Titre : L'Argus économique d'Indochine
Éditeur : [s.n.?] (Saïgon)
Date d'édition : 1930-05-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32701916z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 361 Nombre total de vues : 361
Description : 08 mai 1930 08 mai 1930
Description : 1930/05/08 (N9). 1930/05/08 (N9).
Description : Collection numérique : France-Vietnam Collection numérique : France-Vietnam
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k56734080
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-63664
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2011
L'ARGUS ECONOMIQUE
le fait que leur remploi échappe'à tout con-
trôle extérieur peut dispenser de certains
calculs de prudence et inciter à des inves-
tissements, d'une rentabilité douteuse.
Une gestion défectueuse peut donc se
traduire par une déperdition de capital,
d'un capital 1 dont l'apport aurait pu être
fructueux dans d'autres entreprises.
Le dernier inconvénient concerne la
tenue même du marché des actions. Le
procédé du financement interne peut
fausser les rapports entre les Sociétés par
actions et leurs actionnaires. D'abord
parce que.l'actionnaire a droit à une part
convenable de bénéfice, dans la mesure
de sa participation. Tout actionnaire
supportera malaisément de voir les divi-
dendes: rognés dans les années prospères
et diminués 'davantage- encore dans les
mauvaises années. L'actionnaire réduit à
la portion congrue finira, si son propre
revenu en souffre trop, par rechercher
une autre rémunération de son capital.
D'autre part, l'actionnaire « stable »
disparaissant risque d'être remplacé par
le spéculateur hasardeux qui attache moins
de valeur au revenu qu'à la possibilité
do la plus-value par hausse des cours.
C'est cette catégorie d'actionnaires qui,
en temps de haute conjoncture, gonfle
artificiellement les cours, et qui, au pre-
mier fléchissement du marché, se débar-
rasse de ses titres et provoque les effondre-
ments. Le marché des actions, même des
plus solides, risque de devenir ainsi le
jouet de la spéculation pure et d'être sou-
mis à des fluctuations préjudiciables au
renom des valeurs mobilières elles-mêmes.
Il paraît presque impossible d'établir'
une règle générale permettant de juger
de la valeur du procédé de financement
choisi par les sociétés. Ce choix, la plupart
du temps, ne peut s'inspirer que des cir-
constances financières du moment et de
. la nature de l'entreprise. Le financement
interne, même effectué à l'aide de réserve
occultes, ne saurait être critiqué à priori.
Mais il appartient aux administrateurs
avisés des sociétés de déterminer, dans
chaque cas, la limite au-dessous de la-
quelle le dividende-ne saurait être abaissé
sans influencer défavorablement le marché
des actions, limite à partir de laquelle le
financement interne peut s'effectuer dans
l'intérêt de l'entreprise et des actionnaires
stables.
STATISTIQUE
Le trafic aérien allemand en 1929
La.Deutsche Lufthansa vient de publier
l'intéressante documentation suivante sur
son activité au -;cours de l'année 1929
comparée avec 1928 :
1-939; 1928
Kilomètres..... 8.237.872 9.590.570
Voyageurs..... 87.019 111.115
Bagages 690;. 609 868-. 460
Marchandises... 921.302 900.422'
Poste' 263.002 261.750
■ On constate une baisse sur le kilomé-
trage de. 14 % ; sur le nombre dès voya-
geùrsde21,7 %, et surlepôids des iSagages
de 20,5 %; Légère hausse de.2,3 % sur le
poids des marchandises et de 0,5 % sur
celui de la poste.
QUESTIONS DOUANIÈRES
La taxe à l'importation
des automobiles étrangères
La commission des douanes de la Cham-
bre a discuté le rapport de M. Taudière
sur les nouveaux droits spécifiques appli-
cables aux automobiles étrangères en
remplacement des droits ad valorem.
Cette commission a repoussé par 7 voix
contre 7 les chiffres du rapporteur quelle
a trouvés trop élevés et ensuite ceux ins-
crits dans l'amendement de M. Scapini
qu'elle a trouvés insuffisants. A la suite de
quoi, le député de Paris a-retiré son amen-
dement.
Par contre, à l'unanimité, la commis-
sion a accepté le principe de l'amende-
ment déposé par M. Boisseau, député do
l'Aube, tendant à accorder à l'industrie
française de l'automobile une protection
de 20 %.
