Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1887-01-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 janvier 1887 01 janvier 1887
Description : 1887/01/01 (SER4,T4,N385)-1887/01/31. 1887/01/01 (SER4,T4,N385)-1887/01/31.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5577279c
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
- Aller à la page de la table des matièresNP
- TABLE ANALYTIQUE ET ALPHABETIQUE DES MATIERES POUR L'ANNEE 1887
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- .......... Page(s) .......... 78-79
- .......... Page(s) .......... 172-176
- TABLE DES PLANCHES
- .......... Page(s) .......... 4, 5
- .......... Page(s) .......... 6, 7
- .......... Page(s) .......... 8, 9
- .......... Page(s) .......... 10, 11
- .......... Page(s) .......... 12, 13
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- .......... Page(s) .......... 19, 20
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NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — 4e SÉRIE. — TOME IV. — JA.NVIER 1887.
SOMMAIRE.
TEXTE. — Notes et documents. — Dispensaire pour enfants malades,
gymnase médical et école-asile à Mulhouse (Alsace). — Viaduc en maçonne-
rie sur la rivière Esk (chemin de fer de Scarborough à Whitby).
Bévue technologique. — Emploi du sel pour le déblaiement de la neige. —
Nouvelle formule pour les pièces soumises à la compression. — Tracé des
joints dans les voûtes elliptiques.
Jurisprudence. — Architecte municipal; diffamation; compétence.
PLANCHES. — 1-2 et 3. Dispensaire pour enfants malades, gymnase médical
et école-asile à Mulhouse (Alsace). M. PAUL BLONDEL, architecte.
4-5. Viaduc en maçonnerie sur la rivière Esk.
NOTES ET DOCUMENTS
Dispensaire pour enfants malades, gymnase médical
et école-asile à Mulhouse (Alsace)
PL. 1-2 et 3.
But des dispensaires. —■ L'objet des dispensaires pour en-
fants est de traiter les malades dans un milieu approprié à
cette destination, mais sans les hospitaliser. On ue peut, dès
lors, l'appliquer qu'au cas où le malade peut être, sans in-
convénient, transporté au dispensaire, puis ramené dans sa
famille. Et pourtant le champ d'action est encore bien consi-
dérable, en raison du grand nombre d'affections qui, tout en
exigeant une médication suivie, n'obligent pas à garder la
chambre.
L'idée des dispensaires est d'ailleurs une idée toute nou-
velle. C'est en 1875 que M. le docteur Gibert fonda, au Havre,
le premier de ces établissements qui, pendaut plusieurs an-
nées resta seul de son espèce. Une oeuvre d'une aussi grande
utilité ne pouvait pas cependant rester dans l'ombre. Le Jour-
nal Officiel du 31 janvier 1881 publiait une circulaire que
M. Constans, ministre de l'Intérieur, adressait aux préfets
pour les engager à favoriser la création de dispensaires dans
leurs départements. En même temps, le ministre chargeait
M. le docteur Foville, inspecteur général des services admi-
nistratifs, d'étudier le fonctionnement et l'organisation du
dispensaire de M. le docteur Gibert, afin de faciliter par la
publication des résultats obtenus la création d'établissements
analogues. Le remarquable rapport de M. le docteur Foville
est inséré au Journal Officiel du 7 février 1881.
A Mulhouse, en Alsace, on s'intéressait depuis plusieurs
années déjà à l'entreprise de M. le docteur Gibert. Un homme
de coeur, désireux de doter au plus vite sa ville d'un établisse-
ment aussi utile, entreprit de sa propre initiative la création
d'un dispensaire à Mulhouse. C'est à M. Frédéric Engel-
Dollfus que l'Alsace doit cette belle fondation, dernière créa-
tion d'une existence consacrée tout entière au soulagement
des indigents et des malheureux.
Le dispensaire de Mulhouse. — On ne saurait mieux faire
comprendre le but exact du dispensaire qu'en citant les pa-
roles prononcées par son fondateur dans la séance du 27 sep-
tembre 1882, de la Société industrielle de Mulhouse :
« Si je consulte le dictionnaire, j'y trouve la définition
suivante : « Dispensaire, lieu où l'on donne des consultations,
« des médicaments aux malades indigents. » Il faudrait, pour
réaliser le dispensaire complet, y ajouter bien des choses
encore! Dorénavant, le but des véritables dispensaires sera,
non seulement d'indiquer, après consultation, le traitement
à suivre, mais encore de l'appliquer, séance tenante, aux
malades, en les faisant profiter d'installations spéciales et
d'outillages perfectionnés, qui sans cela seraient hors de leur
portée
« Entre l'hôpital, où beaucoup de parents répugnent à en-
voyer leurs enfants (peut-être à cause des chances do conta-
gion, ou de l'influence de certains préjugés), et le foyer
paternel placé trop souvent dans des conditions hygiéniques
défectueuses, il n'existe rien, ou peu de chose !
