Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1857-06-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 juin 1857 01 juin 1857
Description : 1857/06/01 (A3,N6)-1857/06/30. 1857/06/01 (A3,N6)-1857/06/30.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5577508b
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
.65
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — 3« ANNÉE.
66
lt'6. — Juin 1857.
PL. 29, 30, 31. 32, 33, 34.
Sommaire'. ] ■ ■ ; \, ]/
TEXTE. — Chronique. Dessèchement du làeTncrao (Deux-Siciles). — Courses
géologiques de l'École des Mines et de la Sorbonne de Paris. — Ouverture des gale-
ries des plans-reliefs des places de guerre et ports de mer français, à l'hôtel des Inva-
lides. — Wotes et Documents. Le viaduc de Chaumont sur la Suize; nouveaux
détails. — Échafaudages et manèges à mortier du viaduc de Chaumont. — Construc-
tion et profils du tunnel de Saint-Cloud (chemin de fer de Paris à Versailles, rive
droite). — Cintre retroussé, en demi-cercle, de 14 mètres de portée. — Colonie agri-
cole et ferme-modèle de Ruysselede (Belgique). — Revue «les chemins de fer.
Chemin de fer des Ardennes et de l'Oise. — Revue technologique. Utilisation des
croûtes de hois de rebut pour le renforcement économique des poutres de planchers,
par M. LAGOUT, ingénieur des Ponts et Chaussées. — Marbres noirs artificiels, par
M. Valério, ingénieur civil.
PtAarCHES. — 29, 30. Échafaudages et tours de montage des matériaux du via-
duc de Chaumont. — 31. Construction et profils en travers du tunnel de Saint-Cloud.
— 32. Cintre en demi-cercle, de 14 mètres d'ouverture. — 33. Vue à vol d'oiseau de
la colonie agricole et de la ferme-modèle de Ruysselede. — 34. Vacheries et porche-
ries de la ferme-modèle de Ruysselede.
CHRONIQUE.
Dessèchement «lu lac Fucino {Deux-Siciles).
Parmi les travaux d'utilité publique que le gouvernement des Deux-
Siciles fait exécuter en ce moment, soit par lui-même, soit par l'in-
dustrie privée, le plus important est, sans contredit, le dessèchement du
lac Fucino Ce lac, qui n'a pas d'écoulement naturel, est situé au fond
d'un bassin, élevé de 700 mètres environ au-dessus de la mer, au centre
de la chaîne des Apennins, dans les Abruzzes. Il est environné de hautes
montagnes et reçoit les écoulements de versants fort étendus.
Le niveau en est très-variable; lors de la fonte des neiges et à la suite
de fortes pluies, il s'élève quelquefois très-rapidement, pour ne redes-
cendre ensuite que peu à peu par l'action du soleil et des vents. La
différence entre les plus hautes et les plus basses eaux connues est de
15 mètres environ. Aussi voit-on, à certaines époques, et à la suite de
plusieurs années pluvieuses, les eaux envahir des terres depuis long-
temps cultivées et plantées d'arbres, des fermes et même des villages
entiers.
Depuis les temps les plus anciens on a cherché à remédier à d'aussi
graves inconvénients, et à gagner à l'agriculture de vastes terrains, en
procurant aux eaux du lac un écoulement artificiel.
Les Romains ont tenté cette entreprise, colossale pour les moyens
dont ils pouvaient disposer, car il ne s'agissait de rien moins que d'ou-
vrir un souterrain de 5,600 mètres de longueur à travers une montagne
fort élevée et dans des rochers très-durs ou des argiles mouvantes.
L'empereur Claude confia l'exécution de ce travail à son affranchi
Narcisse. L'histoire rapporte que trente mille ouvriers y ont été em-
ployés pendant plus de dix ans.
Les Romains ont aussi ouvert trente-deux puits de 20 à 130 mètres
de profondeur, dont un grand nombre sont creusés dans le calcaire
compacte ; un égal nombre de petites galeries, inclinées à environ
35 centimètres par mètre, pour faciliter l'entrée des ouvriers et la sortie
des matériaux, et une galerie de 5,600 mètres de longueur et de 2 mètres
environ de largeur sur k mètres de hauteur, présentant une section
moyenne de 8 à 9 mètres quarrés.
La galerie était revêtue en maçonnerie sur une longueur de
1,500 mètres.
