Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1888-07-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 juillet 1888 01 juillet 1888
Description : 1888/07/01 (SER4,T5,N403)-1888/07/31. 1888/07/01 (SER4,T5,N403)-1888/07/31.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k55772460
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
97 NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. - 4» SÉRIE. - TOME V. - JUILLET 1888. 98
SOMMAIRE.
TEXTE. — Notes et documents. — La tour de 300 mètres. — Petit
hôtel particulier, rue Le Chatelier, à Paris. — Nouveau viaduc sur la Tay
(deuxième et dernier article).
Revue technologique. — Résolutions des conférences tenues à Munich et
à Dresde en vue de rendre uniformes les méthodes d'essai des matériaux
(deuxième article).
Chronique. — Etablissement de douches publiques à Vienne (Autriche).
Jurisprudence. — Constructions; prétendue réception des travaux; incendie ;
responsabilité des entrepreneurs.
PLANCHES. — 29-30. — La tour de 300 mètres érigée au Champ de Mars
par M. G. EIFFEL. >
31-32. — Hôtel particulier, rue Le Chatelier, à Paris; M. A. SELLERIER,
architecte.
NOTES ET DOCUMENTS
La Tour de 300 mètres.
PL. 29-30.
Des considérations administratives d'une part, des impos-
sibilités matérielles de l'autre ont assigné à la tour de 300 m
l'emplacement sur lequel elle s'élève aujourd'hui et qui a né-
cessité, pour les fondations, des dispositions particulières.
Du côté le plus éloigné de la Seine, en effet, l'assiette ne
présentait aucune difficulté, sur un sol dont l'assise inférieure
est formée par une puissante couche d'argile plastique de
16 m environ d'épaisseur reposant sur la craie et surmontée
d'un banc de sable et gravier compact. Le terrain d'affleure-
ment n'est que remblai de toute nature et sable fin et" vaseux.
Cette constitution est à peu près uniforme (sauf une légère
inclinaison de l'argile dans un sens à peu près perpendicu-
laire à la Seine) jusqu'à la hauteur de la rue de l'Université.
Mais, à partir de là, le banc de sable et gravier, dont l'épais-
seur était de 6 à 7 m, s'amincit rapidement pour disparaître
presque sous le fleuve en même temps que la couche supé-
rieure accuse un remblai de plus en plus artificiel.
Cette circonstance a son explication toute naturelle : en se
reportant aux anciens plans et sans remonter plus haut qu'à
celui de Berniquel (1730), on voit la Seine partagée en deux
bras, celui de gauche suivant précisément l'alignement actuel
de la rue de l'Université et isolant l'île Maquerelle (ou des
Cygnes) dont il ne reste aujourd'hui que le môle situé devant
le quai de Grenelle. Cette dérivation devint, à cette époque,
une décharge publique qui l'avait à peu près comblée à la fin
du siècle, et la construction du pont d'Iéna vint définitivement
fixer la largeur actuelle. Or, c'est précisément sur cet ancien
lit que sont fondées (fig. 9) les piles 1 (ou pile Nord) et 4 (ou
pile Ouest (côté Seine) ; et, tandis que les piles 2 (Est) et 3
(Sud) pouvaient être établies à sec à la cote 27, qui est celle
du niveau de la retenue de Suresnes, les deux premières ont dû
être descendues à S m (en moyenne) plus bas (cote 22 envi-
ron), jusqu'à une couche formée de sable pur, de grès ferru-
gineux et enfin de calcaire chlorité dont l'épaisseur, au-dessus
de l'argile plastique, varie de plus de 3 m (pile 4, côté Gre-
nelle) à près de 6 m (pile 1, côté Paris). Les sondages ont été
exécutés avec une grande précision, à l'air comprimé, à l'aide
d'une cloche en tôle de 1,50 m de diamètre, surmontée de
hausses. La figure 1 donne la coupe géologique du puits de
sondage foncé au centre de la pile n° i.
