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- FAUX-TITRE: Paris dans sa Splendeur.
- GRAND TITRE: Deuxième Volume. - Première Partie. - Description de Paris.
- FAUX-TITRE: Promenade dans Paris.
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- CHAPITRE III. - Promenade dans Paris, PAR M. EDOUARD FOURNIER.
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- FAUX-TITRE: Chapitre IV. - Beaux-Arts, Sciences et Lettres.
- CHAPITRE IV. - Beaux-Arts, Sciences et Lettres, PAR M. A. MAZURE.
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- FAUX-TITRE: Chapitre V. - Administration.
- CHAPITRE V. - Administration, PAR M. F. LOCK.
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- FAUX-TITRE: Chapitre VI. - Etablissements de Bienfaisance.
- CHAPITRE VI. - Etablissements de Bienfaisance, PAR M. O. DE WATTEVILLE.
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- FAUX-TITRE: Chapitre VII. - Etablissements de Plaisir.
- CHAPITRE VII. - Etablissements de Plaisir, PAR M. VICTOR FOURNEL.
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- FAUX-TITRE: Chapitre VIII. - Industrie et Commerce.
- CHAPITRE VIII. - Industrie et Commerce, PAR M. A. AUDIGANNE.
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- FIN DES TABLES DU DEUXIEME VOLUME ET DE LA PREMIERE PARTIE.
68 PARIS DANS SA SPLENDEUR.
Waterloo que de dix-sept jours. Depuis lors, on n'y a convié la foule que pour des revues et des fêtes. C'est au Champ-de-Mars,
en 1827, que Charles X se montra pour la dernière fois à la garde nationale, licenciée le lendemain, et c'est au Champ-de-Mars
elle reparut, au mois d'août 1830, devant le nouveau roi Louis-Philippe, sous l'étendard aux trois couleurs. Une
encore quelle reparut, au mois daout 1830, devant le nouveau roi Louis-Phillippe
fête, qu'on y célébra pendant ce même règne, fut bien cruellement ensanglantée. C'est, il doit vous en souvenir, celle du mois,
d'août 1838, en l'honneur du mariage du duc d'Orléans, sur lequel il sembla qu'elle jetait un sinistre présage trop réalisé le
13 juillet 1842. Plusieurs centaines de personnes, qui étaient venus voir le feu d'artifice tiré au milieu du Champ-de-Mars,
13 juillet 1842. Plusieurs centaines de personnes, qui étaient venues voir le feu d'artifice tiré au milieu du Champ-de-Mars,
furent écrasées ou étouffées, près de la porte trop étroite qui s'ouvre sur la rue Saint-Dominique.
C'est par là que nous allons sortir nous-même; c'est par cette rue si longue, et d'une physionomie si variée, grâce à la
différence des quartiers où elle passe, que nous allons pénétrer dans le faubourg Saint-Germain, dont sa ligne tortueuse coupe
en deux l'étendue.
