Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1887-06-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 juin 1887 01 juin 1887
Description : 1887/06/01 (SER4,T4,N390)-1887/06/30. 1887/06/01 (SER4,T4,N390)-1887/06/30.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k55773077
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
81 .NOUVELLES.ANNALES.DE LA CONSTRUCTION. — 4e SÉRIE. — TOME IV. — JUIN 1887. 82
SOMMAIRE.
TEXTE. — Notes et documents. — Hôpital Tenon à Paris.
Chronique. — Appareils pour cheminée d'appartement, système SDCHET,
breveté S. G. D. G. — Pont de Blair-Crossing, sur le Missouri. — Distribu-
tion d'eau de Grenoble.
Jurisprudence. — Bâtiment menaçant ruine; démolition: arrêté du maire.
Ville de Paris; hauteur des maisons; autorisation administrative; droit des
voisins.
PLANCHES. — 24-25 et 26-27. Hôpital Tenon à Paris.
NOTES ET DOCUMENTS
Hôpital Tenon à Paris (XXe arrondissement).
PL. 24-25 et 26-27.
ARTICLES ANTÉRIEURS. — Maison municipale de santé DUBOIS. NOUV. Ami.,
1860. PI. 1-2. — Hôpital militaire de Vincemies. 1863. PL 41^42.— Hôpital-
militaire thermal d'Amélie-les-Bains. 1865. PI. 41-42. — Hôpital maritime
à Brest. 1867. PI. 10. — Ambulances mobiles du Luxembourg, à Paris.
1871. PI. 11-12. — Hôtel-Dieu de Château-Thierrv. 1879. PI. 49-50. —
Hôpital de Saint-Denis. 1881. PI. 50-51 et 52.
Dispositions générales. — L'hôpital Tenon occupe un vaste
espace de terrain, en forme de trapèze, entouré de murs et
compris entre la rue de la Chine et la rue Pelleport, la rue de
la Dhuys et la rue Sorbier. (PL 26-27, fig. 1.)
Sur ia plus grande partie, à peu près rectangulaire, de cet
espace sont disposés les bâtiments principaux de l'hôpital ; les
deux portions triangulaires restant à droite et à gauche de cet
ensemble, l'une en bordure sur la rue Sorbier, et l'autre sur
la rue de la Dhuys, sont occupées par des bâtiments devant
être isolés, autant que possible : Maternité, Service des morts,
Maladies contagieuses, etc.
La partie principale de l'hôpital est entourée et isolée par
un chemin de ceinture (abcd) ; cette voie carrossable, bordée
de trottoirs, facilite considérablement le service général de
l'hôpital.
En outre de l'entrée principale ouverte dans l'axe de l'éta-
blissement, et en face des bâtiments d'administration, sur la
rue de la Chine, trois autres entrées, ou portes secondaires,
donnent accès, par la rue Pelleport, aux bâtiments de ser-
vice en arrière de l'hôpital. Deux autres portes ouvertes sur
la rue Sorbier et la rue Pelleport, près de l'angle formé par
la rencontre de ces deux rues, donnent accès aux voitures
mortuaires pour le service du bâtiment des Morts situé en ce
point extrême du terrain.
• Des sous--sols, suffisamment éclairés par des soupiraux, ont
été ménagés sous les grands corps de bâtiment et sous les
galeries de circulation qui relient ces bâtiments entre eux,
au rez de chaussée. Des voies ferrées munies de plaques tour-
nantes sont établies en plusieurs sens dans les sous-sols.
Quatre ascenseurs (19) mettent les divers étages des quatre
grands bâtiments de malades en communication verticale
avec les sous-sols et leurs voies ferrées ; d'autres ascenseurs
(31) desservent de la même façon les bâtiments de la cuisine
et de la pharmacie.
C'est ainsi qu'à l'heure des distributions, un seul homme
suffit au transport, par ascenseurs et par voie ferrée, des ali-
ments ou des médicaments venant de la cuisine ou de la phar-
macie et destinés aux malades de tout un corps de bâtiment
(soit 16 salles ou 200 malades).
Les morts sont descendus au sous-sol par les ascenseurs
(19); et sont transportés à l'amphithéâtre par le chemin de
ceinture. ■-—■ -*
Le_ linge sale est jeté, de chaque étage au sous-sol, par une
trémie (17) garnie d'un boyau en toile pouvant être 'nettoyé
et renouvelé facilement. Le linge blanchi venant de la lingerie
(46, 47) est distribué à chaque salle par les mêmes voies et
les mêmes moyens que les aliments ou les médicaments. De
la sorte, les galeries de circulation sises au rez-de-chaussée
sont débarrassées de tout transport encombrant, malpropre
ou lugubre; au premier étage, ces galeries étant inutiles, on
a employé toute la largeur des bâtiments à l'emplacement des
lits de malades. L'intérieur de l'hôpital n'est parcouru que
par le personnel médical, les administrateurs, les surveillants,
les malades ou les visiteurs.
Ajoutons que.ee service invisible et rapide a été réalisé/à
l'hôpital Tenon, d'une façon plus-complète que dans les autres
établissements hospitaliers de Paris.