On est confondu d'étonnement quand on songe aux difficultés que les
Romains ont entrepris de surmonter, sans le secours de la poudre et des
machines à vapeur, en attaquant un souterrain de 5,600 mètres de
longueur, 2,500 mètres environ de puits, et près de 4,500 de galeries
inclinées dans un rocher très-dur qu'ils ne pouvaient exploiter qu'au
marteau et au pic; ils en sont cependant venus à bout, et, malgré des
imperfections et des erreurs grossières dans les pentes et le tracé, ils
ont ouvert d'un bout à l'autre le percement qui devait écouler les
eaux du lac, et qui a conservé le nom d'Émissoire de Claude.
Il est douteux, cependant, que ce souterrain ait jamais fonctionné.
Lors de l'inauguration de ce grand travail, qui eut lieu en présence de
Claude et d'Agrippine, une catastrophe (sans doute l'éboulement de
G. 40
l'entrée de la galerie) épouvanta tous les assistants et vint mettre ob-
stacle à l'écoulement des eaux.
Depuis plusieurs siècles ont s'est préoccupé de la reprise des travaux,
mais ce n'est qu'en 1835 que la question a été sérieusement étudiée.
A cette époque, M. ALFAN DE RIVERA, directeur général des Ponts et
Chaussées du royaume de Naples, a fait nettoyer le souterrain et sou-
tenir les parties éboulées par de solides blindages.
Il a publié, peu de temps après, un ouvrage intéressant sur les moyens
à adopter pour opérer la restauration de Yémissoire et le dessèchement
du lac.
Aucune suite n'a été donnée à ses propositions jusqu'en 1852, et
même on a laissé le souterrain s'encombrer de dépôts argileux, et plu-
sieurs portions de la galerie se sont affaissées de nouveau.
Enfin, le 24 avril 1852, le roi des Deux-Siciles a concédé cette entre-
prise à un Français, M. d'AGioirr.
Oh s'est mis sérieusement à l'oeuvre à la fin de l'automne de 1855.
On se propose de porter la section de la galerie à 20 mètres quarrés.
Sa largeur sera de k mètres, et sa hauteur de 6 mètres environ ; elle
pourra ainsi débiter, avec une pente d'un millimètre par mètre, envi-
ron 35 mètres cubes d'eau par seconde, et vider le lac en deux ou trois
ans. On jettera, pendant ce laps de temps, dans la petite rivière du
Liris, dont les eaux sont à 23 mètres environ au-dessous du point le
plus profond du lac, un volume de plus d'un milliard de mètres cubes
d'eau.
Actuellement le lac est assez élevé et couvre une superficie de
15,000 hectares.
Sa plus grande profondeur est de 20 mètres.
On pense que les travaux de restauration du souterrain existant du-
reront encore près de deux ans et donneront lieu à une dépense de
3 millions de francs.
On aura, en outre, à exécuter dans le lac un grand canal de dessè-
chement, de 10 kilomètres de longueur sur 3 mètres de profondeur
maximum, et divers travaux accessoires de digues, canaux d'écoule-
ment, etc., qui donneront lieu à une dépense de 2,300,000 francs
environ.
Dans le courant de l'année 1856, on a recherché et ouvert plusieurs
puits romains encombrés de matériaux; et l'on a commencé le creuse-
ment de quatre puits nouveaux. Enfin on s'est occupé du nettoiement,
de la rectification et de l'agrandissement de la galerie.
Les dépenses faites jusqu'au 31 décembre 1856 s'élèvent à la somme
de 600,000 fr. environ.
Courses géologiques tle l'Ecole des Mines
et «le la Sorbonne «le Paris, pour l'année 1857.
La grandeur et l'importance des travaux publics exécutés de nos jours,
rendent de plus en plus nécessaire aux constructeurs la connaissance
des éléments de la science géologique. Aussi croyons-nous être utiles à
ceux de nos lecteurs qui seraient à même d'en profiter, en leur donnant
quelques indications sur les tournées que feront cette année les pro-
fesseurs de Paris. On sait qu'il n'est besoin d'aucune inscription préala-
ble pour être admis à prendre part à ces promenades, et à profiter de
l'enseignement pratique qu'elles ont pour objet.
M. EUE DE BEAUMONT fait ses courses géologiques le jeudi; les rendez-
vous sont affichés dans la cour de l'École des Mines, au commence-
ment de la semaine. Dans le mois de juillet, ce professeur fera proba-
blement une tournée de trois ou quatre jours dans les Vosges; nous
annoncerons le détail de cette intéressante excursion à l'avance, s'il
est possible.
Les tournées de M. HÉBERT ont lieu le dimanche, ses rendez-vous
sont affichés, chaque semaine, aux abords de la Sorbonne.
M. CHARLES D'ORBIGNY , qui explore habituellement le bassin pari-
sien, ne fera pas de courses cette année.
