Titre : La Médecine nouvelle : organe de l'Institut dynamodermique
Auteur : Institut dynamodermique (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Institut dynamodermique (Paris)
Date d'édition : 1898-10-15
Contributeur : Faber, Sosthène. Éditeur scientifique
Contributeur : Dumas, E (Dr). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328127119
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 15763 Nombre total de vues : 15763
Description : 15 octobre 1898 15 octobre 1898
Description : 1898/10/15 (A15,N42). 1898/10/15 (A15,N42).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k55220115
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 4-T42-34
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
Uuinzièrae année. — N« 42. 7 15 Octobre 1898
^vis fm important
Tous les lecteurs de la « Médecine Nouvelle » peuvent
adresser les demandes de consultation médicale à M. le
Docteur PÉRADON, 19, rue de Lisbonne, à Paris. Ces consul-
tations sont toujours absolument gratuites et envoyées aux
personnes intéressées par le retour du courrier.
Les malades peuvent également se présenter tous les jours
non fériés, de 10 heures à 5 heures, à la Médecine Nouvelle,
rue de Lisbonne, 19, à Paris, pour consulter verbalement et
personnellement M. le Docteur Dumas. Cette consultation est
aussi complètement gratuite.
Nous prions instamment ceux de nos clients qui nous font
un envoi quelconque de mentionner sur l'adresse leur nom et
leur domicile. A défaut de cette indication, nous ne pouvons
leur garantir une prompte satisfaction, les timbres d6 la
poste ou de la gare expéditrice, souvent illisibles, ne peuvent
constituer un renseignement suffisant.
Nous adresserons contre un franc cinquante, par la poste, à
tous nos lecteurs qui nous en feront la demande, le livre qui
vient de paraître : Le Nouveau Vitalisme, par le Dr E. Dumas,
notre savant directeur. Celte faveur sera certainement bien
accueillie par nos chers abonnés et lecteurs.
Adresser les demandes à M. Legras, administrateur de la
Médecine Nouvelle, 19, rue de Lisbonne, Paris.
SOMlVtA.IREI
Chronique vitaliste.
Causerie vitalisLe.
Quelques lettres reçues en septembre 189S.
L'élirir Stack.
Le vilalogèno et son emploi.
Lois vitahstes et traitements par les appareils et soins du vila-
lisme.
Action du vitalisme.
Emploi de la méthode vitaliste.
Appareils vita listes.
Consultations vilalistes.
Consultations par correspondance.
Maladies traitées et guéries par le vitalisme.
Livres et brochures concernant le vitalisme.
Nota concernant nos prir.
Visites des médecins en province.
Correspondance.
J CHRONIQUE VITALISTE
La semaine qui vient de finir a été une des plus char-
gées, comme consultations, de toutes celles de l'été. Est-ce
parce que l'automne a ramené avec les premiers rayons
tièdes le cortège habituel des chronicités, ou bien est-ce,
tout simplement, un effet de notre vulgarisation?
Le vitalisme tend, de jour en jour, à prendre une plus
grande extension. La routine va probablement céder lepas
au progrès. On se lasse de souffrir sans remède certain,
comme on se lasse à la fin des traitements qui n'abou-
tissent pas et ne changent en rien notre état maladif et souf-
frant. '
Une des choses qui frappent le plus l'observateur, c'est
le nombre des gens qui souffrent sans se plaindre. On les
croit bien portants, sains et forts; on admire leur mine et
aussi leur gaieté. Mais il suffit de causer avec eux, de les
interroger d'une façon adroite, pour les entendre dire, à
leur tour, que tout n'est pas rose non plus pour eux. A
quoi bon se plaindre? vous disent-ils. f
Et en effet, le mieux est d'oublier le plus qu'on le peut
les petites misères qui assaillent la pauvre humanité.
Cependant, ce qui me frappa le plus, alors que, jeune
médecin, je me trouvais dans le monde, soit à un dîner,
soit en soirée, c'est l'inévitable consultation sous forme de
conversation, que me demandaient mes voisins ou quelqu'un
des convives.
J'avais souvent entendu dire, par des confrères m»
aînés, que les malades cherchaient toujours à se faire don-
ner une consultation gratuite, quand ils se trouvaient avec
un médecin, en dehors du cabinet médical de celui-ci.
Je n'ai jamais cru à ce que pensaient mes aînés, de la
façon économique dont en usaient les gens du monde.
Non. J'ai cherché à saisir le motif de ces consultations
et je l'ai trouvé. 11 est d'un ordre beaucoup plus sérieux et
plus [humain, et à coup sûr absolument exempt de toute
pensée d'économie. En voici les raisons, et tous ceux qui
les liront seront unanimes à en reconnaître la vraisem-
blance.
Tout d'abord, on croit au pouvoir de la médecine jusqu'au
moment précis où l'on s'aperçoit par soi-même qu'elle est
^vis fm important
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Les malades peuvent également se présenter tous les jours
non fériés, de 10 heures à 5 heures, à la Médecine Nouvelle,
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personnellement M. le Docteur Dumas. Cette consultation est
aussi complètement gratuite.
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Nous adresserons contre un franc cinquante, par la poste, à
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Chronique vitaliste.
Causerie vitalisLe.
Quelques lettres reçues en septembre 189S.
L'élirir Stack.
Le vilalogèno et son emploi.
Lois vitahstes et traitements par les appareils et soins du vila-
lisme.
Action du vitalisme.
Emploi de la méthode vitaliste.
Appareils vita listes.
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Consultations par correspondance.
Maladies traitées et guéries par le vitalisme.
Livres et brochures concernant le vitalisme.
Nota concernant nos prir.
Visites des médecins en province.
Correspondance.
J CHRONIQUE VITALISTE
La semaine qui vient de finir a été une des plus char-
gées, comme consultations, de toutes celles de l'été. Est-ce
parce que l'automne a ramené avec les premiers rayons
tièdes le cortège habituel des chronicités, ou bien est-ce,
tout simplement, un effet de notre vulgarisation?
Le vitalisme tend, de jour en jour, à prendre une plus
grande extension. La routine va probablement céder lepas
au progrès. On se lasse de souffrir sans remède certain,
comme on se lasse à la fin des traitements qui n'abou-
tissent pas et ne changent en rien notre état maladif et souf-
frant. '
Une des choses qui frappent le plus l'observateur, c'est
le nombre des gens qui souffrent sans se plaindre. On les
croit bien portants, sains et forts; on admire leur mine et
aussi leur gaieté. Mais il suffit de causer avec eux, de les
interroger d'une façon adroite, pour les entendre dire, à
leur tour, que tout n'est pas rose non plus pour eux. A
quoi bon se plaindre? vous disent-ils. f
Et en effet, le mieux est d'oublier le plus qu'on le peut
les petites misères qui assaillent la pauvre humanité.
Cependant, ce qui me frappa le plus, alors que, jeune
médecin, je me trouvais dans le monde, soit à un dîner,
soit en soirée, c'est l'inévitable consultation sous forme de
conversation, que me demandaient mes voisins ou quelqu'un
des convives.
J'avais souvent entendu dire, par des confrères m»
aînés, que les malades cherchaient toujours à se faire don-
ner une consultation gratuite, quand ils se trouvaient avec
un médecin, en dehors du cabinet médical de celui-ci.
Je n'ai jamais cru à ce que pensaient mes aînés, de la
façon économique dont en usaient les gens du monde.
Non. J'ai cherché à saisir le motif de ces consultations
et je l'ai trouvé. 11 est d'un ordre beaucoup plus sérieux et
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