Presse et revues
88 pages
Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1867-12-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 décembre 1867 01 décembre 1867
Description : 1867/12/01 (A13,N156)-1867/12/31. 1867/12/01 (A13,N156)-1867/12/31.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5577079p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
453 NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION.— 13e ANNËE.— DECEMBRE 1867. 154
IV 156. — Btctrabvt 1867.
PL. 47, 48, 49, 50.
AVIS.
Pour ne pas éprouver de retard dans la réception de ]a pre-
mière livraison de 1868, MM. les abonnés sont priés de vouloir
bien: renouveler leur abonnement avant le 15 Janvier prochain,
par l'envoi d'un mandat-poste, ou d'une lettre d'information à
M. DUNOD, éditeur, 49, quai des Augustins, à Paris.
PLANCHES EN PRÉPARATION POUR 1868-
I. Nouveaux abattoirs de la Villette, à Paris : Ensemble et détails.
2.;Nouvel Opéra. — Église Saint-Augustin. — Église de la Trinité. — Nouvelle gare
du Nord. — Nouvelle caserne municipale de la Cité. — Fontaine Saint-Michel. —
Façade neuve de Sainte-Marie-des-Fleurs, à Florence. — Restauration du château
de Saint-Germain.
3. Étude sur l'achèvement des chemins vicinaux : Types nouveaux, profils écono-
miques, prix et organisation financière.
4. Les chemins de fer d'intérêt local : Types d'ouvrages d'art et de matériel.
5. Maisons à loyer économiques. — Types de plans et de façades.
G. Les plus belles maisons et hôtels du boulevard Malesherbes, du boulevard Hauss-
mann, du boulevard du Prince Eugène, et de la rue Lafayelte à Paris.
7. Plan général et détails de la distribution d'eau de Lisbonne.
8. Applications récentes des pieux à vis et amarres hélicoïdales aux fondations des
' ponts, et constructions diverses.
9. Types des Ouvrages d'art du nord de l'Espagne.
10. Caserne d'infanterie à Bologne.
II. Maisons à loyer économiques.
12. Constructions municipales et d'utilité publique : Mairies, et maisons d'école,
hôtels de ville et préfecture, halles et marchés couverts, palais de justice, prisons,
bibliothèques.
13. Théâtres et concerts, salles de cercles, clubs et réunions.
14. Constructions rurales économiques : Ferme impériale de Saint-Germain, etc.
Tous ces derniers objets n'ont pas encore été développés avec beaucoup de détails dans
les Annales de la Construction, et forment l'objet de nombreuses planches d'un in-
térêt pratique.
En outre, nous commencerons, dès Janvier prochain, à résumer
tous les trois mois, dans une grande planche à 12 ou 15 comparti-
ments séparés, les principaux dessins, vues et croquis relatifs aux
travaux en cours d'exécution ou récemment inaugurés.
Ce sera une sorte de Chronique illustrée des travaux publics et
de la construction, qui nous permettra de tenir le lecteur au cou-
rant de tous les objets remarquables au sujet desquels nous ne
posséderions pas encore assez d'éléments pour en faire des publi-
cations plus développées.
Très-souvent les Architectes, les Ingénieurs, ou personnes inté-
ressées, ne veulent pas donner de plans, coupes et détails de
chiffres avant que tout soit entièrement terminé, et quelquefois
même après cette époque, il y a parti pris de ne pas communi-
quer de documents. Mais notre devoir est de ne pas nous arrêter
à ces scrupules personnels, et de publier quand même tout ce que
l'on peut voir, même du dehors.
Plus tard, nous reprendrons ces premiers croquis pour les rem-
placer par des dessins plus réguliers.
SOMMAIRE.
TEXTE, — notes et Documents. — Le Cercle international. — Étude sur
le tracé économique des chemins de fer,l'Exposition universelle. — Arche d'expérience en maçonnerie exécutée dans
les carrières de Souppes (Seine-et-Marne).
PUHCHES. — 47 et 48. Vue générale, élévation et coupes du Cercle interna-
tional. — 49. Planchers en fer et colonnes en fonte du Cercle international. —
50. Détails de la charpente en bois du Cercle.
NOTES ET DOCUMENTS.
lie Cercle international.
Le Cercle International est, sinon au point de vue artistique, du moins
au point de vue de construction, une oeuvre digne d'être remarquée ;
c'est presque un type. Ce n'est pas un théâtre, ce n'est pas une maison,
un café, une halle ; c'est bien un cercle, comme l'avaient conçu ses
fondateurs.
G. 284.
Que le succès n'ait pas répondu à leur attente, au point de vue du
produit, en si peu de semaines, il n'en restera pas moins, même après su
démolition, comme un modèle de hardiesse, de légèreté et de solidité.