Ouverture «les galeries «les plans-reliefs
des places de guerre el -ports de mer Français,
à l'hôtel des Invalides (pavillon do l'Ouest).
Cette galerie sera ouverte au public depuis le 1er mai jusqu'au 15 juin;
des billets d'entrée pour quatre personnes, pouvant servir une seule
1857. — 9
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TEXTE. — Chronique. Dessèchement du làeTncrao (Deux-Siciles). — Courses
géologiques de l'École des Mines et de la Sorbonne de Paris. — Ouverture des gale-
ries des plans-reliefs des places de guerre et ports de mer français, à l'hôtel des Inva-
lides. — Wotes et Documents. Le viaduc de Chaumont sur la Suize; nouveaux
détails. — Échafaudages et manèges à mortier du viaduc de Chaumont. — Construc-
tion et profils du tunnel de Saint-Cloud (chemin de fer de Paris à Versailles, rive
droite). — Cintre retroussé, en demi-cercle, de 14 mètres de portée. — Colonie agri-
cole et ferme-modèle de Ruysselede (Belgique). — Revue «les chemins de fer.
Chemin de fer des Ardennes et de l'Oise. — Revue technologique. Utilisation des
croûtes de hois de rebut pour le renforcement économique des poutres de planchers,
par M. LAGOUT, ingénieur des Ponts et Chaussées. — Marbres noirs artificiels, par
M. Valério, ingénieur civil.
PtAarCHES. — 29, 30. Échafaudages et tours de montage des matériaux du via-
duc de Chaumont. — 31. Construction et profils en travers du tunnel de Saint-Cloud.
— 32. Cintre en demi-cercle, de 14 mètres d'ouverture. — 33. Vue à vol d'oiseau de
la colonie agricole et de la ferme-modèle de Ruysselede. — 34. Vacheries et porche-
ries de la ferme-modèle de Ruysselede.
CHRONIQUE.
Dessèchement «lu lac Fucino {Deux-Siciles).
Parmi les travaux d'utilité publique que le gouvernement des Deux-
Siciles fait exécuter en ce moment, soit par lui-même, soit par l'in-
dustrie privée, le plus important est, sans contredit, le dessèchement du
lac Fucino Ce lac, qui n'a pas d'écoulement naturel, est situé au fond
d'un bassin, élevé de 700 mètres environ au-dessus de la mer, au centre
de la chaîne des Apennins, dans les Abruzzes. Il est environné de hautes
montagnes et reçoit les écoulements de versants fort étendus.
Le niveau en est très-variable; lors de la fonte des neiges et à la suite
de fortes pluies, il s'élève quelquefois très-rapidement, pour ne redes-
cendre ensuite que peu à peu par l'action du soleil et des vents. La
différence entre les plus hautes et les plus basses eaux connues est de
15 mètres environ. Aussi voit-on, à certaines époques, et à la suite de
plusieurs années pluvieuses, les eaux envahir des terres depuis long-
temps cultivées et plantées d'arbres, des fermes et même des villages
entiers.
Depuis les temps les plus anciens on a cherché à remédier à d'aussi
graves inconvénients, et à gagner à l'agriculture de vastes terrains, en
procurant aux eaux du lac un écoulement artificiel.
Les Romains ont tenté cette entreprise, colossale pour les moyens
dont ils pouvaient disposer, car il ne s'agissait de rien moins que d'ou-
vrir un souterrain de 5,600 mètres de longueur à travers une montagne
fort élevée et dans des rochers très-durs ou des argiles mouvantes.
L'empereur Claude confia l'exécution de ce travail à son affranchi
Narcisse. L'histoire rapporte que trente mille ouvriers y ont été em-
ployés pendant plus de dix ans.
Les Romains ont aussi ouvert trente-deux puits de 20 à 130 mètres
de profondeur, dont un grand nombre sont creusés dans le calcaire
compacte ; un égal nombre de petites galeries, inclinées à environ
35 centimètres par mètre, pour faciliter l'entrée des ouvriers et la sortie
des matériaux, et une galerie de 5,600 mètres de longueur et de 2 mètres
environ de largeur sur k mètres de hauteur, présentant une section
moyenne de 8 à 9 mètres quarrés.
La galerie était revêtue en maçonnerie sur une longueur de
1,500 mètres.
On est confondu d'étonnement quand on songe aux difficultés que les
Romains ont entrepris de surmonter, sans le secours de la poudre et des
machines à vapeur, en attaquant un souterrain de 5,600 mètres de
longueur, 2,500 mètres environ de puits, et près de 4,500 de galeries
inclinées dans un rocher très-dur qu'ils ne pouvaient exploiter qu'au
marteau et au pic; ils en sont cependant venus à bout, et, malgré des
imperfections et des erreurs grossières dans les pentes et le tracé, ils
ont ouvert d'un bout à l'autre le percement qui devait écouler les
eaux du lac, et qui a conservé le nom d'Émissoire de Claude.
