Titre : Le Libre penseur de France et de libre pensée universelle : journal anticlérical de défense socialiste, républicaine et laïque
Éditeur : [s.n.] (Limoges)
Date d'édition : 1913-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32807104c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 janvier 1913 01 janvier 1913
Description : 1913/01/01 (A9,N1)-1913/01/15. 1913/01/01 (A9,N1)-1913/01/15.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG87 Collection numérique : BIPFPIG87
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5604481h
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-86454
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 10/02/2011
xNEUVIÈME ANNÉE. — N» r.
BMWENSbEL : 10 CENTIMES
i« JANVIERS i^ïâ; J v "^
•Nôtos 1 traversons unie période des plus jji
cÂblquès*-' :èe
Plus"q|ie jama/is les ennemis du Régi- i\
ni^Làïq'tïe sapeni sa-Gowsiètiuitiioin. £\
Les-.laùiS(sei'1ons-iio«iS-GoinA.iiisaer ? " h)
A nous, lès; Rép^bticains, de réppn- ^
dt».J fl
Si vérifàMenient les Démocrates de tu
191:3 sont les dignes fils die la Révohiilûon Litoéavila'ice dfe-1793, s'ils ont au coeur les v°
senitinientis *le jiistibcfe- qui animaient leurs f;
aïeux.? ils aie:. sctrai*ôw>iit":3>ai6:! à savolir si ®J
leuren iritérêfe' ^ePsotûnelis et particuliers j'
poûrrMeYit • ;éiîi''soiii'ff.iiir^ en servant la y
cause guie nousexposons: Us doivent p
avec n'o.uis'sé mettre à l'avant-garde et rç
devenir, les .soldais Aiaietuneux; de l'orga- ^
niémel.dè:défeaise'que je viens de créer 1.
vn l'honiiieurdie.la" Morale;: dur développe- 1
ment généreux de If Idéal Laïque. <■
Ne-penseais' pas ajux"'saôrïfices nom- a
br«ux qu;viiiy-a(û*a lieu de' conisentir, féli- Y
cà'to^'s-êh? 'dfaivahoe cexix.'.'des nôtres qui y
eiii-'gero^trvifâEïineslGoinfc&tîr'.è; triompha.- f/
lement la RcacïibiiNiiJioiuilc Montante, 's
telle doM.êtrekeniMiedenos ardente mili- i
tante. . ' . {
Quel deuil!.ôtre' le 1, plan "de bataille gêné- l
raie de F oewrc que nous entreprenons ? f
Celui, de pmategw, d'étendre l'enseigne- 1
ment-; t'édiuicalilanv: qu'a étàibli la tfoisiè- }
me RèVpuMiqde, et pair la, loue ceux, pe- f
tdte et, grandis, quii> de près xmi de loin lui *
sont utiles. <
Ceux de noms qui sont dans les villes j
iront dams- les • cariïpagnes, ' jusqu'au i
fond des hameaux' 'où'sTélèvè, au' milieu i
des alll|l^es■3lM!i.méTitë^^ùHLi^UleS,;■l,hù'■mr.' i
ble émic? " quti' "•n'en'"'loinme 1 pais moins i
di'hoin notes criitoyens. i
Paritouit, nouis déftenons lies adveilsan- '
aies dont les geais oouirageux jettent si
dcdKMgnmBeniehï'lie gàhit,^ par^ce qu'ils
savent qui'une majoîi'ite'.•' de dirigeants
n'oee le ramassea'.. Noms iioius mettrons
bravement en fiaioedp.eux, et à défaut, no-
tre temps ne sera ï^sHpeuidii'. parce que
rions inïtiieranis oeux-;que nous aurons
amenés à veaïiir noiùis; ejitendlre. iSous en-
fanterons des. ènepgu)es hoarvelles 1, nous
établirons, pïuis. sofliidés que des redou-
tes et, des rempairjtSj une.aiimée intelli-
gente et inoompai^b'le''fquiPsaiurai veiller
à l'écoile, à seis'maître, est disperser la'
caravane ciléiiicalei qùii oserait l'appro- I
cher. I
L'Union Française" '-âleis'' Chefe-"■ 'de Fa- I
milles LaïquJês;!en"a!pipl,l!ë -à touis'ceux
qui sont souidiieMik-die'^fiddignïté'des En-
fants, de leur, iiiistauicitiloiri; ;riolri faussée,
de FindépiertdH^(*'!diùC.p)âys. Elle a pouin
but de rendre plus grande la solidarité
répiddiioaiine poûii' ■exèt&è^ pus étroite^
ment, eauaotne la siuirvéiilliàin'cie 1 des pires'
ennemis de l,nûmanifeJ...;,'; ennemis qui
puisent leur ifaraee^ièiur'pjiffiss^ee dans
Le saoeridotcie adiroSt:diônit;Vïa^^
les oint investi, ; saçerdloioe qui a poiui*
auxiliaire le,plus.sûr,Vie plus sérieux, la
ocwifessiaa lïaidàuèè^âveçi tôèt."son; càrtëge
dégrialdiainit." À foâit. prix-. nôias; ; devons en- :
cercler le confessiiorinal,•; moiii'GihaiPd et
délateur afin d'épiumer l'iailinosphèiie vi-
«ié qui ômanie,déî(Mit)&-in9tetioto;'dan@êH "■
iieti'Sie, dans laquieillig.' tirop de pauvres
genis mani aveirttiiis flnii!&sent.;par se laisser
prendréi. pamrs'y: Mire^abaïuitiiir., : :
A une?Gérilaiini©éjp!Oiqiuie.laTéaiotiiiOn coa-
lisée a menée-''gimiiidi tapage;'eontvré'la
franc-maçoinneràe, paaibé^ "qwë' ;oette deir^.
oière dérHia'àqiùià 'à-la tunïîèVë'le 1 travail1-
eem'tiëftMin^qiùi'acicolnTplIiiBsajiient ses- mem-
bties et allliés offlctte»s die l'armée fran-
çaise, tnirant d'elle profite■■. et honneuirs,
ymà ite^oémptë dfeuné iairtis^âcrialtie* irapéd
rlale, royate et spptionntv paipale. Souis le
talom: die tleuiris biottbeis ils avaiieîit.juré fai-
re ^passeir la Gf«icMise^piar>le bruit du oli^
quieîtiis^die';le-u(ris sabnes ils voulaient em-
pêcher 1 qu'on' eailtende; : les cris de ses
Bouî-fraShlcies,' lé raie dé sai deraière minu-
te' d>a%6fiié. !G'râcé' à la : franc-màçonne-
fié. Jés «rràes "dies:. traïïjtes: furent émoiis-
eéèsvet.lè^ir(s"w*t'éuirsVc^^ , :;
Aujo.ùiwi^ikHv- sqws-:,uinié;:'aùjtTOr-f0fl*me
agissent'fes* boiuiflneaux' de»la Réputoli
qîie. Pafttauit/ > les repxubïiteains' soritj ira
dtwes, lejiseignienie-iit naiwonaiL"Galoninie, | tm \
èes Maîta-fts et Défénseuas mis à l'index ! ciini
èl_ vilipendés. Il laiUitrqiue cela cesse. Les , liseï
évèques
h les valettsdu pa,i)e éla-anger, ont fondlé, Part
avec le coaicou'i's de leur 1 clergé, desso»- tt L
piétés !sùspie«les, pou>r moucharder au | C;i7*.