L'Architecte a eu plusieurs difficultés à vaincre, le terrain de rem-
blai, presque partout, ne permettant pas de fondations sérieuses, il y a
suppléé en divisant les points d'appui de manière à répartir sur la
totalité de la surface la totalité de la charge.
Ce bâtiment, couvre une surface de près de 3,000 mètres.
On s'est efforcé d'y réaliser tous les perfectionnements économiques
possibles, et même diverses combinaisons entièrement nouvelles. Voici
les principaux détails de sa construction :
Un jeu de colonnes creuses de 0m.25 de diamètre s'emboîtent l'une
dans l'autre, au premier plancher, et viennent recevoir à leur partie
supérieure une charpente en bois en forme de coupole, dont la base,
faite en ferme américaine, est simplement posée sur les colonnes et
lient par son propre poids mort. Les pieds des arêtiers sont reliés
entre eux au moyen d'un cercle en fer plat, de 0M6 de largeur sur
0m.15 d'épaisseur ; des boulons de serrage intérieurs et extérieurs
empêchent tout mouvement dans les croisillons de la ferme de base.
Les arbalétriers ont été choisis suivant la courbe même et n'ont,
par conséquent, perdu rien de leur force comme bois. En un mot,
celte charpente, ainsi faite pour la première fois, n'a produit aucune
poussée ; un simple lattis recouvre les arbalétriers et donne la courbe
elliptique prévue par l'Architecte. C'est sur l'enduit de cette courbe
directement que M. TAMELIER, artiste peintre, a fait ses quatre grands
sujets que notre publication ne saurait rendre. Il y a eu 500 et quelques
mètres de peinture à fresque à faire en quinze jours et en plein hiver.
La décoration, comme exécution pour la sculpture et carton-pâte
ou plâtre, est due à M. DIJPUY.
Le fronton, représentant les armes parlantes du Cercle, est l'oeuvre
de l'Architecte.
Les lustres et appareils a gaz sont de MM. ROGER et C°. Les huit
lustres de la grande salle à manger du premier étage sont d'un bel
effet. — Cette salle à manger est sans contredit, comme bâtiment pro-
visoire, unique en son genre; elle couvre une surface de 500 mètres;
au centre du plancher se trouve une ouverture elliptique. Cette
ouverture est vitrée et peut s'enlever à volonté. Un plancher peut
être mis à sa place en deux heures. Le garde-corps s'enlève également
dans ce cas et la salle du premier se trouve pleine. Servant de vue à
la grande salle du rez-de-chaussée, cetle ouverture elliptique sert en
même temps de croix de Saint-André au premier plancher et en le
i contreventant, arrête le roulement. Les mouvements en plusieurs
sens sont également vaincus par des piles en briques d'appareil, pla-
cées à droite et à gauche du grand escalier, c'est-à-dire au plus grand
effort, sur le quai, et deux attires dans le même but, à 5 mètres de
la face du parc. Ces piles sont d'une rigidité absolue. Tous les plan-
chers étant composés de poutres en fer à doubles et triples cornières,
des madriers ordinaires ont suffi comme solives, tout étant disposé de
k mètres en h mètres. Dans les quatre angles du plancher de la grande
salle à la rencontre des filets, on a placé sous le parquet de grandes
plaques de fer de plus d'un mètre de largeur et reliant les quatre filets;
par ce moyen les roulements ont été évités, de sorte que, bien que sans
colonne pour le soutenir, ce plancher résisterait même à des bals.
C'est dans cette salle que furent donnés les banquets du dixième groupe
et des Beaux-Arts appliqués à l'industrie. Les plans d'ensemble don-
nent facilement une idée de toute l'installation et des services. Sur le
même étage se trouvait le salon du Prince Impérial, modèle d'élé-
gance, dû à M. GARBAN, tapissier. Le salon des échecs, des lavabos
1 élégants, des fumoirs, etc., eic, desservis par des escaliers spéciaux.
D'autres escaliers, ménagés à proximité des couloirs de service,
mènent aux terrasses, construites de manière à supporter 2 et 300 per-
sonnes. Nous donnons, PI. 49, un ensemble de poutres armées,
servant à soutenir une de ces terrasses. Les balcons du côté du parc
ont été faits après coup et posés en bascule. Dans les planchers, cela
était hardi, téméraire même; cependant il n'y a eu aucune flexion,
et les chiffres sont venus là, une fois de plus, prouver leur valeur.
Nous avons vu 2 et 300 personnes sur ces balcons,- celui du quai, de
plus grande dimension, est soutenu par de petites colonnes. En sortant
de la salle du premier étage, se trouve un palier desservant les deux
révolutions d'un grand escalier venant de la salle du bas.
