Titre : Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann
Titre : New annals of the construction
Titre : Neue Annalen der Baukunst
Éditeur : V. Dalmont (Paris)
Éditeur : V. DalmontV. Dalmont (Paris)
Éditeur : DunodDunod (Paris)
Éditeur : J. BaudryJ. Baudry (Paris)
Éditeur : C. BérangerC. Béranger (Paris)
Date d'édition : 1873-04-01
Contributeur : Oppermann, Charles Alfred (18..-18.. ; ingénieur des Ponts et chaussées). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32826369p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5529 Nombre total de vues : 5529
Description : 01 avril 1873 01 avril 1873
Description : 1873/04/01 (A19,N220)-1873/04/30. 1873/04/01 (A19,N220)-1873/04/30.
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur Collection numérique : Corpus : Art de l'ingénieur
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5575148v
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3528
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
h\
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — 19° ANNÉE. — AVRIL 1873.
A2
S«MMAÏKE,
TEXTE.—Visites d'un Ingénieur à l'Exposition Universelle de Tienne
en 1 873.— Notes et Documents. — Petite serre adossée construite au rond-
point d'Inkermann, n° 1, à Neuilly, par MM. ANDRÉ et FLEURY, constructeurs à Neuilly
(PI. 19). — Nouveau fer évidé à âme pleine et à ailettes (Hreveté S. G. D. G.), de
MM. ANDRÉ et FLEURY, Constructeurs à Neuilly (sur Seine) (PI. 20). — Revue des
chemins de fer. — Situation des Travaux des Chemins de fer français.
PLANCHES. — 15-16. Plan général et vue à vol d'oiseau de l'Exposition de
Vienne. — 17-18. Élévations et plan détaillé du Palais principal de l'Exposition de
Vienne : Rotonde et Pavillons. — 19. Petite serre adossée construite au rond-point
d'Inkermann, n" 1, par MM, ANDRÉ et FLEORY, Constructeurs à Neuilly. — 20. Nou-
veau Fer à âme pleine et à ailettes saillantes de MM. ANDRÉ et FLEBRY, Constructeurs.
L'EXPOSITION UNIVERSELLE DE VIENNE
EN 1873
INTRODUCTION.
Les expositions universelles déterminent, chaque fois qu'elles se
produisent dans un milieu favorable, une telle agglomération de faits
utiles et une si.nombreuse réunion d'hommes éminents, qu'il est im-
possible de ne pas leur consacrer une place spéciale et réservée dans
tout recueil technique.
Nous avons donc cru bien faire en reprenant, à propos de l'Expo-
sition de Vienne, un travail analogue à celui que nous avons consacré,
en 1867, à l'Exposition de Paris.
Toutefois, au lieu d'en faire l'objet d'un volume spécial, toujours
difficile à terminer avant la conclusion définitive du concours, et beau-
coup moins utile à consulter après le fait accompli, nous avons pré-
féré, cette fois, donner les renseignements que nous pourrons recueil-
lir, au fur et à mesure que les faits eux-mêmes se produiront,—-sauf à
les réunir ensuite, s'il y a lieu, dans un volume détaché, qui pourrait
recevoir toutes les additions et rectifications complémentaires.
EXPOSÉ.
Parmi toutes les villes du globe, et presque au même degré que Pa-
ris et Londres, Vienne se trouve une des mieux appropriées, par'sa
position géographique, par son importance matérielle, et aussi par le
fait du caractère hospitalier et bienveillant de sa population, à être le
siège d'un de ces grands congrès pacifiques où se donnent rendez-vous
les arts et l'industrie du monde entier.
A une distance à peu près égale de l'Orient et de l'Occident, sur le
grand chemin de Constantinople, et, par suite, à l'entrée de ces vastes
régions que la civilisation moderne n'a encore que bien faiblement
entamées, elle ouvre la porte au plus grand essor que puisse prendre
aujourd'hui l'activité de l'Europe, vers les immenses domaines du monde
Asiatique.
D'un autre côté, l'empire d'Autriche lui-même offre une réunion si
variée d'éléments Germaniques, Magyares, Slaves, Tchèques, Tyro-
liens, Illynensei Croates, qu'il constitue, saDs aller plus loin, un terrain
des plus féconds et des plus intelligemment préparés déjà pour toutes
les entreprises agricoles, commerciales, métallurgiques, manufactu-
rières ou artistiques que l'on voudrait y fonder.