Mnélicie'dè ieui-é Mltéi-e'te. Cette société dur
a parlioâît des "affiliés loii-squ'él'ie ne peut j ixXîU
k>riiie.r un groùipè." Ont l'appelle l'Asso- j fenl
ïtalion des pères de famille. C'est en vaic
çv])pos,i,tiioa a celle-ci que j'ai créé Y Union poai
{''/•«nç'dsc des Chefs, de Famille lut- «
ijues: Afin qnie. les piieiïi-iers: n'en igno- j>o»i
reiit. je dis que je vise ù leur intention, vie
le niême-burque aelui qu'ils atteignent un
kintrc" nSùls-mênies. pfi:
! Conïmèi-yaaiils, induskiiëls, «uvriêiis de j n
l'usine, de^ Fateliea-,, diù'bui»e.au' ou des fer'i
èhani]>s, hommes putoMcs et politiiques, mw
â vous 1.0U& quji-vous récl&iniez de la Ré- plis
publiique, je viens faiire appel. On en l»iei
veuit' au!!patà'âmoine dénoitire'vie démo- hiu
or'atique,; déf«ëiidbirîs-le. Défendohs-le ton
sans falibfesse; enn'" ci,est.l,ju&lémént'de N'oi
iiotré ftii'blèssé qûtest, pJL'rtrJè ràudace; dé t<><
réiHïe-mi''Vbye-z le ouiixi conihie il a au- U-iv
lou-r de sd-iv niiiiiJfetèiie :une coiinpagnie des
ç-ompactie- estsûjcei tandis i>que l'institu- hm
leur, est piiesque abandotnné à luii-môme, juu
ju'ltunt quelcfuefois'av^icliéroïsme contre iai
jtHT Momdé'dévexailiioins. inù
\ Nous soïnmês ^ùuaié ])éribde. de son ÎHV
existence hï&toini'que ou on «essiiierait de ' \ ';
h diminuer, aui lieu- de le giraoïdir. par- sig
ce que ; ses adver.suires ameutent centre flei
sa personnatiltié ens^ignantle taules sortes «UN
lie' luriai'cusesjaildusiles'. Ses-ino'indres faits h
êl, Restes''sont épiés,- suspectés, toujoiirs >'<»•!
dénatua-és par la caniarilla cléricale, qui \ >
vni wiûssi1'- loin 'qn'elOé le' peut,'sur ce 1er- v-r<
■raliii, en laivïlaint les enfants de leur clas- (li"<
se,: ceux qui- hi!i appi.rtii!e-nnent. de le sua- c-'-n
vc.iltor lîofin- racomter à papa; ou à ma- Vf»
hiaiiv ce qu'il a .faiik qui il reçoit. so>us *'e
quelle- forme, en. quel langage il a don- lié
fié- la;1eçoiii' eti'd'e^ quels argumenté ou ^
exeni'pleis peirsoniiiéls" il s'-est." sea'x'i pour S
îa'rehdï'C plue clûiafe: ifi
! lis ag-isseint jéssuiitement, agissons au j|
grand juu'r. Dénonçons ioiusles Gafaa-ds, !|J
dénomçons-ltes" franchement 1, sniicère- \
nnèai't,-1el., excepté !léui. arme d)e Basile, ;
femplo^'aiiè-in'au's à Tes faiate piii'bli qaiement i
Ibannailire. Ijoasqurias verapnt que nous \
feàmnies dléidi'dés à né pas n ous 1 aisser j
îaiia'e, oui^l>ieb ils nous livreront des I)
combate'loyaux dont noais: aain-ons le des- I |
jîiiis, oai biiàn; ils roloua-neronit- daais leurs I ;
rtepàiiies ^iisqurà^extiini<iion complété dé d
la' flàmhie' divine,- malis: iTiréelle, qu'ils ,
préfienciéM'o^hliqaiieimeht posséder de
leuir ai'Jiniaitioai. . Àkws,. le régime: s'é- o
clâiipefev oTiùiri' "peu plus die■ Grqvez-m'en, mes aniiis, sus: au. dan-
' :giër/'qutï"W^cgtiielte,e^ acition.né "
i ipâr Tési lïallMitiainté'du 1 préëbytfene et ceux |
klu clia-lïsad) ";' ne so^'OïiB pas lâchés et, s'il j
[■ ile faut;. aiitaquoiiB." Attaquons pouï la s
. |R^puëi':^iùie. et rÈcale dles: fils de soin j
H] Peuple'. . '!
\ ;-■■■ , EMILE NOËL. ]
s : Son idée co;nç.u»&, noitire rédiaioléûïr en jj
r i=GÎi'eit a-éili'ititt, .qiueîqûm intimes parmi les -h
îmiïitânils"de 'Ha! Libre Peaiisée, dé la Ligue !
L; ipioiir .la défense des diwts dé l'homme 1:
a 'eit< dto 'ciitoyen^ dlfts■■aiaidBiicàiVx.' radicaux- !(
'- isotciiïîl.iiSi'.es, • desJ rcipuibl'iidàiiiris 'et des socia- :| :
il1.' aistés, âiixô^iélisiiexposa :les grandes li- i.
i- i'gnés;ide's6n''pT^'et^iG'iest aveci félicMa- ;
i- Hùioais, eaueoiuirag'ieimeinits et aussi: tous lés i
s. aiemeTOiiemeaiits que ce militant; de la foi i
â-> qui le guWéa;étléi%halètofe#émeht"com- ]
le p'iimeulé. Immédia'tenîénl.,;on.désigna, le :|
i- buvéaui"de^;oetté b^g&iiléaiofn'si utile ; à 'i
i- d'unàniimiM, par bulTétniis siecTOts dra- ;
n- ; boa-d, par acclamations ensuite, notre
ÎS i généreux ei.vaà'lilan'taani'. a été élu prés'i-
u-|;dle^*:r€«itti&'--'élêVàiti«an-:lùiï était, due, quoi-
e- 1 ' '-ciitf''iai5^.oft^liat'-itavëcv' ^":'d(ejrfïi^rie énergiie
is- J poîl^ne^s'raçicepltea*'; mBris il "dût céder
etnéuë ailt'simpten'iént aeé mélls .: « Meir-
ie, » ci'du 'fond dit cceur-; j'aççeiple donc,
lit. »: piuaisqiiië s'ïèst^oitlm voloîife, -mais; soyez
pa-: [»• pefâuadié&--que->de- oe poste d'honiiieur
» j'en ferai aulssi mn poste de défense et
» de combat. » Il M fut adjoint un se-
ci'étaii'e et uui adjoûait quii sont îios bons
cainaradés Pôraud et Pahu.
***
Voici, la. lettre-appel que le nouveau
président adresee a ses amis, à cliaque
^épuiyiïcàih' qui lui est signalé :
! «Limoges, 1913.
I . .
» Mon cher citoyen,
] » J'espère lie me faïa^aucune illusion
l'iii venant \-ouis dire que je compte pré-
çieiisemeiH sua' vous pour m'aidei- à réa-
liser le.succès de Latrjeuiie « Unio-iï Faïain-
çaisie » dont, je vùens de doter le Grand
Pdrlillcpvbticuitiv Social. Démocratique
M Luique. sans dislinotion d'étiquettes.
Gai"; poîuu' cetlé- o?uvre, éminemment
d'urgence défensive, il est absolument
iititeqiié s'uniissen.l'toUs ceux qui accep-
fent "sans réticences l'idéal qui'apeiîce-
vaient nos aïeux qui se firent trouer la
peau pour' obtenir uni: peu de liberté.