Cette salle, destinée d'abord à être la Bourse du Champ de Mars,
1867. — 20
IV 156. — Btctrabvt 1867.
PL. 47, 48, 49, 50.
AVIS.
Pour ne pas éprouver de retard dans la réception de ]a pre-
mière livraison de 1868, MM. les abonnés sont priés de vouloir
bien: renouveler leur abonnement avant le 15 Janvier prochain,
par l'envoi d'un mandat-poste, ou d'une lettre d'information à
M. DUNOD, éditeur, 49, quai des Augustins, à Paris.
PLANCHES EN PRÉPARATION POUR 1868-
I. Nouveaux abattoirs de la Villette, à Paris : Ensemble et détails.
2.;Nouvel Opéra. — Église Saint-Augustin. — Église de la Trinité. — Nouvelle gare
du Nord. — Nouvelle caserne municipale de la Cité. — Fontaine Saint-Michel. —
Façade neuve de Sainte-Marie-des-Fleurs, à Florence. — Restauration du château
de Saint-Germain.
3. Étude sur l'achèvement des chemins vicinaux : Types nouveaux, profils écono-
miques, prix et organisation financière.
4. Les chemins de fer d'intérêt local : Types d'ouvrages d'art et de matériel.
5. Maisons à loyer économiques. — Types de plans et de façades.
G. Les plus belles maisons et hôtels du boulevard Malesherbes, du boulevard Hauss-
mann, du boulevard du Prince Eugène, et de la rue Lafayelte à Paris.
7. Plan général et détails de la distribution d'eau de Lisbonne.
8. Applications récentes des pieux à vis et amarres hélicoïdales aux fondations des
' ponts, et constructions diverses.
9. Types des Ouvrages d'art du nord de l'Espagne.
10. Caserne d'infanterie à Bologne.
II. Maisons à loyer économiques.
12. Constructions municipales et d'utilité publique : Mairies, et maisons d'école,
hôtels de ville et préfecture, halles et marchés couverts, palais de justice, prisons,
bibliothèques.
13. Théâtres et concerts, salles de cercles, clubs et réunions.
14. Constructions rurales économiques : Ferme impériale de Saint-Germain, etc.
Tous ces derniers objets n'ont pas encore été développés avec beaucoup de détails dans
les Annales de la Construction, et forment l'objet de nombreuses planches d'un in-
térêt pratique.
En outre, nous commencerons, dès Janvier prochain, à résumer
tous les trois mois, dans une grande planche à 12 ou 15 comparti-
ments séparés, les principaux dessins, vues et croquis relatifs aux
travaux en cours d'exécution ou récemment inaugurés.
Ce sera une sorte de Chronique illustrée des travaux publics et
de la construction, qui nous permettra de tenir le lecteur au cou-
rant de tous les objets remarquables au sujet desquels nous ne
posséderions pas encore assez d'éléments pour en faire des publi-
cations plus développées.
Très-souvent les Architectes, les Ingénieurs, ou personnes inté-
ressées, ne veulent pas donner de plans, coupes et détails de
chiffres avant que tout soit entièrement terminé, et quelquefois
même après cette époque, il y a parti pris de ne pas communi-
quer de documents. Mais notre devoir est de ne pas nous arrêter
à ces scrupules personnels, et de publier quand même tout ce que
l'on peut voir, même du dehors.
Plus tard, nous reprendrons ces premiers croquis pour les rem-
placer par des dessins plus réguliers.
SOMMAIRE.
TEXTE, — notes et Documents. — Le Cercle international. — Étude sur
le tracé économique des chemins de fer,
les carrières de Souppes (Seine-et-Marne).
PUHCHES. — 47 et 48. Vue générale, élévation et coupes du Cercle interna-
tional. — 49. Planchers en fer et colonnes en fonte du Cercle international. —
50. Détails de la charpente en bois du Cercle.
NOTES ET DOCUMENTS.
lie Cercle international.
Le Cercle International est, sinon au point de vue artistique, du moins
au point de vue de construction, une oeuvre digne d'être remarquée ;
c'est presque un type. Ce n'est pas un théâtre, ce n'est pas une maison,
un café, une halle ; c'est bien un cercle, comme l'avaient conçu ses
fondateurs.
G. 284.
Que le succès n'ait pas répondu à leur attente, au point de vue du
produit, en si peu de semaines, il n'en restera pas moins, même après su
démolition, comme un modèle de hardiesse, de légèreté et de solidité.