Auprès du Champ-de-Mars, la rue Saint-Dominique est une rue calme, déserte, presque champêtre, à laquelle conviendrait
encore son ancien nom de rue aux Vaches. Un peu plus loin, elle s'anime de tout le mouvement de la population du Gros-Caillou,
population toujours agissante d'ouvriers et de soldats, de cabaretiers et de rôtisseurs. L'esplanade des Invalides passée, c'est
autre chose. La rue populaire se fait grande dame. Jusqu'aux abords de la rue des Saints-Pères, qui la termine, où elle est un
peu plus roturière et marchande, elle gardera ces grands airs de noblesse que partagent ses parallèles: les rues de Lille, de
l'Université, de Grenelle, de Varennes, et qui sont le trait ineffaçable de la physionomie de ce faubourg. Tout Paris s'est
transformé; seul, depuis le milieu du XVIIe siècle, qui le vit sortir des terrains herbus du Pré-aux-Clercs, lentement pierre
à pierre, le faubourg Saint-Germain est resté le même, imposant, hautain, silencieux, portes closes. Il semble qu'on respire un
autre air, auquel se mêle je ne sais quel parfum de fierté renfermée, lorsqu'on traverse ses grandes rues muettes où, pendant des
mois entiers, pas une porte ne s'ouvre, et qui, pendant les autres mois, ne voient sortir des hôtels que de grands équipages plus
armoriés que brillants. Quelques valets, peu pressés, bavardant à la porte du cabaret du coin, quelques passants affairés circulant
sans encombre sur les trottoirs déserts sont les seuls vivants qui animent un peu l'aristocratique nécropole. Les employés des
différents ministères comptent, en première ligne, parmi ces affairés dont je parle, et qui ne font que passer, à deux heures
différentes du jour, le matin et le soir, dans ces rues, sans cela, si solitaires. Le faubourg Saint-Germain a donc gagné à
l'installation des ministères dans ses hôtels quelque peu d'animation intermittente, mais sa noblesse y a perdu de magnifiques
demeures qu'elle regrette encore, malgré le nombre et la beauté de celles qui lui restent.
Nous allons, s'il vous plaît, compter, tout en courant, combien, dans le grand rectangle que forme ce faubourg, et qui est
borné : au Nord par la rue de Lille, au Midi par la rue de Varennes, à l'Ouest par la rue d'Iéna et le boulevard des Invalides,
à l'Est par la rue des Saints-Pères, combien on trouve d'anciens hôtels distraits de leur première destination, et devenus
soit le siége d'une grande administration, soit un couvent, soit un pensionnat. Nous donnerons en même temps un regret à
quelques-uns qui ont été démolis, et nous resterons encore étonnés du nombre de ceux qui sont toujours aux mains des vieilles
familles.
Le ministère de la Guerre, à lui seul, pour loger son ministre, tous ses services, son dépôt, etc., n'a pas envahi moins de
quatre anciens hôtels, plus un vieux couvent. Les hôtels situés les uns rue Saint-Dominique, les autres rue de l'Université, car ce
ministère envahisseur chevauche sur deux rues, sont d'abord : — rue Saint-Dominique, l'hôtel de Brienne, où mourut, en 1794,
le cardinal du même nom ministre de Louis XVI, où Lucien Bonaparte s'était fait une si belle collection de tableaux, et qui fut
acheté, en 1804, par Mme Laetitia; l'hôtel de Conti, bâti au XVIIe siècle pour la duchesse de la Meilleraie-Mazarin, et plus tard
occupé par la princesse-douairière de Conti, qui lui laissa son nom; — rue de l'Université, l'hôtel d'Aiguillon, dont le duc et pair
pour qui on le construisit, est resté le parrain, et enfin le grand hôtel de Mouchy-Noailles. C'est dans celui-ci, qui fut, sous le
premier empire, l'hôtel de la Direction des Mines, qu'on a placé le dépôt de la guerre, auparavant à l'hôtel d'Harcourt, dans la
même rue. Le couvent de Saint-Joseph, qui, ainsi que ces quatre hôtels, se trouve englobé dans l'absorbant ministère, ne vit
longtemps, au lieu des expéditions et des victoires qu'on organise aujourd'hui dans ses anciennes cellules, devenues des bureaux,
que des combats de conversation et de littérature. Un peu plus de cent ans après qu'il eut été fondé pour les Filles de la Providence
ou de Saint-Joseph, dont Mme de Montespan fut la protectrice, et même, en des jours trop rares de repentance, la compagne de
