Titre : Le Ménestrel : journal de musique
Éditeur : Heugel (Paris)
Date d'édition : 1856-02-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344939836
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 44462 Nombre total de vues : 44462
Description : 03 février 1856 03 février 1856
Description : 1856/02/03 (A23,N10)-1856/02/09. 1856/02/03 (A23,N10)-1856/02/09.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k56214599
Source : Bibliothèque nationale de France, TOL Non conservé au département des périodiques
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/12/2010
S52. — tingt-lrftMème Année. — N° 10.
JOURNAL HEBDOMADAIRE;
Dimanche S Février 1856,
'- Nos abonnés à la musique de PIANO recevront
avec 4enùméro de ce jour :
:y;ïàE «liAitsow'BÎÈS SOUAVES', "
Polka militaire de L. MICHELI , exécutée aux bals
du Jardin-d'Hiver , de Valentïno et de la Salle
Sainte-Cécile..
Nous publierons dimanche prochain, pour nos abon-
nés à là musique dé CHANT :
'' SOUS MOMAïSilE ROSE,
Paroles et musique-(de Mlle PAULINE THYS ,. la
seconde d^s deux , productions chantées par cette
jeune artiste au concert du Ménestrel.
1855-1856.
(Voir pour les détails aux Annonces.)
A dater du 1er décembre," époque du renou-
vellement général au Ménestrel, nos quatre Al-
bums-Primes ( 23e année) sont délivrés dans nos
bureaux., 2 bis, rue Viviennej à nos abonnés' de
Paris. Nous prions ceux de la province de vouloir
bien nous indiquer; (franco) par quelle voie les
Albums devront leur êlre adressés, le luxe d'édition
n'en permettant pas la remisé à la poste. (Accom-
pagner chaque demande d'un mandat sur la poste
ou sur Paris, à l'ordre de M. HEOGEL et Ce,
pour renouveler l'abonnement.)
—— » ». ■■ .
CAUSERIE MUSICALE.
Quelle est l'origine de la franc-maçonnerie ? J'ai
Mt, dans le temps, beaucoup de recherches à ce
sujet ; après;Jes;.pre.mièje,s,;s-^^;i_et;:àinsi que cela
;arriye assez ordinairement,—? je me suis cm suffi-
samment éclairé ; mais ayant eu l'imprudence de
les pousser plus loin, les suivantes ont successive-
ment amené l'incertitude, le doute, et n'ont eu
pour résultat que cette conclusion assez médiocre
pour la satisfaction d'un curieux :
DécMémenï^là .franp-maçonnerle reriïonte à
telle époque ; c'est à tel événement qu'il faut, sans
aucun doute, attribuer son origine, — à moins
que ce ne soit précisément teECKntrairie^ -4 ou tout
autre chose. ,.,,',,.'.
; En, effet, selon les. uns, : la franc-maçonnerie., a
pour origine une association donf on eut coririiis-
sançeyers le YIIÏ® siècle de notre ère." Léi secret
consistait en certains procédés de construction ; et
c'est auxjfràncsrn&|6ris^ lés mo-
numents du moyen-âge et les chefs-d'oeuvre dé
l'art gothique. Selon d'autres, elle aurait pris nais-
sance pendant la construction du temple de Sa-
lomon, et aurait été instituée par Hiram, le célèbre
architecte assassiné à cette époque ; fondateur-
martyr dont le nom joue encore un grand rôle
dans lesmystères de la franc-maçonnerie moderne.
Enfin , sans parler de l'ordre- des Templiers,
d'où seraient sortis les francs-maçons, quelques-
uns font remonter ces mystères à ceux de l'Egypte
ou de la Grèce, et aux cérémonies secrètes que les
anciens avaient coutume de pratiquer dans l'obs-
curité de leurs grottes profondes.
Quoi qu'il en soit, de tout cela il reste une belle
institution, puisque, d'après l'article premier des
statuts publiés par l'ordre même, son but est :
« l'exercice de la bienfaisance , l'étude de la.mo-
rale universelle , et la pratique de toutes les ver-
tus. »
Cette règle â-t-elle toujours été celle des francs-
maçons? Je ne sais. — La pratique, oui sans doute,
mais le précepte éc'fii, non assurément; car le
mot bienfaisance (heureusement ceci s'applique au
mot et non à la chose), le mot bienfaisance est tout
nouveau ; il date de cent vingt-cinq années à peine.
