Titre : Le Droit social : organe socialiste révolutionnaire
Éditeur : [s.n.] (Lyon)
Date d'édition : 1882-06-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32759063z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 98 Nombre total de vues : 98
Description : 18 juin 1882 18 juin 1882
Description : 1882/06/18 (A1,N19)-1882/06/24. 1882/06/18 (A1,N19)-1882/06/24.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG69 Collection numérique : BIPFPIG69
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5608015c
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-4324
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2011
IN 0 19. — Première Année
LIBERTÉ. - ÉGALITÉ. — JUSTICE
Dimanche 18 Juin 1882.
101 I
! Trois mois. . . 1 fr. BO I
Six mois . . . » fr. » I
Un an. .... 4 fr. » I
Etranger: h poH m $*$. . |
ADMINISTRATION A RÉDACTION
7, rue du Port-du-Temple, 7, à Lyon
: «Ml!- 1,
ssaxrBBXGKBnBDUOBiinnB ;.■
Pour toute» communications, s'sdnaMr
au siège social, 7, rua Port-du-Tampl», T
tous lesjouraj de 8 à 10 heures du aotr
MASSACRES BE LA BICAMARIE
Les Bureaux du - Droit social »
sont transférés rue Molière, 51.
ANIMAI
Dimanche prochain, 18 juin, les révo-
lutionnaires de Saint-Etienne se proposent
de faire une manifestation au cimetière
de la Ricamarie, sur la tombe des prolé-
taires massacrés là, il y a treize ans, par
d'autres prolétaires transformés par la
Loi fratricide en satellites de la féodalité
capitaliste.
Les compagnons Stéphanois ont raison,
et c'est de grand coeur que nous nous
associons de loin à leur initiative.
Non pas que nous partagions le culte
sentimental des morts, dont une éducation
spirilualiste farcit la majorité des cer-
velles. Débarrassés des croyances supers-
titieuses à l'existence d'une àme immaté-
rielle et à une vie future — préjugés ima-
ginés cl entretenus par les oppresseurs
pour asseoir leur exploitation sur la ré-
signation abrutie des masses opprimées —
nous savons que les cadavres des défunts
— ces défunts eussent-ils été des nôtres
— ne méritent pas plus de respect qu'il
ne convient d'en accorder à la matière en
décomposition.
Mais il est des morts dont il est bon
d'exhumer de temps en temps le linceul
sanglant en guise de drapeau ; il est des
morts sur le tombeau desquels il est bon
de mener de temps en temps les généra-
lions nouvelles afin qu'elles y puissent
aiguiser leurs colères et retremper leurs
haines.
Les assassinés de la Ricamarie sont
précisément de ces morts dont le souvenir
contient une leçon et un encouragement,
puisqu'ils attendent encore aujourd'hui
des vengeurs, et puisque les mêmes insti-
tutions iniques auxquelles ils furent au-
trefois sacrifiés n'ont pas cessé d'écraser
le prolétariat de leur poids implacable.
Iî élait d'autant plus opportun, d'autant
plus utile de songer à cet anniversaire
oublié que, sur ce terrain, exclusivement
révolutionnaire, on est certain de ne point
se heurter aux considérations diverses et
contradictoires qui souvent compliquent
et faussent de semblables cérémonies.
Tombés obscurément, sans prestige et
sans gloire, JSÎÎS une escarmouche de la
guerre des classes, ces martyrs n'attirent
point l'attention des ambitieux «st-des in-
trigants qui n'aperçoivent pas de se faire un piédestal sur leur cercueil.
Longtemps, sans doute, la fusillade de
la Ricamarie fut l'un des grands chevaux
de bataille des charlatans de la politique.
C'était de ce souvenir tragique que, pour
battre l'Empire en brèche, se servaient
jadis ceux qui briguaient sa succession.
Avec quelle apparence de conviction, avec
quelle indignation habilement simulée
n'avons-nous pas entendu ces hommes,
qui ont fini presque par déshonorer la
République depuis qu'ils l'ont accaparée,
fulminer contre « l'infâme régime impé-
rial qui répondait par des feux de peloton
aux légitimes revendications des travail-
leurs 1 »
Et, dans sa crédulité, la foule applau-
dissait, s'imaginant naïvement qu'il allait
suffire de détrôner le scélérat de Décem-
bre, d'instaurer la forme républicaine et
d'en confier la garde aux hommes dont la
véhémence oratoire venait de la transpor-
ter d'enthousiasme, pour fonder définiti-
vement la liberté, l'égalité, la justice et
mettre fin sans retour aux horreurs sem-
blables à celles de la Ricamarie et d'Au-
bin.