De là, deux modes de fondation. On sait que chaque pile
forme un prisme oblique à base horizontale carrée de 15 m de
"côté, dont les arêtes sont constituées par quatre arbalétriers
reposant chacun sur un massif distinct disposé suivant leur
projection, c'est-à-dire à 45° par rapport à l'axe du Champ-de-
Mars (fig. 2). La fouille poussée à sec à la cote 27 m, niveau
de l'eau, pour les huit massifs des piles 2 et 3, on y a coulé
à l'air libre une couche de béton de 2 m d'épaisseur, que l'on
a ensuite surmontée de pyramides tronquées à faces verticales
sur l'avant et inclinées sur l'arrière, et dont le plan supérieur
est normal à la direction des arêtes des piles : le profil des ma-
çonneries a été déterminé de manière à ramener vers un point
très voisin du centre la résultante oblique des pressions.
Aux piles 1 et 4, il fallait, comme nous l'avons dit, des-
cendre à 5 m environ sous l'eau. On eût pu procéder à un
dragage dans une enceinte avec béton immergé, mais M. Eiffel
a craint les surprises dans un sol aussi tourmenté, et cherchait
d'ailleurs, avant tout, à imprimer au travail toute l'activité pos-
sible.
Aussi n'a-t-il pas hésité à recourir au procédé, plus coû-
teux il est vrai, mais plus sûr et plus rapide, des caissons à
air comprimé, grâce auxquels, le premier coup de pioche
ayant été donné le 28 janvier 1887, l'infrastructure a pu être
terminée le 1er juillet suivant, et cela malgré les difficultés
imprévues rencontrées sous la pile 1 où des restes considé-
rables de maçonneries anciennes ont dû être brisées au burin
et extraites par les sas comme des déblais ordinaires.
Ces caissons, de 15 m X 6 m (fig. 4 et 5) n'offrent d'ailleurs
aucune particularité à signaler. La fouille ouverte à la cote 28,
l'enfoncement a été commencé à l'air libre puis continué à
l'air comprimé jusqu'à la cote d'environ 22 m en coulant au
fur et à mesure du fonçage la couche de béton sur laquelle
reposent, à la cote initiale 28, des massifs analogues à ceux
des piles Est et Sud (fig. 3). La hauteur commune de ces seize
massifs est déterminée par la condition que le plan général
d'appui des arbalétriers sur la maçonnerie est à la cote 36.
Le pourtour extérieur des piles sera, sur le sol, limité par un
socle en pierre de 1,80 m de hauteur (fig. 2) qui reposera sur
des piliers reliés les uns aux autres par une série d'arcades,
sauf pour la pile 3 où le mur d'enceinte est plein.
Pour les trois autres piles, les fouilles ont été remblayées,
tandis que celle-ci doit servir dévaste cave de 5 m de hauteur
où seront établies les machines des ascenseurs. En outre, une
cage, limitée par un mur de soutènement postérieur et deux
murs latéraux, a été ménagée dans chacun des massifs anté-
rieurs des piles 1, 2 et 4, ce qui a nécessité, en 2 et 3, l'al-
longement à 14 m de la couche inférieure correspondante
de béton, les six autres fondations ne s'étendant que sur
10 m X 6 m.
En résumé, les assises inférieures présentent les dimensions
suivantes :
Piles 1 et 4 (Nord et Ouest) 15 m X 6 m.
TI.-I « A o /n i * o n \ massifs d'avant . 14 m X 6 m.
Piles 2 et 3 (Est et Sud) j magsife ^.^_ 10 m § 6 OT.
Les maçonneries sont en pierre de Souppes hourdées en
mortier de ciment de Boulogne, au dosage de 250 kg par
mètre cube de'sable, ainsi que celui employé pour le béton. La
question de rapidité de prise a dû primer l'économie et a fait
rejeter le mortier de chaux. Enfin, c'est sur un couronne-
ment de deux assises de pierre de Château-Landon que vient
s'appuyer la membrure métallique.
