Titre : L'Alerte : bulletin de liaison de la région lyonnaise
Auteur : Jeunesses patriotes (France). Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Lyon)
Date d'édition : 1937-06-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32685272z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 392 Nombre total de vues : 392
Description : 01 juin 1937 01 juin 1937
Description : 1937/06/01 (A4,N42)-1937/06/30. 1937/06/01 (A4,N42)-1937/06/30.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG69 Collection numérique : BIPFPIG69
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Rhône-Alpes
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5605965f
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-64395
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2011
» ANNÉE - NO 42 L. Numéro, Ofr.BO MENSUEL-JUIN 1W7 — J
NOTRE ACTION POUR L'UNION
M. JOSEPH DENA1S: M. PHILIPPE HENRIOT:
« La foulé des nationaux est résolue à fonder le Front de la Liberté, ce La devise de la République n'est qu'une épitaphe sur le tombeau
quelles que soient les objections des chefs. » de la liberté. »
M. BEUGRAS: M. RENE RICHARD:
« Nous voulons constituer le Front de la Liberté. Que les chefs le « Nous devons être unis, à ce prix nous pourrons triompher et
sachent bien et qu'ils ne s'y opposent pas, sans quoi nous-les balaierons. » gouverner. >x
Nous ne pouvons mieux jaire que de
reproduire pour nos lecteurs l'admira-
"■..,.'. ble compte rendit du « Nouvelliste », à .
qui nous adressons tous nos remercia- \
ments ainsi qu'au « Lyon-Soir » qui
nous a également largement ouvert ses
colonnes.
Une inoubliable manifestation pour
l'Union nationale s'est déroulée di-
manche 30 mai, dans les salons du
Café Morel, à Bellecour, au cours de
laquelle l'union totale, définitive, a été
scellée entre la Fédération Républicai-
ne du Rhône et le P.R.N.S. Après
l'inoubliable réunion de la salle Wa-
gram, à Paris, la réunion de Lyon
laisse dans les coeurs des Français dé-
sireux de voir notre pays échapper à
l'emprise de Moscou, une immense es-
pérance.
Avant que les orateurs prennent la
parole, un dîner tout à fait démocrati-
| que a réuni un grand nombre de con-
vives, sous la présidence de M. Victor
Perret, président de la F. R. du Rhône.
Nous avons remarqué à ses côtés :
MM. Philippe Henriot, député de
la Gironde, vice-président de la F.R.
de France et du P.R.N.S. ; Joseph De-
1 nais, député de Paris; René Richard,
I délégué à là propagande du P R.N>$,.';
1 Pierre Burgeot, député du Rhône ; Hién-
,1 ry Lespinat, secrétaire du P.R.N.S.;
:| Bosse-Platière et Defàrge, conseillers
1 • généraux; Montrochet, adjoint au mai-,
1 re, conseiller d'arrondissement; Jaros-
I son, conseiller ■ général..de la Loire;
I. Damez, Docteur Frarieillpn, Lavàlet-
'■§.-' ■■ te,*Ruelle, vice-présidents dé la F.R.
I du Rhône; Vindry, président, du co-
! mité de la F; R. du V" arrondissement ;
J Meurgey, président du comité dé la
1 FR. du N£IÎ* arrondissement ; Léon
:| Lespinat, Glbvià■.•'•Crighier, du P. R.
