Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1874-02-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 février 1874 01 février 1874
Description : 1874/02/01 (A20,N230)-1874/02/28. 1874/02/01 (A20,N230)-1874/02/28.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k56528251
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
17 • NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. ■— 20» ANNÉE. — FÉVRIER 1874. 18
SORBMAÏÏSE.
TEXTE. — Wotes et s»ocuinen4s. — Distribution d'Eau de Lille, par M. MAS-
QUEREZ, Ingénieur en chef desPonts et Chaussées, Directeur des Travaux Municipaux.
—Distribution des Eaux du Rhône dans les départements delà Drôme, de Yaucluse, du
Gard et de l'Hérault. — EB-evnc «les chemins «le fer. — Raccordement du che-
min de fer de Yiftcennes avec le réseau de l'Est (Mulhouse) par Champigny. — Sta-
tistique sles fravaire publics et de la Comstïactîoii. — Variations des
Prix des Fers et Tôles en 1873.
jptAJXClOEÉS. — 7-8. Bâtiments des machines. — 9. Prise d'eau, Source de Gtier-
manéz. — 10. Réservoir supérieur.
NOTES ET DOCUMENTS..
EBistriltoiratioM. - d'JEàii de Mlle.
Par M. MASQHÈLEZ, Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées.
Directeur des Travaux Municipaux.
L'établissement d'un service régulier de distribution d'eau dans les
principales villes et même dans les localités secondaires est un des
points les plus importants du programme de l'édilité moderne, car
trop longtemps cet élément capital de l'hygiène publique a été né-
gligé, et les seules villes qui étaient bien alimentées, il y a deux siècles
à peine, avaient hérité de la période gréco-romaine ou arabe, et uti-
lisaient des canalisations antiques plus ou moins incomplètement res-
taurées.
Il appartiendra à ce siècle d'avoir repris en main cette question ca-
pitale avec une étude plus sérieuse encore des principes généraux et
avec application de moyens d'action plus savants, tels que les machines
élévatoires à vapeur, les tuyaux et siphons métalliques, les distri-
butions à haute pression, le service domestique à tous les étages des
maisons, les procédés de filtrage perfectionnés, etc.
Nous avons déjà fait ressortir dans un premier article {Annales de la
Construction de 1872, Mai, col. 45) quelsétaient les traits caractéristi-
ques dé la Distribution d'Eau de Lille qui est, depuis les grands tra-
vaux exécutés à Dijon, à Lyon, à Lisbonne, à Paris, à Madrid, l'en-
treprise la plus complète et.la plus remarquable en ce genre.
L'éminent Ingénieur en chef qui dirige les Travaux Municipaux de
Lille, M. MASQUELEZ, a su, en effet, y réunir l'application logique des
meilleures règles à suivre et des types les plus appropriés aux travaux
de cette spécialité. '
Nous les rappellerons ici seulement pour mémoire :
1» La préférence à donner aux eaux de source sur les eaux, de ri-
vière;
2° L'amenée des eaux en canaux couverts ou en tubes souterrains,
pour leur conserver toute leur fraîcheur et éviter les végétations et
développements de la vie organique dans les canaux à ciel ouvert ;
3° L'emmagasinage des eaux en réservoirs voûtés, dans le même
but;. ■-.. " .
k° La canalisation; à circuit fermé ou par conduites transversales
dans la ville, et dans les divers faubourgs, de manière à n'avoir ja-
mais d'interruption: en un point quelconque du réseau, sans pouvoir
alimenter l'aval de ce point par un mouvement des eaux en retour.
Voici maintenant la description plus détaillée des principales parties
de cette oeuvre importante, et, en môme tenipsj des chiffres plus pré-
cis que ceux donnés dans notre premier compte rendu; car, à cette
époque, les travaux n'étaient pas encore aussi près de leur achèvement
qu'aujourd'hui, et plusieurs questions de fait n'avaient pas encore été
résolues par le Conseil municipal.
DESCRIPTION GÉNÉRALE.
