Presse et revues
12 pages
Titre : La Médecine nouvelle : organe de l'Institut dynamodermique
Auteur : Institut dynamodermique (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Institut dynamodermique (Paris)
Date d'édition : 1897-04-24
Contributeur : Faber, Sosthène. Éditeur scientifique
Contributeur : Dumas, E (Dr). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328127119
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 15763 Nombre total de vues : 15763
Description : 24 avril 1897 24 avril 1897
Description : 1897/04/24 (A14,N17). 1897/04/24 (A14,N17).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5521739b
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 4-T42-34
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
Quatorzième année. — N* d7.
24 Avril 1897
(Avis très important
Tous les lecteurs de la < Médecine Nouvelle » peuvent
adresser des demandes de consultation médicale à M. le Doc-
teur PÉRADON, 19, rue de Lisbonne, à Paris. Ces consulta-
tions sont toujours absolument gratuites et envoyées aux
personnes intéressées par le retour du courrier,
Les malades peuvent également se présenter tous les jours
non fériés, de 10 heures à 5 heures, à la Médecine Nouvelle,
rue de Lisbonne, 19, à Paris, pour consulter verbalement et
personnellement M. le Docteur Dumas. Cette consultation est
aussi complètement gratuite.
Nous prions instamment C8ux de nos clients qui nous font
un envoi quelconque de mentionner sur l'adresse leur nom
et leur domicile. A défaut de cette indication, nous ne pou-
vons leur garantir«^me prompte satisfaction, les timbres de
la poste ou de la gare expéditrice, souvent illisibles, ne peu-
vent constituer un renseignement suffisant.
Nous adresserons contre un franc cinquante, par la poste, à
tous nos lecteurs qui nous en feront la demande, le livre qui
vient-de paraître. Le Nouveau, Vilalisma, par le Dr E. Dumas,
notre savant directeur. Cette faveur sera certainement bien
accueillie par nos chers abonnés et lecteurs.
Adresser les demandes à ^f. Legras, administrateur delà
Médecine Nouvelle, 19, rue de Lisbonne, Paris.
Toux opiniâtre.
Le Déséquilibre vital et les Maladies de l'estomac.
Diffusion des soins par le vilalogènc.
Paralysie.
Traitements par correspondance.
Fonctions organiques.
Maladies des voies digeslives.
Maladies propres à la femme.
Troubles fonctionnels des voies urinaires.
Maladies de la moelle : ataxie locomotrice.
L'iathèse goutteuse et rhumatismale.
Névralgie.
La Phtisie.
Paralysie.
Les enfants et les soins qu'il convient de leur donner.
L'Asthme,
La Surdité.
Neurasthénie.
Le Vitalogène et son emploi.
Soins relatifs à la beauté. '
Prix.des plaques dynamodermiques.
Brochures, manuels, imprimés et nota concernant nos prix,
Correspondance. ;
TOUX OPINIATRE
La toux est un réflexe qui peut être aussi bien provo-
qué par les bronches, par les poumons ou par le coeur,
que par l'estomac ou tout autre organe.
L'enfant qui tousse, secoué par les quintes delà coque-
luches est la preuve que la toux est d'origine nerveuse le
plus souvent. Si l'on cherchait à l'autopsie d'un enfant
mort en état de coqueluche, il serait impossible de trouver
la moindre lésion accusant cette maladie, pourtant bien ter-
rible.
La toux opiniâtre est donc le résultat d'une souffrance,
et toute souffrance en médecine vitaliste est produite par
un déséquilibre entre l'être, c'est-à-dire les organes qui le
composent, et aussi les sources de la continuité de leur
vie, c'est-à-dire les échanges vitaux.
Donner à un malade qui tousse depuis plusieurs semaines
des médicaments quelconques, c'est agir sur les organes,
sur l'estomac, sur les nerfs, etc., d'une façon débilitante.
Mais soigner ce malade en agissant sur les échanges bio-
vitaux, c'est porter un secours direct à la cause même du
mal et empêcher la continuation des effets. '!■
La toux ébranle le système nerveux, fatigue toute la
musculature, surmené la résistance et finitpar produire des
lésions graves. C'est ainsi que meurent de consomption les
petits malades atteints de coqueluche.