Ces dispositions donnent toute sécurité à la stabilité des
ANN. CONSTR. 1888. — 13,
SOMMAIRE.
TEXTE. — Notes et documents. — La tour de 300 mètres. — Petit
hôtel particulier, rue Le Chatelier, à Paris. — Nouveau viaduc sur la Tay
(deuxième et dernier article).
Revue technologique. — Résolutions des conférences tenues à Munich et
à Dresde en vue de rendre uniformes les méthodes d'essai des matériaux
(deuxième article).
Chronique. — Etablissement de douches publiques à Vienne (Autriche).
Jurisprudence. — Constructions; prétendue réception des travaux; incendie ;
responsabilité des entrepreneurs.
PLANCHES. — 29-30. — La tour de 300 mètres érigée au Champ de Mars
par M. G. EIFFEL. >
31-32. — Hôtel particulier, rue Le Chatelier, à Paris; M. A. SELLERIER,
architecte.
NOTES ET DOCUMENTS
La Tour de 300 mètres.
PL. 29-30.
Des considérations administratives d'une part, des impos-
sibilités matérielles de l'autre ont assigné à la tour de 300 m
l'emplacement sur lequel elle s'élève aujourd'hui et qui a né-
cessité, pour les fondations, des dispositions particulières.
Du côté le plus éloigné de la Seine, en effet, l'assiette ne
présentait aucune difficulté, sur un sol dont l'assise inférieure
est formée par une puissante couche d'argile plastique de
16 m environ d'épaisseur reposant sur la craie et surmontée
d'un banc de sable et gravier compact. Le terrain d'affleure-
ment n'est que remblai de toute nature et sable fin et" vaseux.
Cette constitution est à peu près uniforme (sauf une légère
inclinaison de l'argile dans un sens à peu près perpendicu-
laire à la Seine) jusqu'à la hauteur de la rue de l'Université.
Mais, à partir de là, le banc de sable et gravier, dont l'épais-
seur était de 6 à 7 m, s'amincit rapidement pour disparaître
presque sous le fleuve en même temps que la couche supé-
rieure accuse un remblai de plus en plus artificiel.
Cette circonstance a son explication toute naturelle : en se
reportant aux anciens plans et sans remonter plus haut qu'à
celui de Berniquel (1730), on voit la Seine partagée en deux
bras, celui de gauche suivant précisément l'alignement actuel
de la rue de l'Université et isolant l'île Maquerelle (ou des
Cygnes) dont il ne reste aujourd'hui que le môle situé devant
le quai de Grenelle. Cette dérivation devint, à cette époque,
une décharge publique qui l'avait à peu près comblée à la fin
du siècle, et la construction du pont d'Iéna vint définitivement
fixer la largeur actuelle. Or, c'est précisément sur cet ancien
lit que sont fondées (fig. 9) les piles 1 (ou pile Nord) et 4 (ou
pile Ouest (côté Seine) ; et, tandis que les piles 2 (Est) et 3
(Sud) pouvaient être établies à sec à la cote 27, qui est celle
du niveau de la retenue de Suresnes, les deux premières ont dû
être descendues à S m (en moyenne) plus bas (cote 22 envi-
ron), jusqu'à une couche formée de sable pur, de grès ferru-
gineux et enfin de calcaire chlorité dont l'épaisseur, au-dessus
de l'argile plastique, varie de plus de 3 m (pile 4, côté Gre-
nelle) à près de 6 m (pile 1, côté Paris). Les sondages ont été
exécutés avec une grande précision, à l'air comprimé, à l'aide
d'une cloche en tôle de 1,50 m de diamètre, surmontée de
hausses. La figure 1 donne la coupe géologique du puits de
sondage foncé au centre de la pile n° i.