Hélas! iî a fallu en rabattre,depuis, de
ces illusions! Sans parler de l'hécatombe
de 35,000 victimes, froidement ordonnée
par ceux qui jetaient, quelques mois aupa-
j ravant, à la face de l'Empire, le sang versé
aux portes de Saint-Etienne, de concert
avec leurs anciens ennemis.combien de fois
n'avons-nous pas vu les soldais de la Ré-
publique bourgeoise intervenir dans les
conflits économiques, comme nous les
avions vus intervenir autrefois, sous le
régime maudit de Napoléon III ? Combien
de fois n'avons-nous pas vu les chassepots
démocratiques prêts à « faire merveille »
contre les grévistes, ni plus ni moins
qu'avant l'année terrible ?
Ah 1 c'est que la forme politique importe
peu quand l'organisation économique
reste la même ! C'est que, le véritable
souverain du siècle, ce n'est pas plus le
monarque cousu d'or ou le président-
borne qui couche a l'Elysée, que l'élec-
tcur-contribuable sans pain ; c'est le Capi-
tal dont tous les autres pouvoirs ne sont que
les très humbles serviteurs et les très dé-
voués gardes-chiourmes ! C'est que la
République « athénienne », basée sur
le droit de propriété et la division des
classes, est encore un gouvernement, un
gouvernement comme les autres, ayant la
mission, le droit et le moyen de sévir sans
merci contre les mécontents !
Ceux qui crurent longtemps qu'un
simple changement d'étiquette suffirait
pour introduire la justice dans les relations
sociales et qu'il y avait peut-être plus d'à
vantage à être affamés par un Rrèchard
républicain que par un Schneider bonapar-
tiste, à être mitraillés au nom de l'égalité,
de la liberté et de la fraternité qu'au nom
du bon plaisir d'un empereur « par la
grâce de Dieu », ceux-là doivent enfin
être revenus de leur erreur.
Les souvenirs de la Grand'Combe, de
Ressèges, de Roanne, des raffineurs de
Paris, pour ne parler que des plus récents,
sont là comme autant d'arguments, tout
palpitants encore.
Dimanche, nos camarades de Saint-
Etienne ne manqueront pas de les faire
revivre dans leur éloquence poignante,
devant la foule qui les suivra dans l'hum-
ble cimetière de la Ricamarie.
Et qui sait si cette évocation du passé
sur laquelle la presse bourgoise fera sans
doute le silence, en rappelant l'une des
pages les plus douloureuses des annales
ouvrières et en indiquant aux jeunes là où
gîte le véritable ennemi, n'est pus destiné
à servir grandement à l'avènement de
cette insurrection juslicicière et vengeresse
qui est la seule espérance des masses
déshéritées ?
Nous sommes beaucoup qui croyons
que la Révolution prochaine partira
plutôt de la Province que de Paris, pour
se répandre de proche en proche, comme
une série démines reliées entre elles par
des traînées de pondre, dans toutes les
directions, soulevant sur son passage les
colères latentes et les rancunes endormies.
Il se fera, comme en France, en 1789,
comme en Irlande, à l'heure présente, un
pétillement sans fin d'explosions partiel-
les, qui finiront par se rejoindre, en écra-
sant sous leur choc les résistances disper-
sées de la bourgeoisie et par former un
immense embrasement général.
Et toute cette région industrielle et
minière, où les souffrances sont si atroces,
et dont Saint-Etienne est, pour ainsi dire
le centre, comme Lyon en est le poste
avancé, nous parait admirablement choisie
pour devenir le foyer do cette éruption
de révoltes.
La manifestation de la Ricamarie ne
sera peut-filre pas inutile pour en hâter la
venue.
Et si, dans quelques semaines, dans
quelques mois, peu importe ! une grève
formidable, analogue à ces grèves" améri-
caines qui jettent du jour au lendemain
200,000 travailleurs sur les routes, in-
cendiait tonte cette immense ruche
humaine qui se ramifie presque sans
interruption des montagnes d'Auvergne
jusqu'au fond dn Gard ; si de tous le»
côtés les usines flambaient comme des
torches funèbres, et si les bourreaux de
la bourgeoisie s'arrêtaient, frappés de
stupeur, devant ce déchaînement de colè-
res, n'osant user de leurs armes, de peur
d'attirer sur la tête des patrons et de
leurs suppôts, saisis et retenus comme
otages, de terribles représailles ; si la
société bourgeoise, surprise par ce coup
droit, chancelait sur ses bases, les révo-
lutionnaires stéphanois qni ont eu l'idée
d'aller dimanche feuilleter l'histoire pro-
létarienne sur la fosse commune où
dorment les victimes de la Riramarie,
pourraient se rendre cetle justice qu'ils
y sont sans doute pour quelque chose.