C'est aussi de cette même façon que meurent les malades
atteints de toux opiniâtre, qu'elle soit occasionnée par l'es-
tomac, par le coeur ou par le poumon. La toux appelle un
excès de dynamisme fonctionnel, préjudiciable à l'équilibré
vital ; et ce préjudice a pour effet direct l'arrêt de l'appé-
tit, donc celui de la nutrition. L'état revient alors se com-
pliquer d'une aggravation sérieuse et mettre le malade en
état d'infériorité et le plus souvent de réceptivité, c'est-à-
dire qu'il est apte, après quelques semaines de ce déséqui-
libre, à devenir la proie d'une maladie intercurrente à la-
quelle il ne pourra opposer aucune résistance.
La toux est toujours un symptôme grave et sérieux,
auquel lorsqu'elle dure un mois, il est urgent de porter
remède.
Eh bien ! rien n'est plus simple ni plus facilement obtenu
24 Avril 1897
(Avis très important
Tous les lecteurs de la < Médecine Nouvelle » peuvent
adresser des demandes de consultation médicale à M. le Doc-
teur PÉRADON, 19, rue de Lisbonne, à Paris. Ces consulta-
tions sont toujours absolument gratuites et envoyées aux
personnes intéressées par le retour du courrier,
Les malades peuvent également se présenter tous les jours
non fériés, de 10 heures à 5 heures, à la Médecine Nouvelle,
rue de Lisbonne, 19, à Paris, pour consulter verbalement et
personnellement M. le Docteur Dumas. Cette consultation est
aussi complètement gratuite.
Nous prions instamment C8ux de nos clients qui nous font
un envoi quelconque de mentionner sur l'adresse leur nom
et leur domicile. A défaut de cette indication, nous ne pou-
vons leur garantir«^me prompte satisfaction, les timbres de
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vent constituer un renseignement suffisant.
Nous adresserons contre un franc cinquante, par la poste, à
tous nos lecteurs qui nous en feront la demande, le livre qui
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notre savant directeur. Cette faveur sera certainement bien
accueillie par nos chers abonnés et lecteurs.
Adresser les demandes à ^f. Legras, administrateur delà
Médecine Nouvelle, 19, rue de Lisbonne, Paris.
Toux opiniâtre.
Le Déséquilibre vital et les Maladies de l'estomac.
Diffusion des soins par le vilalogènc.
Paralysie.
Traitements par correspondance.
Fonctions organiques.
Maladies des voies digeslives.
Maladies propres à la femme.
Troubles fonctionnels des voies urinaires.
Maladies de la moelle : ataxie locomotrice.
L'iathèse goutteuse et rhumatismale.
Névralgie.
La Phtisie.
Paralysie.
Les enfants et les soins qu'il convient de leur donner.
L'Asthme,
La Surdité.
Neurasthénie.
Le Vitalogène et son emploi.
Soins relatifs à la beauté. '
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Brochures, manuels, imprimés et nota concernant nos prix,
Correspondance. ;
TOUX OPINIATRE
La toux est un réflexe qui peut être aussi bien provo-
qué par les bronches, par les poumons ou par le coeur,
que par l'estomac ou tout autre organe.
L'enfant qui tousse, secoué par les quintes delà coque-
luches est la preuve que la toux est d'origine nerveuse le
plus souvent. Si l'on cherchait à l'autopsie d'un enfant
mort en état de coqueluche, il serait impossible de trouver
la moindre lésion accusant cette maladie, pourtant bien ter-
rible.
La toux opiniâtre est donc le résultat d'une souffrance,
et toute souffrance en médecine vitaliste est produite par
un déséquilibre entre l'être, c'est-à-dire les organes qui le
composent, et aussi les sources de la continuité de leur
vie, c'est-à-dire les échanges vitaux.
Donner à un malade qui tousse depuis plusieurs semaines
des médicaments quelconques, c'est agir sur les organes,
sur l'estomac, sur les nerfs, etc., d'une façon débilitante.
Mais soigner ce malade en agissant sur les échanges bio-
vitaux, c'est porter un secours direct à la cause même du
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La toux ébranle le système nerveux, fatigue toute la
musculature, surmené la résistance et finitpar produire des
lésions graves. C'est ainsi que meurent de consomption les
petits malades atteints de coqueluche.
C'est aussi de cette même façon que meurent les malades
atteints de toux opiniâtre, qu'elle soit occasionnée par l'es-
tomac, par le coeur ou par le poumon. La toux appelle un
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vital ; et ce préjudice a pour effet direct l'arrêt de l'appé-
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état d'infériorité et le plus souvent de réceptivité, c'est-à-
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