« Toutes les sincéaiitlés seront d' pouà' affirmer qu'en ces heures de notjxî
vie natioualo le régime- de laïcité court
■(iii grand et, vêrilable danger, qu'à tout
prix nous devons conjurer.
5 » VO:UB êtes .des nôtres, et. je ne vous
fera i, pas Finjuirenue à nous, d'autant qu'il y a là l'accom-
plissement d'un devoir. ' Vous voulez
bien, n'est-ce pas. l'affranchissement
humain de l'être qui vit, sa liberté de
fronscièrice", celle dlagir et de parler ?
Vous voulez bien la dispersion des for-
ces romaines, dont les soin-ces alimen-
IK'III. d odieux préjugés, préjugés au noan
!lcsqaiieis' s'aéèoihp'Mseont des actes 1 'ty-
|-anni juirmoiiie dans la socâété '} Oui, vous
voulez iout cela comme je le veux moii-
knême. Aloa unir poui'-biteJii travailler.
\ » Chaquéfo^is quie vpii.V en connaîtrez,
pigiÏHJéz-rious tous lésifaits 'qui dépén-
|lenjt; dé notre naiison d'être, n'éprouvez
âucuHi séaitiiinent»'de pitié pour ceux dont
je rêve ambitieux est de uvivenir au pou-
voir pou»- mieux nous écraser.
; » Kn nous éca-ivant n'ayez aucune
|-raiaïté penir vous.'■: no'u/f savons défen-
(iré'aiofe ain^'s cl garder le secret ; ma
pmpïiiruliïopv pour l'un dés nôtres,.'de-
yoavt' la'jùsiliiç:e"'et lés ei-avés ennuis qui
è'eàV" soait suivis en' sont la paneuve justi-
fiée. Mais, ce'que jevous demande, c'est
; la vea-itô, la vérité seule sua- touè ce que
.vous aua-ez à nous appa^eairire.
» 'Noto'e Union Française des chef s de
r/rtm iUe ' laïques' s^ada^ésse égàteineht à la
on ère; à la veuvév 'La femme, dans nos
inângs, '■ a sa place tôiùlé indiquée," èt'îious
kispéions que nos 'aih-is! ceux auxquels
ifioSi^. cause est synipatlrique, ne inan-
■queroiDli pas, eni même temps que leur
jadhésioai,. de nous envoyer celle dé leur
Compagne ; l'elToa'tque je lente ne semit
pas complet si la mère dé' famille n'était
pas 'riotre associée : n'oaibldons pas que
gi les'évéqiues ont orée los Associations
kl es Pères île famille'catholiques, les vî-
pair^s et abbés confessent les femmes
fie ces derniers. Donc, faisons des nôtres
jet de toutes celles qui voudront bien ve-
nir à nous, nos initeiligéntés et dévouées
eo)laboiiUti*ices.
; » Nous aurons à fai-re coniiaître notre
OrrjanPsution ; pour cela, je viens vous
ipdiqiier un'moyen' parmi tous les au-
tres. D^îis'voitre arroiïdiissehièiit, il y a
certainement un journal répul)licàin.
Avec mon aiîticle et toiut ce oui précède
et suit celle letti-e. allez ou; écrivez à
son dii'ectéur! et dites-lui d'avoir l'amabi-
lité de nous imprimer : il ne peut se refu-
ser tout au' moins de nous anaioncer. En
ce cas. je vousjouirhal. Piitis, il nous iippàfl'.làeiiiJria. de faiin?
des affiches, droa'ganiser des conféi-eii-
ces. de lancer des ta"ace ou brote-hures :
tout cjela -devra être fait.
; » Chaque ïidhérent rece\Ta' également
■ ëa « Carte de Ligueur ».
: » La cotisationlà la portéi' des plus pau-
vres, sera dé 1 franc, par an. Nous lais-
sons à ceux M le nos amis ■qui pourront le
faire, le soin de verser leur obole facul-
tative. C'est cette dernière qui nous ser-
yitra surtout au développement et à la
propagation de .nolme oeuvre de laïcité.
; » Pour moniar cette canipagne qui
■s'impose/et'qui ifera rhonneur de votaxi
Ittincep-tiion. de volaie attachement aux
idées de justice etde progrès social, dont
votre, dévouement, aprouves, votus ■ iléponiidw.z à mon appel
fivitérncl.
i » Vote
« 'EMILE NOËL.
» Président de l'Union Française
j lies.chefs de famille laïques. »
N.jjV—Je dois vous lia-e dans \ui j).ro-
chaiiv courrier. A votre adhés.ion, j'en-
vojTaà 'votre cxirte de ligueur.
Il nié ser^t permis 7 d'à jouter iqtie 'la 'Côiifu-
sion est 7 volontaire? et caMilée, 'po^Mjçùoï ?
mieux, vaut soidigîiei' l'a 1 cPjntradictïéîi' qui
résulte *lu> désâv€^i^formbl'que"^oiM^e; AU
jour du grôUpe: du IV opposerà ^'àttïtiia© 1
antérieurefdii IIIe. Ce ydi p>ut jeter "le dis-
j«i^édit sûr une organisation cé'U'èSt pafe'ie
rappel dei' faits, mais leS^ faits'eu^c-niêmes.
] O^aàt' à niia:, je"n& 'poiu-
ivais prévoir bu'elle 'serait discute^, 'ayant
Uéclaré'àu Comtrrès^ puiS; par 'lettré- ïKirti-
culièn*.au <ùtoyenrHùbba-rd. «nie"jenè'pou-
,vais accepter d'être secrétaire interfédé-
ral. Je îi'aSâis donc poç à adresser;de dér
iuissitoh. et^^ j'ai î-eriouVelé nia déclaration.
Il eut "mieux' -valu;, eii effet; suivre' ravis
dû citoyen" Noël, et iioUunèr ;cèus doiit'îé.
concours était assuré, eelâ' eut gâghèdu
temps et 'permiS'de" (E^Hser â.ava»ta^» à la'
Jjirripagaude -qui est la raison'd'être de nés
o rgaMisât ions. II est yiraï que cela 'eut privé
M. Roclie; du «plaisir d'édSctèr dès discours
iiux mots .sonores et ronflants, c'est si
beau de •posèr.V. pôUr.'la^aleri-é.''■ .
i L'iiisinuatîonj'it'oiichant la déloyale i> dest'inéè^à sauver'léiprestjige des
t< mintants1>0ïïtifès » (coupal>lés dé n'avoir
j)a's voulu "se laisser dirige' par d'autres
po'iitifes) iié dohnè-t-ellé pas ù pensé*, que,
le? arnié-i' démodées de Bazilé seraient
lii';eifs placées dans ses 1 maiiis^ que daiis
les miennes "?
Qurint à ce'"qui" toutïi'e la proportion Idu
groupé d'Oullih^. je n'ai point mahdi't ao
iéivdré compte des 4ècisi6iisdu: eo.nseil;Fê:
floral : et s'il y à diiscbfdéj n'en rèvièn^drait-
I il pas une part' dé . i^p^nsàt>iiliîes!l(aû'x;
" deyA'» 8rétii>és dont là stabilité n'a rièir
de <. ]«odigieûx « ? .
j Et"u>oùr' ne'; pas être en reste'avec M. lib-
ellé, dont je goûté fort la spirituelle cità-
1 ion ï(j u proyerbèJ arabé. ■ je> lui en ; citerai
jiiii ' firancais, bièJri vuiffaii*. (n'a pas; de
l'esprit ..qui veut.) Il ne fa-ut'î>as parier de
coi-dë dans ld;màiisbn d'uirpeindu. -.