La Distribution d'Eau de Lille est basée sur l'exploitation d'un vaste
réservoir naturel présentant un quadrilatère de 19 kilomètres de long
C. — 377
sur 8 kilomètres de largeur moyenne, c'est-à-dire d'une superficie de
152 kilomètres carrés, qui semble disposée exprès pour emmagasiner
les eaux pluviales. La formation de ce réservoir est due aux circon-
stances suivantes. La partie inférieure du sous-sol présente partout, au-
dessous d'une épaisseur plus ou moins grande de craie fendillée, un
banc calcaire très-compacte, dit Tun, qui est presque imperméable.
Quant à l'écoulement souterrain des eaux arrêtées par le tun, dans le
sens vertical, il marche du sudau nord et commence au seul côté libre
du quadrilatère, celui qui est en communication avec la vallée de la
Deûle; en pénétrant clans le quadrilatère, il rencontre trois obstacles :
à gauche, la pression du niveau du canal ; à droite et en face, le relè-
vement brusque du tun au pied du versant oriental de la Deûle et du
monticule de l'arbrisseau, le plus élevé des environs de Lille. Il en ré-
sulte la formation d'un trop-plein qui n'a d'issue que par les canaux
de dessèchement qui passent en siphon sous la Deùle, après avoir reçu
le produit des sources émergeant à la surface.
On peut se faire une idée de l'alimentation de ce réservoir en sa-
chant qu'il reçoit annuellement 103 millions de mètres cubes d'eau de
pluie, quantité qui, répartie en 365 jours, répond à 283,000 mètres
cubes par jour.
Un aqueduc collecteur d'une-pente générale de 0m.0002 (deux dixièmes
de millimètre par mètre) est projeté dans toute la longueur du bassin
d'alimentation et doit recevoir, au moyen d'aqueducs secondaires, les
produits des diverses sources.-
A l'extrémité aval de la région des sources, au pied du monticule
de l'arbrisseau, et à une distance d'environ 5 kilomètres de la ville, se
trouve un premier réservoir principal, dit Réservoir inférieur, où les
eaux arrivent par leur pente naturelle.
Le bâtiment des machines et des générateurs est situé auprès de ce
réservoir.
Les pompes, actionnées par les machines, prennent l'eau dans le
réservoir inférieur dont le fond est à la cote 14 au-dessus du niveau
de la mer, et les refoulent par une canalisation en fonte, longue de
3,342 mètres, dans le réservoir supérieur dit Réservoir de l'Arbrisseau,
dont la cote est, au fond, 45 mètres au-dessus du niveau de la mer,
et au maximum des eaux, de 50 mètres.
Delà, enfin, les eaux redescendent jusqu'à l'entrée de la ville (place
des Postes), et de ce point elles se répandent dans toute l'aggloméra-
tion lilloise au moyen d'un réseau fermé polygonal, traversé par les
diverses branches secondaires, avec prolongements en embranche-
ments vers les divers faubourgs et quartiers suburbains.
Les trois branches principales rayonnant de la place des Postes, en
forme de patte d'oie, sont celle du boulevard Montebello (à gauche),
celle du boulevard Vallon (à droite) et la conduite centrale de la rue
des Postes.
PRISES D'EAU.—SOURCE DE GUERMANEZ.
PL. 0. '
Maintenant que nous avons donné une idée générale de l'ensemble
de la distribution, revenons successivement Sur ses différentes parties,
et d'abord sur les aqueducs collecteurs et les ouvages d'art spéciaux
destinés à la captation des sources isolées.
Les aqueducs ont la double fonction d'amener au réservoir inférieur
les sources émergentes à la surface, et de drainer la craie fendillée aqui-
fère par la suppression du radier, partout où, par leur niveau, lesdits
aqueducs se trouvent établis dans cette craie. Le flot de Wingles ainsi
que les canaux situés à l'amont et à une grande distance de Lille ne
sont pas encore traversés.