C'est la "grâce que nous leur souhai-
tons, et nous lcs;félicitons, en terminant,
d'avoir tout fait pour la mériter.
LIBERTÉ. - ÉGALITÉ. — JUSTICE
Dimanche 18 Juin 1882.
101 I
! Trois mois. . . 1 fr. BO I
Six mois . . . » fr. » I
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7, rue du Port-du-Temple, 7, à Lyon
: «Ml!- 1,
ssaxrBBXGKBnBDUOBiinnB ;.■
Pour toute» communications, s'sdnaMr
au siège social, 7, rua Port-du-Tampl», T
tous lesjouraj de 8 à 10 heures du aotr
MASSACRES BE LA BICAMARIE
Les Bureaux du - Droit social »
sont transférés rue Molière, 51.
ANIMAI
Dimanche prochain, 18 juin, les révo-
lutionnaires de Saint-Etienne se proposent
de faire une manifestation au cimetière
de la Ricamarie, sur la tombe des prolé-
taires massacrés là, il y a treize ans, par
d'autres prolétaires transformés par la
Loi fratricide en satellites de la féodalité
capitaliste.
Les compagnons Stéphanois ont raison,
et c'est de grand coeur que nous nous
associons de loin à leur initiative.
Non pas que nous partagions le culte
sentimental des morts, dont une éducation
spirilualiste farcit la majorité des cer-
velles. Débarrassés des croyances supers-
titieuses à l'existence d'une àme immaté-
rielle et à une vie future — préjugés ima-
ginés cl entretenus par les oppresseurs
pour asseoir leur exploitation sur la ré-
signation abrutie des masses opprimées —
nous savons que les cadavres des défunts
— ces défunts eussent-ils été des nôtres
— ne méritent pas plus de respect qu'il
ne convient d'en accorder à la matière en
décomposition.
Mais il est des morts dont il est bon
d'exhumer de temps en temps le linceul
sanglant en guise de drapeau ; il est des
morts sur le tombeau desquels il est bon
de mener de temps en temps les généra-
lions nouvelles afin qu'elles y puissent
aiguiser leurs colères et retremper leurs
haines.
Les assassinés de la Ricamarie sont
précisément de ces morts dont le souvenir
contient une leçon et un encouragement,
puisqu'ils attendent encore aujourd'hui
des vengeurs, et puisque les mêmes insti-
tutions iniques auxquelles ils furent au-
trefois sacrifiés n'ont pas cessé d'écraser
le prolétariat de leur poids implacable.
Iî élait d'autant plus opportun, d'autant
plus utile de songer à cet anniversaire
oublié que, sur ce terrain, exclusivement
révolutionnaire, on est certain de ne point
se heurter aux considérations diverses et
contradictoires qui souvent compliquent
et faussent de semblables cérémonies.
Tombés obscurément, sans prestige et
sans gloire, JSÎÎS une escarmouche de la
guerre des classes, ces martyrs n'attirent
point l'attention des ambitieux «st-des in-
trigants qui n'aperçoivent pas
Longtemps, sans doute, la fusillade de
la Ricamarie fut l'un des grands chevaux
de bataille des charlatans de la politique.
C'était de ce souvenir tragique que, pour
battre l'Empire en brèche, se servaient
jadis ceux qui briguaient sa succession.
Avec quelle apparence de conviction, avec
quelle indignation habilement simulée
n'avons-nous pas entendu ces hommes,
qui ont fini presque par déshonorer la
République depuis qu'ils l'ont accaparée,
fulminer contre « l'infâme régime impé-
rial qui répondait par des feux de peloton
aux légitimes revendications des travail-
leurs 1 »
Et, dans sa crédulité, la foule applau-
dissait, s'imaginant naïvement qu'il allait
suffire de détrôner le scélérat de Décem-
bre, d'instaurer la forme républicaine et
d'en confier la garde aux hommes dont la
véhémence oratoire venait de la transpor-
ter d'enthousiasme, pour fonder définiti-
vement la liberté, l'égalité, la justice et
mettre fin sans retour aux horreurs sem-
blables à celles de la Ricamarie et d'Au-
bin.
