Titre : Le Creusois de Paris : Bulletin mensuel de l'Association amicale des Creusois de Paris. Organe de la colonie creusoise de la capitale
Auteur : Association amicale des Creusois de Paris. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1902-10-12
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32752170t
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 35 Nombre total de vues : 35
Description : 12 octobre 1902 12 octobre 1902
Description : 1902/10/12 (A1,N8). 1902/10/12 (A1,N8).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse Collection numérique : Bibliographie de la presse
Description : Collection numérique : BIPFPIG23 Collection numérique : BIPFPIG23
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k55413331
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-8329
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2011
li'° Année. — N° 8.
LE NUMÉRO : 15 CENTIMES
1» octobre *»OS.
CHRONIQUE
■ Gomme le disait Bargeron dans notre der-
nier numéro, l'article de-tète du numéro pré-
cédent avait soulevé quelques clameurs et
occasionné la démission de trois sociétaires.
Tout en reconnaissant que nos camarades
démissionnaires n'avaient pas tous les torts
en disant que « nous ne devions pas l'aire de
politique ». je crois que, a.u lieu de démis-
sionner brusquement, ils eussent mieux fait
d'assister à une séance dit Comité ou de pro-
voquer une assemblée — ils y étaient auto-
risés par les statuts. Là. il leur était facile
d'expliquer leur indignation et de demander
des explications. Le meilleur moyen de s'en-
tendre est de se comprendre.
Et, d'ailleurs, que reprochent-ils à cet
article? Son républicanisme! Est-ce donc un
crime d'être républicain dans un pays répu-
blicain?
Notre Association étant essentiellement com-
posée de « jeunes », il me semble que des
idées nouvelles, -que des idées « jeunes »
doivent présider à tous ses actes.
Si nous fondons un journal — une modeste
feuille — pour rester dans le slalu tjuo ou
pour faire comme les écrevisses, ce n'est
vraiment pas la peine. Dans ce cas, nous
ferions mieux de verser nos « quelques sous »
à l'Assistance publique: nous aurions au
moins l'espoir que nos « capitaux » servi-
raient à. améliorer le sort de quelques mal-
heureux.
Et, comme le ditsi judicieusement Bargeron,
« notre journal s'adressant à. un public beau-
coup plus étendu que l'Association elle-même,
n'est pas lié absolument par ses règlements. »
Notre feuille, à mon avis, est une tribune
où chacun peut émettre des idées person-
nelles. Le signataire d'un article en est seul
responsable.
S'il fallait adresser une épreuve de chaque
article à chacun de nos lecteurs, et lui
demander de « biffer » ce qui lui déplaît et
d'ajouter ce qui manque, ce serait un travail
en dehors des forces humaines.
Ayant accompli une période de 28 jours à
Guéret, j'étais encore en Creuse lorsque j'ap-
pris avec stupéfaction la mort accidentelle du
grand maître que fut Emile Zola.
La stupéfaction ne fut pas moins grande
chez les cultivaieurs qui m'entouraient. Tous
connaissaient Zola et avaient lu quelque chose
de lui, la « mère nourricière » tenant une
grande place dans son oeuvre colossale et
immortelle.
Quel est donc celui qui, plus que Zola, fut
l'ami et le défenseur du prolétariat? Beaucoup
l'ont accusé d'avoir calomnié le peuple en le
montrant sous de vils aspects. Quant à moi,
je crois qu'on montrant à l'ouvrier de l'usine
et des champs tous les vices qui enlaidissent
leur misère, il a grandement contribué .à
l'émancipation prolétarienne.
*"*
La grève générale des mineurs vient d'être
déclarée. Réussira-t-elle? Personne ne peut
le savoir.
Depuis longtemps, les mineurs sont las de
se voir exploités par des compagnies avides
de gain. Depuis longtemps - ils voient leurs
camarades mourir de misère, alors que les
employeurs réalisent des bénéfices scandaleux.
Et que demandent-il s? Une petite rente après
vingt années, d'un labeur acharné, leur per-
mettant de ne pas « crever » de faim sur leurs
vieux jours après s'être «usés» physiquement
cl moralement au service de la société, lis
demandent, en outre, la fixation d'un minimum
de salaire et la réglementation du travail dans
les mines.
N'ayant obtenu aucune amélioration dans
leur sort et voyant les compagnies refuser
toute discussion, ils se sont décidés à. faire
usage de cette arme meurtrière qu'est la
grève. .♦
Espérons qu'ils obtiendront satisfaction,
car ils sont vraiment intéressants.
liOuis «Jesuirot.