M.. Taudière, doiit le projet aboutissait
pratiquement à un taux de 35 %, a été
chargé de remanier son rapport en consé-
quence. . ,-
D'autre part, le groupe parlementaire
de l'automobile, réuni sous la présidence
de M. Lucien Lamoureux, a reçu-une délé-
gation composée du baron Petiet, prési-
dent de la Fédération nationale de l'Auto-
mobile ; de MM. Renault, Citroën, Peu-
geot et Duchon, qui avaient demandé à
être entendus pour exposer le point de vue
de l'industrie de l'automobile sur les pro-
jets de loi relatifs à la modification du
tarif douanier.
Après un exposé de la question par M.
Scapini, auteur d'un contre-projet au
projet du gouvernement, M. Duchon a
indiqué au groupe dans quelle situation
se trouvait l'industrie automobile fran-
çaise par rapport à l'industrie américaine.
M. Renault exposa ensuite que, malgré
des conditions défavorables, les industriels
français avaient réalisé un effort supérieur
â celui des Américains.
Après une. discussion à laquelle ont pris
part MM. Taudière, Hymans, Scapini,
Renault, Citroën et Duchon, le groupe a
décidé de reprendre l'examen de là ques-
tion lorsque:; la commission des douanes
aura terminé l'étude des projets.
Le groupe a ensuite entendu un exposé
de M. Chariot sur les divers problèmes
qui intéressent les cycles et motocycles
et a adopté le principe de la constitution
d'une sous-commission spéciale qui serait
chargée de les étudier.
M. È. C. Mathis, le constructeur stras-
bourgeois, qui revient d'un long voyage
d'études aux Etals-Unis, où il a rencontré
de nombreux producteurs américains, a
bien voulu nous donner son avis sur la
question desïtarifs douaniers et, nous a-t-il
déclaré, il considère parfaitement légi- i
time l'augmentation des droits d'entrée.
La conversation s'est ainsi poursuivie : j
— Comment ' envisagez-vous une modi- t
fication possible au larif actuel ? . <
— Le nouveau tarif doit être suffisant i
pour compenser les lourdes charges fisca- <'l
les grevant nrindustrie automobile fram
;aise, qui l'obligent à produire plus cher i
que l'industrie américaine. r
Mais il ne faut pas que l'augmentation
soit telle que le' nouveau' tarif encourage
certaines puissantes firmes étrangères à
s'établir en France pour la fabrication. Le
taux utile et suffisant serait celui de 7
à 8 francs le kilo, équivalant à un droit
de 100 % ad valorem au lieu du droit de
45 % ad valorem actuellement en vigueur.
Pour éviter toutes difficultés d'interpré-
tation et d'application, le mieux serait
d'adopter un taux unique au kilogramme,
tant pour les voitures que pour les pièces
détachées, sauf quelques rares exceptions
telles que : carburateur ou appareillage
électrique, à soumettre à un tarif plus
élevé.
— Quelles seraient, à votre avis, les con-
séquences des projets actuels ?
— Un tarif prohibitif tel qu'il est prévu
dans les projets de loi, aurait pour résultat
d'amener certaines maisons américaines
'à prendre pied en France pour l'usinage.
— Enfin, quelle impression rapporlez-
,vous de voire séjour aux Etats-Unis ?
— Les grands chefs de l'industrie auto-
mobile américaine, dont je crois bien con-
naître l'état d'esprit, jugent que la France,
l'Allemagne et l'Italie sont les trois pays
dans lesquels l'importation américaine ne
justifie pas de trop grands efforts. Ils rap-
pellent que ce sont ces trois pays qui leur
ont enseigné la construction de la voiture
automobile.
Ils sont d'avis aussi que ce sont préci-
sément des pays dont l'exportation aug-
mentera et qui deviendront ainsi un con-
current dangereux le jour où l'industrie
automobile n'y sera plus frappée, comme
elle l'est actuellement, même pour l'ex-
portation d'impôts trop élevés, la cas-
cade des 2 % en France, par exemple.
Ils vont jusqu'à considérer que c'est
rendre un service à l'industrie américaine
de la décourager un peu, par une augmen-
tation raisonnable des droits de douane, à
faire dans ces pays des dépenses élevées,
puisque de tous temps, la plupart des in-
dustries américaines y ont perdu de l'ar-
gent. Ils pensent qu'ils trouveront plus
d'avantages à accroître leurs efforts dans
les pays d'Europe où il n'y a pas d'indus-
trie automobile.
Telles furent les dernières déclarations
du constructeur de Strasbourg.
