Titre : Le Mois scientifique et industriel : revue internationale d'information
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1912-07-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32817781p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 13362 Nombre total de vues : 13362
Description : 01 juillet 1912 01 juillet 1912
Description : 1912/07/01 (A14,N155)-1912/07/31. 1912/07/01 (A14,N155)-1912/07/31.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5689480v
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-R-17309
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/01/2011
- Aller à la page de la table des matièresNP
- LE MOIS SCIENTIFIQUE ET INDUSTRIEL REVUE INTERNATIONALE D'INFORMATION 14e Année
- Table des Matières du M. S. I. Juillet 1912. - N° 155
- FORCE MOTRICE
- .......... Page(s) .......... 312
- .......... Page(s) .......... 312
- Influence de la chaleur sur la dureté des aciers à outils avec référence spéciale à la chaleur dégagée par la coupe. (Voir M. M. M., chapitre Fer, Fonte, Acier).
- .......... Page(s) .......... 312
- .......... Page(s) .......... 313
- .......... Page(s) .......... 314
- .......... Page(s) .......... 314
- Compression directe de l'air au moyen d'une chute d'eau. (Voir chapitre précédent).
- .......... Page(s) .......... 317
- Spécifications pour la réception de l'acier (Etablissement de cahiers des charges pour chaudières, acier à forges, essieux, etc.) (Voir M. M. M., chapitre Fer, Fonte, Acier).
- Référ.
- .......... Page(s) .......... 317
- .......... Page(s) .......... 317
- .......... Page(s) .......... 317
- .......... Page(s) .......... 317
- .......... Page(s) .......... 317
- .......... Page(s) .......... 318
- CONSTRUCTION ET GENIE CIVIL
- (Voir à la page A-415 le tableau des cours des Matériaux de construction).
- .......... Page(s) .......... 322
- .......... Page(s) .......... 323
- Recherches sur l'électrolyse des pièces métalliques dans les solutions salines (Application à la corrosion des métaux dans le sol) (Voir M. C. E., chapitre Electrochimie).
- .......... Page(s) .......... 324
- .......... Page(s) .......... 325
- Référ.
- .......... Page(s) .......... 326
- .......... Page(s) .......... 326
- .......... Page(s) .......... 326
- .......... Page(s) .......... 327
- .......... Page(s) .......... 329
- .......... Page(s) .......... 329
- .......... Page(s) .......... 329
- .......... Page(s) .......... 331
- .......... Page(s) .......... 331
- .......... Page(s) .......... 332
- .......... Page(s) .......... 332
- .......... Page(s) .......... 333
- .......... Page(s) .......... 333
- .......... Page(s) .......... 334
- Référ.
- .......... Page(s) .......... 334
- .......... Page(s) .......... 334
- .......... Page(s) .......... 335
- .......... Page(s) .......... 337
- .......... Page(s) .......... 340
- .......... Page(s) .......... 343
- .......... Page(s) .......... 346
- .......... Page(s) .......... 346
- Spécifications pour la réception de l'acier (établissement de cahiers des charges pour chaudières, acier à forger, essieux, etc... - Essais de résistances, analyses chimiques). (Voir M. M. M., chapitre Fer, Fonte, Acier).
- Compteur à eau chaude. (Voir plus haut, chapitre Chauffage).
- .......... Page(s) .......... 347
- .......... Page(s) .......... 347
- .......... Page(s) .......... 350
- .......... Page(s) .......... 351
- Table des Matières du M. M. M. Juillet 1912. - N° 103.
- CHARBONNAGES ET COMBUSTIBLES
- MINERAIS ET MINERAUX
- .......... Page(s) .......... 122
- .......... Page(s) .......... 122
- Recherches sur l'électrolyse des piliers métalliques dans les solutions salines (Voir M. C. E., chapitre Electrochimie)
- .......... Page(s) .......... 122
- .......... Page(s) .......... 122
- .......... Page(s) .......... 122
- .......... Page(s) .......... 123
- .......... Page(s) .......... 124
- FER, FONTE, ACIER
- CUIVRE, PLOMB, ARGENT ET OR
- PETITS METAUX
- (Voir les cours à la page A-419)
- .......... Page(s) .......... 131
- Table des Matières du M. C. E. Juillet 1912. - N° 91
- TABLE DES CHAPITRES N° 155 JUILLET 1912 Vol. XIV
- .......... Page(s) .......... 305
- .......... Page(s) .......... 312
- .......... Page(s) .......... 318
- .......... Page(s) .......... 322
- .......... Page(s) .......... 327
- .......... Page(s) .......... 329
- .......... Page(s) .......... 337
- .......... Page(s) .......... 340
- .......... Page(s) .......... 343
- .......... Page(s) .......... 347
- .......... Page(s) .......... 350
- .......... Page(s) .......... 351
- Mecanique des textiles
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14. AKNÉE lT>l>U_4Trttll.