De là, deux modes de fondation. On sait que chaque pile
forme un prisme oblique à base horizontale carrée de 15 m de
"côté, dont les arêtes sont constituées par quatre arbalétriers
reposant chacun sur un massif distinct disposé suivant leur
projection, c'est-à-dire à 45° par rapport à l'axe du Champ-de-
Mars (fig. 2). La fouille poussée à sec à la cote 27 m, niveau
de l'eau, pour les huit massifs des piles 2 et 3, on y a coulé
à l'air libre une couche de béton de 2 m d'épaisseur, que l'on
a ensuite surmontée de pyramides tronquées à faces verticales
sur l'avant et inclinées sur l'arrière, et dont le plan supérieur
est normal à la direction des arêtes des piles : le profil des ma-
çonneries a été déterminé de manière à ramener vers un point
très voisin du centre la résultante oblique des pressions.
Aux piles 1 et 4, il fallait, comme nous l'avons dit, des-
cendre à 5 m environ sous l'eau. On eût pu procéder à un
dragage dans une enceinte avec béton immergé, mais M. Eiffel
a craint les surprises dans un sol aussi tourmenté, et cherchait
d'ailleurs, avant tout, à imprimer au travail toute l'activité pos-
sible.
Aussi n'a-t-il pas hésité à recourir au procédé, plus coû-
teux il est vrai, mais plus sûr et plus rapide, des caissons à
air comprimé, grâce auxquels, le premier coup de pioche
ayant été donné le 28 janvier 1887, l'infrastructure a pu être
terminée le 1er juillet suivant, et cela malgré les difficultés
imprévues rencontrées sous la pile 1 où des restes considé-
rables de maçonneries anciennes ont dû être brisées au burin
et extraites par les sas comme des déblais ordinaires.
Ces caissons, de 15 m X 6 m (fig. 4 et 5) n'offrent d'ailleurs
aucune particularité à signaler. La fouille ouverte à la cote 28,
l'enfoncement a été commencé à l'air libre puis continué à
l'air comprimé jusqu'à la cote d'environ 22 m en coulant au
fur et à mesure du fonçage la couche de béton sur laquelle
reposent, à la cote initiale 28, des massifs analogues à ceux
des piles Est et Sud (fig. 3). La hauteur commune de ces seize
massifs est déterminée par la condition que le plan général
d'appui des arbalétriers sur la maçonnerie est à la cote 36.
Le pourtour extérieur des piles sera, sur le sol, limité par un
socle en pierre de 1,80 m de hauteur (fig. 2) qui reposera sur
des piliers reliés les uns aux autres par une série d'arcades,
sauf pour la pile 3 où le mur d'enceinte est plein.
Pour les trois autres piles, les fouilles ont été remblayées,
tandis que celle-ci doit servir dévaste cave de 5 m de hauteur
où seront établies les machines des ascenseurs. En outre, une
cage, limitée par un mur de soutènement postérieur et deux
murs latéraux, a été ménagée dans chacun des massifs anté-
rieurs des piles 1, 2 et 4, ce qui a nécessité, en 2 et 3, l'al-
longement à 14 m de la couche inférieure correspondante
de béton, les six autres fondations ne s'étendant que sur
10 m X 6 m.
En résumé, les assises inférieures présentent les dimensions
suivantes :
Piles 1 et 4 (Nord et Ouest) 15 m X 6 m.
TI.-I « A o /n i * o n \ massifs d'avant . 14 m X 6 m.
Piles 2 et 3 (Est et Sud) j magsife ^.^_ 10 m § 6 OT.
Les maçonneries sont en pierre de Souppes hourdées en
mortier de ciment de Boulogne, au dosage de 250 kg par
mètre cube de'sable, ainsi que celui employé pour le béton. La
question de rapidité de prise a dû primer l'économie et a fait
rejeter le mortier de chaux. Enfin, c'est sur un couronne-
ment de deux assises de pierre de Château-Landon que vient
s'appuyer la membrure métallique.
Ces dispositions donnent toute sécurité à la stabilité des
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