\_ eùi Hcfea gréer/ M. ; ïç 'TtedàJctJèur en', clief,
î'hssiirnncè dé'mà conisidl&ràtion très 'dîs'-"
tiiiirnè'p;'
MÀiiiE HABÉRT;
Trcsôriérç adjointe (Jet VVnion Fé-
dérMe du, ^Jlhôné, déléguée au
i Con'ijr'ès"-àc Lille.
f.l " '* T" 1" * : Jk' ■ ■' ftt' C mk T* a^*11 I '* 4»
BULLETIN D'ADHÉSION
NoinL prénoms'^— ..
demeurant à. r,;..... ^ ; _- .....: -;.: :—__ -.-
département dël__ ...- ...__.:„... __. . —__....
obole "libre:! ..:_: i_.i_.____^: i__.„._.^_____^ : : ■■ '■;—_—.-_—._. ___—-_...:—.._ I
Norns, prénoms, adresses de citoyennes où ciioyenè à inscrire ou à solliciter: I
: .;_.: ____.:... _....■.....„ _; „.__.._;...._ ; ; : ;__._ _..._
ï ' '
( ; _ _ ; ^ _ „__
j Siège de TlIIVIÔI%FRAiX^41»E, A Limoges/1, rue BaMc-lc«cr
; ■■ Lyon.'23 décembre 1912.
î Moiisteùir." le " î^daçteùir eii chef du
i .,',, Libre Pemeur de France.
\ Ba'iiis Je numéro du 15 ^décemba-e, je sais
riîit'ejJiielliéte ipànM. Miariuis Rocihe ôfùne fa-
içoiii qui me fadit un déVtoiir d'y répondre. Je
1 fais! appel' à votre couirtoisie; persuadée que
\ je n ai pas besoin dJimjvoquea' mon. droit
i pour q"ue', vous voiufliez bien ànBérer, aux
internés lieui et tplaee que l/ariàcie m© coneer
inainit lia letta-e suivante, dans votre plus
» prochain, nuanéiros
j Précisions.
;. Daais uai article iiutitailé ; • « NLise au point. j
jiuéeessatLi-e ■ ». paru-;dàiis le Libre Penseur j
; de France, le 15 décembré 1912, M. MaTius I
Roche; secTétaine du. gi-oupé. de Libre Peu- j
sée:dn IXe aMioiMissem-ent de Lyon, me j
prend vî-'iOleiniriient à pa'itie au sujet du pas- j
sa®&: d'une l'ettnè paa-. moi adiressée au ci- \
toyen Gustave Hiibl)ardï secrétaire générai
de "LU«ioh-Nationale de la Libate Pensée, I
aiiûsi conçu : '
«:IWltaion fédiéi-ale du ?Rh6ne. bien que
, souihâibant l'union; a déci'diè'de se réserver ;
lie. fait de 1'aeceipitia.tibn artu «omgrès dé Lille
et à PUm'on Natioiïàle, saîis ïnfbTinatïons j'
préalaibles.: d'unie fraction dissidente de VU. f)
F. du R. (deux groupes, dont un exclu), 'j
fraction .oublieuse die. son aittitude daps.le|; ;
dMféren^'.:'comgii;,es, Çt-doint la; raoùidire *çôi>-;' "•
tràidiiictièii'ru'est ceites'piis la'participation' \
au congrès, de Lille, par. le maaidat confié )
a.u .citoyen. Noël p.ajr. les. auteurs d'une mo- ;
tiôn dffebh.ist!ion ,d'èb ïa'aiics-maiçoiiis, » ; ^
\ Dans un élan! de; .vertueuse indigiiatioiï. I \
M. Roche'îiié repfbciié des absences de me- \\
moire, volontaires et calculées, des àlléga- j
tioais mensongères, etc. Tout le mon.die,'plùi& :
ou moins, peut avoir des ; absences dé mè7
nibjire.'; M. ;Roçihe comiiié les autres, et je
lui ferais observer. ■ qu'il oublie^ que ; son
groiipe-ne" forme pas .à lui. seul la. «frac-
tion », qu'il' v a aussi îè groupe du HT 0 ar-
voaiidïBsemeht lequel a, fait sieime la mo-
tion de Gïvors.. par les rapports .présentés, ;
: îiotamiuent ■■': -au «oiigrès de St-Etiléime;
i (19'0§y et plus récemment au Congrèsnatior
1 nal, tenu-à Lyon, les 13, H et 15 août 1911.
, Mes allégations soi-disaut mensongères se 1
I réduisent donc à ceci : n'avoir pas .d^oint
lia ;
\ Oit a vendu nos meubles
On voudrait les rBVBiHirEBncort
Le 20 décembre 1912, aux sons de la
irnmpclté, sur Ta vàii: publique, là coin-
iinssâire-priseur vendait une partie de
nos bardes. J'ai racheté le mobilier' de
rnoii..camarade'JijUifii, ({crant , de notre
çaUUiïïlc'feuille ' elje Vai fait apporter
(fans un apparfcmcnl dont j'ai payé le
loyer.
j Les commissionnaires n'étaient, pas
encore partis que l'huissier de MM ; les
i-iirés qui nous ont poursuivis yeiïaù
pour saisir à nouveau ; en effet, il laissa
un commandement à. cet effet. Ces gens-
la ne se rasstiçicwiënt pas,' . ;
Notre gérant eût menacé de la.contrains
te par corps 1 ; péùfcc'trc qw?à V-heùfc' où
paraiitî'orît lcès 'liçjnes scràrt:il'epyp^son- .
Iné. Alors, à nouvcaoti sonnera pour' moi
une loiiM-dë charge, une paternelle 1 res-
ponsabïliîcl un devoir~eévasant,\pufcque
f aurai à m. occuper d'un intérieur nou-
veau_ dhhic'fèmmê èl'de'trois'enfàni's'ëiv
.'?) asagéî "ç'ii plein hiver., "Q.tipÎQM-4 - Ifs. .{or-;
le es aient dos limites, il me faudra arriver
\ct i^n-nv'erài; LsoiÙcnM'p^ notre' irfe'rtiïct"
le besoin de niânirçr à nqsjennemis, q:W
'je naliandomïe pas sûr la route des■■■eni-
\irciiiis Viùï des'nôircs et %ue'\e sais tenir
'hi parole donnée. ,.■..:.-...•■.
i' .! ■/■: EMiLE-MOiEL,:
'; A' la îiaefe hé ;toûite: la. ihipraile,. coninïe,!pa!6ï;-;
i re alig'ùlàiï'è ïl frtût mattâie;riiildîH.,id)i.. &mài
■ l'IndSviMv,,';eïi:effét/': aufâvïne:;s^Sé'isi' 1^;
: tréMe sOit-effié aie peint' e^tçiv'':Vgju,*V s'a-;
gisse d'étudier, la anoa*à1é iaidivîdu'èlle; la.'
nuor'aife ifèunilM^ la mbr^ë''soéiaàfe|.;Ia .imo-..
