Presse et revues
4 pages
Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1875-11-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 novembre 1875 01 novembre 1875
Description : 1875/11/01 (A21,N251)-1875/11/30. 1875/11/01 (A21,N251)-1875/11/30.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5575364n
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
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NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — 21e ANNÉE. — NOVEMBRE 4 875.
146
SOMMAIRE.
TEXTE. — îïotcs et Bocmiirnis. — Port d'Ibrabîm et Bassin de radoub de Suez
(Egypte); par M. LIMANT DU BELLEFONDS (PI. 53-S4). — Voie métallique, système HILF,
rails d'acier, sur longrines et traverses en fonte (PI. 55-56). — Revue des 'ï'ram-
wny.i — L'es Tramways-Sud de Paris. — Tramways de la Compagnie des Omnibus
(rive gauche). — Jlevue des Chemins de fer. — Inauguration du chemin de fer
d'Orléans à Châlons. — Chemins de fer du Portugal. — Chemins de fer Suisses. — Déve-
loppement total actuel des Tramways français. — Chemin de fer de Jafla à Jérusalem. —
Chemins de fer Persans. — Le chemin de fer do l'Asie centrale. — Keyue de In na-
vigation. — Canaux du Nord et du Pas-de-Calais. — Canal d'irrigation du Rhône, des
Roches à Béziers. — Clironlqiic. — Établissement d'un pont fixe en fer entre les
coteaux de Fourviéres et de Saint-Jusl, à Lyon. —Approfondissement du détroit de Long-
Island, à New-York.
PIAAJÏCMEB. — 83-54. Port d'Ibrahim et Bassin de radoub de Suez (Egypte); par
M. iLiKANT DE BELLEFONDS. — 53-50. Voie métallique, système HILF, a rails d'acier sur
longrines et traverses en fonte.
NOTES ET DOCUMENTS.
Port d'Ibrahim et Bassin de radoub de Suez (Egypte).
Par M. LIHANT DE BELLEFONDS.
PI. 53-54.
ARTICLES ANTÉRIEURS.— Le nouveau Port de Marseille, Ann. 1855, PI. 33-34.—
Jetées à claire-voie en bois, Ann. 1858, PI. 40. — Étude sur les ports de mer artificiels et
la fabrication des blocs de béton : 1" article, Ann. 1866, col. 161, PI. 45-46 et 47-48. —
2° article, Ann. 1867, col. 3, PI. 5-6.-3' article, Ann. 1867, col. 37.-4° article,
Ann. 1867, col. 54, PI. 13-14. — 5» article, Ann. 1867, col. 90, PI. 25 (Profils en travers
des Jetées artificielles des ports français de la Méditerranée). — Jetées artificielles des
ports d'Italie, en construction, Ami. 1874, col. 74, PI. 36.—Agrandissement du Port
d'Alexandrie, Ann. 1874, col. 121, PI. 53-54. —Le nouveau Port de Brest, Ann. 1875,
PI. 7-8.
L'agrandissement du port d'Alexandrie, conséquence naturelle du
percement de l'isthme de Suez, a été publié dans la livraison de No-
vembre 1874, en même temps que les renseignements principaux rela-
tifs au nouveau port de' Smyrne.
La PI. 53-54 représente l'ensemble et les principaux détails du Port
Ibrahim, à Suez, sur la mer Rouge (Fig. 1), qui forme le pendant
de Port-Saïd, situé à l'extrémité Nord du canal, sur la Méditerranée.
Le contrat d'exécution de ce port fut passé, de gré à gré, le
1" Janvier 1867, sous forme de forfait, entre S. E. CHÉRIF PACHA,
agissant au nom de S. A. le vice-roi d'Egypte (SAÏD, fils d'ImuHiM),
et M. DUSSATJD, l'entrepreneur bien connu des derniers ports de Mar-
seille, d'une partie des ports d'Alger, de Cherbourg, des nouveaux
ports de Smyrne, etc.
Le traité comportait l'exécution d'un port double : l'un pour le ser-
vice de l'État, ayant une superficie d'eau de 16 hectares (16,280mètres);
et l'autre pour le commerce, mesurant 23 hectares (22,940 mètres)
(Fig. 2).
Voici, à titre de description, les principales clauses de ce contrat :
« Art. 2. — Les deux ports seront entourés entièrement par une
jetée en enrochements naturels (Fig. 4).
« Art. 3. — L'entrée de ces deux ports sera commune et aura
100 mètres de largeur.
