Titre : La Médecine nouvelle : organe de l'Institut dynamodermique
Auteur : Institut dynamodermique (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Institut dynamodermique (Paris)
Date d'édition : 1896-09-12
Contributeur : Faber, Sosthène. Éditeur scientifique
Contributeur : Dumas, E (Dr). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328127119
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 15763 Nombre total de vues : 15763
Description : 12 septembre 1896 12 septembre 1896
Description : 1896/09/12 (A13,N37). 1896/09/12 (A13,N37).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k55232078
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 4-T42-34
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
Treizième année. — N° 37,
'^ii^'^^T^jti.^i^vjJa^i^hHauut^wjiw
12 Septembre 1896
(évis très important
Tous les lecteurs de la « Médecine Nouvelle » peuvent
adresser des demandes de consultation médicale à M. le Doc-
teur E. DUMAS, 19, rue de Lisbonne, à Paris. Ces consulta-
tions sont toujours absolument gratuites et envojnjes aux
personnes intéressées par le retour du courrier.
Les malades peuvent également se présenter tous les jours
non fériés, de 10 heures à 5 heures, à la Médecine Nouvelle,
rue de Lisbonne, 19, à Paris, pour consulter verbalement et
personnellement M. le Docteur Dumas. Cette consultation est
aussi complètement gratuite.
Se méfier de lous journaux, revues, bulletins, etc., publiés
en vue du jeter la confusion entre la Médecine Nouvelle et des
exploitations concurrentes, dont les tribunaux ont du reste fait
justice.
La Médecine Nouvelle, fondée en 1882 rue Godol-de-Mauroy,
n'a aucune succursale à Paris.
Ses usines, ateliers et laboratoires, 124, rue Saint-Charles, oc-
cupent un personnel d'ingénieur, d'électriciens, de chimistes, de
mécaniciens, monteurs en métaux, ouvriers du bois, de Vébonile,
ducelluloïd, etc., qui permettent, sous le contrôle denos confrères
et sous leur savante direction, de confectionner des appareils
irréprochables.
Les succès de toutes sortes que la Médecine Nouvelle obtient de-
puis quinze années étaient bien faits pour exciter la cupidité de
certaines nullités qui ont préféré vivre de la confusion que de
leurs travaux personnels.
Quiconque lit ces pastiches de notre méthode dans les feuilles
en question trouve promplemenl le démarquage qui a été fait de
nos travaux. Nous avons même sous les yeux des articles entiers
copiés dans la Médecine Nouvelle sans un changement. Un peu
plus, oi eût laissé subsister notre adresse: 19, rue de Lisbonne.
La loi étant muette sur ces sortes d'agissements parasitaires,
nous les signalons à ceux qui, depuis quinze ans, suivent 710s
travaux, nos progrès et nos luttes.
Ajoutons encore ceci, c'est que nous ne parlons des morts que
pour les honorer et non pour vivre de leurs vertus. C'est, 'nous
semble-l-il, plus décent el surtout plus... loyal.
Nous adresserons contre un franc cinquante, par la posle, à
tous nos lecteurs qui nous en feront la demande, le livre qui
vient de paraître, Le Nouveau Vitalisme, par le Dr E. Dumas,
notre savant directeur. Celte faveur sera certainement bien
accueillie par nos chers abonnés et lecteurs.
Adresser les demandes à M. Legras, administrateur de la
Médecine Nouvelle, 19, rue de Lisbonne, Paris.
soMM^^duW.
La guérison de la phtisie.
Secours immédiat par braient ceperî'D'E. Dumas.
Quelques observalio-;ure. -à dans les traitements par
correspond vJ(jurs D'""'"
La toux che;. k-,_ .niants.
Catéchisme d'hygiène.
Le prix du vilalogène.
Correspondance.
Principaux traitements dynamodermiques.
LA GUERISON DE LA PHTISIE
Clinique gratuite de la Médecine Nouvelle
La série des succès sur les pauvres, soignés gratuite-
ment à notre clinique, continue.
Nous avons actuellement cent cinquante-deux guérisons
absolues. Neuf malades en tout ont cessé le traitement du
cinquième au huitième jour. Nous ne comptons pas ceux
qui sont venus se renseigner et n'ont pas reparu. Nous
avons distribué tout l'argent disponible provenant des
dons reçus de nos amis.
Peut-être beaucoup de malheureux que nous pourrions
guérir ne viennent-ils pas recevoir nos soins faute des
moyens nécessaires pour se faire véhiculer ?
C'est malheureux, et il est bien regrettable pour les
pauvres gens que la Médecine Nouvelle ne dispose pas
d'un budget aussi considérable que celui de l'Assistance
publique. Il en serait vite fait de la tuberculose, cette
tueuse de jeunes !
Nous n'osons plus recourir à la bourse de nos amis ni
les importuner par nos demandes incessantes de secours.
C'est le tonneau des Danaïdes, chez nous ; plus on verse
de secours, plus il surgit de besoins.