Association amicale des Creusois de Paris
Siège social : 6. rue Marengo.
RÉUNION MENSUELLE
La réunion mensuelle ordinaire de l'Association, à
laquelle tous les compatriotes sont admis on visi-
teurs, aura, lieu le s»medi 1** octobre si
î> IiSociété : 6, rue Marengo, Paris.
Nous prions tous nos camarades d'assister à celte
réunion. — Urgence.
La Secrétaire,
L. JiïANnoT.
MARTIN NADAUD
Au moment où l'arrondissement do Bourganouf érige
un monument bien mérité à l'un dos plus glorieux de
ses enfants, nous croyons devoir rappeler à nos lecteurs
ce que fui Martin Nadaud, le légendaire député-maçon.
Nous empruntons pour cela les paroles qu'avait mises
en tête du ]]'« volume des Discours et Conférences de.
Nadaud. (K7()-187S), paru en 1880 chez Beloulle, à Guéret,
UN VIEUX .TOUHNAUSTH :
11 prend le peuple au berceau et le suit dans
toute sa. croissance, à travers les périls de l'âge
difficile jusqu'à l'épanouissement d'aujour-
d'hui.
Dévoré du besoin de s'instruire, Nadaud,
encore tout jeune, suit les écoles mutuelles de
Paris; mais cela, ne lui suffit point; il veut
aussi faire profite)' de ses connaissances ses
camarades de travail, et. pendant dix ans,
c'est-à-dire de 1838 à 1848, il tient chaque soir, .
de huit à onze heures, une .école à leur usage.
Voilà l'homme tout entier! Ses premières
années, si difficiles, lui inspirent de la com-
passion pour ceux qui souffrent. Il débuta
ainsi dans la vie; et, sans s'en douter, ins-
tinctivement, bon par essence, par besoin
d'affection, il trouve le côté,de l'horizon bu
son vol l'élèvera.
Sitôt la Révolution dé Février 1848, les
élèves songèrent au maître, dont ils voulurent
faire leur représentant à la Chambre. Ils pro-
posèrent Nadaud au peuple, qui ratifia ce
choix.
La réaction cria au scandale. 11 y a,vait de
quoi! Un maçon, un porte-blouse député!
N'était-ce. point le renversement du monde?
Mais voilà que ce maçon parla à la Législative
et garda longtemps la tribune où il fut applaudi
dans différentes questions économiques d'un
ordre élevé.
Donc, Nadaud fut â la hauteur de son
mandat législatif; et sa vie à été depuis un
labeur incessant, que ne sont pas faits pour
comprendre les envieux déclassés, qui entraî-
nent trop souvent à leur suite les masses
populaires.
Au criminel coup d'Etat de 1851, Nadaud,
dont l'influence n'avait fait que grandir, parut
dangereux au ravisseur de nos libertés. On
l'arrêta, en pleine nuit, en même temps que
Thiers, Cavaignac et le colonel Charras,
Vingt ans il subit l'exil; et si des bords
hospitaliers da la Tamise il ne fulmina point
contre l'Empire la grande excommunication
d'Hugo, il resta eûiiiiîie lui debout, le coeur à
la France et les yeux vers Paris. Il attendit,
l'âme brisée par la. mort de sa jeune femme,
l'heure de la revanche du droit qui était longue
à sonner, hélas !
D'une forte et mâle énergie, ne se laissant
jamais accabler par l'adversité, Nadaud tra-
vailla à l'étranger pour gagner sa vie d'abord,
et augmenta son bagage littéraire ensuite, au
point d'enseigner sa langue nationale dans une
grande école militaire des environs de Londres.
« J'étais heureux, me disait-il, quand je pou-
vais envoyer quelque argent là-bas au pays,
à mes pauvres et vieux parents. » II me disait
cela d'une façon touchante, les yeux mouillés
dans les confidences intimes des braves gens
qui ont subi la tristesse d'un long exil.
Gambetta sut apprécier, comme Delescluze
l'avait déjà fait, l'énergie virile de Nadaud et
l'envoya comme préfet de la Creuse, ou plutôt
comme commissaire de guerre pour organiser
dans ce département patriotique la défense
nationale.
Nadaud y employa une énergie imposssible
à. décrire, et fut pour quelque chose dans ce
légitime orgueil qui nous reste de n'avoir
épargné aucun sacrifice pour ressaisir la vic-
toire.