Nous avons regretté plus d'une fois, en parcourant les diverses pro-
vinces de celte belle partie de l'Europe centrale, de ne pas y voir
encore tout le bien possible réalisé, par suite surtout de l'absence de
capitaux et d'initiative individuelle.
C. 361
L'esprit de formalisme et de bureaucratie y pèse encore malheu-
reusement d'un poids un peu lourd dans toutes les questions qui im-
pliquent de grands déplacements d'argent, de matériel et de per-
sonnel; mais c'est un résultat inévitable de cette sorte de défiance
qui règne entre les nationalités diverses qui sont en présence : la néces-
sité d'un surcroît de garanties et de contrôle correspondant, est la
principale cause de bien des formalités qui disparaîtront avec le temps.
Mais, il faut le dire aussi à son grand mérite, le gouvernement actuel
abienfait tout ce qui était en son pouvoir pour résoudre les difficultés
du problème de ce côté;—pour éteindre les animosilés locales et
partielles; — pour accorder la plus large liberté commerciale et même
politique; — pour accueillir et favoriser les étrangers de tous les pays.
L'exposition de 1873 en est d'ailleurs la meilleure preuve, et résu-
mera de la manière la plus remarquable tout ce que l'Autriche a pu
faire depuis vingt ans, malgré les graves difficultés de son administra-
tration intérieure, — malgré les deux guerres désastreuses qu'elle a
subies, — malgré la difficulté financière même, et c'est là peut-être
le fait le plus étonnant de tous.
On admire avec raison la facilité avec laquelle la France s'est relevée
après la dernière guerre, et le-crÊdit extraordinaire qui lui a fait trou-
ver près de quinze fois le capital qu'elle demandait pour libérer sa
dette de guerre.
Mais lorsque nos ingénieurs français et anglais aussi, auront vu la
ville de Vienne actuelle — non pas celle qu'ils auraient encore pu voir,
il y a quinze ans seulement, avec ses fortifications intérieures, — ses
grands espaces vides entre ville et faubourg,—son activité en quelque
sorte concentrée dans quelques rues classiques [Graben, etc.),—lorsque,
dis-je, ils auront vu ce que cette ville est devenue, comme par enchan-
tement; lorsqu'ils parcourront son splendide boulevard de ceinture
{Ring), — ses palais et ses nouvelles maisons de marbre et d'or, avec
peintures et fresques jusque dans la rue, — ses chemins de fer inté-
rieurs si confortables (que Paris réclame encore), — son nouvel Opéra
plus élégant que celui de Paris, — ses vastes salles de concert, hautes
comme des cathédrales et élégantes comme des salons, — ses res-
taurants et ses cafés aux innombrables consommateurs, inondés de
lumière, ornés de fleurs et retentissant des accents de la plus suave mu-
sique de l'Europe, il est certain qu'ils seront profondément étonnés, et
plus d'un de nos Parisiens de Paris et de nos Londoniens de Londres
s'en reviendra tout pensif et s'écriera ; C'est extraordinaire, on dirait
que les Viennois sont encore plus civilisés que nous !
Ce qui explique à nos yeux cette particulière élégance et aménité
de la ville de Vienne, cette grâce de bon goût, et ce raffinement intel-
ligent, même dans les détails de la vie ordinaire, c'est que Vienne est
en réalité la seule des grandes capitales de l'Europe qui ait passé du
xvme siècle au xixesans révolution sanglante, et qui ait vécu la transition
de l'ancien régime au régime moderne sans secousses, par degrés in-
sensibles, et en conservant toujours, de chaque phase antérieure de sa
civilisation, les éléments utiles, pour laisser tomber dans l'oubli les
procédés surannés.
On dirait, dans certains quartiers, voir le xvme siècle éclairé au
gaz : à la porte des hôtels des plus antiques familles on voit encore des
Suisses et des chaises à porteurs ; puis, à deux pas de là, un club, un
restaurant-concert ou une succursale de la Bourse, qui répandent aux
alentours leur lumière, leur bruit et leur foule enfiévrée.
Un autre élément important de variété et d'intérêt consiste dans ce
que les cinq ou six nationalités distinctes, dont cette capitale cen-
tralise l'administration, y ont apporté chacune son cachet spécial, et
l'on reconnaît clairement dans certains édifices et dans les établisse-
ments fréquentés par les compatriotes de certaines régions de l'em-
pire les signes caractéristiques de chaque Étal de la couronne.
Milan, Vérone, Venise, Prague, Pesth, etc., ont activement contri-
1873 — 6
NOUVELLES ANNALES DE LA CONSTRUCTION. — 19° ANNÉE. — AVRIL 1873.
