Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1865-11-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 novembre 1865 01 novembre 1865
Description : 1865/11/01 (A11,T11,N131)-1865/11/30. 1865/11/01 (A11,T11,N131)-1865/11/30.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5665806w
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
145
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — 11» ANNÉE. — NOVEMBRE 1865.
146
W 131. — ttowmbtt 1865.
PL. 43, hh, 45, Ù6.
SOMMAIRE.
TEXIK. — Notes et Documents. — Quartier d'infanterie Saint-Charles, à
Marseille (PI. 43-44). — Expériences faites sur la stabilité des Voûtes en briques,
par M. H. FONTAINE, Ingénieur (PI. 45). — Écluse double rie Hohensaathen (Oder
inférieur), par M. RUHNAU (PI. 40). — Revue étrangères. Zeitung des Vereins Veulscher eisenbahn-verwaltungen (M. J. W.
KOCH. Leipzig). — Livraisons Nos 27, 28 et 39.
PLANCHES. — 43-44. Quartier d'infanterie Saint-Charles, à Marseille. — 45. Ex-
périences faites sur la stabilité des Voûtes en briques, par M. H. FONTAINE, Ingénieur.
— 4G. Écluse double de Hohensaâlhen (Oder Inférieur), par SI. HUHNAU.
fOTES ET DOCUMENTS.
X -4 Quartier - «l'Infanterie Saint-Otaries, à Marseille.
\£^1\W*/ PL. 45-44.
Les grands travaux projetés à Marseille, pour l'agrandissement du
port et l'embellissement de la ville, nécessitant la réorganisation, sur
des emplacements nouveaux, de la plupart des établissements mili-
taires, qui étaient généralement d'ailleurs d'anciennes constructions
mal appropriées à leur destination, des conférences furent ouvertes
dans le courant de 1858, entre les services intéressés du DépaYtement
de la Guerre et la Ville, dans le but d'aviser aux voies et moyens de
reconstruire ceux de ces établissements qui devaient disparaître.
C'est à la suite de ces conférences qu'intervint entre la Ville et
l'État, à la date du 10 Octobre 1859, un traité aux termes duquel l'État
renonçait à l'usufruit de la caserne .des incurables, dont la nue pro-
priété appartenait à la Ville, et faisait abandon à celle-ci des divers
immeubles affectés au service militaire, dont la valeur était évaluée à
3,140,000 fr. environ. La Ville était en outre exonérée du payement
d'une somme de 35,000 fr. qu'elle dépensait annuellement pour as-
surer le casernement des troupes; mais elle s'engageait à mettre à la
disposition du Déparlement de la Guerre un crédit de 4,644,950 fr. pour
la construction d'une caserne d'infanterie de 2,400 hommes, d'une
caserne de cavalerie pour deux escadrons, d'une caserne pour deux
batteries d'artillerie, d'un établissement du campement, et enfin pour
la réorganisation de l'arsenal d'artillerie.
Sans intervenir dans la question des dispositions à adopter pour ces
établissements, elle stipula néanmoins que la nouvelle caserne d'infan-
terie aurait un aspect monumental, afin qu'elle contribuât à embellir
la, cité.
Choix de l'emplacement et Dispositions d'ensemble.
On a fait choix, pour établir cette caserne, d'un vaste emplacement
situé sur le mamelon Saint-Charles, en arrière de la gare commune des
chemins de fer de Lyon et de Toulon, à l'Ouest de l'embranchement du
. port de la Joliette.
Cet emplacement, d'une superficie de 2"cct.40\52, satisfait à toutes
les convenances, tant sous le rapport militaire qu'au point de vue de
la salubrité et de la facilité des abords. En effet, complètement isolée
de toutes parts., et reliée cependant avec la ville par des avenues
larges et commodes, la nouvelle caserne domine tous les établisse-
ments militaires groupés autour d'elle, et protège la gare du chemin
de Ter. D'un autre côté, de la position qu'elle occupe et qui est une
des plus salubres de la ville, on découvre une grande partie de la mer,
et sa cour principale est abritée par la masse des constructions contre
le vent de mistral, si fréquent et si redouté à Marseille.
Le site et la forme du terrain, le tracé des communications avoisi-
nantes, enfin l'effectif à loger ont déterminé le plan du nouveau quar-
tier et l'orientation du bâtiment principal. On ne pouvait en effet ouvrir
l'entrée de l'établissement qu'au Sud, et disposer le corps de logis
principal que parallèlement à la clôture Nord et à peu de distance de
cette dernière. /
Ce bâtiment, élevé de deux étages au-dessus du rez-de-chaussée et
surmonté de mansardes, est destiné au logement de la troupe et à
— 237
l'installation des principaux accessoires. Il est terminé par deux ailes
en retour, ayant sur sa façade Sud une saillie de 52 mètres.