retraite, ce cloître compta parmi ses hôtes la marquise du Deffant. Elle y resta plus d'un demi-siècle. C'est dire que, pendant
tout ce temps, où le monde spirituel passa mille et mille fois, parlant toujours, dans le joli appartement tendu de moire, avec des
noeuds couleur de feu, Saint-Joseph fut un des chefs-lieux les plus brillants de l'esprit. Quiconque n'y était pas venu ne connaissait
rien. « Je serais retourné en Angleterre sans avoir l'idée de ce genre d'esprit qui est particulier à votre nation, écrit à la marquise
le chevalier Mac-Donald, si je n'avais pas été à Ferney et à Saint-Joseph. » Mme du Deffant n'était pas la seule chez qui l'on
causât bien dans ce cloître peu cloîtré. Mme de Vassé, Mlle Ferrant, Mme de Talmont y recevaient grand monde, et Charles-Edouard,
le Prétendant, à l'époque où il se cachait, put vivre pendant trois ans, allant de l'une chez l'autre, sans s'ennuyer un instant. De
Waterloo que de dix-sept jours. Depuis lors, on n'y a convié la foule que pour des revues et des fêtes. C'est au Champ-de-Mars,
en 1827, que Charles X se montra pour la dernière fois à la garde nationale, licenciée le lendemain, et c'est au Champ-de-Mars
elle reparut, au mois d'août 1830, devant le nouveau roi Louis-Philippe, sous l'étendard aux trois couleurs. Une
encore quelle reparut, au mois daout 1830, devant le nouveau roi Louis-Phillippe
fête, qu'on y célébra pendant ce même règne, fut bien cruellement ensanglantée. C'est, il doit vous en souvenir, celle du mois,
d'août 1838, en l'honneur du mariage du duc d'Orléans, sur lequel il sembla qu'elle jetait un sinistre présage trop réalisé le
13 juillet 1842. Plusieurs centaines de personnes, qui étaient venus voir le feu d'artifice tiré au milieu du Champ-de-Mars,
13 juillet 1842. Plusieurs centaines de personnes, qui étaient venues voir le feu d'artifice tiré au milieu du Champ-de-Mars,
furent écrasées ou étouffées, près de la porte trop étroite qui s'ouvre sur la rue Saint-Dominique.
C'est par là que nous allons sortir nous-même; c'est par cette rue si longue, et d'une physionomie si variée, grâce à la
différence des quartiers où elle passe, que nous allons pénétrer dans le faubourg Saint-Germain, dont sa ligne tortueuse coupe
en deux l'étendue.
Auprès du Champ-de-Mars, la rue Saint-Dominique est une rue calme, déserte, presque champêtre, à laquelle conviendrait
encore son ancien nom de rue aux Vaches. Un peu plus loin, elle s'anime de tout le mouvement de la population du Gros-Caillou,
population toujours agissante d'ouvriers et de soldats, de cabaretiers et de rôtisseurs. L'esplanade des Invalides passée, c'est
autre chose. La rue populaire se fait grande dame. Jusqu'aux abords de la rue des Saints-Pères, qui la termine, où elle est un
peu plus roturière et marchande, elle gardera ces grands airs de noblesse que partagent ses parallèles: les rues de Lille, de
l'Université, de Grenelle, de Varennes, et qui sont le trait ineffaçable de la physionomie de ce faubourg. Tout Paris s'est
transformé; seul, depuis le milieu du XVIIe siècle, qui le vit sortir des terrains herbus du Pré-aux-Clercs, lentement pierre
à pierre, le faubourg Saint-Germain est resté le même, imposant, hautain, silencieux, portes closes. Il semble qu'on respire un
autre air, auquel se mêle je ne sais quel parfum de fierté renfermée, lorsqu'on traverse ses grandes rues muettes où, pendant des
mois entiers, pas une porte ne s'ouvre, et qui, pendant les autres mois, ne voient sortir des hôtels que de grands équipages plus
armoriés que brillants. Quelques valets, peu pressés, bavardant à la porte du cabaret du coin, quelques passants affairés circulant
sans encombre sur les trottoirs déserts sont les seuls vivants qui animent un peu l'aristocratique nécropole. Les employés des
différents ministères comptent, en première ligne, parmi ces affairés dont je parle, et qui ne font que passer, à deux heures
différentes du jour, le matin et le soir, dans ces rues, sans cela, si solitaires. Le faubourg Saint-Germain a donc gagné à
l'installation des ministères dans ses hôtels quelque peu d'animation intermittente, mais sa noblesse y a perdu de magnifiques
demeures qu'elle regrette encore, malgré le nombre et la beauté de celles qui lui restent.