Prédiction américaine
. Ci-dessous, la conclusion d'un article
de Y Automobile News de New-York :
« Par ses- usines de fabrication à l'é-
tranger, l'industrie automobile américaine
aura sur l'avenir des pays d'Europe, un
effet plus grand, que celui queM.de Hohen-
zollenî aurait obtenu, s'il avait réalisé le
plus fou- de ses rêves prodigieux. »
Il est facile d'en déduire que notre con-
frère préconise l'édification d'usines amé-
ricaines sur le vieux continent.
le fait que leur remploi échappe'à tout con-
trôle extérieur peut dispenser de certains
calculs de prudence et inciter à des inves-
tissements, d'une rentabilité douteuse.
Une gestion défectueuse peut donc se
traduire par une déperdition de capital,
d'un capital 1 dont l'apport aurait pu être
fructueux dans d'autres entreprises.
Le dernier inconvénient concerne la
tenue même du marché des actions. Le
procédé du financement interne peut
fausser les rapports entre les Sociétés par
actions et leurs actionnaires. D'abord
parce que.l'actionnaire a droit à une part
convenable de bénéfice, dans la mesure
de sa participation. Tout actionnaire
supportera malaisément de voir les divi-
dendes: rognés dans les années prospères
et diminués 'davantage- encore dans les
mauvaises années. L'actionnaire réduit à
la portion congrue finira, si son propre
revenu en souffre trop, par rechercher
une autre rémunération de son capital.
D'autre part, l'actionnaire « stable »
disparaissant risque d'être remplacé par
le spéculateur hasardeux qui attache moins
de valeur au revenu qu'à la possibilité
do la plus-value par hausse des cours.
C'est cette catégorie d'actionnaires qui,
en temps de haute conjoncture, gonfle
artificiellement les cours, et qui, au pre-
mier fléchissement du marché, se débar-
rasse de ses titres et provoque les effondre-
ments. Le marché des actions, même des
plus solides, risque de devenir ainsi le
jouet de la spéculation pure et d'être sou-
mis à des fluctuations préjudiciables au
renom des valeurs mobilières elles-mêmes.
Il paraît presque impossible d'établir'
une règle générale permettant de juger
de la valeur du procédé de financement
choisi par les sociétés. Ce choix, la plupart
du temps, ne peut s'inspirer que des cir-
constances financières du moment et de
. la nature de l'entreprise. Le financement
interne, même effectué à l'aide de réserve
occultes, ne saurait être critiqué à priori.
Mais il appartient aux administrateurs
avisés des sociétés de déterminer, dans
chaque cas, la limite au-dessous de la-
quelle le dividende-ne saurait être abaissé
sans influencer défavorablement le marché
des actions, limite à partir de laquelle le
financement interne peut s'effectuer dans
l'intérêt de l'entreprise et des actionnaires
stables.
STATISTIQUE
Le trafic aérien allemand en 1929
La.Deutsche Lufthansa vient de publier
l'intéressante documentation suivante sur
son activité au -;cours de l'année 1929
comparée avec 1928 :
1-939; 1928
Kilomètres..... 8.237.872 9.590.570
Voyageurs..... 87.019 111.115
Bagages 690;. 609 868-. 460
Marchandises... 921.302 900.422'
Poste' 263.002 261.750
■ On constate une baisse sur le kilomé-
trage de. 14 % ; sur le nombre dès voya-
geùrsde21,7 %, et surlepôids des iSagages
de 20,5 %; Légère hausse de.2,3 % sur le
poids des marchandises et de 0,5 % sur
celui de la poste.
QUESTIONS DOUANIÈRES
La taxe à l'importation
des automobiles étrangères
La commission des douanes de la Cham-
bre a discuté le rapport de M. Taudière
sur les nouveaux droits spécifiques appli-
cables aux automobiles étrangères en
remplacement des droits ad valorem.
Cette commission a repoussé par 7 voix
contre 7 les chiffres du rapporteur quelle
a trouvés trop élevés et ensuite ceux ins-
crits dans l'amendement de M. Scapini
qu'elle a trouvés insuffisants. A la suite de
quoi, le député de Paris a-retiré son amen-
dement.
Par contre, à l'unanimité, la commis-
sion a accepté le principe de l'amende-
ment déposé par M. Boisseau, député do
l'Aube, tendant à accorder à l'industrie
française de l'automobile une protection
de 20 %.
M.. Taudière, doiit le projet aboutissait
pratiquement à un taux de 35 %, a été
chargé de remanier son rapport en consé-
quence. . ,-
D'autre part, le groupe parlementaire
de l'automobile, réuni sous la présidence
de M. Lucien Lamoureux, a reçu-une délé-
gation composée du baron Petiet, prési-
dent de la Fédération nationale de l'Auto-
mobile ; de MM. Renault, Citroën, Peu-
geot et Duchon, qui avaient demandé à
être entendus pour exposer le point de vue
de l'industrie de l'automobile sur les pro-
jets de loi relatifs à la modification du
tarif douanier.
