'avaient accueilli, lors de ses débuts dans.le Barbier.
Bélart, que nous n'entendons pas assez souvent, a relevé,
par le charme de son organe et l'excellence de sa méthode,
le personnage un peu effacé d.'ldrenp. Sa voix, naturelle-
ment légère et pleine d'agilité, acquiert, à l'occasion, une
ampleur qu'on ne lui supposerait pas, au premier abord.
C'est donc un succès pour lui, comme pour tout lé monde,
et nous sommes forcé de terminer notre compte-rendu,
T sans pouvoir y ajouter un mot. de critique.
La reprise de Marlha, l'opéra de Flottow, a eu lieu, di-
manche dernier, jour de représentation extraordinaire.
Nous ne pouvons que constater en deux lignes; la réussite
de cette reprise, sur laquelle nous aurons, d'ailleurs, oc-
casion de revenir.
DE MATJBZAZ.
OPÉIU-COMOUE.
Les Diamants de la Couronne, reprise. —Débals de
Mlle Bre.aillé.
Nous avons à signaler un début important à l'Opéra-
Comïque : celui de Mlle Breuillé, premier prix du Con-
servatoire, dans les Diamants de la Couronne.
Mlle Breuillé est encore toute jeune ; c'est presque une
enfant; sa physionomie est agréable, elle ditbien le poème,
elle accentue correctement, d'une manière un peu sèche
peut-être, mais c'est l'influence de l'école, et elle aura bien-
tôt fait de se débarrasser de tout ce qui gêne encore sa
spontanéité. Elle paraît heureusement douée sous le rap-
port de l'intelligence, et nous n'avons pas eu à consta-
ter, chez elle, cette gaucherie qu'on rencontre habituelle-
ment chez les débutantes.
Sa voix est très étendue, d'un excellent timbre, surtout
dans l'aigu; elle donne quelques notes graves qui lui per-
mettent dé produire des èlTets d'opposition assez agréables.
A la find;u troisième acte, lorsqu'elle chante du fond de
la scène, nous avons été surpris de trouver à son organe
un volume que nous rte nous attendions pas à voir déployer,
eu égard à la fatigue qu'elle devait éprouver I! ne faut
d'ailleurs pas perdre de vue qu'il s'agit d'une débutante
qui estèneore toute jeune, dont la voix ne saurait être bien
assise, et qui n'a pas encore acquis cette expérience qui
• apprend à ménager habilement ses moyens.
; C'est surtout dans le diuo du second acte et l'air qui
.le suit, que nous avons pu apprécier les qualités brillantes
de sa vocalisation.—De lajuslesse, de la. légèreté; "une
grande assurance pour attaquer et détacher là noté; une
.sûreté d'exécution provenant d'études sérieuses ; voilà plus
qu'il n'en fallait pour justifier les applaudissements soute-
, nus qu'elle a obtenus.
Le début de Mlle Breuillé était l'événement de la soirée,
et nous avons dû principalement nous en occuper; mais
cela ne doit pas nous empêcher de rendre justice aux autres
.artistes qui l'ont secondée dans cette représentation. De-
launay-Biquier et Cabel ont été convenables dans les per-
sonnages de don Henrique et de don Sébastien ; Lemaire,
plein de naturel et d'un comique de bon aloi dans le rôle
du comte.
Mlle Dupuy a partagé les applaudissements de Mlle
Breuillé dans leduo du second acte. Sa gracieuse figure de
keepsake, sa distinction et son jeu plein d'intelligence et
de finesse lui ont valu un véritable succès. Elle a eu des in-
tentions comiques excellentes, notamment au second acte,
lorsqu'elle se jette aux genoux de son cousin. — N'ou-
blions pas Bariellc, l'excellente basse chantante, chargé du
rôle de Rebolledo. C'est un^excelieut artiste, plein de ron-
deur, et habitué au succès. Il a trouvé moyen de se faire
applaudir dans un rôle effacé; — il a.trop de valeur comme
comédien et comme chanteur ; il a donné trop de preuves
de cette valeur, sur les différentes scènesoù il a paru, pour
rester ainsi vpué à ces.rôles sacrifiés ; c'est dire que nous
espérons l'entendre bientôt dans des personnages plus en
rapport avec son mérite.
THÉOPHILE DESCIIAMPS.
THEATRE DU PALAIS-ROYAL.
Anguille sous Roche, vaudeville en un acte de M. J. Lambert. —
L'Avocat d'un Grec, vaudeville eii un acte de MM. Labiche et
Lefranc. —. Premières représentations , dimanche 9 janvier
18o9.
Deux.maris qui se croient trompés et qui s'avertissent
mutuellement ; —un neveu, Maxime, qui fait la cour à
une tante qu'il ne connaît pas encore; — la tante, sa nièce,,
Bureaux : 64 nie d'Amsterdam.