;| N. S;; Chàiarid.î'président dés Jeunes
:|, de la F. R.;;dù Rhône; Marcel LaUgier,
,,'J vice-président, administrateur de la
I F. R. du Rhône; Gabriel Bouisspu,
.•'{..; secrétaire général, administrateur de la
j F. R.j; Chênebpn, secrétaire général
Idù ibmité de là F. R. de Vienne;
Beugras, délégué général du P.P:F. ;
i - Faucon et docteur Mermillod, du Cer-
1 çle . Lugdunum; Berthier, conseillei
municipal de Sainte-Foy-lès-Lyon ; de
Saint-Laumes, de Corcelles; comman-
dant La Bâtie, maire de Mont romand ;
MM. Barrai, -Vcrillon, Méhu. Henri;
Martin, Bidault, Clemenso, etc. ; Ber-
lioz, du P.R.N.S. ; Victor Bozon, pré-:
sidenl de la section de Thoiësey du;
P.R.N.S.; Mouterde, maire de Saint-
Dider-au-Mont-d'Or; Quiquerez, di-
recteur des Foyers sociaux de la F. R.'
du Rhône; Landon, de Bron; Bonne-
fond, de Vénissieux, et de nombreuses'
dames.
LES DISCOURS
C'est M. Victor Perret qui débute.
Avec humour, il déclare tout de suite :
« Nous assistons ce soir à un mariage,
je dirai mêmei'què nous régularisons
une sittiaUcgiiv; lij-
Le président de la F. R. du Rhône
présente ensuite les orateurs éminents
qui vont prendre la parole et dire ce
ces futurs du Front de la Liberté com-
posé de l'union de tous le* partis na-
tionaux sans exception.
M. Victor Perret, a quelques phrases
severts, iiitii» jusics, à i HUréase uc"
qu'il faudra faire pour assurer les suc-
M. Edouard Herriot, « le véritable
chef du parti radical, qui n'aurait qu'un
mot à dire pour que s'écroule le Front
populaire, démolisseur de la France ».
M. Burgeot, député de Lyon, fait
l'éloge de M. Joseph Denais et de Phi-
lippe Henriot. 11 souhaite une collabo-
ration entière avec le P.S.F. contre le
communisme et les mauvais Français.
M. René Richard, délégué de M.
Pierre Taittinger, président du P. R.
N. S., est persuadé que l'union con-
tractée ce soir portera ses fruits et que
bientôt nous fêterons en France la
création d'un parti national unique,
obéissant à un comité de coordination
qui préparera les candidatures aux
élections et réglera au besoin tous les
conflits. Il espère que le P. S. F.
admettra la formule du Front de la Li-
berté, «ans accords électoraux préala-
bles. « Il faut donner au pays l'ûnpres- -
' sioii 'qtïew'noua aommeg unis ; à ce prix,
nous pourrons triompher et gouver-
ner. »
M. Beugras, représentant du P.P.F.,
estime, au nom de Jacques Doriot, que
tous les Français doivent faire taire
leurs préférences personnelles.» Quand
la maison brûle, dit-il, il faut faire la
chaîne ! Il s'agit de sauver la France
d'abord. Que les nationaux le com- I
prennent bien et qu'ils soient unis pour I
cela. » I
Ironique, M. Beugras remercie le mi-
nistre actuel de l'Intérieur d'avoir aidé
les nationaux à constituer le Front de
la Liberté. « Tous leë militants, dit-il,
sont bien décidés à assurer totalement
cette constitution indispensable. Que
les chefs le sachent bien, et qu'ils ne
s'y opposent pas, sans quoi nous les ba-
laierons ! »
M. JOSEPH DENAIS
L'éminent député de Patis rappelle
les magnifiques réunions de la salle
Wagram et de là salle Hleyel. <( La
foulé des nationaux, dit-il, est résolue ,
à fonder le Front de la Liberté, quelles ]
que soient les objections des chefs. » ]
11 montre qu'enfin les Français com-
mencent à comprendre la gravité de la
situation faite à notre pays, où le
Front Populaire prépare l'avènement
des Soviets en détruisant tout ce que
nous avons de plus sacré, l'épargne, la I
famille, l'amour du travail. J
(i II faut, s'écrie-t-il, nous unir pour
conserver le droit de penser, de croire,
d'enseigner, de travailler, d'épargner.
Il faut sauver la France ! »
M. PHILIPPE HENRIOT
Une immense acclamation l'accueil-
le.