,raîe'civic(ùe,:;l!a. àiol^le.Mim^tfiïre^ l'inidi- '
■ I viidu'doit'ètrè;il'ob^.^e^brlire^^ élu;7-,;
■ i de. ;Miai^,'du: ifiàit.qu'é'''i'i.ndiîddiu^fàit.p^tiié
ir;té^,ay{*;..dferï&ùto;'.BOcjiéjÉé;' nb"ii'is jie/.îiûu^.
Ivoiis.'.îl'i^aliéà'! ipour: rétuidiér éjpéteiâlèmeiït. ;
comiitift il est.'tougoivrè' ;èni ir^tdons"'i'a'yjeè';
■ d'aii'tfes" étinè's, wo'ùs Ayons 'Miaîiérces:
BMWENSbEL : 10 CENTIMES
i« JANVIERS i^ïâ; J v "^
•Nôtos 1 traversons unie période des plus jji
cÂblquès*-' :èe
Plus"q|ie jama/is les ennemis du Régi- i\
ni^Làïq'tïe sapeni sa-Gowsiètiuitiioin. £\
Les-.laùiS(sei'1ons-iio«iS-GoinA.iiisaer ? " h)
A nous, lès; Rép^bticains, de réppn- ^
dt».J fl
Si vérifàMenient les Démocrates de tu
191:3 sont les dignes fils die la Révohiilûon Litoéavila'ice dfe-1793, s'ils ont au coeur les v°
senitinientis *le jiistibcfe- qui animaient leurs f;
aïeux.? ils aie:. sctrai*ôw>iit":3>ai6:! à savolir si ®J
leuren iritérêfe' ^ePsotûnelis et particuliers j'
poûrrMeYit • ;éiîi''soiii'ff.iiir^ en servant la y
cause guie nousexposons: Us doivent p
avec n'o.uis'sé mettre à l'avant-garde et rç
devenir, les .soldais Aiaietuneux; de l'orga- ^
niémel.dè:défeaise'que je viens de créer 1.
vn l'honiiieurdie.la" Morale;: dur développe- 1
ment généreux de If Idéal Laïque. <■
Ne-penseais' pas ajux"'saôrïfices nom- a
br«ux qu;viiiy-a(û*a lieu de' conisentir, féli- Y
cà'to^'s-êh? 'dfaivahoe cexix.'.'des nôtres qui y
eiii-'gero^trvifâEïineslGoinfc&tîr'.è; triompha.- f/
lement la RcacïibiiNiiJioiuilc Montante, 's
telle doM.êtrekeniMiedenos ardente mili- i
tante. . ' . {
Quel deuil!.ôtre' le 1, plan "de bataille gêné- l
raie de F oewrc que nous entreprenons ? f
Celui, de pmategw, d'étendre l'enseigne- 1
ment-; t'édiuicalilanv: qu'a étàibli la tfoisiè- }
me RèVpuMiqde, et pair la, loue ceux, pe- f
tdte et, grandis, quii> de près xmi de loin lui *
sont utiles. <
Ceux de noms qui sont dans les villes j
iront dams- les • cariïpagnes, ' jusqu'au i
fond des hameaux' 'où'sTélèvè, au' milieu i
des alll|l^es■3lM!i.méTitë^^ùHLi^UleS,;■l,hù'■mr.' i
ble émic? " quti' "•n'en'"'loinme 1 pais moins i
di'hoin notes criitoyens. i
Paritouit, nouis déftenons lies adveilsan- '
aies dont les geais oouirageux jettent si
dcdKMgnmBeniehï'lie gàhit,^ par^ce qu'ils
savent qui'une majoîi'ite'.•' de dirigeants
n'oee le ramassea'.. Noms iioius mettrons
bravement en fiaioedp.eux, et à défaut, no-
tre temps ne sera ï^sHpeuidii'. parce que
rions inïtiieranis oeux-;que nous aurons
amenés à veaïiir noiùis; ejitendlre. iSous en-
fanterons des. ènepgu)es hoarvelles 1, nous
établirons, pïuis. sofliidés que des redou-
tes et, des rempairjtSj une.aiimée intelli-
gente et inoompai^b'le''fquiPsaiurai veiller
à l'écoile, à seis'maître, est disperser la'
caravane ciléiiicalei qùii oserait l'appro- I
cher. I
L'Union Française" '-âleis'' Chefe-"■ 'de Fa- I
milles LaïquJês;!en"a!pipl,l!ë -à touis'ceux
qui sont souidiieMik-die'^fiddignïté'des En-
fants, de leur, iiiistauicitiloiri; ;riolri faussée,
de FindépiertdH^(*'!diùC.p)âys. Elle a pouin
but de rendre plus grande la solidarité
répiddiioaiine poûii' ■exèt&è^ pus étroite^
ment, eauaotne la siuirvéiilliàin'cie 1 des pires'
ennemis de l,nûmanifeJ...;,'; ennemis qui
puisent leur ifaraee^ièiur'pjiffiss^ee dans
Le saoeridotcie adiroSt:diônit;Vïa^^
les oint investi, ; saçerdloioe qui a poiui*
auxiliaire le,plus.sûr,Vie plus sérieux, la
ocwifessiaa lïaidàuèè^âveçi tôèt."son; càrtëge
dégrialdiainit." À foâit. prix-. nôias; ; devons en- :
cercler le confessiiorinal,•; moiii'GihaiPd et
délateur afin d'épiumer l'iailinosphèiie vi-
«ié qui ômanie,déî(Mit)&-in9tetioto;'dan@êH "■
iieti'Sie, dans laquieillig.' tirop de pauvres
genis mani aveirttiiis flnii!&sent.;par se laisser
prendréi. pamrs'y: Mire^abaïuitiiir., : :
A une?Gérilaiini©éjp!Oiqiuie.laTéaiotiiiOn coa-
lisée a menée-''gimiiidi tapage;'eontvré'la
franc-maçoinneràe, paaibé^ "qwë' ;oette deir^.
oière dérHia'àqiùià 'à-la tunïîèVë'le 1 travail1-
eem'tiëftMin^qiùi'acicolnTplIiiBsajiient ses- mem-
bties et allliés offlctte»s die l'armée fran-
çaise, tnirant d'elle profite■■. et honneuirs,
ymà ite^oémptë dfeuné iairtis^âcrialtie* irapéd
rlale, royate et spptionntv paipale. Souis le
talom: die tleuiris biottbeis ils avaiieîit.juré fai-
re ^passeir la Gf«icMise^piar>le bruit du oli^
quieîtiis^die';le-u(ris sabnes ils voulaient em-
pêcher 1 qu'on' eailtende; : les cris de ses
Bouî-fraShlcies,' lé raie dé sai deraière minu-
te' d>a%6fiié. !G'râcé' à la : franc-màçonne-
fié. Jés «rràes "dies:. traïïjtes: furent émoiis-
eéèsvet.lè^ir(s"w*t'éuirsVc^^ , :;
Aujo.ùiwi^ikHv- sqws-:,uinié;:'aùjtTOr-f0fl*me
agissent'fes* boiuiflneaux' de»la Réputoli
qîie. Pafttauit/ > les repxubïiteains' soritj ira
dtwes, lejiseignienie-iit naiwonaiL"Galoninie, | tm \
èes Maîta-fts et Défénseuas mis à l'index ! ciini
èl_ vilipendés. Il laiUitrqiue cela cesse. Les , liseï
évèques
h les valettsdu pa,i)e éla-anger, ont fondlé, Part
avec le coaicou'i's de leur 1 clergé, desso»- tt L
piétés !sùspie«les, pou>r moucharder au | C;i7*.