L'Architecte a eu plusieurs difficultés à vaincre, le terrain de rem-
blai, presque partout, ne permettant pas de fondations sérieuses, il y a
suppléé en divisant les points d'appui de manière à répartir sur la
totalité de la surface la totalité de la charge.
Ce bâtiment, couvre une surface de près de 3,000 mètres.
On s'est efforcé d'y réaliser tous les perfectionnements économiques
possibles, et même diverses combinaisons entièrement nouvelles. Voici
les principaux détails de sa construction :
Un jeu de colonnes creuses de 0m.25 de diamètre s'emboîtent l'une
dans l'autre, au premier plancher, et viennent recevoir à leur partie
supérieure une charpente en bois en forme de coupole, dont la base,
faite en ferme américaine, est simplement posée sur les colonnes et
lient par son propre poids mort. Les pieds des arêtiers sont reliés
entre eux au moyen d'un cercle en fer plat, de 0M6 de largeur sur
0m.15 d'épaisseur ; des boulons de serrage intérieurs et extérieurs
empêchent tout mouvement dans les croisillons de la ferme de base.
Les arbalétriers ont été choisis suivant la courbe même et n'ont,
par conséquent, perdu rien de leur force comme bois. En un mot,
celte charpente, ainsi faite pour la première fois, n'a produit aucune
poussée ; un simple lattis recouvre les arbalétriers et donne la courbe
elliptique prévue par l'Architecte. C'est sur l'enduit de cette courbe
directement que M. TAMELIER, artiste peintre, a fait ses quatre grands
sujets que notre publication ne saurait rendre. Il y a eu 500 et quelques
mètres de peinture à fresque à faire en quinze jours et en plein hiver.
La décoration, comme exécution pour la sculpture et carton-pâte
ou plâtre, est due à M. DIJPUY.
Le fronton, représentant les armes parlantes du Cercle, est l'oeuvre
de l'Architecte.
Les lustres et appareils a gaz sont de MM. ROGER et C°. Les huit
lustres de la grande salle à manger du premier étage sont d'un bel
effet. — Cette salle à manger est sans contredit, comme bâtiment pro-
visoire, unique en son genre; elle couvre une surface de 500 mètres;
au centre du plancher se trouve une ouverture elliptique. Cette
ouverture est vitrée et peut s'enlever à volonté. Un plancher peut
être mis à sa place en deux heures. Le garde-corps s'enlève également
dans ce cas et la salle du premier se trouve pleine. Servant de vue à
la grande salle du rez-de-chaussée, cetle ouverture elliptique sert en
même temps de croix de Saint-André au premier plancher et en le
i contreventant, arrête le roulement. Les mouvements en plusieurs
sens sont également vaincus par des piles en briques d'appareil, pla-
cées à droite et à gauche du grand escalier, c'est-à-dire au plus grand
effort, sur le quai, et deux attires dans le même but, à 5 mètres de
la face du parc. Ces piles sont d'une rigidité absolue. Tous les plan-
chers étant composés de poutres en fer à doubles et triples cornières,
des madriers ordinaires ont suffi comme solives, tout étant disposé de
k mètres en h mètres. Dans les quatre angles du plancher de la grande
salle à la rencontre des filets, on a placé sous le parquet de grandes
plaques de fer de plus d'un mètre de largeur et reliant les quatre filets;
par ce moyen les roulements ont été évités, de sorte que, bien que sans
colonne pour le soutenir, ce plancher résisterait même à des bals.
C'est dans cette salle que furent donnés les banquets du dixième groupe
et des Beaux-Arts appliqués à l'industrie. Les plans d'ensemble don-
nent facilement une idée de toute l'installation et des services. Sur le
même étage se trouvait le salon du Prince Impérial, modèle d'élé-
gance, dû à M. GARBAN, tapissier. Le salon des échecs, des lavabos
1 élégants, des fumoirs, etc., eic, desservis par des escaliers spéciaux.
D'autres escaliers, ménagés à proximité des couloirs de service,
mènent aux terrasses, construites de manière à supporter 2 et 300 per-
sonnes. Nous donnons, PI. 49, un ensemble de poutres armées,
servant à soutenir une de ces terrasses. Les balcons du côté du parc
ont été faits après coup et posés en bascule. Dans les planchers, cela
était hardi, téméraire même; cependant il n'y a eu aucune flexion,
et les chiffres sont venus là, une fois de plus, prouver leur valeur.
Nous avons vu 2 et 300 personnes sur ces balcons,- celui du quai, de
plus grande dimension, est soutenu par de petites colonnes. En sortant
de la salle du premier étage, se trouve un palier desservant les deux
révolutions d'un grand escalier venant de la salle du bas.
Cette salle, destinée d'abord à être la Bourse du Champ de Mars,
1867. — 20
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