« Il est, dit-il, inutile d'insister sur
les vérités qui nous rassemblent ce soir
et qui sont les échos d'hier. »
L'orateur rend hommage à Jacques
Doriot :
n Doriot, dit-il, c'est un ouvrier issu
de paysans, qui eut longtemps la tête
dans les brouillards russes, mais dont
es pieds restent solidement plantés sur
e sol de France ! »
M. Ph. Henriot, comme le chef du
3. P. F., est d'avis qu'il faut sauver
ie l'incendie la maison d'aujourd'hui
avant de songer à construire celle de
demain.
11 souligne l'oeuvre de haine accom-
plie, comme en Espagne, par le Front
Populaire : « Depuis des mois, dit-il,
vous pouvez voir dans les yeux de cer-
tains de vos compatriotes des lueurs
troublantes, sinistres même, que vous
ne connaissiez pas jadis. Voilà dans
quel état les communistes ont mis la
France. La République n'est plus
qu'une épitaphe sur le tombeau de la
liberté ! »
Le député de la Gironde expose ens-
suite la tactique à observer lors des
•prochaines élections. 11 montre les ser-
vices rendus par les vieux partis et
ceux que nous attendons des jeunes.
Que ceux-ci se souviennent qu'ils vieil-
lissent et que les anciens se souvien-
nent qu'ils ont été jeunes.
Revenant à Jacques Doriot, M. Ph.
Henriot déclare : « Si l'on me deman-
dait ce que je pense du chef du
P. P. F., je répondrais: « Je suis ca-
« tholique et j'aime lire l'Evangile au-
« Thorez ou Vaillant-Couturier, »
Et, me rappelant les paroles du Christ,
je dirais : « Que celui qui n'a jamais
péché lui jette la première pierre ! »
Et c'est par une superbe envolée à
l'adresse des jeunes que termine M.
Henriot :
« Jeunes, avez-vous de la foi, de l'es-
pérance? Oui? Alors, bientôt nous ver-
rons poindre l'heure où les vrais Fran-
çais se sentiront unis aux cris de Contre
nous de la tyrannie l'étendard sanglant
est levé! »
Une immense acclamation couvre
leë dernières paroles de l'orateur.
La « Marseillaise » est chantée par
j toute la salle, debout.
NOTRE ACTION POUR L'UNION
M. JOSEPH DENA1S: M. PHILIPPE HENRIOT:
« La foulé des nationaux est résolue à fonder le Front de la Liberté, ce La devise de la République n'est qu'une épitaphe sur le tombeau
quelles que soient les objections des chefs. » de la liberté. »
M. BEUGRAS: M. RENE RICHARD:
« Nous voulons constituer le Front de la Liberté. Que les chefs le « Nous devons être unis, à ce prix nous pourrons triompher et
sachent bien et qu'ils ne s'y opposent pas, sans quoi nous-les balaierons. » gouverner. >x
Nous ne pouvons mieux jaire que de
reproduire pour nos lecteurs l'admira-
"■..,.'. ble compte rendit du « Nouvelliste », à .
qui nous adressons tous nos remercia- \
ments ainsi qu'au « Lyon-Soir » qui
nous a également largement ouvert ses
colonnes.
Une inoubliable manifestation pour
l'Union nationale s'est déroulée di-
manche 30 mai, dans les salons du
Café Morel, à Bellecour, au cours de
laquelle l'union totale, définitive, a été
scellée entre la Fédération Républicai-
ne du Rhône et le P.R.N.S. Après
l'inoubliable réunion de la salle Wa-
gram, à Paris, la réunion de Lyon
laisse dans les coeurs des Français dé-
sireux de voir notre pays échapper à
l'emprise de Moscou, une immense es-
pérance.
Avant que les orateurs prennent la
parole, un dîner tout à fait démocrati-
| que a réuni un grand nombre de con-
vives, sous la présidence de M. Victor
Perret, président de la F. R. du Rhône.