N" 155
FORCE .'MOTRICE'.:"'.'
est.3 (73)
S. 557-44876.— Utilisation des forces hydrauliques aux Etats-Unis. '
1912. New-York. Blectiical World, n" 19, 1.1 mai, pages 1000 à 1001 (1.800 mots) .(2 fr. 50).
L'utilisation de la force motrice hydraulique a grandement augmenté aux Etats-Unis depuis
quelques années.. C'est ainsi que de 1902 à. 1907, pour la traction électrique et l'éclairage, on
a mis en exploitation 1 million de chevaux de chutes nouvelles. Actuellement, il y a environ
6 millions de chevaux en service aux Etats-Unis. La force encore disponible n'est pas exacte-
ment évaluée, et les appréciations à ce sujet varient beaucoup. On peut, semble-l-il, admettre
qu'il y a encore 35 millions de chevaux inutilisés. Une certaine proportion de celte puissance,
toutefois, ne serait pas facilement exploitable, à cause de l'irrégularité du débit, la faible hauteur
de chute, ou pour diverses autres causes.
Les forces hydrauliques sont très irrégulièrement distribuées aux Etats-Unis; les Etats de
New-:York, Pennsylvanie et Caroline du Sud contiennent plus de la moitié d*s forces utilisées.
L'auteur montre que l'organisation de l'exploitation des forces hydrauliques est assez ifrégu1-.
lière aux Etats-Unis. Les exploitants sont généralement des sociétés qui, souvent, possèdent
toutes les chutes d'un territoire déterminé, ce qui est la meilleure condition, mais, souvent
aussi possèdent des chutes dans divers Etats, n'ayant aucune relation ensemble, ce qui rend
l'exploitation systématique difficile. L'auteur expose enfin que le devoir de l'Etat devrait être,
défavoriser, et même d'assurer la mise en valeur de toutes les forces hydrauliques disponibles,
puisqu'elles représentent une richesse qui se perd continuellement pour tous, tant qu'on ne les
exploite pas. P. C. 0322.
Ajouté de la Rédaction. — Malgré cette dernière appréciation de l'auteur, nous signalerons
que le Département de l'Intérieur à Washington, sous la direction de G. O. Smith, distribue
tous les ans de nombreux volumes contenant un inventaire sans cesse complété des chutes
d'eau disponibles- aux Etats-Unis et qui permettraient à l'ingénieur français d'être, immédiate-
ment, mieux renseigné sur les ressources hydrauliques de la côte Nord-Pacifique ou autre région
dés Etats-.Unis, que sur celles d'un département de son pays. Les Américains, il est vrai,- ont
les premiers compris les services que rend la documentation et peuvent plus que nous se mon-
trer exigeants. • ' 1. 3-1.
631 53: 631.3
S. 558-44188. '— Installation pour la compression directe de l'air au moyen
d'une Chute d'eau, â Cobalt (Ontario, Canada).
1912. Paris. Le Génie Civil [d'après Tlie Engineer], n" 26, 27 avril, pageron) (6 figures) (1 fr.).
Dans les installations de ce genre, dont une de 5.000 chevaux existait déjà depuis plus de
5 ans à la mine Victoria (Michigan, E.-U.), l'eau tombe dans un puits vertical profond, à la
partie supérieure duquel se trouvent des orifices d'entrée d'air de forme spéciale. L'eau, grâce
à sa grande' vitesse d'écoulement, entraîne de l'air qui s'en sépare automatiquement à la base
du puits, dans une chambre souterraine close de grande capacité. L'air comprimé s'accumule
dans'cette chambre, et l'eau est évacuée par un siphon.
La chute d'eau qui alimente l'installation- de Cobalt, connue sous le nom de « Ragged
Chutes », a une hauteur de 15 mètres. L'air comprimé est utilisé dans les exploitations
minières de la région. L'installation secompose, en amont dé là chute, de deux puits paral-
lèles, de 105 mètres de profondeur, réunis par un tunnel de 304 m. 50 de longueur à un autre
puits, placé en aval, de 90 mètres de profondeur (fig. 1 et 2).