La preuve, c'est qu'après l'avoir emprunté au latin
(beheficenlia ) .voici ce qu'en 1725 l'abbé de
Saint-Pierre écrivait sur l'introduction de ce mot,
dont il proposait l'usage :
';«. Depuis que j'ai vu que parmi les chrétiens on
« abuse du terme de charité dans les persécutions
« que l'on faisait à des ennemis, et que les héré-
« tiques disent qu'ils pratiquent la charité chré-
« tienne en persécutant d'autres hérétiques, ou.
« les catholiques mêmes..., j'ai cherché un terme
« qui rappelât précisément l'idée de faire du bien
« aux autres, et je n'en ai pas trouvé de plus pro-
« pre pouiKmë.faire entendre, que le terme hien-
'«. faisance. S'en servira qui voudra, mais enfin il
« me fait entendre, et n'est pas équivoque. »
Disons-le bien vite, la bienfaisance est active-
ment .pratiquée par lés francs-maçons; ils ont
même attaché à ce mot une pensée plus noble
encore en le séparant de celui d'aumône.'"-— Les
francs-maçons sont frères, ils font entre eux des
Collectes pour secourir les frères malheureux.
/Ceux-ci participent donc â un bien qui; apparte-
nant à lo.usr revient seulement d'une manière plus
particulière à; qùëiques-uns d'entre èux^ Tel 1 "qui
est secouru aujourd'hui secourait hier, bu secourra
un autre demain. — C'est l'association qui dotiiie,
ëtdàûslîî personne du frère obligé» c'est encore
Lundi dernier, — sous ia direction de MM. Pari-
seron et Triebert, francs-maçons tous deux,
la loge des FF. unis inséparables a organisé une
réunion où les profanes étaient admis. Aussi la
salle a-t-elle été trop petite pour les curieux, dont
la foule se groupait autour desgrands cordons.de
l'ordre, et parmi lesquels on a remarqué le prince
Murât.
Indépendamment d'une belle recette, une quête
qui a produit au-delà de cinq cents francs; a déjà
soulagé plus d'une infortune, et c'est un concert
quia servi de prétexte à cet acte de bienfaisance/
MIIes Charles, Reille et Fagel, de la chapelle de.
l'Empereur, et élèves de M. Panserori; MmeEve-
rardi, MM. J. Cohen, Lecieux et Bizet yont glo-
rieusement concouru.; Mme GharlesPonchârd s?ëst
fait rappeler avec la charmante romance dè'Wé-
kerlin : Rëveille-toi ; mais les honneurs de la
soirée ont été pour l'assemblage heureux dé! la.
harpe de Félix Godefroid mêlant les poétiques
harmonies de sa sonorité mystérieuse et splëndïde
tour à tour, aux accents si pleins-désensibilité;" à:,
la voix touchante de Roger. ;..-*.-.■ •-,:> ; ;.
Sur trois délicieuses mélodies iti^uméntatés du
célèbre virtuose : la Mélancolie, le Ééveeï la
Danse des Sylphes (une surprise, car elles' n'étaient
pas sur lé programme), sur ces trois petitscrièfs-
d'oeùvré dé Félix Godefroid, Méry a improvisé
dans le temps quelques strophes inspirées. Elles
ont servi de traduction aux chants mélancoliques,
aux radieux accords de la harpe, dont une corde,
brisée pendant l'exécution, n'a pu faire suspendre
l'harmonie, grâce à l'incroyable improvisation que
Godefroid a substituée à sa pètfséé première. *Et
Roger, rappelé avec acclamàtiôny et couvert des
insignes de l'ordre* a terminé Te concert eh soû-i-
levant de longs et derniers applaudissements avec
Cheval et Cavalier, de Gustave Nadaud. :
Un concert antérieur a celte soirée, — celui de
Berlioz, a fourni de nouveau aux partisans comme
aux adversaires du maître novateur, l'occasion
d'entendre encore l'Enfance du. Christ, cette
oeuvre remarquable dont j'ai déjà rendu compté
ici même lors de soti apparition.