On lira ses proclamations, et l'on pourra,
juger de la douleur qui le tortura quand
Bazaine capitula, livrant à l'ennemi ce qui
restait de notre armée avec un immense
matériel.
Le traité de Francfort qui laissait la France
vaincue, démembrée, écrasée dans sa puis-
LE NUMÉRO : 15 CENTIMES
1» octobre *»OS.
CHRONIQUE
■ Gomme le disait Bargeron dans notre der-
nier numéro, l'article de-tète du numéro pré-
cédent avait soulevé quelques clameurs et
occasionné la démission de trois sociétaires.
Tout en reconnaissant que nos camarades
démissionnaires n'avaient pas tous les torts
en disant que « nous ne devions pas l'aire de
politique ». je crois que, a.u lieu de démis-
sionner brusquement, ils eussent mieux fait
d'assister à une séance dit Comité ou de pro-
voquer une assemblée — ils y étaient auto-
risés par les statuts. Là. il leur était facile
d'expliquer leur indignation et de demander
des explications. Le meilleur moyen de s'en-
tendre est de se comprendre.
Et, d'ailleurs, que reprochent-ils à cet
article? Son républicanisme! Est-ce donc un
crime d'être républicain dans un pays répu-
blicain?
Notre Association étant essentiellement com-
posée de « jeunes », il me semble que des
idées nouvelles, -que des idées « jeunes »
doivent présider à tous ses actes.
Si nous fondons un journal — une modeste
feuille — pour rester dans le slalu tjuo ou
pour faire comme les écrevisses, ce n'est
vraiment pas la peine. Dans ce cas, nous
ferions mieux de verser nos « quelques sous »
à l'Assistance publique: nous aurions au
moins l'espoir que nos « capitaux » servi-
raient à. améliorer le sort de quelques mal-
heureux.
Et, comme le ditsi judicieusement Bargeron,
« notre journal s'adressant à. un public beau-
coup plus étendu que l'Association elle-même,
n'est pas lié absolument par ses règlements. »
Notre feuille, à mon avis, est une tribune
où chacun peut émettre des idées person-
nelles. Le signataire d'un article en est seul
responsable.
S'il fallait adresser une épreuve de chaque
article à chacun de nos lecteurs, et lui
demander de « biffer » ce qui lui déplaît et
d'ajouter ce qui manque, ce serait un travail
en dehors des forces humaines.
Ayant accompli une période de 28 jours à
Guéret, j'étais encore en Creuse lorsque j'ap-
pris avec stupéfaction la mort accidentelle du
grand maître que fut Emile Zola.
La stupéfaction ne fut pas moins grande
chez les cultivaieurs qui m'entouraient. Tous
connaissaient Zola et avaient lu quelque chose
de lui, la « mère nourricière » tenant une
grande place dans son oeuvre colossale et
immortelle.
Quel est donc celui qui, plus que Zola, fut
l'ami et le défenseur du prolétariat? Beaucoup
l'ont accusé d'avoir calomnié le peuple en le
montrant sous de vils aspects. Quant à moi,
je crois qu'on montrant à l'ouvrier de l'usine
et des champs tous les vices qui enlaidissent
leur misère, il a grandement contribué .à
l'émancipation prolétarienne.
*"*
La grève générale des mineurs vient d'être
déclarée. Réussira-t-elle? Personne ne peut
le savoir.
Depuis longtemps, les mineurs sont las de
se voir exploités par des compagnies avides
de gain. Depuis longtemps - ils voient leurs
camarades mourir de misère, alors que les
employeurs réalisent des bénéfices scandaleux.
Et que demandent-il s? Une petite rente après
vingt années, d'un labeur acharné, leur per-
mettant de ne pas « crever » de faim sur leurs
vieux jours après s'être «usés» physiquement
cl moralement au service de la société, lis
demandent, en outre, la fixation d'un minimum
de salaire et la réglementation du travail dans
les mines.
N'ayant obtenu aucune amélioration dans
leur sort et voyant les compagnies refuser
toute discussion, ils se sont décidés à. faire
usage de cette arme meurtrière qu'est la
grève. .♦
Espérons qu'ils obtiendront satisfaction,
car ils sont vraiment intéressants.
liOuis «Jesuirot.
Association amicale des Creusois de Paris
Siège social : 6. rue Marengo.
