Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1875-07-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 juillet 1875 01 juillet 1875
Description : 1875/07/01 (A21,N247)-1875/07/31. 1875/07/01 (A21,N247)-1875/07/31.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5575357h
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
89
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — 21e ANNÉE. — JUILLET 1875.
90
SWMMAïltE.
TEXTE. — Mémoire sur les Inondations et les moyens d'y remédier. — Kotcs et
Documents. — Distribution d'eau de Cagliari, projet de M. l'Ingénieur en chef GIOR-
DANO, Inspecteur général des mines du Royaume d'Italie. Directeur des travaux : M. L.C.
FERRERO (PI. 34-32, 33). — Planchers en fer et en bois. Étude comparative de divers
types (PI. 34). — Maison de campagne style Renaissance (PI. 35). — Maison de campagne
moderne (PI. 36).
MiAIBCHES. — 31-32, 33. Distribution d'eau de Cagliari. —34. Planchers en fer
et en bois. — 35. Maison de campagne stylo Renaissance 36. Maison de campagne mo-
derne.
MEMOIRE
LES INONDATIONS
ET LES MOYENS D'Y REMÉDIER.
Depuis les désastreuses inondations de la Loire, survenues en Juin
1856, aucune catastrophe assez sérieuse pour émouvoir l'esprit public
en France n'était venue rappeler aux ingénieurs et au gouvernement
que le régime de nos fleuves est on ne peut plus irrationnel et plus
incomplet, et que des dépenses urgentes, indispensables, inévitables
sont à faire, pour transformer notre appareil hydraulique, et pour pré-
venir le retour de malheurs comme ceux qui viennent encore de frap-
per la ville de Toulouse, et toutes les localités baignées par les cours
d'eau pyrénéens :
« On a déjà oublié, disions-nous en Avril 1858 [Annales de la Con-
« struction, col. 25, 26), les désastres produits par les inondations
« de 1856, et les nombreux moyens proposés à cette époque pour y
« remédier de la manière la plus efficace. Nous rappellerons, de temps
« en temps, qu'il est urgent de s'opposer d'avance à de nouveaux ra-
« vages des cours d'eau par des moyens préventifs énergiques, et
« nous citerons comme indispensables :
« 1° Un système complet et raisonné de digues longitudinales, suivant
« parallèlement les principales sinuosités du Thalweg, de manière à
« créer un lit majeur suffisant, et convenablement défendues et sur-
« haussées dans les coudes et concavités où les eaux tendent à se jeter
« avec le plus de violence en temps de crue (1) ;
« 2° Par une série de digues transversales venant recouper et dépasser
« les premières, à angle droit, suivant les courbes horizontales du
« terrain, de manière à former une série successive de bassins de ré-
« serve et de retenue, pouvant emmagasiner pendant un certain temps les
« eaux excédantes, et les rendre à l'aval, à leur lit naturel, par l'ou-
« verture d'écluses ou de vannes de décharge automobiles, servant de
« régulateurs naturels aux trop-pleins accumulés ;
« 3° Tous les autres moyens, tels que les reboisements, les gazon-
« nements, les fascinages, les oseraies, doivent être employés en même
« temps; mais les digues, soit submersibles, soit insubmersibles,
« seront toujours de première nécessité, et l'on n'obtiendra pas, de
« longtemps, d'effet sensible par les moyens agricoles seulement. »
Eh bien ! il y a dix-sept ans que nous indiquions ce programme, et,
aujourd'hui, comme alors, rien ou presque rien n'a été fait.
On a bien, sans doute, relevé les digues de la Loire et l'on en a
construit de nouvelles; mais on a eu le tort grave de les resserrer
beaucoup trop, et de vouloir contenir ce pleuve torrentiel dans un lit
majeur trop étroit : 350 mètres ou 1 kilomètre, quand il eût fallu 2 ou
3 kilomètres de longueur au moins. Citons des faits : le Pô, qui est
beaucoup moins dangereux que la Loire, a un lit majeur qui varie
(1) La ville de Toulouse est précisément située sur un coude prononcé de la Garonne,
et le quartier Sainl-Cyprien, où 1,200 maisons ont été détruites ou endommagées, est dans
une concavité.