. L'oratorio du grand symphoniste a été chaleureu-
sement accueilli par l'auditoire d'élite'qui assistait
à cette réunion. L'effet même a peut-être été plus
grand que l'année dernière, — si ce n'est pour la
seconde partie, dont les pures mélodies, l'Adieu des
Bergers surtout, avaient produit tout d'abord une
impression profonde, — du moins pour la pre-
mière, dont les détails, le style dramatique et sai-
JOURNAL HEBDOMADAIRE;
Dimanche S Février 1856,
'- Nos abonnés à la musique de PIANO recevront
avec 4enùméro de ce jour :
:y;ïàE «liAitsow'BÎÈS SOUAVES', "
Polka militaire de L. MICHELI , exécutée aux bals
du Jardin-d'Hiver , de Valentïno et de la Salle
Sainte-Cécile..
Nous publierons dimanche prochain, pour nos abon-
nés à là musique dé CHANT :
'' SOUS MOMAïSilE ROSE,
Paroles et musique-(de Mlle PAULINE THYS ,. la
seconde d^s deux , productions chantées par cette
jeune artiste au concert du Ménestrel.
1855-1856.
(Voir pour les détails aux Annonces.)
A dater du 1er décembre," époque du renou-
vellement général au Ménestrel, nos quatre Al-
bums-Primes ( 23e année) sont délivrés dans nos
bureaux., 2 bis, rue Viviennej à nos abonnés' de
Paris. Nous prions ceux de la province de vouloir
bien nous indiquer; (franco) par quelle voie les
Albums devront leur êlre adressés, le luxe d'édition
n'en permettant pas la remisé à la poste. (Accom-
pagner chaque demande d'un mandat sur la poste
ou sur Paris, à l'ordre de M. HEOGEL et Ce,
pour renouveler l'abonnement.)
—— » ». ■■ .
CAUSERIE MUSICALE.
Quelle est l'origine de la franc-maçonnerie ? J'ai
Mt, dans le temps, beaucoup de recherches à ce
sujet ; après;Jes;.pre.mièje,s,;s-^^;i_et;:àinsi que cela
;arriye assez ordinairement,—? je me suis cm suffi-
samment éclairé ; mais ayant eu l'imprudence de
les pousser plus loin, les suivantes ont successive-
ment amené l'incertitude, le doute, et n'ont eu
pour résultat que cette conclusion assez médiocre
pour la satisfaction d'un curieux :
DécMémenï^là .franp-maçonnerle reriïonte à
telle époque ; c'est à tel événement qu'il faut, sans
aucun doute, attribuer son origine, — à moins
que ce ne soit précisément teECKntrairie^ -4 ou tout
autre chose. ,.,,',,.'.
; En, effet, selon les. uns, : la franc-maçonnerie., a
pour origine une association donf on eut coririiis-
sançeyers le YIIÏ® siècle de notre ère." Léi secret
consistait en certains procédés de construction ; et
c'est auxjfràncsrn&|6ris^ lés mo-
numents du moyen-âge et les chefs-d'oeuvre dé
l'art gothique. Selon d'autres, elle aurait pris nais-
sance pendant la construction du temple de Sa-
lomon, et aurait été instituée par Hiram, le célèbre
architecte assassiné à cette époque ; fondateur-
martyr dont le nom joue encore un grand rôle
dans lesmystères de la franc-maçonnerie moderne.
Enfin , sans parler de l'ordre- des Templiers,
d'où seraient sortis les francs-maçons, quelques-
uns font remonter ces mystères à ceux de l'Egypte
ou de la Grèce, et aux cérémonies secrètes que les
anciens avaient coutume de pratiquer dans l'obs-
curité de leurs grottes profondes.
Quoi qu'il en soit, de tout cela il reste une belle
institution, puisque, d'après l'article premier des
statuts publiés par l'ordre même, son but est :
« l'exercice de la bienfaisance , l'étude de la.mo-
rale universelle , et la pratique de toutes les ver-
tus. »
Cette règle â-t-elle toujours été celle des francs-
maçons? Je ne sais. — La pratique, oui sans doute,
mais le précepte éc'fii, non assurément; car le
mot bienfaisance (heureusement ceci s'applique au
mot et non à la chose), le mot bienfaisance est tout
nouveau ; il date de cent vingt-cinq années à peine.