RÉUNION MENSUELLE
La réunion mensuelle ordinaire de l'Association, à
laquelle tous les compatriotes sont admis on visi-
teurs, aura, lieu le s»medi 1** octobre si
î> Ii
Nous prions tous nos camarades d'assister à celte
réunion. — Urgence.
La Secrétaire,
L. JiïANnoT.
MARTIN NADAUD
Au moment où l'arrondissement do Bourganouf érige
un monument bien mérité à l'un dos plus glorieux de
ses enfants, nous croyons devoir rappeler à nos lecteurs
ce que fui Martin Nadaud, le légendaire député-maçon.
Nous empruntons pour cela les paroles qu'avait mises
en tête du ]]'« volume des Discours et Conférences de.
Nadaud. (K7()-187S), paru en 1880 chez Beloulle, à Guéret,
UN VIEUX .TOUHNAUSTH :
11 prend le peuple au berceau et le suit dans
toute sa. croissance, à travers les périls de l'âge
difficile jusqu'à l'épanouissement d'aujour-
d'hui.
Dévoré du besoin de s'instruire, Nadaud,
encore tout jeune, suit les écoles mutuelles de
Paris; mais cela, ne lui suffit point; il veut
aussi faire profite)' de ses connaissances ses
camarades de travail, et. pendant dix ans,
c'est-à-dire de 1838 à 1848, il tient chaque soir, .
de huit à onze heures, une .école à leur usage.
Voilà l'homme tout entier! Ses premières
années, si difficiles, lui inspirent de la com-
passion pour ceux qui souffrent. Il débuta
ainsi dans la vie; et, sans s'en douter, ins-
tinctivement, bon par essence, par besoin
d'affection, il trouve le côté,de l'horizon bu
son vol l'élèvera.
Sitôt la Révolution dé Février 1848, les
élèves songèrent au maître, dont ils voulurent
faire leur représentant à la Chambre. Ils pro-
posèrent Nadaud au peuple, qui ratifia ce
choix.
La réaction cria au scandale. 11 y a,vait de
quoi! Un maçon, un porte-blouse député!
N'était-ce. point le renversement du monde?
Mais voilà que ce maçon parla à la Législative
et garda longtemps la tribune où il fut applaudi
dans différentes questions économiques d'un
ordre élevé.
Donc, Nadaud fut â la hauteur de son
mandat législatif; et sa vie à été depuis un
labeur incessant, que ne sont pas faits pour
comprendre les envieux déclassés, qui entraî-
nent trop souvent à leur suite les masses
populaires.
Au criminel coup d'Etat de 1851, Nadaud,
dont l'influence n'avait fait que grandir, parut
dangereux au ravisseur de nos libertés. On
l'arrêta, en pleine nuit, en même temps que
Thiers, Cavaignac et le colonel Charras,
Vingt ans il subit l'exil; et si des bords
hospitaliers da la Tamise il ne fulmina point
contre l'Empire la grande excommunication
d'Hugo, il resta eûiiiiîie lui debout, le coeur à
la France et les yeux vers Paris. Il attendit,
l'âme brisée par la. mort de sa jeune femme,
l'heure de la revanche du droit qui était longue
à sonner, hélas !
D'une forte et mâle énergie, ne se laissant
jamais accabler par l'adversité, Nadaud tra-
vailla à l'étranger pour gagner sa vie d'abord,
et augmenta son bagage littéraire ensuite, au
point d'enseigner sa langue nationale dans une
grande école militaire des environs de Londres.
« J'étais heureux, me disait-il, quand je pou-
vais envoyer quelque argent là-bas au pays,
à mes pauvres et vieux parents. » II me disait
cela d'une façon touchante, les yeux mouillés
dans les confidences intimes des braves gens
qui ont subi la tristesse d'un long exil.
Gambetta sut apprécier, comme Delescluze
l'avait déjà fait, l'énergie virile de Nadaud et
l'envoya comme préfet de la Creuse, ou plutôt
comme commissaire de guerre pour organiser
dans ce département patriotique la défense
nationale.
Nadaud y employa une énergie imposssible
à. décrire, et fut pour quelque chose dans ce
légitime orgueil qui nous reste de n'avoir
épargné aucun sacrifice pour ressaisir la vic-
toire.
On lira ses proclamations, et l'on pourra,
juger de la douleur qui le tortura quand
Bazaine capitula, livrant à l'ennemi ce qui
restait de notre armée avec un immense
matériel.
Le traité de Francfort qui laissait la France
vaincue, démembrée, écrasée dans sa puis-
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