Le collecteur a d'ailleurs été projeté à un niveau tel que son radier
soit généralement à 1 mètre au-dessous des siphons destinés à faire
passer les canaux de dessèchement sous la Deûle. — Ces dispositions
ont été couronnées d'un plein succès au point de vue du cube consi-
1874, — ?>
SORBMAÏÏSE.
TEXTE. — Wotes et s»ocuinen4s. — Distribution d'Eau de Lille, par M. MAS-
QUEREZ, Ingénieur en chef desPonts et Chaussées, Directeur des Travaux Municipaux.
—Distribution des Eaux du Rhône dans les départements delà Drôme, de Yaucluse, du
Gard et de l'Hérault. — EB-evnc «les chemins «le fer. — Raccordement du che-
min de fer de Yiftcennes avec le réseau de l'Est (Mulhouse) par Champigny. — Sta-
tistique sles fravaire publics et de la Comstïactîoii. — Variations des
Prix des Fers et Tôles en 1873.
jptAJXClOEÉS. — 7-8. Bâtiments des machines. — 9. Prise d'eau, Source de Gtier-
manéz. — 10. Réservoir supérieur.
NOTES ET DOCUMENTS..
EBistriltoiratioM. - d'JEàii de Mlle.
Par M. MASQHÈLEZ, Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées.
Directeur des Travaux Municipaux.
L'établissement d'un service régulier de distribution d'eau dans les
principales villes et même dans les localités secondaires est un des
points les plus importants du programme de l'édilité moderne, car
trop longtemps cet élément capital de l'hygiène publique a été né-
gligé, et les seules villes qui étaient bien alimentées, il y a deux siècles
à peine, avaient hérité de la période gréco-romaine ou arabe, et uti-
lisaient des canalisations antiques plus ou moins incomplètement res-
taurées.
Il appartiendra à ce siècle d'avoir repris en main cette question ca-
pitale avec une étude plus sérieuse encore des principes généraux et
avec application de moyens d'action plus savants, tels que les machines
élévatoires à vapeur, les tuyaux et siphons métalliques, les distri-
butions à haute pression, le service domestique à tous les étages des
maisons, les procédés de filtrage perfectionnés, etc.
Nous avons déjà fait ressortir dans un premier article {Annales de la
Construction de 1872, Mai, col. 45) quelsétaient les traits caractéristi-
ques dé la Distribution d'Eau de Lille qui est, depuis les grands tra-
vaux exécutés à Dijon, à Lyon, à Lisbonne, à Paris, à Madrid, l'en-
treprise la plus complète et.la plus remarquable en ce genre.
L'éminent Ingénieur en chef qui dirige les Travaux Municipaux de
Lille, M. MASQUELEZ, a su, en effet, y réunir l'application logique des
meilleures règles à suivre et des types les plus appropriés aux travaux
de cette spécialité. '
Nous les rappellerons ici seulement pour mémoire :
1» La préférence à donner aux eaux de source sur les eaux, de ri-
vière;
2° L'amenée des eaux en canaux couverts ou en tubes souterrains,
pour leur conserver toute leur fraîcheur et éviter les végétations et
développements de la vie organique dans les canaux à ciel ouvert ;
3° L'emmagasinage des eaux en réservoirs voûtés, dans le même
but;. ■-.. " .
k° La canalisation; à circuit fermé ou par conduites transversales
dans la ville, et dans les divers faubourgs, de manière à n'avoir ja-
mais d'interruption: en un point quelconque du réseau, sans pouvoir
alimenter l'aval de ce point par un mouvement des eaux en retour.
Voici maintenant la description plus détaillée des principales parties
de cette oeuvre importante, et, en môme tenipsj des chiffres plus pré-
cis que ceux donnés dans notre premier compte rendu; car, à cette
époque, les travaux n'étaient pas encore aussi près de leur achèvement
qu'aujourd'hui, et plusieurs questions de fait n'avaient pas encore été
résolues par le Conseil municipal.
DESCRIPTION GÉNÉRALE.