« Entre la maladie aiguë qui force en quelque sorte la main
aux parents et les oblige à hospitaliser leur enfant, et la santé
proprement dite, gage de vigueur future, que d'étals intermé-
diaires qui ne sont ni l'un ni l'autre, mais qui aboutissent for-
cément à la maladie quand il n'y est pas porté remède par un
prompt traitement préventif!... Que de familles, malheureu-
sement, où l'hérédité d'un sang vicié, l'insalubrité du loge-
ment ou une mauvaise alimentation ont engendré le rachi-
tisme, la scrofule, et toute une série de maladies dont la suite
fatale est de rendre les enfants impropres au travail; et peut-il
exister rien de plus désolant que la vue d'enfants que leur
naissance a voués presque obligatoirement au travail ma-
nuel, privés de santé, c'est-à-dire du germe des forces qui
doivent précisément devenir leur gagne-pain? C'est littérale-
ment désarmés et, par conséquent, condamnés à l'avance
qu'ils devront, pauvres chétifs, affronter ce que l'on a appelé
avec trop de raison la lutte pour l'existence
« L'idée des dispensaires est née, si je ne me trompe, du
sentiment très vif de cette situation; elle est partie d'un grand
coeur, et a dû s'accentuer surtout par la vue répétée des enfants
malingres et rachitiques, chez un médecin qui se sentait de
force à s'attaquer aux infirmités, en apparence les plus invé-
térées, et possédait assez d'énergie pour donner à la réalisation
de son idée un temps et un dévouement sans limite. En créant
au Havre le premier dispensaire complet qui ait jamais existé,
M. le docteur Joseph Gibert a rendu un immense service aux
déshérités de la santé et de la fortune. »
M. Engel-Dollfus a tenu à ce que l'établissement qu'il faisait
construire fût la réalisation pratique de la théorie qu'il sou-
tenait avec tant d'éloquence. Comme le disait le docteur
Gibert,le dispensaire doit servir de crible pour arrêter sur la
roule qui va à l'hôpital tous ceux qui peuvent être soignés au
dispensaire.
Description générale du dispensaire. —• Le plan détaillé de
la planche 3 indique très clairement la disposition générale
des bâtiments, et l'organisation des différents services.
Tout est gratuit dans la partie de l'établissement réservée
aux enfants indigents ; la générosité de Mmo veuve Engel-
Dollfus fait face à tous les frais. Cette partie du dispensaire
est de beaucoup la plus importante. Elle comprend des salles
d'attente pour les enfants, dont l'une est particulièrement ré-
servée aux maladies contagieuses, un cabinet de consultation,
des salles de pansements, d'opérations et d'électricité, une
chambre obscure; des bains simples et médicamenteux pour
garçons et filles, des salles de sudation et de douches, une
cuisine alimentaire, une salle d'école-asile, des appareils de
gymnastique médicale et d'orthopédie, etc.
A côté de ces services gratuits, on trouve dans le même
enclos, entièrement séparés toutefois, les organisations sui-
vantes, destinées au public payant :
Un gymnase, où se donnent journellement des cours et des
leçons particulières de gymnastique, et dont dépendent divers
appareils destinés au traitement des enfants et même des
adultes par la gymnastique médicale rationnelle ;
ANN. CONST. 1887. —1.
SOMMAIRE.
TEXTE. — Notes et documents. — Dispensaire pour enfants malades,
gymnase médical et école-asile à Mulhouse (Alsace). — Viaduc en maçonne-
rie sur la rivière Esk (chemin de fer de Scarborough à Whitby).
Bévue technologique. — Emploi du sel pour le déblaiement de la neige. —
Nouvelle formule pour les pièces soumises à la compression. — Tracé des
joints dans les voûtes elliptiques.
Jurisprudence. — Architecte municipal; diffamation; compétence.
PLANCHES. — 1-2 et 3. Dispensaire pour enfants malades, gymnase médical
et école-asile à Mulhouse (Alsace). M. PAUL BLONDEL, architecte.
4-5. Viaduc en maçonnerie sur la rivière Esk.
NOTES ET DOCUMENTS
Dispensaire pour enfants malades, gymnase médical
et école-asile à Mulhouse (Alsace)
PL. 1-2 et 3.
But des dispensaires. —■ L'objet des dispensaires pour en-
fants est de traiter les malades dans un milieu approprié à
cette destination, mais sans les hospitaliser. On ue peut, dès
lors, l'appliquer qu'au cas où le malade peut être, sans in-
convénient, transporté au dispensaire, puis ramené dans sa
famille. Et pourtant le champ d'action est encore bien consi-
dérable, en raison du grand nombre d'affections qui, tout en
exigeant une médication suivie, n'obligent pas à garder la
chambre.