En avant de ces constructions, s'étend une cour de 75 mètres de
profondeur, fermée par une grille qui ne s'arrête qu'au prolongement
des façades extérieures des deux ailes de manière à démasquer com-
plètement au dehors les constructions dont il s'agit; on a réduit autant
que possible, dans le même but, les dimensions des deux pavillons
élevés à droite et à gauche de l'entrée du quartier, et qui sont affectés
au corps de garde de police et au logement du casernier.
Les cuisines, les locaux disciplinaires, l'écurie des chevaux des officiers
supérieurs, ont trouvé place dans la partie Est du quartier, dont la
forme, quoique irrégulière, ne gênait cependant pas leur installation.
Ils occupent deux petits pavillons a simple rez-de-chaussée, construits
dans le même genre que les pavillons d'entrée. Les latrines sont pla-
cées dans les angles de la cour; enfin on a réservé, pour l'installation
des magasins aux munitions régimentaires, un petit terrain situé à
l'angle Nord-Est de la cour principale, et dont la forme angulaire ré-
sulte du tracé des rues avoisinantes.
Organisation et détails du Bâtiment principal.
Dans la plupart des quartiers d'infanterie construits en France depuis
le commencement de ce siècle, on a adopté pour les chambres de sol-
dats une largeur de 6 à 7 mètres, de manière à y disposer deux rangs
de lits adossés contre les murs latéraux, et laissant entre eux un inter-
valle de 2m.50à 3 mètres, et l'on a éclairé ces chambres sur chacuue des
façades par une ou deux fenêtres.
Dans le premier cas, les lits sont, il est vrai, bien abrités contre les
courants d'air qui tendent à se produire d'une façade à l'autre; mais
l'entre-axe étant nécessairement considérable, il eu résulte que la con-
struction est généralement d'un aspect lourd et disgracieux. Il arrive
fréquemment en outre, surtout avec des bâtiments d'une grande largeur,
que les chambres sont insuffisamment éclairées en leur milieu. Enfin, si,
dans le but d'avoir un autre axe égal dans toute la longueur des bâti-
ments, on s'astreint à conserver aux cages des escaliers la même lar-
geur qu'aux travées adjacentes, on a perar ces cages une largeur exa-
gérée eu égard au nombre d'hommes qui doivent les parcourir, et qui
fait perdre un espace souvent précieux et occasionne des dépenses con-
sidérables; aussi, pour éviter ces inconvénients, réduit-on souvent le
nombre des escaliers au détriment de la facilité des communica-
tions.
Lorsque l'on éclaire les chambres par deux fenêtres sur chacune des
façades, il est difficile d'approcher de ces fenêtres dont les embrasures
sont obstruées par les lits. En même temps, la région occupée par
ceux-ci se trouve exposée aux courants d'air directs et les ouvertures
extérieures sont en général trop multipliées pour des bâtiments du
genre de ceux dont il s'agit.
Ces considérations, qui avaient déjà conduit à adopter partiellement
pour la caserne du Prince-Eugène à Paris, des chambres éclairées sur
chacune des deux façades par trois fenêtres et disposées pour recevoir
quatre rangs de lits, ont déterminé à admettre ces dispositions d'une
manière générale pour la caserne Saint-Charles à Marseille.
Ces chambres, dont la largeur est de 13 mètres, sont divisées dans le
milieu par une cloison transversale de 2 à 3 mètres de hauteur,
que l'on arrête à 1"'.10 de chacune des façades, de manière à réserver
un passage le long de ces façades. Des quatre rangs de lits qu'elles
contiennent, deux sont adossés à la cloison transversale du milieu, et
sont garantis par des demi-stalles contre les courants d'air d'air pro-
venant des fenêtres. Quant aux deux autres rangs qui sont appuyés
contre les murs transversaux et qui sont abrités par le plein des tru-
meaux, on n'a pas eu à prendre des précautions analogues, si ce n'est
à droite et à gauche des portes d'entrée, qui sont placées d'ailleurs
sur l'axe longitudinal du bâtiment.
On attribue a ces dispositions l'avantage : de bien soustraire les ran-
gées de lits aux courants d'air directs qui se produisent entre les deux
façades;, de rendre facile l'accès des embrasures des fenêtres; de con-
duire à adopter un entre-axe qui est d'un bon effet architectonique pour
les bâtiments destinés au casernement; enfin, de donner aux cages des
escaliers une largeur convenable eu égard à la contenance des cham-
1856.-—19
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — 11» ANNÉE. — NOVEMBRE 1865.