« Art. 4. — Toutes les jetées entourant les deux ports auront une
largeur minima de 3 mètres en couronne.
« Art. 5. — L'intérieur des deux ports sera muni de murs de
quais construits au moyen de blocs artificiels de maçonnerie et de
pierres de taille, avec mortier de chaux hydraulique du Theil.
« Art. 6. — Les murs des quais seront fondés de manière à en
permettre l'accostage a tous les navires qui fréquentent la rade de
Suez.
G. M 2
« Art. 1. — Les quais du port de l'État auront un développement
total de 558 mètres. Ceux du port du Commerce auront un dévelop-
pement total de 1,528 mètres.
« Art. 8. — Tous ces quais seront établis de façon à permettre,
dans l'axe du chenal d'accès des deux ports, la construction d'un
môle central d'embarquement et de débarquement, ayant une largeur
de 100 mètres, mesurée entre les deux quais, et une longueur de
550 mètres.
« Art. 9. — L'entrée commune des deux ports se trouvera par-
faitement dans la direction de l'axe du môle, et aura en largeur, de
la tête de ce môle aux musoirs, une distance de 120 mètres environ.
« Art. 10. — L'entrée commune des deux ports sera donc ouverte
à l'ouest, et entre deux musoirs qui auront chacun un feu de port.
« A't. 11. — Les quais pourront être fondés à 5°.50 au-dessous du
zéro (le zéro est à 3 mètres au-dessous du couronnement des quais,
et il y a 10 mètres du couronnement au fond curé), mais à condition
qu'ils reposeront sur le terrain solide, soit de roche, soit d'argile
compacte.
« Art. 12. — Dans le cas contraire, il serait dragué pour établir
une fouille à la profondeur de 7 mètres au-dessous du zéro, afin d'y
établir une couche d'enrochements servant de base aux murs de
quai, ou bien on poserait immédiatement les blocs artificiels sur le
terrain naturel, si ce terrain était solide.
a Art. 13. — Les quais, dans toute leur longueur, auront une cou-
verture en pierres de Cassis ou d'Attaka.
« Art. 14. Les dragues serviront aux remblais des terre-pleins,
comme cela est indiqué sur les plans.
« Art. 15. — La chaussée, qui relie actuellement le bassin de ra-
doub à la voie ferrée du Caire, sera élargie de manière que sa largeur
en couronnes soit de 10 mètres. Les enrochements auront une épais-
seur de 1™.50 du côté de l'ouest et 1 mètre de l'autre, mesurée hori-
zontalement; les talus, 2 mètres de base sur 1 mètre de hauteur. »
Ces travaux ont été entièrement terminés le 1" Janvier 1873.
Le montant total de l'estimation était de 23,395,500 francs : il fut
convenu que l'entrepreneur ferait, à forfait, une première partie de
15,500,000 francs de travaux, et que, pour le reste de l'entreprise, le
Gouvernement resterait libre d'exécuter les travaux directement ou
indirectement, suivant les résultats de la première partie.
Celle-ci ayant été terminée à la satisfaction du Gouvernement, il
fut traité aussi pour le reste, estimé à nouveau à 15,895,500 francs, et
aujourd'hui les navires de toutes nations se servent du port, achevé
sous le règne du khédive actuel ISMAÏL PACHA.
CALE DE HALAGE, FORME FLOTTANTE, BASSIN DE RADOUB.
Les travaux du bassin de radoub et de ses accessoires, commencés
par SAÏD-PACHA, furent terminés également par le khédive ISMAÏL.
Ils n'offrent rien de particulier, comme dispositions d'ensemble;
les marées moyennes sont de 0'".40 à 0".50 ; leur maximum est de
0"'.80 (on sait que les mouvements de la mer Rouge sont très-peu
sensibles, comme ceux de toutes les mers intérieures, surtout quand
elles sont orientées du Nord au Sud).
Le port de Suez est, d'ailleurs, appelé forcément à prendre un dé-
veloppement bien plus grand que son état actuel, à mesure que le
mouvement des navires par l'isthme de Suez augmentera.
Nous tiendrons les lecteurs des Nouvelles Annales au courant de ce
qui pourra s'y présenter d'intéressant à l'avenir.
Les documents et dessins publiés ci-dessus sont extraits de l'excel-
lent ouvrage publié par M. LINANT-BEY, sous le titre : Mémoire sur les
principaux travaux d'utilité publique exécutés en Egypte, depuis
l'antiquité jusqu'à nos jours, et dont nous avons rendu compte en
Mai 1874.