C. — àOb
de 2 1/2 à 5 kilomètres, et certains de ses affluents, même secondaires,
dans les Alpes, ont été endigués avec des lits majeurs de 500 à 800mè-
tres (500 mètres pour la Sesia, 600 mètres pour la Trebbia, 840 mè-
tres pour le Taro et YEnza).
Il résulte de cela que, malgré les travaux exécutés sur la Loire, on
peut prédire, avec une certitude absolue, qu'un jour ou l'autre les
digues actuelles seront surmontées de nouveau, et que tout sera ta re-
commencer : Voilà pour le passé.
Faut-il donc croire que, cette fois encore, l'oubli, l'ignorance et
l'imprévoyance rendront inutile la récente et douloureuse leçon reçue
sur le versant pyrénéen?
Faut-il encore s'attendre à ce que pendant quinze jours, un mois
ou deux, le public s'agite stérilement, en cherchant à compenser les
100 millions qui sont le total présumé des pertes matérielles, par des
souscriptions qui atteindront, en comptant généreusement, 6 ou 8 mil-
lions au maximum?
Faut-il s'attendre aussi à revoir, pendant deux ou trois ans, les
Rapports, les Questionnaires et les Tableaux grapkiaues refleurir dans les
ministères, et retomber, après deux ou trois changements de per-
sonnes, dans le domaine des bonnes intentions non suivies d'effet?
Faut-il entendre enfin reproduire encore une fois et toujours cette
objection péremptoire : « Le budget des travaux publics n'est pas
« assez riche pour payer d'aussi fortes dépenses que celles qu'exi-
« gérait le système de digues et de barrages automobiles que vous
« proposez? »
Eh bien! à cela, il n'y a qu'une chose à répondre :
Si le budget des travaux publics n'est pas assez élevé, qu'on l'aug-
mente !...
On aimera mieux, sans doute, voter de nouveau chaque année 500
ou 600 millions pour le budget de la guerre, puis voter 100 ou
200 millions pour les soldes de liquidation du même budget, puis
attendre patiemment, les yeux fermés, que tous les huit ou dix ans
un désastre comme celui que nous venons de voir arrache subitement
100 ou 150 millions à la fortune publique, avec accompagnement de
600 morts et de 2,000 ou 3,000 maisons détruites ou effrondrées...
Et cependant il suffirait, pour parer à ces pénibles éventualités, de
faire, une fois pour toutes, 40 ou 50 millions de travaux (bien faits)
dans chaque bassin hydraulique.
En d'autres termes, puisqu'il est facile de démontrer que la con-
struction des digues et des barrages coûterait moins cher que le
chiffre totalisé des ravages périodiques produits par les inondations,
il faut que l'État agisse une bonne fois en bon père de famille, et qu'il
fasse acte d'administrateur prévoyant, en dépensant sans hésiter le
dixième du capital exposé, pour préserver les neuf autres dixièmes
d'une perte inévitable et certaine.
Maintenant la question est de savoir si, réellement, le programme
que nous indiquons est efficace, et si, en effet, ou pourrait le réaliser
avec des sacrifices raisonnables, moins élevés, comme nous le disions
plus haut, que la moindre valeur des propriétés agricoles, indus-
trielles et immobilières, sans compter les existences humaines, pério-
diquement détruites.
Pour le démontrer, nous avons besoin de reprendre la question
d'un peu plus haut; car bien des polémiques et bien des objections
ont été faites à telle ou telle partie de ce programme.
Il y a, par exemple, les partisans des digues, et il y a leurs adver-
saires : Les uns les veulent insubmersibles, les autres submersibles.
Les bassins de réserve ont été déclarés tour à tour inutiles ou in-
dispensables.