Huitième Année.
PREMIÈRES. REPRÉSENTATIOMS.
THÉÂTRE-ITALIEN.
Reprise de Sémiramide.—MinesPenco, Alboni, MM. Bcïart
et Badiali. — Reprise de Sîartha.
Dans notre dernier numéro, nous avons annonce som-
mairement le succès obtenu par. l'a reprise de Sémiramide. -
Nous avons qualifié ce succès de foudroyant: c'est le mot.
Jamais, à la plus belle époque des Italiens, on ne vit écla-
ter un enthousiasme plus vif, plus spontané, plus démons-
tratif.
Dès les premières notes de l'ouverture, l'auditoire se
trouvait, pour ainsi dire, électrisé. C'est qu'aussi l'orches-
tre, si habilement dirigé par M. Bonetti, n'a jamais exécuté
avec plus.d'ensemble, avec plus d'entrain, une musique plus
mélodieuse, plus constamment inspirée. M.. Bonetti a su
habituer le public d'élite, qui remplit la salle des Italiens,
à réserver pour l'orchestre une bonne part de ces applau-
dissements, qui, dans la plupart des théâtres lyriques, s'a-
dressent exclusivement aux chanteurs et aux chanteuses.
Nous sommes heureux d'avoir à féliciter cet habile et ex-
cellent artiste d'avoir réalisé un semblable miracle. Le Giu-
ramento avait déjà fourni l'occasion d'un véritable triomphe
pour l'orchestre de M. Bonetti, — L'exécution si brillante
et, en même temps, si correcte de Sémiramide, lui crée
de nouveaux titres à la reconnaissance des dilellanli.
Que n'a-t-on pas écrit sur cette sublime, celte éton-
nante partition de Sémiramide ! Quels flots d'harmonie et
quel enchantement continuel ; quelle merveilleuse unité
dans la diversité; toutes les passions y trouvent leur ex-
pression avec leur véritable langage : l'amour, le remords,
l'amour maternel, l'enthousiasme religieux, la terreur, et,
au-dessus de tout cela, on sent le génie du maître qui
plane, en s'ignorànt.en quelque sorte,lui-même. Aucun ef-
fort, aucun de ces effets cherchés, obtenus par des moyens
purement matériels. C'est une inspiration soutenue ; c'est
une véritable intuition, l'évocation du'passé, avec toutes ses
splendeurs, avec sa grandeur-da-n-s-le bien et dans le mal.
L'exécution a été digne de,-l'oeuvre.: Mme Alboni, dont
les récentes, incursions dans le domaine, des soprani au-
raient pu déplacer la. voix,-a déployé, dans le rôle d'Arsa-
cio, toutes les richesses de sa vocalisation si brillante et si
limpide. Un mauvais plaisant a trouvé, qu'avec sa coiffure
guerrière et sa longue tonique, elle représentait assez exac-
tement un pompier, qui, rentré chez lui, aurait endossé sa
robe de chambre, sans songera ôter son casque à panache.
La comparaison est piquante sans Être tout à fait juste.
Mme Alboni est d'ailleurs une de ces cantatrices dont on
ne doit pas songera regarderie costume. Dès qu'elle chante,
on ne la voit^plus, et l'on doit faire'comme,ces; mélomanes
qui ferment les yeux pour mieux entendre et se recueillir
dans leur admiration.
Mme Penco, qui représente .l'avenir et quiest déjà lepré-
sent du Théâtre-Italien, a été. fort belle dans; le personnage
de la reine de Babylone. C'est un talent d'une spuplesse
admirable. Elle interprète tous ses rôles avec une véritable
supériorité. Elle njap.parlieiib exclusivement à aucune éco-
le; hier, vous applaudissiez, ses élans dramatiques dans
Norma; aujourd'hui, c'est Sémiramide; demain, ce sera la
; Traviala.— Elle a obtenu, dans son duo avec Mme Alboni,
un de ces succès qui font époque dans les annales d'un
théâtre. La salle était transportée d'admiration ; ce n'était
plus de l'enthousiasme, c'était du délire, presque de la fo-
lie... Les deux, inimitables cantatrices; on! éilé: .rappelées
quatre, cinq et jusqu'à sjx fois de suite. La salle; menaçait
de crouler sous les applaudissements; elles; ont dû bisser la
strette, et, le morceau terminé, le publie charmé croyait en-
endre encore leur voix mé lodieuse.
Badiali a fait ressortir, avec son expérience et son ha-
bileté habituelles, toutes les parties du rôle d'Assuro. C'est
quelque chose de merveilleux que la puissance d'organe, la
justesse et l'agilité que déploie cetexccllent artiste, dont
les premières créations datent déjà de quarante ans. Il a
retrouvé dans Sémiramide les applaudissements qui déjà
l'avaient accueilli, lors de ses débuts dans.le Barbier.