Hélas! iî a fallu en rabattre,depuis, de
ces illusions! Sans parler de l'hécatombe
de 35,000 victimes, froidement ordonnée
par ceux qui jetaient, quelques mois aupa-
j ravant, à la face de l'Empire, le sang versé
aux portes de Saint-Etienne, de concert
avec leurs anciens ennemis.combien de fois
n'avons-nous pas vu les soldais de la Ré-
publique bourgeoise intervenir dans les
conflits économiques, comme nous les
avions vus intervenir autrefois, sous le
régime maudit de Napoléon III ? Combien
de fois n'avons-nous pas vu les chassepots
démocratiques prêts à « faire merveille »
contre les grévistes, ni plus ni moins
qu'avant l'année terrible ?
Ah 1 c'est que la forme politique importe
peu quand l'organisation économique
reste la même ! C'est que, le véritable
souverain du siècle, ce n'est pas plus le
monarque cousu d'or ou le président-
borne qui couche a l'Elysée, que l'élec-
tcur-contribuable sans pain ; c'est le Capi-
tal dont tous les autres pouvoirs ne sont que
les très humbles serviteurs et les très dé-
voués gardes-chiourmes ! C'est que la
République « athénienne », basée sur
le droit de propriété et la division des
classes, est encore un gouvernement, un
gouvernement comme les autres, ayant la
mission, le droit et le moyen de sévir sans
merci contre les mécontents !
Ceux qui crurent longtemps qu'un
simple changement d'étiquette suffirait
pour introduire la justice dans les relations
sociales et qu'il y avait peut-être plus d'à
vantage à être affamés par un Rrèchard
républicain que par un Schneider bonapar-
tiste, à être mitraillés au nom de l'égalité,
de la liberté et de la fraternité qu'au nom
du bon plaisir d'un empereur « par la
grâce de Dieu », ceux-là doivent enfin
être revenus de leur erreur.
Les souvenirs de la Grand'Combe, de
Ressèges, de Roanne, des raffineurs de
Paris, pour ne parler que des plus récents,
sont là comme autant d'arguments, tout
palpitants encore.
Dimanche, nos camarades de Saint-
Etienne ne manqueront pas de les faire
revivre dans leur éloquence poignante,
devant la foule qui les suivra dans l'hum-
ble cimetière de la Ricamarie.
Et qui sait si cette évocation du passé
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doute le silence, en rappelant l'une des
pages les plus douloureuses des annales
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gîte le véritable ennemi, n'est pus destiné
à servir grandement à l'avènement de
cette insurrection juslicicière et vengeresse
qui est la seule espérance des masses
déshéritées ?
Nous sommes beaucoup qui croyons
que la Révolution prochaine partira
plutôt de la Province que de Paris, pour
se répandre de proche en proche, comme
une série démines reliées entre elles par
des traînées de pondre, dans toutes les
directions, soulevant sur son passage les
colères latentes et les rancunes endormies.
Il se fera, comme en France, en 1789,
comme en Irlande, à l'heure présente, un
pétillement sans fin d'explosions partiel-
les, qui finiront par se rejoindre, en écra-
sant sous leur choc les résistances disper-
sées de la bourgeoisie et par former un
immense embrasement général.
Et toute cette région industrielle et
minière, où les souffrances sont si atroces,
et dont Saint-Etienne est, pour ainsi dire
le centre, comme Lyon en est le poste
avancé, nous parait admirablement choisie
pour devenir le foyer do cette éruption
de révoltes.
La manifestation de la Ricamarie ne
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venue.
Et si, dans quelques semaines, dans
quelques mois, peu importe ! une grève
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200,000 travailleurs sur les routes, in-
cendiait tonte cette immense ruche
humaine qui se ramifie presque sans
interruption des montagnes d'Auvergne
jusqu'au fond dn Gard ; si de tous le»
côtés les usines flambaient comme des
torches funèbres, et si les bourreaux de
la bourgeoisie s'arrêtaient, frappés de
stupeur, devant ce déchaînement de colè-
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d'attirer sur la tête des patrons et de
leurs suppôts, saisis et retenus comme
otages, de terribles représailles ; si la
société bourgeoise, surprise par ce coup
droit, chancelait sur ses bases, les révo-
lutionnaires stéphanois qni ont eu l'idée
d'aller dimanche feuilleter l'histoire pro-
létarienne sur la fosse commune où
dorment les victimes de la Riramarie,
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y sont sans doute pour quelque chose.
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