L'idée des dispensaires est d'ailleurs une idée toute nou-
velle. C'est en 1875 que M. le docteur Gibert fonda, au Havre,
le premier de ces établissements qui, pendaut plusieurs an-
nées resta seul de son espèce. Une oeuvre d'une aussi grande
utilité ne pouvait pas cependant rester dans l'ombre. Le Jour-
nal Officiel du 31 janvier 1881 publiait une circulaire que
M. Constans, ministre de l'Intérieur, adressait aux préfets
pour les engager à favoriser la création de dispensaires dans
leurs départements. En même temps, le ministre chargeait
M. le docteur Foville, inspecteur général des services admi-
nistratifs, d'étudier le fonctionnement et l'organisation du
dispensaire de M. le docteur Gibert, afin de faciliter par la
publication des résultats obtenus la création d'établissements
analogues. Le remarquable rapport de M. le docteur Foville
est inséré au Journal Officiel du 7 février 1881.
A Mulhouse, en Alsace, on s'intéressait depuis plusieurs
années déjà à l'entreprise de M. le docteur Gibert. Un homme
de coeur, désireux de doter au plus vite sa ville d'un établisse-
ment aussi utile, entreprit de sa propre initiative la création
d'un dispensaire à Mulhouse. C'est à M. Frédéric Engel-
Dollfus que l'Alsace doit cette belle fondation, dernière créa-
tion d'une existence consacrée tout entière au soulagement
des indigents et des malheureux.
Le dispensaire de Mulhouse. — On ne saurait mieux faire
comprendre le but exact du dispensaire qu'en citant les pa-
roles prononcées par son fondateur dans la séance du 27 sep-
tembre 1882, de la Société industrielle de Mulhouse :
« Si je consulte le dictionnaire, j'y trouve la définition
suivante : « Dispensaire, lieu où l'on donne des consultations,
« des médicaments aux malades indigents. » Il faudrait, pour
réaliser le dispensaire complet, y ajouter bien des choses
encore! Dorénavant, le but des véritables dispensaires sera,
non seulement d'indiquer, après consultation, le traitement
à suivre, mais encore de l'appliquer, séance tenante, aux
malades, en les faisant profiter d'installations spéciales et
d'outillages perfectionnés, qui sans cela seraient hors de leur
portée
« Entre l'hôpital, où beaucoup de parents répugnent à en-
voyer leurs enfants (peut-être à cause des chances do conta-
gion, ou de l'influence de certains préjugés), et le foyer
paternel placé trop souvent dans des conditions hygiéniques
défectueuses, il n'existe rien, ou peu de chose !
« Entre la maladie aiguë qui force en quelque sorte la main
aux parents et les oblige à hospitaliser leur enfant, et la santé
proprement dite, gage de vigueur future, que d'étals intermé-
diaires qui ne sont ni l'un ni l'autre, mais qui aboutissent for-
cément à la maladie quand il n'y est pas porté remède par un
prompt traitement préventif!... Que de familles, malheureu-
sement, où l'hérédité d'un sang vicié, l'insalubrité du loge-
ment ou une mauvaise alimentation ont engendré le rachi-
tisme, la scrofule, et toute une série de maladies dont la suite
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exister rien de plus désolant que la vue d'enfants que leur
naissance a voués presque obligatoirement au travail ma-
nuel, privés de santé, c'est-à-dire du germe des forces qui
doivent précisément devenir leur gagne-pain? C'est littérale-
ment désarmés et, par conséquent, condamnés à l'avance
qu'ils devront, pauvres chétifs, affronter ce que l'on a appelé
avec trop de raison la lutte pour l'existence
« L'idée des dispensaires est née, si je ne me trompe, du
sentiment très vif de cette situation; elle est partie d'un grand
coeur, et a dû s'accentuer surtout par la vue répétée des enfants
malingres et rachitiques, chez un médecin qui se sentait de
force à s'attaquer aux infirmités, en apparence les plus invé-
térées, et possédait assez d'énergie pour donner à la réalisation
de son idée un temps et un dévouement sans limite. En créant
au Havre le premier dispensaire complet qui ait jamais existé,
M. le docteur Joseph Gibert a rendu un immense service aux
déshérités de la santé et de la fortune. »
M. Engel-Dollfus a tenu à ce que l'établissement qu'il faisait
construire fût la réalisation pratique de la théorie qu'il sou-
tenait avec tant d'éloquence. Comme le disait le docteur
Gibert,le dispensaire doit servir de crible pour arrêter sur la
roule qui va à l'hôpital tous ceux qui peuvent être soignés au
dispensaire.
Description générale du dispensaire. —• Le plan détaillé de
la planche 3 indique très clairement la disposition générale
des bâtiments, et l'organisation des différents services.
Tout est gratuit dans la partie de l'établissement réservée
aux enfants indigents ; la générosité de Mmo veuve Engel-
Dollfus fait face à tous les frais. Cette partie du dispensaire
est de beaucoup la plus importante. Elle comprend des salles
d'attente pour les enfants, dont l'une est particulièrement ré-
servée aux maladies contagieuses, un cabinet de consultation,
des salles de pansements, d'opérations et d'électricité, une
chambre obscure; des bains simples et médicamenteux pour
garçons et filles, des salles de sudation et de douches, une
cuisine alimentaire, une salle d'école-asile, des appareils de
gymnastique médicale et d'orthopédie, etc.
A côté de ces services gratuits, on trouve dans le même
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Un gymnase, où se donnent journellement des cours et des
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