Les différents corps de bâtiments sont, comme on le voit au
plan (pi. 26-27, fig. 1), largement espacés, et séparés par des
cours ou préaux plantés d'arbres et d'arbustes. Les grands
bâtiments de malades (F F' F" F'"), reliés entre eux par les
seules galeries de circulation courant aurez-de-chaussée, sont
ainsi suffisamment isolés et ventilés. Les bâtiments F F' et
le préau qui les sépare, sont réservés aux hommes ; tandis
que les bâtiments F" F'", avec leur préau, sont réservés aux
femmes.
Le bâtiment d'Administration se trouve à l'entrée princi-
pale de l'hôpital, en A, et en communication directe avec toutes
les parties par les galeries de circulation.
Le bâtiment de la Maternité (B) occupe le milieu d'un jar-
din planté d'arbres, et séparé du reste de l'établissement par
des murs de clôture.
Le bâtiment du Service des Morts est situé en D, près d'un
angle extrême du terrain.
Observons que la Maternité aurait pu être placée à une dis-
tance plus considérable du bâtiment des Morts : c'est-à-dire
hors de portée des émanations de la salle d'autopsie.
En E se trouve le bâtiment destiné au traitement des Mala-
dies contagieuses ou épidémiques. L'expérience a prouvé, en
temps d'épidémies, l'insuffisance de ce local. On estime qu'il
faudrait doubler ou tripler ce service en construisant un ou
plusieurs bâtiments semblables à celui-ci, sur l'emplacement
encore disponible.
En temps ordinaires, ces bâtiments spéciaux sont rendus
au service des maladies ordinaires, comme pavillons supplé-
mentaires.
En G, on a réuni, .dans un même bâtiment, divers magasins,
dépôts, ateliers, remises, etc.; en Q, se fait le dépôt du linge
sale.JJn petit bâtiment (I) contient YEtuve de désinfection pour
le linge et les vêtements contaminés ou suspects.
Une grande chapelle (E) est placée dans l'axe de l'établisse-
ment, en face delà grande cour ou préau central. On arrive à
cette chapelle, soit par le préau, soit parles galeries, sur les-
quelles s'ouvre, à droite et à gauche du clocher, un porche
d'entrée. En arrière delà chapelle se trouve un préau (J) envi-
ronné, sur trois côtés, de galeries formant cloître et de bâti-
ments comportant un étage et des mansardes habitables :
c'était la Communauté, c'est-à-dire le logement des sur-
veillantes religieuses et la Lingerie. Depuis la laïcisation, la
lingerie seule subsiste, dirigée par des surveillantes laïques ;
et les locaux de la communauté ont été affectés à des dépôts
1 AN». CONST. 1887. — 11.
SOMMAIRE.
TEXTE. — Notes et documents. — Hôpital Tenon à Paris.
Chronique. — Appareils pour cheminée d'appartement, système SDCHET,
breveté S. G. D. G. — Pont de Blair-Crossing, sur le Missouri. — Distribu-
tion d'eau de Grenoble.
Jurisprudence. — Bâtiment menaçant ruine; démolition: arrêté du maire.
Ville de Paris; hauteur des maisons; autorisation administrative; droit des
voisins.
PLANCHES. — 24-25 et 26-27. Hôpital Tenon à Paris.
NOTES ET DOCUMENTS
Hôpital Tenon à Paris (XXe arrondissement).
PL. 24-25 et 26-27.
ARTICLES ANTÉRIEURS. — Maison municipale de santé DUBOIS. NOUV. Ami.,
1860. PI. 1-2. — Hôpital militaire de Vincemies. 1863. PL 41^42.— Hôpital-
militaire thermal d'Amélie-les-Bains. 1865. PI. 41-42. — Hôpital maritime
à Brest. 1867. PI. 10. — Ambulances mobiles du Luxembourg, à Paris.
1871. PI. 11-12. — Hôtel-Dieu de Château-Thierrv. 1879. PI. 49-50. —
Hôpital de Saint-Denis. 1881. PI. 50-51 et 52.
Dispositions générales. — L'hôpital Tenon occupe un vaste
espace de terrain, en forme de trapèze, entouré de murs et
compris entre la rue de la Chine et la rue Pelleport, la rue de
la Dhuys et la rue Sorbier. (PL 26-27, fig. 1.)
Sur ia plus grande partie, à peu près rectangulaire, de cet
espace sont disposés les bâtiments principaux de l'hôpital ; les
deux portions triangulaires restant à droite et à gauche de cet
ensemble, l'une en bordure sur la rue Sorbier, et l'autre sur
la rue de la Dhuys, sont occupées par des bâtiments devant
être isolés, autant que possible : Maternité, Service des morts,
Maladies contagieuses, etc.
La partie principale de l'hôpital est entourée et isolée par
un chemin de ceinture (abcd) ; cette voie carrossable, bordée
de trottoirs, facilite considérablement le service général de
l'hôpital.