Les barrages, suivant qu'ils sont fixes ou mobiles, ont eu des parti-
sans ou des détracteurs. Vingt systèmes différents ont été proposés.
JS/5 — 12
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — 21e ANNÉE. — JUILLET 1875.
90
SWMMAïltE.
TEXTE. — Mémoire sur les Inondations et les moyens d'y remédier. — Kotcs et
Documents. — Distribution d'eau de Cagliari, projet de M. l'Ingénieur en chef GIOR-
DANO, Inspecteur général des mines du Royaume d'Italie. Directeur des travaux : M. L.C.
FERRERO (PI. 34-32, 33). — Planchers en fer et en bois. Étude comparative de divers
types (PI. 34). — Maison de campagne style Renaissance (PI. 35). — Maison de campagne
moderne (PI. 36).
MiAIBCHES. — 31-32, 33. Distribution d'eau de Cagliari. —34. Planchers en fer
et en bois. — 35. Maison de campagne stylo Renaissance 36. Maison de campagne mo-
derne.
MEMOIRE
LES INONDATIONS
ET LES MOYENS D'Y REMÉDIER.
Depuis les désastreuses inondations de la Loire, survenues en Juin
1856, aucune catastrophe assez sérieuse pour émouvoir l'esprit public
en France n'était venue rappeler aux ingénieurs et au gouvernement
que le régime de nos fleuves est on ne peut plus irrationnel et plus
incomplet, et que des dépenses urgentes, indispensables, inévitables
sont à faire, pour transformer notre appareil hydraulique, et pour pré-
venir le retour de malheurs comme ceux qui viennent encore de frap-
per la ville de Toulouse, et toutes les localités baignées par les cours
d'eau pyrénéens :
« On a déjà oublié, disions-nous en Avril 1858 [Annales de la Con-
« struction, col. 25, 26), les désastres produits par les inondations
« de 1856, et les nombreux moyens proposés à cette époque pour y
« remédier de la manière la plus efficace. Nous rappellerons, de temps
« en temps, qu'il est urgent de s'opposer d'avance à de nouveaux ra-
« vages des cours d'eau par des moyens préventifs énergiques, et
« nous citerons comme indispensables :
« 1° Un système complet et raisonné de digues longitudinales, suivant
« parallèlement les principales sinuosités du Thalweg, de manière à
« créer un lit majeur suffisant, et convenablement défendues et sur-
« haussées dans les coudes et concavités où les eaux tendent à se jeter
« avec le plus de violence en temps de crue (1) ;
« 2° Par une série de digues transversales venant recouper et dépasser
« les premières, à angle droit, suivant les courbes horizontales du
« terrain, de manière à former une série successive de bassins de ré-
« serve et de retenue, pouvant emmagasiner pendant un certain temps les
« eaux excédantes, et les rendre à l'aval, à leur lit naturel, par l'ou-
« verture d'écluses ou de vannes de décharge automobiles, servant de
« régulateurs naturels aux trop-pleins accumulés ;
« 3° Tous les autres moyens, tels que les reboisements, les gazon-
« nements, les fascinages, les oseraies, doivent être employés en même
« temps; mais les digues, soit submersibles, soit insubmersibles,
« seront toujours de première nécessité, et l'on n'obtiendra pas, de
« longtemps, d'effet sensible par les moyens agricoles seulement. »
Eh bien ! il y a dix-sept ans que nous indiquions ce programme, et,
aujourd'hui, comme alors, rien ou presque rien n'a été fait.
On a bien, sans doute, relevé les digues de la Loire et l'on en a
construit de nouvelles; mais on a eu le tort grave de les resserrer
beaucoup trop, et de vouloir contenir ce pleuve torrentiel dans un lit
majeur trop étroit : 350 mètres ou 1 kilomètre, quand il eût fallu 2 ou
3 kilomètres de longueur au moins. Citons des faits : le Pô, qui est
beaucoup moins dangereux que la Loire, a un lit majeur qui varie
(1) La ville de Toulouse est précisément située sur un coude prononcé de la Garonne,
et le quartier Sainl-Cyprien, où 1,200 maisons ont été détruites ou endommagées, est dans
une concavité.