Mnélicie'dè ieui-é Mltéi-e'te. Cette société dur
a parlioâît des "affiliés loii-squ'él'ie ne peut j ixXîU
k>riiie.r un groùipè." Ont l'appelle l'Asso- j fenl
ïtalion des pères de famille. C'est en vaic
çv])pos,i,tiioa a celle-ci que j'ai créé Y Union poai
{''/•«nç'dsc des Chefs, de Famille lut- «
ijues: Afin qnie. les piieiïi-iers: n'en igno- j>o»i
reiit. je dis que je vise ù leur intention, vie
le niême-burque aelui qu'ils atteignent un
kintrc" nSùls-mênies. pfi:
! Conïmèi-yaaiils, induskiiëls, «uvriêiis de j n
l'usine, de^ Fateliea-,, diù'bui»e.au' ou des fer'i
èhani]>s, hommes putoMcs et politiiques, mw
â vous 1.0U& quji-vous récl&iniez de la Ré- plis
publiique, je viens faiire appel. On en l»iei
veuit' au!!patà'âmoine dénoitire'vie démo- hiu
or'atique,; déf«ëiidbirîs-le. Défendohs-le ton
sans falibfesse; enn'" ci,est.l,ju&lémént'de N'oi
iiotré ftii'blèssé qûtest, pJL'rtrJè ràudace; dé t<><
réiHïe-mi''Vbye-z le ouiixi conihie il a au- U-iv
lou-r de sd-iv niiiiiJfetèiie :une coiinpagnie des
ç-ompactie- estsûjcei tandis i>que l'institu- hm
leur, est piiesque abandotnné à luii-môme, juu
ju'ltunt quelcfuefois'av^icliéroïsme contre iai
jtHT Momdé'dévexailiioins. inù
\ Nous soïnmês ^ùuaié ])éribde. de son ÎHV
existence hï&toini'que ou on «essiiierait de ' \ ';
h diminuer, aui lieu- de le giraoïdir. par- sig
ce que ; ses adver.suires ameutent centre flei
sa personnatiltié ens^ignantle taules sortes «UN
lie' luriai'cusesjaildusiles'. Ses-ino'indres faits h
êl, Restes''sont épiés,- suspectés, toujoiirs >'<»•!
dénatua-és par la caniarilla cléricale, qui \ >
vni wiûssi1'- loin 'qn'elOé le' peut,'sur ce 1er- v-r<
■raliii, en laivïlaint les enfants de leur clas- (li"<
se,: ceux qui- hi!i appi.rtii!e-nnent. de le sua- c-'-n
vc.iltor lîofin- racomter à papa; ou à ma- Vf»
hiaiiv ce qu'il a .faiik qui il reçoit. so>us *'e
quelle- forme, en. quel langage il a don- lié
fié- la;1eçoiii' eti'd'e^ quels argumenté ou ^
exeni'pleis peirsoniiiéls" il s'-est." sea'x'i pour S
îa'rehdï'C plue clûiafe: ifi
! lis ag-isseint jéssuiitement, agissons au j|
grand juu'r. Dénonçons ioiusles Gafaa-ds, !|J
dénomçons-ltes" franchement 1, sniicère- \
nnèai't,-1el., excepté !léui. arme d)e Basile, ;
femplo^'aiiè-in'au's à Tes faiate piii'bli qaiement i
Ibannailire. Ijoasqurias verapnt que nous \
feàmnies dléidi'dés à né pas n ous 1 aisser j
îaiia'e, oui^l>ieb ils nous livreront des I)
combate'loyaux dont noais: aain-ons le des- I |
jîiiis, oai biiàn; ils roloua-neronit- daais leurs I ;
rtepàiiies ^iisqurà^extiini<iion complété dé d
la' flàmhie' divine,- malis: iTiréelle, qu'ils ,
préfienciéM'o^hliqaiieimeht posséder de
leuir ai'Jiniaitioai. . Àkws,. le régime: s'é- o
clâiipefev oTiùiri' "peu plus die
' :giër/'qutï"W^cgtiielte,e^ acition.né "
i ipâr Tési lïallMitiainté'du 1 préëbytfene et ceux |
klu clia-lïsad) ";' ne so^'OïiB pas lâchés et, s'il j
[■ ile faut;. aiitaquoiiB." Attaquons pouï la s
. |R^puëi':^iùie. et rÈcale dles: fils de soin j
H] Peuple'. . '!
\ ;-■■■ , EMILE NOËL. ]
s : Son idée co;nç.u»&, noitire rédiaioléûïr en jj
r i=GÎi'eit a-éili'ititt, .qiueîqûm intimes parmi les -h
îmiïitânils"de 'Ha! Libre Peaiisée, dé la Ligue !
L; ipioiir .la défense des diwts dé l'homme 1:
a 'eit< dto 'ciitoyen^ dlfts■■aiaidBiicàiVx.' radicaux- !(
'- isotciiïîl.iiSi'.es, • desJ rcipuibl'iidàiiiris 'et des socia- :| :
il1.' aistés, âiixô^iélisiiexposa :les grandes li- i.
i- i'gnés;ide's6n''pT^'et^iG'iest aveci félicMa- ;
i- Hùioais, eaueoiuirag'ieimeinits et aussi: tous lés i
s. aiemeTOiiemeaiits que ce militant; de la foi i
â-> qui le guWéa;étléi%halètofe#émeht"com- ]
le p'iimeulé. Immédia'tenîénl.,;on.désigna, le :|
i- buvéaui"de^;oetté b^g&iiléaiofn'si utile ; à 'i
i- d'unàniimiM, par bulTétniis siecTOts dra- ;
n- ; boa-d, par acclamations ensuite, notre
ÎS i généreux ei.vaà'lilan'taani'. a été élu prés'i-
u-|;dle^*:r€«itti&'--'élêVàiti«an-:lùiï était, due, quoi-
e- 1 ' '-ciitf''iai5^.oft^liat'-itavëcv' ^":'d(ejrfïi^rie énergiie
is- J poîl^ne^s'raçicepltea*'; mBris il "dût céder
etnéuë ailt'simpten'iént aeé mélls .: « Meir-
ie, » ci'du 'fond dit cceur-; j'aççeiple donc,
lit. »: piuaisqiiië s'ïèst^oitlm voloîife, -mais; soyez
pa-: [»• pefâuadié&--que->de- oe poste d'honiiieur
» j'en ferai aulssi mn poste de défense et
» de combat. » Il M fut adjoint un se-
ci'étaii'e et uui adjoûait quii sont îios bons
cainaradés Pôraud et Pahu.
***
Voici, la. lettre-appel que le nouveau
président adresee a ses amis, à cliaque
^épuiyiïcàih' qui lui est signalé :
! «Limoges, 1913.
I . .
» Mon cher citoyen,
] » J'espère lie me faïa^aucune illusion
l'iii venant \-ouis dire que je compte pré-
çieiisemeiH sua' vous pour m'aidei- à réa-
liser le.succès de Latrjeuiie « Unio-iï Faïain-
çaisie » dont, je vùens de doter le Grand
Pdrlillcpvbticuitiv Social. Démocratique
M Luique. sans dislinotion d'étiquettes.