1875 — 19
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — 21e ANNÉE. — NOVEMBRE 4 875.
146
SOMMAIRE.
TEXTE. — îïotcs et Bocmiirnis. — Port d'Ibrabîm et Bassin de radoub de Suez
(Egypte); par M. LIMANT DU BELLEFONDS (PI. 53-S4). — Voie métallique, système HILF,
rails d'acier, sur longrines et traverses en fonte (PI. 55-56). — Revue des 'ï'ram-
wny.i — L'es Tramways-Sud de Paris. — Tramways de la Compagnie des Omnibus
(rive gauche). — Jlevue des Chemins de fer. — Inauguration du chemin de fer
d'Orléans à Châlons. — Chemins de fer du Portugal. — Chemins de fer Suisses. — Déve-
loppement total actuel des Tramways français. — Chemin de fer de Jafla à Jérusalem. —
Chemins de fer Persans. — Le chemin de fer do l'Asie centrale. — Keyue de In na-
vigation. — Canaux du Nord et du Pas-de-Calais. — Canal d'irrigation du Rhône, des
Roches à Béziers. — Clironlqiic. — Établissement d'un pont fixe en fer entre les
coteaux de Fourviéres et de Saint-Jusl, à Lyon. —Approfondissement du détroit de Long-
Island, à New-York.
PIAAJÏCMEB. — 83-54. Port d'Ibrahim et Bassin de radoub de Suez (Egypte); par
M. iLiKANT DE BELLEFONDS. — 53-50. Voie métallique, système HILF, a rails d'acier sur
longrines et traverses en fonte.
NOTES ET DOCUMENTS.
Port d'Ibrahim et Bassin de radoub de Suez (Egypte).
Par M. LIHANT DE BELLEFONDS.
PI. 53-54.
ARTICLES ANTÉRIEURS.— Le nouveau Port de Marseille, Ann. 1855, PI. 33-34.—
Jetées à claire-voie en bois, Ann. 1858, PI. 40. — Étude sur les ports de mer artificiels et
la fabrication des blocs de béton : 1" article, Ann. 1866, col. 161, PI. 45-46 et 47-48. —
2° article, Ann. 1867, col. 3, PI. 5-6.-3' article, Ann. 1867, col. 37.-4° article,
Ann. 1867, col. 54, PI. 13-14. — 5» article, Ann. 1867, col. 90, PI. 25 (Profils en travers
des Jetées artificielles des ports français de la Méditerranée). — Jetées artificielles des
ports d'Italie, en construction, Ami. 1874, col. 74, PI. 36.—Agrandissement du Port
d'Alexandrie, Ann. 1874, col. 121, PI. 53-54. —Le nouveau Port de Brest, Ann. 1875,
PI. 7-8.
L'agrandissement du port d'Alexandrie, conséquence naturelle du
percement de l'isthme de Suez, a été publié dans la livraison de No-
vembre 1874, en même temps que les renseignements principaux rela-
tifs au nouveau port de' Smyrne.
La PI. 53-54 représente l'ensemble et les principaux détails du Port
Ibrahim, à Suez, sur la mer Rouge (Fig. 1), qui forme le pendant
de Port-Saïd, situé à l'extrémité Nord du canal, sur la Méditerranée.
Le contrat d'exécution de ce port fut passé, de gré à gré, le
1" Janvier 1867, sous forme de forfait, entre S. E. CHÉRIF PACHA,
agissant au nom de S. A. le vice-roi d'Egypte (SAÏD, fils d'ImuHiM),
et M. DUSSATJD, l'entrepreneur bien connu des derniers ports de Mar-
seille, d'une partie des ports d'Alger, de Cherbourg, des nouveaux
ports de Smyrne, etc.
Le traité comportait l'exécution d'un port double : l'un pour le ser-
vice de l'État, ayant une superficie d'eau de 16 hectares (16,280mètres);
et l'autre pour le commerce, mesurant 23 hectares (22,940 mètres)
(Fig. 2).
Voici, à titre de description, les principales clauses de ce contrat :
« Art. 2. — Les deux ports seront entourés entièrement par une
jetée en enrochements naturels (Fig. 4).
« Art. 3. — L'entrée de ces deux ports sera commune et aura
100 mètres de largeur.
« Art. 4. — Toutes les jetées entourant les deux ports auront une
largeur minima de 3 mètres en couronne.
