Titre : La Médecine nouvelle : organe de l'Institut dynamodermique
Auteur : Institut dynamodermique (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Institut dynamodermique (Paris)
Date d'édition : 1898-06-25
Contributeur : Faber, Sosthène. Éditeur scientifique
Contributeur : Dumas, E (Dr). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328127119
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 15763 Nombre total de vues : 15763
Description : 25 juin 1898 25 juin 1898
Description : 1898/06/25 (A15,N26). 1898/06/25 (A15,N26).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5521988h
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 4-T42-34
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
'Quinzième année. — Ne 26.
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<^lns iris important
Tous les lecteurs de la « Médecine Nouvelle » peuvent
adresser des demandes de con ultation médicale à M. le
Doctanr PÉRADON, 19, rue de Lisbonne, à Paris. Ces cosisul-
•tations sont toujours absolument gratuites et envoyées aux
personnes intére-sées par le retour du cou rier.
Les malades peuvent éqalement se présenter tous les jours
non fériés de 10 heures à 5 heures à la Médecine Nouvelle,
rue de Lisbonne, 19, à Paris, pour consulter verbalement et
personnellement M. le Docteur Dumas. Cette consultation est
aussi complètement gratuite.
Nous prions instamment ceux de nos clients qui nous font
un envoi quelconque de mentionner .sur l'adresse leur nom et
.eur domicile. A défaut de cette indication, nous ne poùvûiis
Oeur garantir une prompte satisfaction : les timbres de la
■poste ou delà gare expéditrice, souvent illisibles, ne peuvent
constituer un renseignement suffisant.
Nousadresspi onscontieîOi franc cinquante, par la poste, à
ions nos lecteurs qui nous en feront la demande, Je livre-qu
vient dé paraître, Le Nouveau Vilalisme, par le I)r E. Dumas,
nôtre savant directeur. Cette faveur sera certainement bien
accueillie par nos chers abonnés, et lecteurs.
Adresser les demandes à M. Legras, administrateur de la
Médecine Nouvelle. 19, rue de Lisbonne, Paris.
Diathèses au point de vue vitaliste.
;Désé(|uiJibre de la forme, fébrile.
Quelques lettres reçues en juin i8gS.
Chirurgie vitaliste.
Les maladies des voies respiratoires : maladies de la gorge et
du nez.
L'élixir Slack.
Lois vilalistesel traitements par les appareils et soins du vita-
lisme.
Action du vitalisme.
Emploi de la méthode vitaliste.
Appareils vitalistes.
Consultations vitalistes.
Consultations par correspondance.
Maladies traitées et guéries par le vitalisme.
Livres et brochures concernant le vitalisme.
Nota concernant nos prix.
Visites des médecins en province.
Correspondance.
LES DIATHÈSES
Au point de vue vitaliste
L'état dépressif se manifeste chez la plupart dfes êtres à
partir de quarante ans, parfois même avant cet âge. Il s'im-
plante lentement, presque sans à-coup, c'est-à-dire sans
crise sérieuse. Et c'est là le plus fréquent des symptômes
de ces diathèses qui font croire à l'usure prématurée, alors
qu'il ne se produit qu'une fatigue des organes et de toute
l'économie, que nous nommons la résistance.
Ces diathèses peuvent avoir pour cause une hérédité
plus ou moins certaine ; nous ne voulons pas refuser d'ac-
cepter ce que l'école officielle affirme depuis tant d'années.
Nous faisons seulement observer que l'hérédité n'a bien
souvent rien à voir dans beaucoup de cas. Et puis, qu'est-
ce que cela prouverait et qu'est-ce que cela pourrait faire
à la question d'hérédité, contre le vitalisme? Rien absolu-
ment. Nous guérissons aussi bien un asthmatique dont la
grand mère était asthmatique elle-même, que nous guéris-
sons un malade dont aucun des ascendants n'avait eu de
maladie chronique constatée.
Nous demandons, comme tous les médecins officiels, à
nos malades, des renseignements sur leurs parents ; mais
c'est uniquement pour mieux constater, par statistique,
que cela ne peut ni retarder ni avancer la cure.