Gai"; poîuu' cetlé- o?uvre, éminemment
d'urgence défensive, il est absolument
iititeqiié s'uniissen.l'toUs ceux qui accep-
fent "sans réticences l'idéal qui'apeiîce-
vaient nos aïeux qui se firent trouer la
peau pour' obtenir uni: peu de liberté.
« Toutes les sincéaiitlés seront d'
vie natioualo le régime- de laïcité court
■(iii grand et, vêrilable danger, qu'à tout
prix nous devons conjurer.
5 » VO:UB êtes .des nôtres, et. je ne vous
fera i, pas Finjuire
plissement d'un devoir. ' Vous voulez
bien, n'est-ce pas. l'affranchissement
humain de l'être qui vit, sa liberté de
fronscièrice", celle dlagir et de parler ?
Vous voulez bien la dispersion des for-
ces romaines, dont les soin-ces alimen-
IK'III. d odieux préjugés, préjugés au noan
!lcsqaiieis' s'aéèoihp'Mseont des actes 1 'ty-
|-anni
voulez iout cela comme je le veux moii-
knême. Aloa
\ » Chaquéfo^is quie vpii.V en connaîtrez,
pigiÏHJéz-rious tous lésifaits 'qui dépén-
|lenjt; dé notre naiison d'être, n'éprouvez
âucuHi séaitiiinent»'de pitié pour ceux dont
je rêve ambitieux est de uvivenir au pou-
voir pou»- mieux nous écraser.
; » Kn nous éca-ivant n'ayez aucune
|-raiaïté penir vous.'■: no'u/f savons défen-
(iré'aiofe ain^'s cl garder le secret ; ma
pmpïiiruliïopv pour l'un dés nôtres,.'de-
yoavt' la'jùsiliiç:e"'et lés ei-avés ennuis qui
è'eàV" soait suivis en' sont la paneuve justi-
fiée. Mais, ce'que jevous demande, c'est
; la vea-itô, la vérité seule sua- touè ce que
.vous aua-ez à nous appa^eairire.
» 'Noto'e Union Française des chef s de
r/rtm iUe ' laïques' s^ada^ésse égàteineht à la
on ère; à la veuvév 'La femme, dans nos
inângs, '■ a sa place tôiùlé indiquée," èt'îious
kispéions que nos 'aih-is! ceux auxquels
ifioSi^. cause est synipatlrique, ne inan-
■queroiDli pas, eni même temps que leur
jadhésioai,. de nous envoyer celle dé leur
Compagne ; l'elToa'tque je lente ne semit
pas complet si la mère dé' famille n'était
pas 'riotre associée : n'oaibldons pas que
gi les'évéqiues ont orée los Associations
kl es Pères île famille'catholiques, les vî-
pair^s et abbés confessent les femmes
fie ces derniers. Donc, faisons des nôtres
jet de toutes celles qui voudront bien ve-
nir à nous, nos initeiligéntés et dévouées
eo)laboiiUti*ices.
; » Nous aurons à fai-re coniiaître notre
OrrjanPsution ; pour cela, je viens vous
ipdiqiier un'moyen' parmi tous les au-
tres. D^îis'voitre arroiïdiissehièiit, il y a
certainement un journal répul)licàin.
Avec mon aiîticle et toiut ce oui précède
et suit celle letti-e. allez ou; écrivez à
son dii'ectéur! et dites-lui d'avoir l'amabi-
lité de nous imprimer : il ne peut se refu-
ser tout au' moins de nous anaioncer. En
ce cas. je vous
des affiches, droa'ganiser des conféi-eii-
ces. de lancer des ta"ace ou brote-hures :
tout cjela -devra être fait.
; » Chaque ïidhérent rece\Ta' également
■ ëa « Carte de Ligueur ».
: » La cotisationlà la portéi' des plus pau-
vres, sera dé 1 franc, par an. Nous lais-
sons à ceux M le nos amis ■qui pourront le
faire, le soin de verser leur obole facul-
tative. C'est cette dernière qui nous ser-
yitra surtout au développement et à la
propagation de .nolme oeuvre de laïcité.
; » Pour moniar cette canipagne qui
■s'impose/et'qui ifera rhonneur de votaxi
Ittincep-tiion. de volaie attachement aux
idées de justice etde progrès social, dont
votre, dévouement, a
fivitérncl.
i » Vote
« 'EMILE NOËL.
» Président de l'Union Française
j lies.chefs de famille laïques. »
N.jjV—Je dois vous lia-e dans \ui j).ro-
chaiiv courrier. A votre adhés.ion, j'en-
vojTaà 'votre cxirte de ligueur.
Il nié ser^t permis 7 d'à jouter iqtie 'la 'Côiifu-
sion est 7 volontaire? et caMilée, 'po^Mjçùoï ?
mieux, vaut soidigîiei' l'a 1 cPjntradictïéîi' qui
résulte *lu> désâv€^i^formbl'que"^oiM^e; AU
jour du grôUpe: du IV opposerà ^'àttïtiia© 1
antérieurefdii IIIe. Ce ydi p>ut jeter "le dis-
j«i^édit sûr une organisation cé'U'èSt pafe'ie
rappel dei' faits, mais leS^ faits'eu^c-niêmes.
] O^aàt' à niia:
ivais prévoir bu'elle 'serait discute^, 'ayant
Uéclaré'àu Comtrrès^ puiS; par 'lettré- ïKirti-
culièn*.au <ùtoyenrHùbba-rd. «nie"jenè'pou-
,vais accepter d'être secrétaire interfédé-
ral. Je îi'aSâis donc poç à adresser;de dér
iuissitoh. et^^ j'ai î-eriouVelé nia déclaration.
Il eut "mieux' -valu;, eii effet; suivre' ravis
dû citoyen" Noël, et iioUunèr ;cèus doiit'îé.
concours était assuré, eelâ' eut gâghèdu
temps et 'permiS'de" (E^Hser â.ava»ta^» à la'
Jjirripagaude -qui est la raison'd'être de nés
o rgaMisât ions. II est yiraï que cela 'eut privé
M. Roclie; du «plaisir d'édSctèr dès discours
iiux mots .sonores et ronflants, c'est si
beau de •posèr.V. pôUr.'la^aleri-é.''■ .
i L'iiisinuatîonj'it'oiichant la déloyale i> dest'inéè^à sauver'léiprestjige des
t< mintants1>0ïïtifès » (coupal>lés dé n'avoir
j)a's voulu "se laisser dirige' par d'autres
po'iitifes) iié dohnè-t-ellé pas ù pensé*, que,
le? arnié-i' démodées de Bazilé seraient
lii';eifs placées dans ses 1 maiiis^ que daiis
les miennes "?
Qurint à ce'"qui" toutïi'e la proportion Idu
groupé d'Oullih^. je n'ai point mahdi't ao
iéivdré compte des 4ècisi6iisdu: eo.nseil;Fê:
floral : et s'il y à diiscbfdéj n'en rèvièn^drait-
I il pas une part' dé . i^p^nsàt>iiliîes!l(aû'x;
" deyA'» 8rétii>és dont là stabilité n'a rièir
de <. ]«odigieûx « ? .
j Et"u>oùr' ne'; pas être en reste'avec M. lib-
ellé, dont je goûté fort la spirituelle cità-
1 ion ï(j u proyerbèJ arabé. ■ je> lui en ; citerai
jiiii ' firancais, bièJri vuiffaii*. (n'a pas; de
l'esprit ..qui veut.) Il ne fa-ut'î>as parier de
coi-dë dans ld;màiisbn d'uirpeindu. -.