C. — àOb
de 2 1/2 à 5 kilomètres, et certains de ses affluents, même secondaires,
dans les Alpes, ont été endigués avec des lits majeurs de 500 à 800mè-
tres (500 mètres pour la Sesia, 600 mètres pour la Trebbia, 840 mè-
tres pour le Taro et YEnza).
Il résulte de cela que, malgré les travaux exécutés sur la Loire, on
peut prédire, avec une certitude absolue, qu'un jour ou l'autre les
digues actuelles seront surmontées de nouveau, et que tout sera ta re-
commencer : Voilà pour le passé.
Faut-il donc croire que, cette fois encore, l'oubli, l'ignorance et
l'imprévoyance rendront inutile la récente et douloureuse leçon reçue
sur le versant pyrénéen?
Faut-il encore s'attendre à ce que pendant quinze jours, un mois
ou deux, le public s'agite stérilement, en cherchant à compenser les
100 millions qui sont le total présumé des pertes matérielles, par des
souscriptions qui atteindront, en comptant généreusement, 6 ou 8 mil-
lions au maximum?
Faut-il s'attendre aussi à revoir, pendant deux ou trois ans, les
Rapports, les Questionnaires et les Tableaux grapkiaues refleurir dans les
ministères, et retomber, après deux ou trois changements de per-
sonnes, dans le domaine des bonnes intentions non suivies d'effet?
Faut-il entendre enfin reproduire encore une fois et toujours cette
objection péremptoire : « Le budget des travaux publics n'est pas
« assez riche pour payer d'aussi fortes dépenses que celles qu'exi-
« gérait le système de digues et de barrages automobiles que vous
« proposez? »
Eh bien! à cela, il n'y a qu'une chose à répondre :
Si le budget des travaux publics n'est pas assez élevé, qu'on l'aug-
mente !...
On aimera mieux, sans doute, voter de nouveau chaque année 500
ou 600 millions pour le budget de la guerre, puis voter 100 ou
200 millions pour les soldes de liquidation du même budget, puis
attendre patiemment, les yeux fermés, que tous les huit ou dix ans
un désastre comme celui que nous venons de voir arrache subitement
100 ou 150 millions à la fortune publique, avec accompagnement de
600 morts et de 2,000 ou 3,000 maisons détruites ou effrondrées...
Et cependant il suffirait, pour parer à ces pénibles éventualités, de
faire, une fois pour toutes, 40 ou 50 millions de travaux (bien faits)
dans chaque bassin hydraulique.
En d'autres termes, puisqu'il est facile de démontrer que la con-
struction des digues et des barrages coûterait moins cher que le
chiffre totalisé des ravages périodiques produits par les inondations,
il faut que l'État agisse une bonne fois en bon père de famille, et qu'il
fasse acte d'administrateur prévoyant, en dépensant sans hésiter le
dixième du capital exposé, pour préserver les neuf autres dixièmes
d'une perte inévitable et certaine.
Maintenant la question est de savoir si, réellement, le programme
que nous indiquons est efficace, et si, en effet, ou pourrait le réaliser
avec des sacrifices raisonnables, moins élevés, comme nous le disions
plus haut, que la moindre valeur des propriétés agricoles, indus-
trielles et immobilières, sans compter les existences humaines, pério-
diquement détruites.
Pour le démontrer, nous avons besoin de reprendre la question
d'un peu plus haut; car bien des polémiques et bien des objections
ont été faites à telle ou telle partie de ce programme.
Il y a, par exemple, les partisans des digues, et il y a leurs adver-
saires : Les uns les veulent insubmersibles, les autres submersibles.
Les bassins de réserve ont été déclarés tour à tour inutiles ou in-
dispensables.
Les barrages, suivant qu'ils sont fixes ou mobiles, ont eu des parti-
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