Et en effet, sur cent malades nous ayant dit qu'un des
leurs avait éprouvé les mêmes symptômes qu'eux, il nes'en
est pas trouvé un seul qui ait été réfractaire au vitalisme.
Nous pouvons, dès lors, nous permettre d'affirmer que
l'hérédité n'est pas un cas d'empêchement à la réussite de
nos soins vitalistes, et n'en tenir aucun compte pour l'éta-
blissement d'un traitement.
Les malades n'ont pas l'habitude de se spécialiser dans
l'observation de leur état; sans quoi, tous reconnaîtraient
que l'affection chronique dont ils souffrent depuis un cer-.
tain nombre d'années, a eu des symptômes essentiellement
variés.
Ils se plaignent de ce qui les fait souffrir au moment où
ils consultent, sans se douter que ce mal peut avoir la
moindre analogie avec ce qu'ils ont ressenti il y a deux,
trois, quatre et même cinq années.
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•tations sont toujours absolument gratuites et envoyées aux
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Les malades peuvent éqalement se présenter tous les jours
non fériés de 10 heures à 5 heures à la Médecine Nouvelle,
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personnellement M. le Docteur Dumas. Cette consultation est
aussi complètement gratuite.
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.eur domicile. A défaut de cette indication, nous ne poùvûiis
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Nousadresspi onscontieîOi franc cinquante, par la poste, à
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nôtre savant directeur. Cette faveur sera certainement bien
accueillie par nos chers abonnés, et lecteurs.
Adresser les demandes à M. Legras, administrateur de la
Médecine Nouvelle. 19, rue de Lisbonne, Paris.
Diathèses au point de vue vitaliste.
;Désé(|uiJibre de la forme, fébrile.
Quelques lettres reçues en juin i8gS.
Chirurgie vitaliste.
Les maladies des voies respiratoires : maladies de la gorge et
du nez.
L'élixir Slack.
Lois vilalistesel traitements par les appareils et soins du vita-
lisme.
Action du vitalisme.
Emploi de la méthode vitaliste.
Appareils vitalistes.
Consultations vitalistes.
Consultations par correspondance.
Maladies traitées et guéries par le vitalisme.
Livres et brochures concernant le vitalisme.
Nota concernant nos prix.
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Correspondance.
LES DIATHÈSES
Au point de vue vitaliste
L'état dépressif se manifeste chez la plupart dfes êtres à
partir de quarante ans, parfois même avant cet âge. Il s'im-
plante lentement, presque sans à-coup, c'est-à-dire sans
crise sérieuse. Et c'est là le plus fréquent des symptômes
de ces diathèses qui font croire à l'usure prématurée, alors
qu'il ne se produit qu'une fatigue des organes et de toute
l'économie, que nous nommons la résistance.
Ces diathèses peuvent avoir pour cause une hérédité
plus ou moins certaine ; nous ne voulons pas refuser d'ac-
cepter ce que l'école officielle affirme depuis tant d'années.
Nous faisons seulement observer que l'hérédité n'a bien
souvent rien à voir dans beaucoup de cas. Et puis, qu'est-
ce que cela prouverait et qu'est-ce que cela pourrait faire
à la question d'hérédité, contre le vitalisme? Rien absolu-
ment. Nous guérissons aussi bien un asthmatique dont la
grand mère était asthmatique elle-même, que nous guéris-
sons un malade dont aucun des ascendants n'avait eu de
maladie chronique constatée.
Nous demandons, comme tous les médecins officiels, à
nos malades, des renseignements sur leurs parents ; mais
c'est uniquement pour mieux constater, par statistique,
que cela ne peut ni retarder ni avancer la cure.
Et en effet, sur cent malades nous ayant dit qu'un des
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est pas trouvé un seul qui ait été réfractaire au vitalisme.
Nous pouvons, dès lors, nous permettre d'affirmer que
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Les malades n'ont pas l'habitude de se spécialiser dans
l'observation de leur état; sans quoi, tous reconnaîtraient
que l'affection chronique dont ils souffrent depuis un cer-.
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