\_ eùi Hcfea gréer/ M. ; ïç 'TtedàJctJèur en', clief,
î'hssiirnncè dé'mà conisidl&ràtion très 'dîs'-"
tiiiirnè'p;'
MÀiiiE HABÉRT;
Trcsôriérç adjointe (Jet VVnion Fé-
dérMe du, ^Jlhôné, déléguée au
i Con'ijr'ès"-àc Lille.
f.l " '* T" 1" * : Jk' ■ ■' ftt' C mk T* a^*11 I '* 4»
BULLETIN D'ADHÉSION
NoinL prénoms'^— ..
demeurant à. r,;..... ^ ; _- .....: -;.: :—__ -.-
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obole "libre:! ..:_: i_.i_.____^: i__.„._.^_____^ : : ■■ '■;—_—.-_—._. ___—-_...:—.._ I
Norns, prénoms, adresses de citoyennes où ciioyenè à inscrire ou à solliciter: I
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j Siège de TlIIVIÔI%FRAiX^41»E, A Limoges/1, rue BaMc-lc«cr
; ■■ Lyon.'23 décembre 1912.
î Moiisteùir." le " î^daçteùir eii chef du
i .,',, Libre Pemeur de France.
\ Ba'iiis Je numéro du 15 ^décemba-e, je sais
riîit'ejJiielliéte ipànM. Miariuis Rocihe ôfùne fa-
içoiii qui me fadit un déVtoiir d'y répondre. Je
1 fais! appel' à votre couirtoisie; persuadée que
\ je n ai pas besoin dJimjvoquea' mon. droit
i pour q"ue', vous voiufliez bien ànBérer, aux
internés lieui et tplaee que l/ariàcie m© coneer
inainit lia letta-e suivante, dans votre plus
» prochain, nuanéiros
j Précisions.
;. Daais uai article iiutitailé ; • « NLise au point. j
jiuéeessatLi-e ■ ». paru-;dàiis le Libre Penseur j
; de France, le 15 décembré 1912, M. MaTius I
Roche; secTétaine du. gi-oupé. de Libre Peu- j
sée:dn IXe aMioiMissem-ent de Lyon, me j
prend vî-'iOleiniriient à pa'itie au sujet du pas- j
sa®&: d'une l'ettnè paa-. moi adiressée au ci- \
toyen Gustave Hiibl)ardï secrétaire générai
de "LU«ioh-Nationale de la Libate Pensée, I
aiiûsi conçu : '
«:IWltaion fédiéi-ale du ?Rh6ne. bien que
, souihâibant l'union; a déci'diè'de se réserver ;
lie. fait de 1'aeceipitia.tibn artu «omgrès dé Lille
et à PUm'on Natioiïàle, saîis ïnfbTinatïons j'
préalaibles.: d'unie fraction dissidente de VU. f)
F. du R. (deux groupes, dont un exclu), 'j
fraction .oublieuse die. son aittitude daps.le|; ;
dMféren^'.:'comgii;,es, Çt-doint la; raoùidire *çôi>-;' "•
tràidiiictièii'ru'est ceites'piis la'participation' \
au congrès, de Lille, par. le maaidat confié )
a.u .citoyen. Noël p.ajr. les. auteurs d'une mo- ;
tiôn dffebh.ist!ion ,d'èb ïa'aiics-maiçoiiis, » ; ^
\ Dans un élan! de; .vertueuse indigiiatioiï. I \
M. Roche'îiié repfbciié des absences de me- \\
moire, volontaires et calculées, des àlléga- j
tioais mensongères, etc. Tout le mon.die,'plùi& :
ou moins, peut avoir des ; absences dé mè7
nibjire.'; M. ;Roçihe comiiié les autres, et je
lui ferais observer. ■ qu'il oublie^ que ; son
groiipe-ne" forme pas .à lui. seul la. «frac-
tion », qu'il' v a aussi îè groupe du HT 0 ar-
voaiidïBsemeht lequel a, fait sieime la mo-
tion de Gïvors.. par les rapports .présentés, ;
: îiotamiuent ■■': -au «oiigrès de St-Etiléime;
i (19'0§y et plus récemment au Congrèsnatior
1 nal, tenu-à Lyon, les 13, H et 15 août 1911.
, Mes allégations soi-disaut mensongères se 1
I réduisent donc à ceci : n'avoir pas .d^oint
lia ;
\ Oit a vendu nos meubles
On voudrait les rBVBiHirEBncort
Le 20 décembre 1912, aux sons de la
irnmpclté, sur Ta vàii: publique, là coin-
iinssâire-priseur vendait une partie de
nos bardes. J'ai racheté le mobilier' de
rnoii..camarade'JijUifii, ({crant , de notre
çaUUiïïlc'feuille ' elje Vai fait apporter
(fans un apparfcmcnl dont j'ai payé le
loyer.
j Les commissionnaires n'étaient, pas
encore partis que l'huissier de MM ; les
i-iirés qui nous ont poursuivis yeiïaù
pour saisir à nouveau ; en effet, il laissa
un commandement à. cet effet. Ces gens-
la ne se rasstiçicwiënt pas,' . ;
Notre gérant eût menacé de la.contrains
te par corps 1 ; péùfcc'trc qw?à V-heùfc' où
paraiitî'orît lcès 'liçjnes scràrt:il'epyp^son- .
Iné. Alors, à nouvcaoti sonnera pour' moi
une loiiM-dë charge, une paternelle 1 res-
ponsabïliîcl un devoir~eévasant,\pufcque
f aurai à m. occuper d'un intérieur nou-
veau_ dhhic'fèmmê èl'de'trois'enfàni's'ëiv
.'?) asagéî "ç'ii plein hiver., "Q.tipÎQM-4 - Ifs. .{or-;
le es aient dos limites, il me faudra arriver
\ct i^n-nv'erài; LsoiÙcnM'p^ notre' irfe'rtiïct"
le besoin de niânirçr à nqsjennemis, q:W
'je naliandomïe pas sûr la route des■■■eni-
\irciiiis Viùï des'nôircs et %ue'\e sais tenir
'hi parole donnée. ,.■..:.-...•■.
i' .! ■/■: EMiLE-MOiEL,:
'; A' la îiaefe hé ;toûite: la. ihipraile,. coninïe,!pa!6ï;-;
i re alig'ùlàiï'è ïl frtût mattâie;riiildîH.,id)i.. &mài
■ l'IndSviMv,,';eïi:effét/': aufâvïne:;s^Sé'isi' 1^;
: tréMe sOit-effié aie peint' e^tçiv'':Vgju,*V s'a-;
gisse d'étudier, la anoa*à1é iaidivîdu'èlle; la.'
nuor'aife ifèunilM^ la mbr^ë''soéiaàfe|.;Ia .imo-..
,raîe'civic(ùe,:;l!a. àiol^le.Mim^tfiïre^ l'inidi- '
■ I viidu'doit'ètrè;il'ob^.^e^brlire^^ élu;7-,;
■ i de. ;Miai^,'du: ifiàit.qu'é'''i'i.ndiîddiu^fàit.p^tiié
ir;té^,ay{*;..dferï&ùto;'.BOcjiéjÉé;' nb"ii'is jie/.îiûu^.
Ivoiis.'.îl'i^aliéà'! ipour: rétuidiér éjpéteiâlèmeiït. ;
comiitift il est.'tougoivrè' ;èni ir^tdons"'i'a'yjeè';
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