La Distribution d'Eau de Lille est basée sur l'exploitation d'un vaste
réservoir naturel présentant un quadrilatère de 19 kilomètres de long
C. — 377
sur 8 kilomètres de largeur moyenne, c'est-à-dire d'une superficie de
152 kilomètres carrés, qui semble disposée exprès pour emmagasiner
les eaux pluviales. La formation de ce réservoir est due aux circon-
stances suivantes. La partie inférieure du sous-sol présente partout, au-
dessous d'une épaisseur plus ou moins grande de craie fendillée, un
banc calcaire très-compacte, dit Tun, qui est presque imperméable.
Quant à l'écoulement souterrain des eaux arrêtées par le tun, dans le
sens vertical, il marche du sudau nord et commence au seul côté libre
du quadrilatère, celui qui est en communication avec la vallée de la
Deûle; en pénétrant clans le quadrilatère, il rencontre trois obstacles :
à gauche, la pression du niveau du canal ; à droite et en face, le relè-
vement brusque du tun au pied du versant oriental de la Deûle et du
monticule de l'arbrisseau, le plus élevé des environs de Lille. Il en ré-
sulte la formation d'un trop-plein qui n'a d'issue que par les canaux
de dessèchement qui passent en siphon sous la Deùle, après avoir reçu
le produit des sources émergeant à la surface.
On peut se faire une idée de l'alimentation de ce réservoir en sa-
chant qu'il reçoit annuellement 103 millions de mètres cubes d'eau de
pluie, quantité qui, répartie en 365 jours, répond à 283,000 mètres
cubes par jour.
Un aqueduc collecteur d'une-pente générale de 0m.0002 (deux dixièmes
de millimètre par mètre) est projeté dans toute la longueur du bassin
d'alimentation et doit recevoir, au moyen d'aqueducs secondaires, les
produits des diverses sources.-
A l'extrémité aval de la région des sources, au pied du monticule
de l'arbrisseau, et à une distance d'environ 5 kilomètres de la ville, se
trouve un premier réservoir principal, dit Réservoir inférieur, où les
eaux arrivent par leur pente naturelle.
Le bâtiment des machines et des générateurs est situé auprès de ce
réservoir.
Les pompes, actionnées par les machines, prennent l'eau dans le
réservoir inférieur dont le fond est à la cote 14 au-dessus du niveau
de la mer, et les refoulent par une canalisation en fonte, longue de
3,342 mètres, dans le réservoir supérieur dit Réservoir de l'Arbrisseau,
dont la cote est, au fond, 45 mètres au-dessus du niveau de la mer,
et au maximum des eaux, de 50 mètres.
Delà, enfin, les eaux redescendent jusqu'à l'entrée de la ville (place
des Postes), et de ce point elles se répandent dans toute l'aggloméra-
tion lilloise au moyen d'un réseau fermé polygonal, traversé par les
diverses branches secondaires, avec prolongements en embranche-
ments vers les divers faubourgs et quartiers suburbains.
Les trois branches principales rayonnant de la place des Postes, en
forme de patte d'oie, sont celle du boulevard Montebello (à gauche),
celle du boulevard Vallon (à droite) et la conduite centrale de la rue
des Postes.
PRISES D'EAU.—SOURCE DE GUERMANEZ.
PL. 0. '
Maintenant que nous avons donné une idée générale de l'ensemble
de la distribution, revenons successivement Sur ses différentes parties,
et d'abord sur les aqueducs collecteurs et les ouvages d'art spéciaux
destinés à la captation des sources isolées.
Les aqueducs ont la double fonction d'amener au réservoir inférieur
les sources émergentes à la surface, et de drainer la craie fendillée aqui-
fère par la suppression du radier, partout où, par leur niveau, lesdits
aqueducs se trouvent établis dans cette craie. Le flot de Wingles ainsi
que les canaux situés à l'amont et à une grande distance de Lille ne
sont pas encore traversés.
Le collecteur a d'ailleurs été projeté à un niveau tel que son radier
soit généralement à 1 mètre au-dessous des siphons destinés à faire
passer les canaux de dessèchement sous la Deûle. — Ces dispositions
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