Cette semaine, il nous est venu le mardi une pauvre
femme qui nourrit un bébé de quatre mois et qui traîne,
pendue à ses jupes, une petite fille de trois ans et un gar-
çon de cinq ans.' Elle venait de Saint-Denis à pied, envoyée
par le jeune Gallien, un de nos malades guéris.
'^ii^'^^T^jti.^i^vjJa^i^hHauut^wjiw
12 Septembre 1896
(évis très important
Tous les lecteurs de la « Médecine Nouvelle » peuvent
adresser des demandes de consultation médicale à M. le Doc-
teur E. DUMAS, 19, rue de Lisbonne, à Paris. Ces consulta-
tions sont toujours absolument gratuites et envojnjes aux
personnes intéressées par le retour du courrier.
Les malades peuvent également se présenter tous les jours
non fériés, de 10 heures à 5 heures, à la Médecine Nouvelle,
rue de Lisbonne, 19, à Paris, pour consulter verbalement et
personnellement M. le Docteur Dumas. Cette consultation est
aussi complètement gratuite.
Se méfier de lous journaux, revues, bulletins, etc., publiés
en vue du jeter la confusion entre la Médecine Nouvelle et des
exploitations concurrentes, dont les tribunaux ont du reste fait
justice.
La Médecine Nouvelle, fondée en 1882 rue Godol-de-Mauroy,
n'a aucune succursale à Paris.
Ses usines, ateliers et laboratoires, 124, rue Saint-Charles, oc-
cupent un personnel d'ingénieur, d'électriciens, de chimistes, de
mécaniciens, monteurs en métaux, ouvriers du bois, de Vébonile,
ducelluloïd, etc., qui permettent, sous le contrôle denos confrères
et sous leur savante direction, de confectionner des appareils
irréprochables.
Les succès de toutes sortes que la Médecine Nouvelle obtient de-
puis quinze années étaient bien faits pour exciter la cupidité de
certaines nullités qui ont préféré vivre de la confusion que de
leurs travaux personnels.
Quiconque lit ces pastiches de notre méthode dans les feuilles
en question trouve promplemenl le démarquage qui a été fait de
nos travaux. Nous avons même sous les yeux des articles entiers
copiés dans la Médecine Nouvelle sans un changement. Un peu
plus, oi eût laissé subsister notre adresse: 19, rue de Lisbonne.
La loi étant muette sur ces sortes d'agissements parasitaires,
nous les signalons à ceux qui, depuis quinze ans, suivent 710s
travaux, nos progrès et nos luttes.
Ajoutons encore ceci, c'est que nous ne parlons des morts que
pour les honorer et non pour vivre de leurs vertus. C'est, 'nous
semble-l-il, plus décent el surtout plus... loyal.
Nous adresserons contre un franc cinquante, par la posle, à
tous nos lecteurs qui nous en feront la demande, le livre qui
vient de paraître, Le Nouveau Vitalisme, par le Dr E. Dumas,
notre savant directeur. Celte faveur sera certainement bien
accueillie par nos chers abonnés et lecteurs.
Adresser les demandes à M. Legras, administrateur de la
Médecine Nouvelle, 19, rue de Lisbonne, Paris.
soMM^^duW.
La guérison de la phtisie.
Secours immédiat par braient ceperî'D'E. Dumas.
Quelques observalio-;ure. -à dans les traitements par
correspond vJ(jurs D'""'"
La toux che;. k-,_ .niants.
Catéchisme d'hygiène.
Le prix du vilalogène.
Correspondance.
Principaux traitements dynamodermiques.
LA GUERISON DE LA PHTISIE
Clinique gratuite de la Médecine Nouvelle
La série des succès sur les pauvres, soignés gratuite-
ment à notre clinique, continue.
Nous avons actuellement cent cinquante-deux guérisons
absolues. Neuf malades en tout ont cessé le traitement du
cinquième au huitième jour. Nous ne comptons pas ceux
qui sont venus se renseigner et n'ont pas reparu. Nous
avons distribué tout l'argent disponible provenant des
dons reçus de nos amis.
Peut-être beaucoup de malheureux que nous pourrions
guérir ne viennent-ils pas recevoir nos soins faute des
moyens nécessaires pour se faire véhiculer ?
C'est malheureux, et il est bien regrettable pour les
pauvres gens que la Médecine Nouvelle ne dispose pas
d'un budget aussi considérable que celui de l'Assistance
publique. Il en serait vite fait de la tuberculose, cette
tueuse de jeunes !
Nous n'osons plus recourir à la bourse de nos amis ni
les importuner par nos demandes incessantes de secours.
C'est le tonneau des Danaïdes, chez nous ; plus on verse
de secours, plus il surgit de besoins.
Cette semaine, il nous est venu le mardi une pauvre
femme qui nourrit un bébé de quatre mois et qui traîne,
pendue à ses jupes, une petite fille de trois ans et un gar-
çon de cinq ans.' Elle venait de Saint-Denis à pied, envoyée
par le jeune Gallien, un de nos malades guéris.
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