Après un exposé de la question par M.
Scapini, auteur d'un contre-projet au
projet du gouvernement, M. Duchon a
indiqué au groupe dans quelle situation
se trouvait l'industrie automobile fran-
çaise par rapport à l'industrie américaine.
M. Renault exposa ensuite que, malgré
des conditions défavorables, les industriels
français avaient réalisé un effort supérieur
â celui des Américains.
Après une. discussion à laquelle ont pris
part MM. Taudière, Hymans, Scapini,
Renault, Citroën et Duchon, le groupe a
décidé de reprendre l'examen de là ques-
tion lorsque:; la commission des douanes
aura terminé l'étude des projets.
Le groupe a ensuite entendu un exposé
de M. Chariot sur les divers problèmes
qui intéressent les cycles et motocycles
et a adopté le principe de la constitution
d'une sous-commission spéciale qui serait
chargée de les étudier.
M. È. C. Mathis, le constructeur stras-
bourgeois, qui revient d'un long voyage
d'études aux Etals-Unis, où il a rencontré
de nombreux producteurs américains, a
bien voulu nous donner son avis sur la
question desïtarifs douaniers et, nous a-t-il
déclaré, il considère parfaitement légi- i
time l'augmentation des droits d'entrée.
La conversation s'est ainsi poursuivie : j
— Comment ' envisagez-vous une modi- t
fication possible au larif actuel ? . <
— Le nouveau tarif doit être suffisant i
pour compenser les lourdes charges fisca- <'l
les grevant nrindustrie automobile fram
;aise, qui l'obligent à produire plus cher i
que l'industrie américaine. r
Mais il ne faut pas que l'augmentation
soit telle que le' nouveau' tarif encourage
certaines puissantes firmes étrangères à
s'établir en France pour la fabrication. Le
taux utile et suffisant serait celui de 7
à 8 francs le kilo, équivalant à un droit
de 100 % ad valorem au lieu du droit de
45 % ad valorem actuellement en vigueur.
Pour éviter toutes difficultés d'interpré-
tation et d'application, le mieux serait
d'adopter un taux unique au kilogramme,
tant pour les voitures que pour les pièces
détachées, sauf quelques rares exceptions
telles que : carburateur ou appareillage
électrique, à soumettre à un tarif plus
élevé.
— Quelles seraient, à votre avis, les con-
séquences des projets actuels ?
— Un tarif prohibitif tel qu'il est prévu
dans les projets de loi, aurait pour résultat
d'amener certaines maisons américaines
'à prendre pied en France pour l'usinage.
— Enfin, quelle impression rapporlez-
,vous de voire séjour aux Etats-Unis ?
— Les grands chefs de l'industrie auto-
mobile américaine, dont je crois bien con-
naître l'état d'esprit, jugent que la France,
l'Allemagne et l'Italie sont les trois pays
dans lesquels l'importation américaine ne
justifie pas de trop grands efforts. Ils rap-
pellent que ce sont ces trois pays qui leur
ont enseigné la construction de la voiture
automobile.
Ils sont d'avis aussi que ce sont préci-
sément des pays dont l'exportation aug-
mentera et qui deviendront ainsi un con-
current dangereux le jour où l'industrie
automobile n'y sera plus frappée, comme
elle l'est actuellement, même pour l'ex-
portation d'impôts trop élevés, la cas-
cade des 2 % en France, par exemple.
Ils vont jusqu'à considérer que c'est
rendre un service à l'industrie américaine
de la décourager un peu, par une augmen-
tation raisonnable des droits de douane, à
faire dans ces pays des dépenses élevées,
puisque de tous temps, la plupart des in-
dustries américaines y ont perdu de l'ar-
gent. Ils pensent qu'ils trouveront plus
d'avantages à accroître leurs efforts dans
les pays d'Europe où il n'y a pas d'indus-
trie automobile.
Telles furent les dernières déclarations
du constructeur de Strasbourg.
Prédiction américaine
. Ci-dessous, la conclusion d'un article
de Y Automobile News de New-York :
« Par ses- usines de fabrication à l'é-
tranger, l'industrie automobile américaine
aura sur l'avenir des pays d'Europe, un
effet plus grand, que celui queM.de Hohen-
zollenî aurait obtenu, s'il avait réalisé le
plus fou- de ses rêves prodigieux. »
Il est facile d'en déduire que notre con-
frère préconise l'édification d'usines amé-
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