Nous allons, s'il vous plaît, compter, tout en courant, combien, dans le grand rectangle que forme ce faubourg, et qui est
borné : au Nord par la rue de Lille, au Midi par la rue de Varennes, à l'Ouest par la rue d'Iéna et le boulevard des Invalides,
à l'Est par la rue des Saints-Pères, combien on trouve d'anciens hôtels distraits de leur première destination, et devenus
soit le siége d'une grande administration, soit un couvent, soit un pensionnat. Nous donnerons en même temps un regret à
quelques-uns qui ont été démolis, et nous resterons encore étonnés du nombre de ceux qui sont toujours aux mains des vieilles
familles.
Le ministère de la Guerre, à lui seul, pour loger son ministre, tous ses services, son dépôt, etc., n'a pas envahi moins de
quatre anciens hôtels, plus un vieux couvent. Les hôtels situés les uns rue Saint-Dominique, les autres rue de l'Université, car ce
ministère envahisseur chevauche sur deux rues, sont d'abord : — rue Saint-Dominique, l'hôtel de Brienne, où mourut, en 1794,
le cardinal du même nom ministre de Louis XVI, où Lucien Bonaparte s'était fait une si belle collection de tableaux, et qui fut
acheté, en 1804, par Mme Laetitia; l'hôtel de Conti, bâti au XVIIe siècle pour la duchesse de la Meilleraie-Mazarin, et plus tard
occupé par la princesse-douairière de Conti, qui lui laissa son nom; — rue de l'Université, l'hôtel d'Aiguillon, dont le duc et pair
pour qui on le construisit, est resté le parrain, et enfin le grand hôtel de Mouchy-Noailles. C'est dans celui-ci, qui fut, sous le
premier empire, l'hôtel de la Direction des Mines, qu'on a placé le dépôt de la guerre, auparavant à l'hôtel d'Harcourt, dans la
même rue. Le couvent de Saint-Joseph, qui, ainsi que ces quatre hôtels, se trouve englobé dans l'absorbant ministère, ne vit
longtemps, au lieu des expéditions et des victoires qu'on organise aujourd'hui dans ses anciennes cellules, devenues des bureaux,
que des combats de conversation et de littérature. Un peu plus de cent ans après qu'il eut été fondé pour les Filles de la Providence
ou de Saint-Joseph, dont Mme de Montespan fut la protectrice, et même, en des jours trop rares de repentance, la compagne de
retraite, ce cloître compta parmi ses hôtes la marquise du Deffant. Elle y resta plus d'un demi-siècle. C'est dire que, pendant
tout ce temps, où le monde spirituel passa mille et mille fois, parlant toujours, dans le joli appartement tendu de moire, avec des
noeuds couleur de feu, Saint-Joseph fut un des chefs-lieux les plus brillants de l'esprit. Quiconque n'y était pas venu ne connaissait
rien. « Je serais retourné en Angleterre sans avoir l'idée de ce genre d'esprit qui est particulier à votre nation, écrit à la marquise
le chevalier Mac-Donald, si je n'avais pas été à Ferney et à Saint-Joseph. » Mme du Deffant n'était pas la seule chez qui l'on
causât bien dans ce cloître peu cloîtré. Mme de Vassé, Mlle Ferrant, Mme de Talmont y recevaient grand monde, et Charles-Edouard,
le Prétendant, à l'époque où il se cachait, put vivre pendant trois ans, allant de l'une chez l'autre, sans s'ennuyer un instant. De
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