Nous avons remarqué à ses côtés :
MM. Philippe Henriot, député de
la Gironde, vice-président de la F.R.
de France et du P.R.N.S. ; Joseph De-
1 nais, député de Paris; René Richard,
I délégué à là propagande du P R.N>$,.';
1 Pierre Burgeot, député du Rhône ; Hién-
,1 ry Lespinat, secrétaire du P.R.N.S.;
:| Bosse-Platière et Defàrge, conseillers
1 • généraux; Montrochet, adjoint au mai-,
1 re, conseiller d'arrondissement; Jaros-
I son, conseiller ■ général..de la Loire;
I. Damez, Docteur Frarieillpn, Lavàlet-
'■§.-' ■■ te,*Ruelle, vice-présidents dé la F.R.
I du Rhône; Vindry, président, du co-
! mité de la F; R. du V" arrondissement ;
J Meurgey, président du comité dé la
1 FR. du N£IÎ* arrondissement ; Léon
:| Lespinat, Glbvià■.•'•Crighier, du P. R.
;| N. S;; Chàiarid.î'président dés Jeunes
:|, de la F. R.;;dù Rhône; Marcel LaUgier,
,,'J vice-président, administrateur de la
I F. R. du Rhône; Gabriel Bouisspu,
.•'{..; secrétaire général, administrateur de la
j F. R.j; Chênebpn, secrétaire général
Idù ibmité de là F. R. de Vienne;
Beugras, délégué général du P.P:F. ;
i - Faucon et docteur Mermillod, du Cer-
1 çle . Lugdunum; Berthier, conseillei
municipal de Sainte-Foy-lès-Lyon ; de
Saint-Laumes, de Corcelles; comman-
dant La Bâtie, maire de Mont romand ;
MM. Barrai, -Vcrillon, Méhu. Henri;
Martin, Bidault, Clemenso, etc. ; Ber-
lioz, du P.R.N.S. ; Victor Bozon, pré-:
sidenl de la section de Thoiësey du;
P.R.N.S.; Mouterde, maire de Saint-
Dider-au-Mont-d'Or; Quiquerez, di-
recteur des Foyers sociaux de la F. R.'
du Rhône; Landon, de Bron; Bonne-
fond, de Vénissieux, et de nombreuses'
dames.
LES DISCOURS
C'est M. Victor Perret qui débute.
Avec humour, il déclare tout de suite :
« Nous assistons ce soir à un mariage,
je dirai mêmei'què nous régularisons
une sittiaUcgiiv; lij-
Le président de la F. R. du Rhône
présente ensuite les orateurs éminents
qui vont prendre la parole et dire ce
ces futurs du Front de la Liberté com-
posé de l'union de tous le* partis na-
tionaux sans exception.
M. Victor Perret, a quelques phrases
severts, iiitii» jusics, à i HUréase uc"
qu'il faudra faire pour assurer les suc-
M. Edouard Herriot, « le véritable
chef du parti radical, qui n'aurait qu'un
mot à dire pour que s'écroule le Front
populaire, démolisseur de la France ».
M. Burgeot, député de Lyon, fait
l'éloge de M. Joseph Denais et de Phi-
lippe Henriot. 11 souhaite une collabo-
ration entière avec le P.S.F. contre le
communisme et les mauvais Français.
M. René Richard, délégué de M.
Pierre Taittinger, président du P. R.
