Titre : Le Mois scientifique et industriel : revue internationale d'information
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1911-04-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32817781p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 13362 Nombre total de vues : 13362
Description : 01 avril 1911 01 avril 1911
Description : 1911/04/01 (A13,N140)-1911/04/30. 1911/04/01 (A13,N140)-1911/04/30.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5570753p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-R-17309
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/01/2011
FORCE MOTRICE
631.345
S. 365-28376. — L'importance des régulateurs dans les usines hydrau-
liques.
IOI-I. Leipzig. Der Praktisclie Maschinen Konslrukteur, n° 7, 16 février, pages 55 à 56
(3.300 mois environ) (2 figures) (3 fr. 50).
Les divers brevets de l'ingénieur en chef Korn, de l'usine Herrich, à Morsebourg, se rap-
portent à une régulation des moteurs hydrauliques d'une précision telle que ces moteurs
puissent, sans aucune main-d'oeuvre, ni même aucune surveillance,, réaliser automatiquement
la constance d'effets qu'exige, par exemple, une installation d'éclairage électrique.
Ce qui rend le problème plus difficile que la régulation des moteurs à- vapeur, c'est que la
manoeuvre d'un vannage comporte une puissance très notablement supérieure à celle d'une
simple valve d'admission. De là la nécessité de recourir à une sorte de servomoteur, qui
emprunte la force, toujours disponible, d'nn accumulateur hydraulique qu'une petite pompe
auxiliaire maintient constamment en charge.
Quant à la seconde thèse que développe l'auteur, savoir : qu'il convient, pour éviter d'accou-
pler une turbine à une machine à vapeur, de n'employer cette dernière qu'à élever de l'eau
dans un réservoir supérieur pour ensuite la faire agir comme débit complémentaire sur la tur-
bine même, il paraît opportun de ne l'admettre que sous réserves:.—- II. est clair en effet que
le rendement final, produit des rendements partiels de; '.chaque opération intermédiaire, sera
minime, car un produit de fractions est une fraction bien moindre. C. C. 4100. 1. 3 2.
W. H. Westoyi. 631.185.5
S. 366-37335. — Armatures de chaudières en béton armé.
1911. New-York. Engineering Magasine, n" 4, janvier, pages 563 à 567 .(2.300 mots environ)
(3 fr.). ••_-._■ • •■ ' •
Un grand nombre de ces armatures ont déjà été installées, mais naturellement ce nombre est
petit en comparaison du total des usines a vapeur. Un examen de la question a: montré une
grande variété dans les méthodes de construction et dans le dessin dès détails, ce qui indique
que beaucoup de ces-installations ont été faites sans que l'on ait apporté une attention suffi-
sante aux principes fondamentaux. Malgré cela, lès; résultats ont pour la plupart été satisfai-
sants.
Beaucoup de personnes pensent que l'installation doit être entièrement en béton et que. les
surfaces intérieures sont destinées; à être exposées' au feu. Ceci est impossible avec n'importe
quelle sorte de béton "employée actuellement. Un garnissage en briques réfractaires doit être
installé comme il le serait'avec une installation de briques ordinaires.
Les. matériaux doivent tout d'abord être de première qualité, et mélangés suivant des pro-
portions convenables. Un béton fait à l'aide du meilleur gravier ne résistera pas aussi.bien à
la chaleur que celui qui sera composé de trapp ; le premier pourra se fissurer et s'émiettër
pendant que l'autre restera ferme et solide. Dans les cailloux, on évitera d'introduire des
roches tendres, et notamment du calcaire.
Le béton le plus, dur et le plus dense conduit, moins la chaleur et offre: le plus, de résistance
aux températures élevées. Le sable doit être pvir et propre, et ne contenir ni matières orga-
niques, ni argile ; il doit être lavé, s'il est nécessaire. .A ne doit pas être trop fin, ni uniforme,
mais contenir plutôt un mélange de grains fins" et de grains ayant jusqu'à environ 6 m/m.
10 ' Avril 1911
631.345
S. 365-28376. — L'importance des régulateurs dans les usines hydrau-
liques.
IOI-I. Leipzig. Der Praktisclie Maschinen Konslrukteur, n° 7, 16 février, pages 55 à 56
(3.300 mois environ) (2 figures) (3 fr. 50).
Les divers brevets de l'ingénieur en chef Korn, de l'usine Herrich, à Morsebourg, se rap-
portent à une régulation des moteurs hydrauliques d'une précision telle que ces moteurs
puissent, sans aucune main-d'oeuvre, ni même aucune surveillance,, réaliser automatiquement
la constance d'effets qu'exige, par exemple, une installation d'éclairage électrique.
Ce qui rend le problème plus difficile que la régulation des moteurs à- vapeur, c'est que la
manoeuvre d'un vannage comporte une puissance très notablement supérieure à celle d'une
simple valve d'admission. De là la nécessité de recourir à une sorte de servomoteur, qui
emprunte la force, toujours disponible, d'nn accumulateur hydraulique qu'une petite pompe
auxiliaire maintient constamment en charge.
Quant à la seconde thèse que développe l'auteur, savoir : qu'il convient, pour éviter d'accou-
pler une turbine à une machine à vapeur, de n'employer cette dernière qu'à élever de l'eau
dans un réservoir supérieur pour ensuite la faire agir comme débit complémentaire sur la tur-
bine même, il paraît opportun de ne l'admettre que sous réserves:.—- II. est clair en effet que
le rendement final, produit des rendements partiels de; '.chaque opération intermédiaire, sera
minime, car un produit de fractions est une fraction bien moindre. C. C. 4100. 1. 3 2.
W. H. Westoyi. 631.185.5
S. 366-37335. — Armatures de chaudières en béton armé.
1911. New-York. Engineering Magasine, n" 4, janvier, pages 563 à 567 .(2.300 mots environ)
(3 fr.). ••_-._■ • •■ ' •
Un grand nombre de ces armatures ont déjà été installées, mais naturellement ce nombre est
petit en comparaison du total des usines a vapeur. Un examen de la question a: montré une
grande variété dans les méthodes de construction et dans le dessin dès détails, ce qui indique
que beaucoup de ces-installations ont été faites sans que l'on ait apporté une attention suffi-
sante aux principes fondamentaux. Malgré cela, lès; résultats ont pour la plupart été satisfai-
sants.
Beaucoup de personnes pensent que l'installation doit être entièrement en béton et que. les
surfaces intérieures sont destinées; à être exposées' au feu. Ceci est impossible avec n'importe
quelle sorte de béton "employée actuellement. Un garnissage en briques réfractaires doit être
installé comme il le serait'avec une installation de briques ordinaires.
Les. matériaux doivent tout d'abord être de première qualité, et mélangés suivant des pro-
portions convenables. Un béton fait à l'aide du meilleur gravier ne résistera pas aussi.bien à
la chaleur que celui qui sera composé de trapp ; le premier pourra se fissurer et s'émiettër
pendant que l'autre restera ferme et solide. Dans les cailloux, on évitera d'introduire des
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Le béton le plus, dur et le plus dense conduit, moins la chaleur et offre: le plus, de résistance
aux températures élevées. Le sable doit être pvir et propre, et ne contenir ni matières orga-
niques, ni argile ; il doit être lavé, s'il est nécessaire. .A ne doit pas être trop fin, ni uniforme,
mais contenir plutôt un mélange de grains fins" et de grains ayant jusqu'à environ 6 m/m.
10 ' Avril 1911
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