A2
S«MMAÏKE,
TEXTE.—Visites d'un Ingénieur à l'Exposition Universelle de Tienne
en 1 873.— Notes et Documents. — Petite serre adossée construite au rond-
point d'Inkermann, n° 1, à Neuilly, par MM. ANDRÉ et FLEURY, constructeurs à Neuilly
(PI. 19). — Nouveau fer évidé à âme pleine et à ailettes (Hreveté S. G. D. G.), de
MM. ANDRÉ et FLEURY, Constructeurs à Neuilly (sur Seine) (PI. 20). — Revue des
chemins de fer. — Situation des Travaux des Chemins de fer français.
PLANCHES. — 15-16. Plan général et vue à vol d'oiseau de l'Exposition de
Vienne. — 17-18. Élévations et plan détaillé du Palais principal de l'Exposition de
Vienne : Rotonde et Pavillons. — 19. Petite serre adossée construite au rond-point
d'Inkermann, n" 1, par MM, ANDRÉ et FLEORY, Constructeurs à Neuilly. — 20. Nou-
veau Fer à âme pleine et à ailettes saillantes de MM. ANDRÉ et FLEBRY, Constructeurs.
L'EXPOSITION UNIVERSELLE DE VIENNE
EN 1873
INTRODUCTION.
Les expositions universelles déterminent, chaque fois qu'elles se
produisent dans un milieu favorable, une telle agglomération de faits
utiles et une si.nombreuse réunion d'hommes éminents, qu'il est im-
possible de ne pas leur consacrer une place spéciale et réservée dans
tout recueil technique.
Nous avons donc cru bien faire en reprenant, à propos de l'Expo-
sition de Vienne, un travail analogue à celui que nous avons consacré,
en 1867, à l'Exposition de Paris.
Toutefois, au lieu d'en faire l'objet d'un volume spécial, toujours
difficile à terminer avant la conclusion définitive du concours, et beau-
coup moins utile à consulter après le fait accompli, nous avons pré-
féré, cette fois, donner les renseignements que nous pourrons recueil-
lir, au fur et à mesure que les faits eux-mêmes se produiront,—-sauf à
les réunir ensuite, s'il y a lieu, dans un volume détaché, qui pourrait
recevoir toutes les additions et rectifications complémentaires.
EXPOSÉ.
Parmi toutes les villes du globe, et presque au même degré que Pa-
ris et Londres, Vienne se trouve une des mieux appropriées, par'sa
position géographique, par son importance matérielle, et aussi par le
fait du caractère hospitalier et bienveillant de sa population, à être le
siège d'un de ces grands congrès pacifiques où se donnent rendez-vous
les arts et l'industrie du monde entier.
A une distance à peu près égale de l'Orient et de l'Occident, sur le
grand chemin de Constantinople, et, par suite, à l'entrée de ces vastes
régions que la civilisation moderne n'a encore que bien faiblement
entamées, elle ouvre la porte au plus grand essor que puisse prendre
aujourd'hui l'activité de l'Europe, vers les immenses domaines du monde
Asiatique.
D'un autre côté, l'empire d'Autriche lui-même offre une réunion si
variée d'éléments Germaniques, Magyares, Slaves, Tchèques, Tyro-
liens, Illynensei Croates, qu'il constitue, saDs aller plus loin, un terrain
des plus féconds et des plus intelligemment préparés déjà pour toutes
les entreprises agricoles, commerciales, métallurgiques, manufactu-
rières ou artistiques que l'on voudrait y fonder.
Nous avons regretté plus d'une fois, en parcourant les diverses pro-
vinces de celte belle partie de l'Europe centrale, de ne pas y voir
encore tout le bien possible réalisé, par suite surtout de l'absence de
capitaux et d'initiative individuelle.
C. 361
L'esprit de formalisme et de bureaucratie y pèse encore malheu-
reusement d'un poids un peu lourd dans toutes les questions qui im-
pliquent de grands déplacements d'argent, de matériel et de per-
sonnel; mais c'est un résultat inévitable de cette sorte de défiance
qui règne entre les nationalités diverses qui sont en présence : la néces-
sité d'un surcroît de garanties et de contrôle correspondant, est la
principale cause de bien des formalités qui disparaîtront avec le temps.
Mais, il faut le dire aussi à son grand mérite, le gouvernement actuel
abienfait tout ce qui était en son pouvoir pour résoudre les difficultés
du problème de ce côté;—pour éteindre les animosilés locales et
partielles; — pour accorder la plus large liberté commerciale et même
politique; — pour accueillir et favoriser les étrangers de tous les pays.