Bélart, que nous n'entendons pas assez souvent, a relevé,
par le charme de son organe et l'excellence de sa méthode,
le personnage un peu effacé d.'ldrenp. Sa voix, naturelle-
ment légère et pleine d'agilité, acquiert, à l'occasion, une
ampleur qu'on ne lui supposerait pas, au premier abord.
C'est donc un succès pour lui, comme pour tout lé monde,
et nous sommes forcé de terminer notre compte-rendu,
T sans pouvoir y ajouter un mot. de critique.
La reprise de Marlha, l'opéra de Flottow, a eu lieu, di-
manche dernier, jour de représentation extraordinaire.
Nous ne pouvons que constater en deux lignes; la réussite
de cette reprise, sur laquelle nous aurons, d'ailleurs, oc-
casion de revenir.
DE MATJBZAZ.
OPÉIU-COMOUE.
Les Diamants de la Couronne, reprise. —Débals de
Mlle Bre.aillé.
Nous avons à signaler un début important à l'Opéra-
Comïque : celui de Mlle Breuillé, premier prix du Con-
servatoire, dans les Diamants de la Couronne.
Mlle Breuillé est encore toute jeune ; c'est presque une
enfant; sa physionomie est agréable, elle ditbien le poème,
elle accentue correctement, d'une manière un peu sèche
peut-être, mais c'est l'influence de l'école, et elle aura bien-
tôt fait de se débarrasser de tout ce qui gêne encore sa
spontanéité. Elle paraît heureusement douée sous le rap-
port de l'intelligence, et nous n'avons pas eu à consta-
ter, chez elle, cette gaucherie qu'on rencontre habituelle-
ment chez les débutantes.
Sa voix est très étendue, d'un excellent timbre, surtout
dans l'aigu; elle donne quelques notes graves qui lui per-
mettent dé produire des èlTets d'opposition assez agréables.
A la find;u troisième acte, lorsqu'elle chante du fond de
la scène, nous avons été surpris de trouver à son organe
un volume que nous rte nous attendions pas à voir déployer,
eu égard à la fatigue qu'elle devait éprouver I! ne faut
d'ailleurs pas perdre de vue qu'il s'agit d'une débutante
qui estèneore toute jeune, dont la voix ne saurait être bien
assise, et qui n'a pas encore acquis cette expérience qui
• apprend à ménager habilement ses moyens.
; C'est surtout dans le diuo du second acte et l'air qui
.le suit, que nous avons pu apprécier les qualités brillantes
de sa vocalisation.—De lajuslesse, de la. légèreté; "une
grande assurance pour attaquer et détacher là noté; une
.sûreté d'exécution provenant d'études sérieuses ; voilà plus
qu'il n'en fallait pour justifier les applaudissements soute-
, nus qu'elle a obtenus.
Le début de Mlle Breuillé était l'événement de la soirée,
et nous avons dû principalement nous en occuper; mais
cela ne doit pas nous empêcher de rendre justice aux autres
.artistes qui l'ont secondée dans cette représentation. De-
launay-Biquier et Cabel ont été convenables dans les per-
sonnages de don Henrique et de don Sébastien ; Lemaire,
plein de naturel et d'un comique de bon aloi dans le rôle
du comte.
Mlle Dupuy a partagé les applaudissements de Mlle
Breuillé dans leduo du second acte. Sa gracieuse figure de
keepsake, sa distinction et son jeu plein d'intelligence et
de finesse lui ont valu un véritable succès. Elle a eu des in-
tentions comiques excellentes, notamment au second acte,
lorsqu'elle se jette aux genoux de son cousin. — N'ou-
blions pas Bariellc, l'excellente basse chantante, chargé du
rôle de Rebolledo. C'est un^excelieut artiste, plein de ron-
deur, et habitué au succès. Il a trouvé moyen de se faire
applaudir dans un rôle effacé; — il a.trop de valeur comme
comédien et comme chanteur ; il a donné trop de preuves
de cette valeur, sur les différentes scènesoù il a paru, pour
rester ainsi vpué à ces.rôles sacrifiés ; c'est dire que nous
espérons l'entendre bientôt dans des personnages plus en
rapport avec son mérite.
THÉOPHILE DESCIIAMPS.
THEATRE DU PALAIS-ROYAL.
Anguille sous Roche, vaudeville en un acte de M. J. Lambert. —
L'Avocat d'un Grec, vaudeville eii un acte de MM. Labiche et
Lefranc. —. Premières représentations , dimanche 9 janvier
18o9.
Deux.maris qui se croient trompés et qui s'avertissent
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