En outre de l'entrée principale ouverte dans l'axe de l'éta-
blissement, et en face des bâtiments d'administration, sur la
rue de la Chine, trois autres entrées, ou portes secondaires,
donnent accès, par la rue Pelleport, aux bâtiments de ser-
vice en arrière de l'hôpital. Deux autres portes ouvertes sur
la rue Sorbier et la rue Pelleport, près de l'angle formé par
la rencontre de ces deux rues, donnent accès aux voitures
mortuaires pour le service du bâtiment des Morts situé en ce
point extrême du terrain.
• Des sous--sols, suffisamment éclairés par des soupiraux, ont
été ménagés sous les grands corps de bâtiment et sous les
galeries de circulation qui relient ces bâtiments entre eux,
au rez de chaussée. Des voies ferrées munies de plaques tour-
nantes sont établies en plusieurs sens dans les sous-sols.
Quatre ascenseurs (19) mettent les divers étages des quatre
grands bâtiments de malades en communication verticale
avec les sous-sols et leurs voies ferrées ; d'autres ascenseurs
(31) desservent de la même façon les bâtiments de la cuisine
et de la pharmacie.
C'est ainsi qu'à l'heure des distributions, un seul homme
suffit au transport, par ascenseurs et par voie ferrée, des ali-
ments ou des médicaments venant de la cuisine ou de la phar-
macie et destinés aux malades de tout un corps de bâtiment
(soit 16 salles ou 200 malades).
Les morts sont descendus au sous-sol par les ascenseurs
(19); et sont transportés à l'amphithéâtre par le chemin de
ceinture. ■-—■ -*
Le_ linge sale est jeté, de chaque étage au sous-sol, par une
trémie (17) garnie d'un boyau en toile pouvant être 'nettoyé
et renouvelé facilement. Le linge blanchi venant de la lingerie
(46, 47) est distribué à chaque salle par les mêmes voies et
les mêmes moyens que les aliments ou les médicaments. De
la sorte, les galeries de circulation sises au rez-de-chaussée
sont débarrassées de tout transport encombrant, malpropre
ou lugubre; au premier étage, ces galeries étant inutiles, on
a employé toute la largeur des bâtiments à l'emplacement des
lits de malades. L'intérieur de l'hôpital n'est parcouru que
par le personnel médical, les administrateurs, les surveillants,
les malades ou les visiteurs.
Ajoutons que.ee service invisible et rapide a été réalisé/à
l'hôpital Tenon, d'une façon plus-complète que dans les autres
établissements hospitaliers de Paris.
Les différents corps de bâtiments sont, comme on le voit au
plan (pi. 26-27, fig. 1), largement espacés, et séparés par des
cours ou préaux plantés d'arbres et d'arbustes. Les grands
bâtiments de malades (F F' F" F'"), reliés entre eux par les
seules galeries de circulation courant aurez-de-chaussée, sont
ainsi suffisamment isolés et ventilés. Les bâtiments F F' et
le préau qui les sépare, sont réservés aux hommes ; tandis
que les bâtiments F" F'", avec leur préau, sont réservés aux
femmes.
Le bâtiment d'Administration se trouve à l'entrée princi-
pale de l'hôpital, en A, et en communication directe avec toutes
les parties par les galeries de circulation.
Le bâtiment de la Maternité (B) occupe le milieu d'un jar-
din planté d'arbres, et séparé du reste de l'établissement par
des murs de clôture.
Le bâtiment du Service des Morts est situé en D, près d'un
angle extrême du terrain.
Observons que la Maternité aurait pu être placée à une dis-
tance plus considérable du bâtiment des Morts : c'est-à-dire
hors de portée des émanations de la salle d'autopsie.
En E se trouve le bâtiment destiné au traitement des Mala-
dies contagieuses ou épidémiques. L'expérience a prouvé, en
temps d'épidémies, l'insuffisance de ce local. On estime qu'il
faudrait doubler ou tripler ce service en construisant un ou
plusieurs bâtiments semblables à celui-ci, sur l'emplacement
encore disponible.
En temps ordinaires, ces bâtiments spéciaux sont rendus
au service des maladies ordinaires, comme pavillons supplé-
mentaires.
En G, on a réuni, .dans un même bâtiment, divers magasins,
dépôts, ateliers, remises, etc.; en Q, se fait le dépôt du linge
sale.JJn petit bâtiment (I) contient YEtuve de désinfection pour
le linge et les vêtements contaminés ou suspects.
Une grande chapelle (E) est placée dans l'axe de l'établisse-
ment, en face delà grande cour ou préau central. On arrive à
cette chapelle, soit par le préau, soit parles galeries, sur les-
quelles s'ouvre, à droite et à gauche du clocher, un porche
d'entrée. En arrière delà chapelle se trouve un préau (J) envi-
ronné, sur trois côtés, de galeries formant cloître et de bâti-
ments comportant un étage et des mansardes habitables :
c'était la Communauté, c'est-à-dire le logement des sur-
veillantes religieuses et la Lingerie. Depuis la laïcisation, la
lingerie seule subsiste, dirigée par des surveillantes laïques ;
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