146
W 131. — ttowmbtt 1865.
PL. 43, hh, 45, Ù6.
SOMMAIRE.
TEXIK. — Notes et Documents. — Quartier d'infanterie Saint-Charles, à
Marseille (PI. 43-44). — Expériences faites sur la stabilité des Voûtes en briques,
par M. H. FONTAINE, Ingénieur (PI. 45). — Écluse double rie Hohensaathen (Oder
inférieur), par M. RUHNAU (PI. 40). — Revue
KOCH. Leipzig). — Livraisons Nos 27, 28 et 39.
PLANCHES. — 43-44. Quartier d'infanterie Saint-Charles, à Marseille. — 45. Ex-
périences faites sur la stabilité des Voûtes en briques, par M. H. FONTAINE, Ingénieur.
— 4G. Écluse double de Hohensaâlhen (Oder Inférieur), par SI. HUHNAU.
fOTES ET DOCUMENTS.
X -4 Quartier - «l'Infanterie Saint-Otaries, à Marseille.
\£^1\W*/ PL. 45-44.
Les grands travaux projetés à Marseille, pour l'agrandissement du
port et l'embellissement de la ville, nécessitant la réorganisation, sur
des emplacements nouveaux, de la plupart des établissements mili-
taires, qui étaient généralement d'ailleurs d'anciennes constructions
mal appropriées à leur destination, des conférences furent ouvertes
dans le courant de 1858, entre les services intéressés du DépaYtement
de la Guerre et la Ville, dans le but d'aviser aux voies et moyens de
reconstruire ceux de ces établissements qui devaient disparaître.
C'est à la suite de ces conférences qu'intervint entre la Ville et
l'État, à la date du 10 Octobre 1859, un traité aux termes duquel l'État
renonçait à l'usufruit de la caserne .des incurables, dont la nue pro-
priété appartenait à la Ville, et faisait abandon à celle-ci des divers
immeubles affectés au service militaire, dont la valeur était évaluée à
3,140,000 fr. environ. La Ville était en outre exonérée du payement
d'une somme de 35,000 fr. qu'elle dépensait annuellement pour as-
surer le casernement des troupes; mais elle s'engageait à mettre à la
disposition du Déparlement de la Guerre un crédit de 4,644,950 fr. pour
la construction d'une caserne d'infanterie de 2,400 hommes, d'une
caserne de cavalerie pour deux escadrons, d'une caserne pour deux
batteries d'artillerie, d'un établissement du campement, et enfin pour
la réorganisation de l'arsenal d'artillerie.
Sans intervenir dans la question des dispositions à adopter pour ces
établissements, elle stipula néanmoins que la nouvelle caserne d'infan-
terie aurait un aspect monumental, afin qu'elle contribuât à embellir
la, cité.
Choix de l'emplacement et Dispositions d'ensemble.
On a fait choix, pour établir cette caserne, d'un vaste emplacement
situé sur le mamelon Saint-Charles, en arrière de la gare commune des
chemins de fer de Lyon et de Toulon, à l'Ouest de l'embranchement du
. port de la Joliette.
Cet emplacement, d'une superficie de 2"cct.40\52, satisfait à toutes
les convenances, tant sous le rapport militaire qu'au point de vue de
la salubrité et de la facilité des abords. En effet, complètement isolée
de toutes parts., et reliée cependant avec la ville par des avenues
larges et commodes, la nouvelle caserne domine tous les établisse-
ments militaires groupés autour d'elle, et protège la gare du chemin
de Ter. D'un autre côté, de la position qu'elle occupe et qui est une
des plus salubres de la ville, on découvre une grande partie de la mer,
et sa cour principale est abritée par la masse des constructions contre
le vent de mistral, si fréquent et si redouté à Marseille.
Le site et la forme du terrain, le tracé des communications avoisi-
nantes, enfin l'effectif à loger ont déterminé le plan du nouveau quar-
tier et l'orientation du bâtiment principal. On ne pouvait en effet ouvrir
l'entrée de l'établissement qu'au Sud, et disposer le corps de logis
principal que parallèlement à la clôture Nord et à peu de distance de
cette dernière. /
Ce bâtiment, élevé de deux étages au-dessus du rez-de-chaussée et
surmonté de mansardes, est destiné au logement de la troupe et à
— 237
l'installation des principaux accessoires. Il est terminé par deux ailes
en retour, ayant sur sa façade Sud une saillie de 52 mètres.
En avant de ces constructions, s'étend une cour de 75 mètres de
profondeur, fermée par une grille qui ne s'arrête qu'au prolongement
des façades extérieures des deux ailes de manière à démasquer com-
plètement au dehors les constructions dont il s'agit; on a réduit autant
que possible, dans le même but, les dimensions des deux pavillons
élevés à droite et à gauche de l'entrée du quartier, et qui sont affectés
au corps de garde de police et au logement du casernier.
Les cuisines, les locaux disciplinaires, l'écurie des chevaux des officiers
supérieurs, ont trouvé place dans la partie Est du quartier, dont la
forme, quoique irrégulière, ne gênait cependant pas leur installation.
Ils occupent deux petits pavillons a simple rez-de-chaussée, construits
dans le même genre que les pavillons d'entrée. Les latrines sont pla-
cées dans les angles de la cour; enfin on a réservé, pour l'installation
des magasins aux munitions régimentaires, un petit terrain situé à
l'angle Nord-Est de la cour principale, et dont la forme angulaire ré-
sulte du tracé des rues avoisinantes.
Organisation et détails du Bâtiment principal.
Dans la plupart des quartiers d'infanterie construits en France depuis
le commencement de ce siècle, on a adopté pour les chambres de sol-
dats une largeur de 6 à 7 mètres, de manière à y disposer deux rangs
de lits adossés contre les murs latéraux, et laissant entre eux un inter-
valle de 2m.50à 3 mètres, et l'on a éclairé ces chambres sur chacuue des
façades par une ou deux fenêtres.
Dans le premier cas, les lits sont, il est vrai, bien abrités contre les
courants d'air qui tendent à se produire d'une façade à l'autre; mais
l'entre-axe étant nécessairement considérable, il eu résulte que la con-
struction est généralement d'un aspect lourd et disgracieux. Il arrive
fréquemment en outre, surtout avec des bâtiments d'une grande largeur,
que les chambres sont insuffisamment éclairées en leur milieu. Enfin, si,
dans le but d'avoir un autre axe égal dans toute la longueur des bâti-
ments, on s'astreint à conserver aux cages des escaliers la même lar-
geur qu'aux travées adjacentes, on a perar ces cages une largeur exa-
gérée eu égard au nombre d'hommes qui doivent les parcourir, et qui
fait perdre un espace souvent précieux et occasionne des dépenses con-
sidérables; aussi, pour éviter ces inconvénients, réduit-on souvent le
nombre des escaliers au détriment de la facilité des communica-
tions.
Lorsque l'on éclaire les chambres par deux fenêtres sur chacune des
façades, il est difficile d'approcher de ces fenêtres dont les embrasures
sont obstruées par les lits. En même temps, la région occupée par
ceux-ci se trouve exposée aux courants d'air directs et les ouvertures
extérieures sont en général trop multipliées pour des bâtiments du
genre de ceux dont il s'agit.
Ces considérations, qui avaient déjà conduit à adopter partiellement
pour la caserne du Prince-Eugène à Paris, des chambres éclairées sur
chacune des deux façades par trois fenêtres et disposées pour recevoir
quatre rangs de lits, ont déterminé à admettre ces dispositions d'une
manière générale pour la caserne Saint-Charles à Marseille.
Ces chambres, dont la largeur est de 13 mètres, sont divisées dans le
milieu par une cloison transversale de 2 à 3 mètres de hauteur,
que l'on arrête à 1"'.10 de chacune des façades, de manière à réserver
un passage le long de ces façades. Des quatre rangs de lits qu'elles
contiennent, deux sont adossés à la cloison transversale du milieu, et
sont garantis par des demi-stalles contre les courants d'air d'air pro-
venant des fenêtres. Quant aux deux autres rangs qui sont appuyés
contre les murs transversaux et qui sont abrités par le plein des tru-
meaux, on n'a pas eu à prendre des précautions analogues, si ce n'est
à droite et à gauche des portes d'entrée, qui sont placées d'ailleurs
sur l'axe longitudinal du bâtiment.
On attribue a ces dispositions l'avantage : de bien soustraire les ran-
gées de lits aux courants d'air directs qui se produisent entre les deux
façades;, de rendre facile l'accès des embrasures des fenêtres; de con-
duire à adopter un entre-axe qui est d'un bon effet architectonique pour
les bâtiments destinés au casernement; enfin, de donner aux cages des
escaliers une largeur convenable eu égard à la contenance des cham-
1856.-—19
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