« Art. 5. — L'intérieur des deux ports sera muni de murs de
quais construits au moyen de blocs artificiels de maçonnerie et de
pierres de taille, avec mortier de chaux hydraulique du Theil.
« Art. 6. — Les murs des quais seront fondés de manière à en
permettre l'accostage a tous les navires qui fréquentent la rade de
Suez.
G. M 2
« Art. 1. — Les quais du port de l'État auront un développement
total de 558 mètres. Ceux du port du Commerce auront un dévelop-
pement total de 1,528 mètres.
« Art. 8. — Tous ces quais seront établis de façon à permettre,
dans l'axe du chenal d'accès des deux ports, la construction d'un
môle central d'embarquement et de débarquement, ayant une largeur
de 100 mètres, mesurée entre les deux quais, et une longueur de
550 mètres.
« Art. 9. — L'entrée commune des deux ports se trouvera par-
faitement dans la direction de l'axe du môle, et aura en largeur, de
la tête de ce môle aux musoirs, une distance de 120 mètres environ.
« Art. 10. — L'entrée commune des deux ports sera donc ouverte
à l'ouest, et entre deux musoirs qui auront chacun un feu de port.
« A't. 11. — Les quais pourront être fondés à 5°.50 au-dessous du
zéro (le zéro est à 3 mètres au-dessous du couronnement des quais,
et il y a 10 mètres du couronnement au fond curé), mais à condition
qu'ils reposeront sur le terrain solide, soit de roche, soit d'argile
compacte.
« Art. 12. — Dans le cas contraire, il serait dragué pour établir
une fouille à la profondeur de 7 mètres au-dessous du zéro, afin d'y
établir une couche d'enrochements servant de base aux murs de
quai, ou bien on poserait immédiatement les blocs artificiels sur le
terrain naturel, si ce terrain était solide.
a Art. 13. — Les quais, dans toute leur longueur, auront une cou-
verture en pierres de Cassis ou d'Attaka.
« Art. 14. Les dragues serviront aux remblais des terre-pleins,
comme cela est indiqué sur les plans.
« Art. 15. — La chaussée, qui relie actuellement le bassin de ra-
doub à la voie ferrée du Caire, sera élargie de manière que sa largeur
en couronnes soit de 10 mètres. Les enrochements auront une épais-
seur de 1™.50 du côté de l'ouest et 1 mètre de l'autre, mesurée hori-
zontalement; les talus, 2 mètres de base sur 1 mètre de hauteur. »
Ces travaux ont été entièrement terminés le 1" Janvier 1873.
Le montant total de l'estimation était de 23,395,500 francs : il fut
convenu que l'entrepreneur ferait, à forfait, une première partie de
15,500,000 francs de travaux, et que, pour le reste de l'entreprise, le
Gouvernement resterait libre d'exécuter les travaux directement ou
indirectement, suivant les résultats de la première partie.
Celle-ci ayant été terminée à la satisfaction du Gouvernement, il
fut traité aussi pour le reste, estimé à nouveau à 15,895,500 francs, et
aujourd'hui les navires de toutes nations se servent du port, achevé
sous le règne du khédive actuel ISMAÏL PACHA.
CALE DE HALAGE, FORME FLOTTANTE, BASSIN DE RADOUB.
Les travaux du bassin de radoub et de ses accessoires, commencés
par SAÏD-PACHA, furent terminés également par le khédive ISMAÏL.
Ils n'offrent rien de particulier, comme dispositions d'ensemble;
les marées moyennes sont de 0'".40 à 0".50 ; leur maximum est de
0"'.80 (on sait que les mouvements de la mer Rouge sont très-peu
sensibles, comme ceux de toutes les mers intérieures, surtout quand
elles sont orientées du Nord au Sud).
Le port de Suez est, d'ailleurs, appelé forcément à prendre un dé-
veloppement bien plus grand que son état actuel, à mesure que le
mouvement des navires par l'isthme de Suez augmentera.
Nous tiendrons les lecteurs des Nouvelles Annales au courant de ce
qui pourra s'y présenter d'intéressant à l'avenir.
Les documents et dessins publiés ci-dessus sont extraits de l'excel-
lent ouvrage publié par M. LINANT-BEY, sous le titre : Mémoire sur les
principaux travaux d'utilité publique exécutés en Egypte, depuis
l'antiquité jusqu'à nos jours, et dont nous avons rendu compte en
Mai 1874.
1875 — 19
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