N. S., est persuadé que l'union con-
tractée ce soir portera ses fruits et que
bientôt nous fêterons en France la
création d'un parti national unique,
obéissant à un comité de coordination
qui préparera les candidatures aux
élections et réglera au besoin tous les
conflits. Il espère que le P. S. F.
admettra la formule du Front de la Li-
berté, «ans accords électoraux préala-
bles. « Il faut donner au pays l'ûnpres- -
' sioii 'qtïew'noua aommeg unis ; à ce prix,
nous pourrons triompher et gouver-
ner. »
M. Beugras, représentant du P.P.F.,
estime, au nom de Jacques Doriot, que
tous les Français doivent faire taire
leurs préférences personnelles.» Quand
la maison brûle, dit-il, il faut faire la
chaîne ! Il s'agit de sauver la France
d'abord. Que les nationaux le com- I
prennent bien et qu'ils soient unis pour I
cela. » I
Ironique, M. Beugras remercie le mi-
nistre actuel de l'Intérieur d'avoir aidé
les nationaux à constituer le Front de
la Liberté. « Tous leë militants, dit-il,
sont bien décidés à assurer totalement
cette constitution indispensable. Que
les chefs le sachent bien, et qu'ils ne
s'y opposent pas, sans quoi nous les ba-
laierons ! »
M. JOSEPH DENAIS
L'éminent député de Patis rappelle
les magnifiques réunions de la salle
Wagram et de là salle Hleyel. <( La
foulé des nationaux, dit-il, est résolue ,
à fonder le Front de la Liberté, quelles ]
que soient les objections des chefs. » ]
11 montre qu'enfin les Français com-
mencent à comprendre la gravité de la
situation faite à notre pays, où le
Front Populaire prépare l'avènement
des Soviets en détruisant tout ce que
nous avons de plus sacré, l'épargne, la I
famille, l'amour du travail. J
(i II faut, s'écrie-t-il, nous unir pour
conserver le droit de penser, de croire,
d'enseigner, de travailler, d'épargner.
Il faut sauver la France ! »
M. PHILIPPE HENRIOT
Une immense acclamation l'accueil-
le.
« Il est, dit-il, inutile d'insister sur
les vérités qui nous rassemblent ce soir
et qui sont les échos d'hier. »
L'orateur rend hommage à Jacques
Doriot :
n Doriot, dit-il, c'est un ouvrier issu
de paysans, qui eut longtemps la tête
dans les brouillards russes, mais dont
es pieds restent solidement plantés sur
e sol de France ! »
M. Ph. Henriot, comme le chef du
3. P. F., est d'avis qu'il faut sauver
ie l'incendie la maison d'aujourd'hui
avant de songer à construire celle de
demain.
11 souligne l'oeuvre de haine accom-
plie, comme en Espagne, par le Front
Populaire : « Depuis des mois, dit-il,
vous pouvez voir dans les yeux de cer-
tains de vos compatriotes des lueurs
troublantes, sinistres même, que vous
ne connaissiez pas jadis. Voilà dans
quel état les communistes ont mis la
France. La République n'est plus
qu'une épitaphe sur le tombeau de la
liberté ! »
Le député de la Gironde expose ens-
suite la tactique à observer lors des
•prochaines élections. 11 montre les ser-
vices rendus par les vieux partis et
ceux que nous attendons des jeunes.
Que ceux-ci se souviennent qu'ils vieil-
lissent et que les anciens se souvien-
nent qu'ils ont été jeunes.
Revenant à Jacques Doriot, M. Ph.
Henriot déclare : « Si l'on me deman-
dait ce que je pense du chef du
P. P. F., je répondrais: « Je suis ca-
« tholique et j'aime lire l'Evangile au-
Et, me rappelant les paroles du Christ,
je dirais : « Que celui qui n'a jamais
péché lui jette la première pierre ! »
Et c'est par une superbe envolée à
l'adresse des jeunes que termine M.
Henriot :
« Jeunes, avez-vous de la foi, de l'es-
pérance? Oui? Alors, bientôt nous ver-
rons poindre l'heure où les vrais Fran-
çais se sentiront unis aux cris de Contre
nous de la tyrannie l'étendard sanglant
est levé! »
Une immense acclamation couvre
leë dernières paroles de l'orateur.
La « Marseillaise » est chantée par
j toute la salle, debout.
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