Les deux puits d'àmont, espacés de 9 m.-50 d'axe en axe, comportent un cuvelage en tubes
d'acier de 2 m. 60 de diamètre, entouré ûe béton. Au sommet des tubes, le cuvelage est limité
19 Juillet 1913,
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14. AKNÉE lT>l>U_4Trttll.
N" 155
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est.3 (73)
S. 557-44876.— Utilisation des forces hydrauliques aux Etats-Unis. '
1912. New-York. Blectiical World, n" 19, 1.1 mai, pages 1000 à 1001 (1.800 mots) .(2 fr. 50).
L'utilisation de la force motrice hydraulique a grandement augmenté aux Etats-Unis depuis
quelques années.. C'est ainsi que de 1902 à. 1907, pour la traction électrique et l'éclairage, on
a mis en exploitation 1 million de chevaux de chutes nouvelles. Actuellement, il y a environ
6 millions de chevaux en service aux Etats-Unis. La force encore disponible n'est pas exacte-
ment évaluée, et les appréciations à ce sujet varient beaucoup. On peut, semble-l-il, admettre
qu'il y a encore 35 millions de chevaux inutilisés. Une certaine proportion de celte puissance,
toutefois, ne serait pas facilement exploitable, à cause de l'irrégularité du débit, la faible hauteur
de chute, ou pour diverses autres causes.
Les forces hydrauliques sont très irrégulièrement distribuées aux Etats-Unis; les Etats de
New-:York, Pennsylvanie et Caroline du Sud contiennent plus de la moitié d*s forces utilisées.
L'auteur montre que l'organisation de l'exploitation des forces hydrauliques est assez ifrégu1-.
lière aux Etats-Unis. Les exploitants sont généralement des sociétés qui, souvent, possèdent
toutes les chutes d'un territoire déterminé, ce qui est la meilleure condition, mais, souvent
aussi possèdent des chutes dans divers Etats, n'ayant aucune relation ensemble, ce qui rend
l'exploitation systématique difficile. L'auteur expose enfin que le devoir de l'Etat devrait être,
défavoriser, et même d'assurer la mise en valeur de toutes les forces hydrauliques disponibles,
puisqu'elles représentent une richesse qui se perd continuellement pour tous, tant qu'on ne les
exploite pas. P. C. 0322.
Ajouté de la Rédaction. — Malgré cette dernière appréciation de l'auteur, nous signalerons
que le Département de l'Intérieur à Washington, sous la direction de G. O. Smith, distribue
tous les ans de nombreux volumes contenant un inventaire sans cesse complété des chutes
d'eau disponibles- aux Etats-Unis et qui permettraient à l'ingénieur français d'être, immédiate-
ment, mieux renseigné sur les ressources hydrauliques de la côte Nord-Pacifique ou autre région
dés Etats-.Unis, que sur celles d'un département de son pays. Les Américains, il est vrai,- ont
les premiers compris les services que rend la documentation et peuvent plus que nous se mon-
trer exigeants. • ' 1. 3-1.
631 53: 631.3
S. 558-44188. '— Installation pour la compression directe de l'air au moyen
d'une Chute d'eau, â Cobalt (Ontario, Canada).
1912. Paris. Le Génie Civil [d'après Tlie Engineer], n" 26, 27 avril, page
Dans les installations de ce genre, dont une de 5.000 chevaux existait déjà depuis plus de
5 ans à la mine Victoria (Michigan, E.-U.), l'eau tombe dans un puits vertical profond, à la
partie supérieure duquel se trouvent des orifices d'entrée d'air de forme spéciale. L'eau, grâce
à sa grande' vitesse d'écoulement, entraîne de l'air qui s'en sépare automatiquement à la base
du puits, dans une chambre souterraine close de grande capacité. L'air comprimé s'accumule
dans'cette chambre, et l'eau est évacuée par un siphon.
La chute d'eau qui alimente l'installation- de Cobalt, connue sous le nom de « Ragged
Chutes », a une hauteur de 15 mètres. L'air comprimé est utilisé dans les exploitations
minières de la région. L'installation secompose, en amont dé là chute, de deux puits paral-
lèles, de 105 mètres de profondeur, réunis par un tunnel de 304 m. 50 de longueur à un autre
puits, placé en aval, de 90 mètres de profondeur (fig. 1 et 2).
Les deux puits d'àmont, espacés de 9 m.-50 d'axe en axe, comportent un cuvelage en tubes
d'acier de 2 m. 60 de diamètre, entouré ûe béton. Au sommet des tubes, le cuvelage est limité
19 Juillet 1913,
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