La preuve, c'est qu'après l'avoir emprunté au latin
(beheficenlia ) .voici ce qu'en 1725 l'abbé de
Saint-Pierre écrivait sur l'introduction de ce mot,
dont il proposait l'usage :
';«. Depuis que j'ai vu que parmi les chrétiens on
« abuse du terme de charité dans les persécutions
« que l'on faisait à des ennemis, et que les héré-
« tiques disent qu'ils pratiquent la charité chré-
« tienne en persécutant d'autres hérétiques, ou.
« les catholiques mêmes..., j'ai cherché un terme
« qui rappelât précisément l'idée de faire du bien
« aux autres, et je n'en ai pas trouvé de plus pro-
« pre pouiKmë.faire entendre, que le terme hien-
'«. faisance. S'en servira qui voudra, mais enfin il
« me fait entendre, et n'est pas équivoque. »
Disons-le bien vite, la bienfaisance est active-
ment .pratiquée par lés francs-maçons; ils ont
même attaché à ce mot une pensée plus noble
encore en le séparant de celui d'aumône.'"-— Les
francs-maçons sont frères, ils font entre eux des
Collectes pour secourir les frères malheureux.
/Ceux-ci participent donc â un bien qui; apparte-
nant à lo.usr revient seulement d'une manière plus
particulière à; qùëiques-uns d'entre èux^ Tel 1 "qui
est secouru aujourd'hui secourait hier, bu secourra
un autre demain. — C'est l'association qui dotiiie,
ëtdàûslîî personne du frère obligé» c'est encore
Lundi dernier, — sous ia direction de MM. Pari-
seron et Triebert, francs-maçons tous deux,
la loge des FF. unis inséparables a organisé une
réunion où les profanes étaient admis. Aussi la
salle a-t-elle été trop petite pour les curieux, dont
la foule se groupait autour desgrands cordons.de
l'ordre, et parmi lesquels on a remarqué le prince
Murât.
Indépendamment d'une belle recette, une quête
qui a produit au-delà de cinq cents francs; a déjà
soulagé plus d'une infortune, et c'est un concert
quia servi de prétexte à cet acte de bienfaisance/
MIIes Charles, Reille et Fagel, de la chapelle de.
l'Empereur, et élèves de M. Panserori; MmeEve-
rardi, MM. J. Cohen, Lecieux et Bizet yont glo-
rieusement concouru.; Mme GharlesPonchârd s?ëst
fait rappeler avec la charmante romance dè'Wé-
kerlin : Rëveille-toi ; mais les honneurs de la
soirée ont été pour l'assemblage heureux dé! la.
harpe de Félix Godefroid mêlant les poétiques
harmonies de sa sonorité mystérieuse et splëndïde
tour à tour, aux accents si pleins-désensibilité;" à:,
la voix touchante de Roger. ;..-*.-.■ •-,:> ; ;.
Sur trois délicieuses mélodies iti^uméntatés du
célèbre virtuose : la Mélancolie, le Ééveeï la
Danse des Sylphes (une surprise, car elles' n'étaient
pas sur lé programme), sur ces trois petitscrièfs-
d'oeùvré dé Félix Godefroid, Méry a improvisé
dans le temps quelques strophes inspirées. Elles
ont servi de traduction aux chants mélancoliques,
aux radieux accords de la harpe, dont une corde,
brisée pendant l'exécution, n'a pu faire suspendre
l'harmonie, grâce à l'incroyable improvisation que
Godefroid a substituée à sa pètfséé première. *Et
Roger, rappelé avec acclamàtiôny et couvert des
insignes de l'ordre* a terminé Te concert eh soû-i-
levant de longs et derniers applaudissements avec
Cheval et Cavalier, de Gustave Nadaud. :
Un concert antérieur a celte soirée, — celui de
Berlioz, a fourni de nouveau aux partisans comme
aux adversaires du maître novateur, l'occasion
d'entendre encore l'Enfance du. Christ, cette
oeuvre remarquable dont j'ai déjà rendu compté
ici même lors de soti apparition.
. L'oratorio du grand symphoniste a été chaleureu-
sement accueilli par l'auditoire d'élite'qui assistait
à cette réunion. L'effet même a peut-être été plus
grand que l'année dernière, — si ce n'est pour la
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