Il est douteux, cependant, que ce souterrain ait jamais fonctionné.
Lors de l'inauguration de ce grand travail, qui eut lieu en présence de
Claude et d'Agrippine, une catastrophe (sans doute l'éboulement de
G. 40
l'entrée de la galerie) épouvanta tous les assistants et vint mettre ob-
stacle à l'écoulement des eaux.
Depuis plusieurs siècles ont s'est préoccupé de la reprise des travaux,
mais ce n'est qu'en 1835 que la question a été sérieusement étudiée.
A cette époque, M. ALFAN DE RIVERA, directeur général des Ponts et
Chaussées du royaume de Naples, a fait nettoyer le souterrain et sou-
tenir les parties éboulées par de solides blindages.
Il a publié, peu de temps après, un ouvrage intéressant sur les moyens
à adopter pour opérer la restauration de Yémissoire et le dessèchement
du lac.
Aucune suite n'a été donnée à ses propositions jusqu'en 1852, et
même on a laissé le souterrain s'encombrer de dépôts argileux, et plu-
sieurs portions de la galerie se sont affaissées de nouveau.
Enfin, le 24 avril 1852, le roi des Deux-Siciles a concédé cette entre-
prise à un Français, M. d'AGioirr.
Oh s'est mis sérieusement à l'oeuvre à la fin de l'automne de 1855.
On se propose de porter la section de la galerie à 20 mètres quarrés.
Sa largeur sera de k mètres, et sa hauteur de 6 mètres environ ; elle
pourra ainsi débiter, avec une pente d'un millimètre par mètre, envi-
ron 35 mètres cubes d'eau par seconde, et vider le lac en deux ou trois
ans. On jettera, pendant ce laps de temps, dans la petite rivière du
Liris, dont les eaux sont à 23 mètres environ au-dessous du point le
plus profond du lac, un volume de plus d'un milliard de mètres cubes
d'eau.
Actuellement le lac est assez élevé et couvre une superficie de
15,000 hectares.
Sa plus grande profondeur est de 20 mètres.
On pense que les travaux de restauration du souterrain existant du-
reront encore près de deux ans et donneront lieu à une dépense de
3 millions de francs.
On aura, en outre, à exécuter dans le lac un grand canal de dessè-
chement, de 10 kilomètres de longueur sur 3 mètres de profondeur
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ment, etc., qui donneront lieu à une dépense de 2,300,000 francs
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Dans le courant de l'année 1856, on a recherché et ouvert plusieurs
puits romains encombrés de matériaux; et l'on a commencé le creuse-
ment de quatre puits nouveaux. Enfin on s'est occupé du nettoiement,
de la rectification et de l'agrandissement de la galerie.
Les dépenses faites jusqu'au 31 décembre 1856 s'élèvent à la somme
de 600,000 fr. environ.
Courses géologiques tle l'Ecole des Mines
et «le la Sorbonne «le Paris, pour l'année 1857.
La grandeur et l'importance des travaux publics exécutés de nos jours,
rendent de plus en plus nécessaire aux constructeurs la connaissance
des éléments de la science géologique. Aussi croyons-nous être utiles à
ceux de nos lecteurs qui seraient à même d'en profiter, en leur donnant
quelques indications sur les tournées que feront cette année les pro-
fesseurs de Paris. On sait qu'il n'est besoin d'aucune inscription préala-
ble pour être admis à prendre part à ces promenades, et à profiter de
l'enseignement pratique qu'elles ont pour objet.
M. EUE DE BEAUMONT fait ses courses géologiques le jeudi; les rendez-
vous sont affichés dans la cour de l'École des Mines, au commence-
ment de la semaine. Dans le mois de juillet, ce professeur fera proba-
blement une tournée de trois ou quatre jours dans les Vosges; nous
annoncerons le détail de cette intéressante excursion à l'avance, s'il
est possible.
Les tournées de M. HÉBERT ont lieu le dimanche, ses rendez-vous
sont affichés, chaque semaine, aux abords de la Sorbonne.
M. CHARLES D'ORBIGNY , qui explore habituellement le bassin pari-
sien, ne fera pas de courses cette année.
Ouverture «les galeries «les plans-reliefs
des places de guerre el -ports de mer Français,
à l'hôtel des Invalides (pavillon do l'Ouest).
Cette galerie sera ouverte au public depuis le 1er mai jusqu'au 15 juin;
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