Le Mois scientifique et industriel : revue internationale d'information

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48 pages

Titre : Le Mois scientifique et industriel : revue internationale d'information

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1906-07-01

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32817781p

Type : texte texte

Type : publication en série imprimée publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 01 juillet 1906 01 juillet 1906

Description : 1906/07/01 (A8,N83)-1906/07/31. 1906/07/01 (A8,N83)-1906/07/31.

Droits : Consultable en ligne

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5588729s

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-R-17309

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 17/01/2011

MESURES

Hirsc/t/and. 63.01

885. — De la déformation des câbles métalliques (suite).

1906. Berlin. Dinglers P0Iyt.ee/t11isc/tes Journal, n"s 14, 13 et 16, 7, 14 et 21 avril,
toute CCCXXI, pages 209 à au, 434 A 239 et 250 A 255.

Résultais des essais. — Plus une charge agit longtemps sur un câble neuf, plus celui-ci
s'allonge. Si la charge est la plus haute que le cable puisse supporter et si on la laisse agir
assez longtemps, l'allongement diminue quand le temps augmente et après 20 secondes est
insignifiant.

Quand on soumet le câble à des charges et à des décharges successives, l'on obtient avec lui
des courbes d'allongement différentes. Si on laisse la charge agir assez longtemps, on obtient
une courbe d'allongement moyenne.

Travail de déformation. — La déformation est proportionnelle à la surface limitée par la
courbe d'allongement, l'axe d'allongement et les ordonnées de l'origine et de la fin de l'expé-
rience. Avec un cable neuf, ce travail dépend du temps pendant lequel la charge agit. Elle est
sensiblement constante avec un câble qui a été soumis une première fois à un allongement.
• La surface comprise entre les courbes de charge et de décharge mesure la perle.

Coefficient d'clastic'tè. — La longueur du câble ne dépend pas seulemeut de la charge. Pour
chaque charge il y a 2 longueurs d'où 2 limites de courbes d'élasticité. Il n'y a pas proportion-
nalité entre l'allongement et la tension. Pour de plus grandes charges, les allongements sont
proportionnellement moindres.

Des essais faits' avec des câbles huilés n'ont donné aucun résultat différent. L. D.

E. Probst. . S31

SS6. — Nouvelle machine pour essais a la flexion.

1966. Chicago. Cernent and Engineering News, janvier, pages 3 à 4 (3 figures).

Cette machine est en usage depuis trois ans au laboratoire d'essais des matériaux à Zurich,
et a été construite sur les indications du professeur Schuels par les ingénieurs Amsler-Laffon,
;: Schaffhouse.

Elle est beaucoup plus précise et plus simple que les machines anciennement employées
pour le même but.

La- charge est produite par 7 pistons ayant une distance variable d'axe en axe, et qui
agissent de bas en haut sur la partie inférieure de la poutre. Les pistons n'ont pas de garni-
lure d'étoupes. Chaque presse est munie à son extrémité d'une sphère d'acier au-dessus de
laquelle sont deux appareils de .contact. 11 est évident que chaque piston exercera seulement
un effort suivant son axe; mais il n'a pas d'appui invariable de la poutre au contact de la
charge. Cette poutre est donc assurée par sa propre rigidité contre le fléchissement de côté.
j-es presses se meuvent dans l'huile de ricin. •

Avant le commencement de l'expérience, les pistons sont placés bien verticalement, ce qui
est facile, chaque cylindre ayant en-dessous 4 boulons ajustés, munis de ressorts spirales.
lue pompe mue à la main ou au moyen d'un moteur et reliée par des tuyaux de communica-
tion séparément avec chacun des cylindres, produit l'élévation des pistons. La charge est lue
sur des échelles à colonne de mercure. Une charge de 126 tonnes peut être obtenue.

19 Juillet 1906

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