L'exposition de 1873 en est d'ailleurs la meilleure preuve, et résu-
mera de la manière la plus remarquable tout ce que l'Autriche a pu
faire depuis vingt ans, malgré les graves difficultés de son administra-
tration intérieure, — malgré les deux guerres désastreuses qu'elle a
subies, — malgré la difficulté financière même, et c'est là peut-être
le fait le plus étonnant de tous.
On admire avec raison la facilité avec laquelle la France s'est relevée
après la dernière guerre, et le-crÊdit extraordinaire qui lui a fait trou-
ver près de quinze fois le capital qu'elle demandait pour libérer sa
dette de guerre.
Mais lorsque nos ingénieurs français et anglais aussi, auront vu la
ville de Vienne actuelle — non pas celle qu'ils auraient encore pu voir,
il y a quinze ans seulement, avec ses fortifications intérieures, — ses
grands espaces vides entre ville et faubourg,—son activité en quelque
sorte concentrée dans quelques rues classiques [Graben, etc.),—lorsque,
dis-je, ils auront vu ce que cette ville est devenue, comme par enchan-
tement; lorsqu'ils parcourront son splendide boulevard de ceinture
{Ring), — ses palais et ses nouvelles maisons de marbre et d'or, avec
peintures et fresques jusque dans la rue, — ses chemins de fer inté-
rieurs si confortables (que Paris réclame encore), — son nouvel Opéra
plus élégant que celui de Paris, — ses vastes salles de concert, hautes
comme des cathédrales et élégantes comme des salons, — ses res-
taurants et ses cafés aux innombrables consommateurs, inondés de
lumière, ornés de fleurs et retentissant des accents de la plus suave mu-
sique de l'Europe, il est certain qu'ils seront profondément étonnés, et
plus d'un de nos Parisiens de Paris et de nos Londoniens de Londres
s'en reviendra tout pensif et s'écriera ; C'est extraordinaire, on dirait
que les Viennois sont encore plus civilisés que nous !
Ce qui explique à nos yeux cette particulière élégance et aménité
de la ville de Vienne, cette grâce de bon goût, et ce raffinement intel-
ligent, même dans les détails de la vie ordinaire, c'est que Vienne est
en réalité la seule des grandes capitales de l'Europe qui ait passé du
xvme siècle au xixesans révolution sanglante, et qui ait vécu la transition
de l'ancien régime au régime moderne sans secousses, par degrés in-
sensibles, et en conservant toujours, de chaque phase antérieure de sa
civilisation, les éléments utiles, pour laisser tomber dans l'oubli les
procédés surannés.
On dirait, dans certains quartiers, voir le xvme siècle éclairé au
gaz : à la porte des hôtels des plus antiques familles on voit encore des
Suisses et des chaises à porteurs ; puis, à deux pas de là, un club, un
restaurant-concert ou une succursale de la Bourse, qui répandent aux
alentours leur lumière, leur bruit et leur foule enfiévrée.
Un autre élément important de variété et d'intérêt consiste dans ce
que les cinq ou six nationalités distinctes, dont cette capitale cen-
tralise l'administration, y ont apporté chacune son cachet spécial, et
l'on reconnaît clairement dans certains édifices et dans les établisse-
ments fréquentés par les compatriotes de certaines régions de l'em-
pire les signes caractéristiques de chaque Étal de la couronne.
Milan, Vérone, Venise, Prague, Pesth, etc., ont activement contri-
1873 — 6
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 96.99%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 96.99%.
- Collections numériques similaires Vassan Jean Vassan Jean /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Vassan Jean" or dc.contributor adj "Vassan Jean")Huet Pierre Daniel Huet Pierre Daniel /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Huet Pierre Daniel" or dc.contributor adj "Huet Pierre Daniel") Maison professe Saint Louis Maison professe Saint Louis /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Maison professe Saint Louis" or dc.contributor adj "Maison professe Saint Louis")
- Auteurs similaires Vassan Jean Vassan Jean /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Vassan Jean" or dc.contributor adj "Vassan Jean")Huet Pierre Daniel Huet Pierre Daniel /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Huet Pierre Daniel" or dc.contributor adj "Huet Pierre Daniel") Maison professe Saint Louis Maison professe Saint Louis /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Maison professe Saint Louis" or dc.contributor adj "Maison professe Saint Louis")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k5575148v/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k5575148v/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k5575148v/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k5575148v/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k5575148v
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k5575148v
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k5575148v/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest