Titre : La Médecine nouvelle : organe de l'Institut dynamodermique
Auteur : Institut dynamodermique (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Institut dynamodermique (Paris)
Date d'édition : 1896-07-25
Contributeur : Faber, Sosthène. Éditeur scientifique
Contributeur : Dumas, E (Dr). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328127119
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 15763 Nombre total de vues : 15763
Description : 25 juillet 1896 25 juillet 1896
Description : 1896/07/25 (A13,N30). 1896/07/25 (A13,N30).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5523193p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 4-T42-34
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
Treizième année, — N° 30.
25 Juillet 1896
Avis très important
Tous les lecteurs de la « Médecine Nouvelle » peuvent
adresser des demandes de consultation médicale à M. le Doc-
teur E. DUMAS, 19, rue de Lisbonne, à Paris. Ces consulta-
tions sont toujours absolument qratuit.es et envoyées aux
personnes intéressées par le retour du courrier.
Les malades peuvent également se présente- tous les jours
rien lêiiës. do lu heures à 5 heures, à la Médecine Nouvelle.
rue de Lisbonne, 19, à Paris, pour consulter verbalement et
personnellement M. le Docteur Dumas. Cette consultation est
aussi complètement gratuite.
Se méfier de tous journaux, revues, bulletins, etc., publiés
en vue du jeter la confusion entre l;i Médecine Nouvelle cl des
exploitations concurrentes, dont les tribunaux ont du reste fait
justice.
La Médecine Nouvelle, fondée en 1882 rue Godol-de-Mauroy,
n'a aucune succursale à Paris.
Ses usines, ateliers et laboratoires, 12-S, rue Saint-Charles, oc-
cupent, un personnel d'ingénieur, d'électriciens, de chimistes, de
mécaniciens, monteurs en métaux, ouvriers du bois^ de l'èbonite,
du celluloïd, etc., qui permettent, sous le contrôle de nos confrères
et. sous leur savante direction; de confectionner des appareils
■irréprochables.
Les succès de toutes sortes que la Médecine Nouvelle obtient, de-
puis quinze années étaient bien faits pour exciter ta cupidité de
certaines nullités qui ont. préféré vivre de la confusion que de
le>'vs travaux personnels.
fiticonque lit ces pastiches de notre méthode dans les feuilles
«?! "question trouve promplemenl le démarquage qui a été fait de
nos travaux. Nous avons même sous les yeux des articles entiers
copiés dans la Médecine Nouvelle sans un cha?igemenl. Un peu
plus, on eût laissé subsister notre adresse: 19, rue de Lisbonne.
La loi étant muette sur ces sortes d'agissements parasitaires,
nous les signalons à ceux qui, depuis quinze ans, suivent nos
travaux, nos progrès et nos luttes.
Ajoutons encore ceci, c'est que nous ne parlons des morts que
pour les honorer et non pour vivre de leurs vertus. C'est, 11021s
semble-t-il, plus décent et surtout plus... loyal.
Nous adresserons contre un franc cinquante, par la poste, à
tous nos lecteurs qui nous en feront la demande, le livre qui
vient de paraître, Le Nouveau Vilalisme, par le D 1' E. Dumas,
notre savant directeur. Cette faveur sera certainement bien
accueillie par nos cliers abonnés et lecteurs.
Adresser les demandes à M. Legras, administrateur de la
Médecine Nouvelle, -19, rue de Lisboune, rails.
^
Le Prix de 800.000 francs destiné à récompenser le meilleur
traitement de la tuberculose,
Neurasthénie.
•TrfiitcmciilH par correspondance!
La médecine Nouvelle.
Nu tes cliniques.
Le vilaloiiéiîe.
Catéchisme d'hygiène.
Le prix du viialoyéne.
Correspondance.
Principaux traitements dynamodermiques.
LE PRIX DE 800,000 FRANCS
Destiné à récompenser le meilleur traitement de la Tuberculose
Nous parvenons, dans les conditions les plus défavorables,
à procurer une guérison sérieuse à des malades dont nulle
méthode ne s'occupait, dont aucun asile hospitalier ne voulait
entreprendre ia cure; voilà un fait absolument certain.
Depuis le 1er juin nous avons eu cent cas de guérisons com-
plètes. Pour qui a vu ces malades le i" juin et les revoit au
moment, où ils cessent nos soins, la transformation tient du
miracle, ils se sont présentés tous dans un étal d-aiïaiblisse-
ment complet, amaigris, décolorés, sans voix et sans souffle
presque. Oès les premiers jours de nos soins, la toux a cessé
et l'appétit est revenu, il n'en faut pas davantage pour que
Télai physiologique s'améliore rapidement.
Et voilà pourquoi nous les avons vus se relever si prompte-,
ment, et reprendre leurs forces perdues.
il y a cependant une grande différence entre ces malheureux
que l'a maladie terrasse et ruine, et les malades aisés qui peu-
vent se procurer, à défaut de nos soins, un confortable sé-
rieux.
Tout, manque aux malheureux, depuis l'air dans le galetas
jusqu'à la nourriture saine et abondante qui leur convient.
Il faut ajouter à tout cela l'état moral qui vient jeter encore
son déséquilibre dans le marasme fonctionnel des organes. Et
ce n'est, pas un polit appoint au mal que ces transes conti-
nuelles du logement problématique, de ia nourriture, du vête-
ment, qui fera défaut demain.
L'hôpital lui-même se ferme, sauf au tout dernier moment,
à celui cle l'agonie; souvent aussi ce serait la Morgue qui ac-
cueillerait le malheureux phtisique s'il venait à mourir dans
la rue, comme du reste cela se produit en hiver. Il ne se passe
25 Juillet 1896
Avis très important
Tous les lecteurs de la « Médecine Nouvelle » peuvent
adresser des demandes de consultation médicale à M. le Doc-
teur E. DUMAS, 19, rue de Lisbonne, à Paris. Ces consulta-
tions sont toujours absolument qratuit.es et envoyées aux
personnes intéressées par le retour du courrier.
Les malades peuvent également se présente- tous les jours
rien lêiiës. do lu heures à 5 heures, à la Médecine Nouvelle.
rue de Lisbonne, 19, à Paris, pour consulter verbalement et
personnellement M. le Docteur Dumas. Cette consultation est
aussi complètement gratuite.
Se méfier de tous journaux, revues, bulletins, etc., publiés
en vue du jeter la confusion entre l;i Médecine Nouvelle cl des
exploitations concurrentes, dont les tribunaux ont du reste fait
justice.
La Médecine Nouvelle, fondée en 1882 rue Godol-de-Mauroy,
n'a aucune succursale à Paris.
Ses usines, ateliers et laboratoires, 12-S, rue Saint-Charles, oc-
cupent, un personnel d'ingénieur, d'électriciens, de chimistes, de
mécaniciens, monteurs en métaux, ouvriers du bois^ de l'èbonite,
du celluloïd, etc., qui permettent, sous le contrôle de nos confrères
et. sous leur savante direction; de confectionner des appareils
■irréprochables.
Les succès de toutes sortes que la Médecine Nouvelle obtient, de-
puis quinze années étaient bien faits pour exciter ta cupidité de
certaines nullités qui ont. préféré vivre de la confusion que de
le>'vs travaux personnels.
fiticonque lit ces pastiches de notre méthode dans les feuilles
«?! "question trouve promplemenl le démarquage qui a été fait de
nos travaux. Nous avons même sous les yeux des articles entiers
copiés dans la Médecine Nouvelle sans un cha?igemenl. Un peu
plus, on eût laissé subsister notre adresse: 19, rue de Lisbonne.
La loi étant muette sur ces sortes d'agissements parasitaires,
nous les signalons à ceux qui, depuis quinze ans, suivent nos
travaux, nos progrès et nos luttes.
Ajoutons encore ceci, c'est que nous ne parlons des morts que
pour les honorer et non pour vivre de leurs vertus. C'est, 11021s
semble-t-il, plus décent et surtout plus... loyal.
Nous adresserons contre un franc cinquante, par la poste, à
tous nos lecteurs qui nous en feront la demande, le livre qui
vient de paraître, Le Nouveau Vilalisme, par le D 1' E. Dumas,
notre savant directeur. Cette faveur sera certainement bien
accueillie par nos cliers abonnés et lecteurs.
Adresser les demandes à M. Legras, administrateur de la
Médecine Nouvelle, -19, rue de Lisboune, rails.
^
Le Prix de 800.000 francs destiné à récompenser le meilleur
traitement de la tuberculose,
Neurasthénie.
•TrfiitcmciilH par correspondance!
La médecine Nouvelle.
Nu tes cliniques.
Le vilaloiiéiîe.
Catéchisme d'hygiène.
Le prix du viialoyéne.
Correspondance.
Principaux traitements dynamodermiques.
LE PRIX DE 800,000 FRANCS
Destiné à récompenser le meilleur traitement de la Tuberculose
Nous parvenons, dans les conditions les plus défavorables,
à procurer une guérison sérieuse à des malades dont nulle
méthode ne s'occupait, dont aucun asile hospitalier ne voulait
entreprendre ia cure; voilà un fait absolument certain.
Depuis le 1er juin nous avons eu cent cas de guérisons com-
plètes. Pour qui a vu ces malades le i" juin et les revoit au
moment, où ils cessent nos soins, la transformation tient du
miracle, ils se sont présentés tous dans un étal d-aiïaiblisse-
ment complet, amaigris, décolorés, sans voix et sans souffle
presque. Oès les premiers jours de nos soins, la toux a cessé
et l'appétit est revenu, il n'en faut pas davantage pour que
Télai physiologique s'améliore rapidement.
Et voilà pourquoi nous les avons vus se relever si prompte-,
ment, et reprendre leurs forces perdues.
il y a cependant une grande différence entre ces malheureux
que l'a maladie terrasse et ruine, et les malades aisés qui peu-
vent se procurer, à défaut de nos soins, un confortable sé-
rieux.
Tout, manque aux malheureux, depuis l'air dans le galetas
jusqu'à la nourriture saine et abondante qui leur convient.
Il faut ajouter à tout cela l'état moral qui vient jeter encore
son déséquilibre dans le marasme fonctionnel des organes. Et
ce n'est, pas un polit appoint au mal que ces transes conti-
nuelles du logement problématique, de ia nourriture, du vête-
ment, qui fera défaut demain.
L'hôpital lui-même se ferme, sauf au tout dernier moment,
à celui cle l'agonie; souvent aussi ce serait la Morgue qui ac-
cueillerait le malheureux phtisique s'il venait à mourir dans
la rue, comme du reste cela se produit en hiver. Il ne se passe
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